Comment ça pas de chauffage !!? Mais j'ai froid moi ! Elle est nul sa voiture. Enfin bon, c'est pas comme si je pouvais y faire quelques chose. Ku-chan me tendi une gourde en metal, j'en avais déjà vu chez mes précédant maître, mais aucun ne m'avait autorisé à en boir, je me demande quel gout ça à ça... et les adultes avait l'air d'apprécier en plus. J'ignora mon maître, toujours à loucher sur la bouteille avant de lapper le bord du bout de la langue. Ca avais pas trop de gout, peut être un peu en fait... Cette fois j'en bu une autre gorgé d'un coup et avala l'alcool... c'est fort ! ça brule la gorge !! comment font les adultes pour boir ce truc... Mais s'était bon... Je resta là, quelques minutes à loucher de nouveau sur la bouteille avant de m'installé a genous sur le siège posant mes pattes sur le rebord de la porte, regardant les voitures passer les suivant du regard de gauche à droite, et la queue balacant rapidement comme un petit chien de droite à gauche et de gauche à droite, tout en buvant de temps en temps une petite gorgé d'alcool... Vingt minutes passèrent ainsi et lors de la gorfé que je voulait prendre ne fut qu'une goute, je me rendi enfin compte que j'avait terminé la bouteille, aie aie aie... qu'est ce qu'aller dire Ku-chan, il m'avais pourtant dit qu'une gorgée... Discrètement je posa la gourde sur le siège et m'assit tranquillement et resta sage tout le reste du trajet...

La voiture ralenti pour s'arrèter et sans la ceinture de securité, je me cogna au rebord de la voiture, me reveillant un peu et faisant tomber le gourde vide par terre... je regarda du coin de l'oeil mon maître, les oreilles baissé et resta sur les genous ne savant plus ou me mettre. Mais en même temps heuresement qu'elle était vide, si elle s'était renversé pleine, on aurais encore plus gaspillé, maîs là, elle a servis à la bonne cause, oui, elle m'avait tenu chaud maître Ku ne m'avais pas menti à ce sujet, j'était en caleçon mais j'avais chaud, même très... Dehors ils pleuvait toujours et je n'aimait pas l'eau. Les chats, ça se lave tout seul et la pluie, pas question, qu'elle aillent voir quelqu'un d'autre. Il pleuvais de plus en plus, je me demande si il ne va pas avoir des élclair... et ça j'aime encore moins... ce n'est pas que j'ai peur, c'est que j'aime pas. Et quand on parle du loup... tout à coup il en tomba un faisait un bruit pas possible pour mes pauvres petites oreilles, je herrissa les poils et alla directement me refugier en boule dans les bras de mon maître, manquand de tout casser dans la voiture au passage et me rammasser sur le sol. Bon, si d'accord, j'avais peur de l'orage... Je me trouvais en boule dans les bras de mon maître, tramblant comme un feuille les oreilles baissée en arrière, les larmes au yeux. Je les fermé, me crispant sa la veste légèrement mouillé de Ku en esperant qu'il me laisse rester comme ça...

-M-m-maît... AAAAHHH !!!

Un autre son fort parvint à mes oreilles et je pouvait devinner ce que c'était. J'était vraiment désolé pour son alcool, alors, qu'il me laisse un peu comme ça... je veux pas sortir, je veux rester ici... mais j'ai peur... lentement de vrai larmes commencèrent à couler sur mes joues, j'avais encore plus chaud en boule contre mon maître, mais ce n'était pas important. Tant que je pouvait rester ainsi...

Le trajet fut bien plus court que prévu, je n'avais même pas pris la peine d'allumer la radio. J'étais bien trop fatigué, ayant un grand besoin de me reposer et de ne plus bouger. D'un bref coup d'oeil, je pouvais voir le néko commencer à laper le bord pour savoir quel goût le whisky pouvait avoir, je me retint de rire en voyant sa réaction lorsqu'il but une sacrée gorgée. C'était pas de l'eau, je lui avais prévenu. Mais il semblait s'y habituer, ce qui me faisait alors douter de mon acte en constatant qu'il était en train de boire plus que prévu. Pas bien Fushigi d'apprendre à un gosse de boire. Bah en même temps, il aura de l'avance, mais qu'il ne vienne pas m'en réclamer, il en aura pas. Il mangera et buvera ce que je lui donne pas ce qu'il me sert. Je finissais par quitter l'autoroute, roulant toujours à allure réduite. Le temps était loin de s'arranger. Mais le plus agaçant n'était pas vraiment ça. C'était la position de Bou dans ma voiture qui m'embêtait un temps soit peu. Lorsqu'on entre dans une voiture on attache sa ceinture c'est bien connu. Lorsque je freinais pour entrer dans le lotissement, il se cogna contre le rebord. Bien heureusement je n'avais pas freiné fort, un trou dans le pare-brise aurait été bien regrétable, tant pour moi que pour lui. Je pu constater que la gnole était tombé à terre, mais rien ne coulait. J'y croyais pas, il avait vraiment tout bu! Bah merde, je lui avait dit une gorgée c'était pas pour rien. Nous étions tout près, lorsque la foudre éclata dans un grand fracas. Cela ne me faisait ni chaud ni froid, je ne pouvais pas en dire autant du néko qui tremblais devant l'orage. Ce fut alors qui vint se réfugier dans mes bras alors que je conduisais. Tout de suite déconcentré, je pesais instinctivement la pédale de frein, ma main allant coller la tête du néko contre mon torse pour qu'il n'aille pas se cogner au volant, avec la force de ce choc il aurait pu s'en tirer mais très juste, la tête étant un organe sensible. Bou tremblait dans mes bras à cause de l'orage et avec ma voiture en plein milieu de la route, je me retrouvais au final bien con. Je le pris alors par la tête et le plaqua contre son siège avant d'attacher sa ceinture.

"On ne dérange pas le conducteur! un peu plus et tu serais mort avant même d'avoir franchis le pas de ma porte... maintenant si t'a peur ferme les yeux et bouche toi les oreilles!"

Je redémarrais le moteur qui avait bloqué lors de mon brusque freinage. On entrait alors dans ma propriété: une simple maison à double étage ayant un garage intégré. Je me garais devant le garage et enclancha le frein à main avant de sortir, faisant signe à Bou de rester dans la voiture. J'ouvrais alors le garage puis revint à la voiture, ayant eu le temps d'être bien trempé. Je rentrais ensuite dans la V8 pour la garrer dans le garage et couper le contact. Bien heureusement, il y avait un accés direct entre la maison et le garage. Au final le néko ne me fera pas toute une scène pour entrer. J'ouvris la portière et détacha sa ceinture. Je le pris alors dans mes bras pouvant voir qu'il était terrorisé et imcapable de marcher sans avoir à me foncer dans les bras. Finalement je me demandais s'il ne faisait pas un peu fils adoptif, si tel était son point de vue, dommage pour lui je suis pas le père idéal mais le maître sadique, masochistes aux multiples pulsions meurtrières et par moment sexuelles. J'ouvris la porte menant au hall et le posa à terre. J'allumais ensuite la lumière pour éclairer les lieux qui demeuraient sombres et sinistres en ce jour de pluie. Si cela n'en tenais qu'à moi, j'aurais tout laissé éteint mais bon, il fallait bien que je lui laisse le temps de s'habituer, c'est bien connu: quand votre serviteur vous fait la gueule, ne vous attendez pas à un service de qualité. J'accrochais mon manteau mouillé ainsi que mon chapeau, gardant mes lunettes et le regardais.

"Bon... Maintenant t'es mon domestique que tu le veuilles ou non... bien sûr en temps que domestique tu devras t'endurcir un peu car si tu veux que je te nourrisse il faudra bien que tu m'offres ta totale dévotion... sinon je te laisse sous la pluie et ferme la porte à double tour, compris?"

Finalement je ne le laissais pas le temps de répondre que je lui pris la main et montais les escaliers pour aller au première étage. J'entrait alors dans ce qui allait être sa future chambre, aménagé assez simplement: un lit, un bureau, une armoire renfermant de vieux uniformes de domestiques et des draps.

"Voilà où tu logeras quand t'auras terminé de bosser, il y a des vêtements dans l'armoire, mais je ne sais pas s'ils sont à ta taille, auquel cas je t'en achèterais plus tard... de plus tu sembles pas vraiment convaincu de l'idée de ressortir tout de suite je pense."

Je le sortais de la chambre et lui montrais la salle de bain et les toilettes pour qu'il n'aille pas me faire je ne sais quoi encore. Un néko était par définition mi-chat mi-humain, alors il pouvait bien utiliser les toilettes plutôt qu'une litière. Je soupirais puis finalement avais la flemme incroyable de lui dire ce qu'il y avait en haut. Je le regardais.

"Fait moi couler un bain, j'me les gèles...et appelle moi quand t'auras fini."

Je redescendais alors pour aller lire un livre dans le salon.

Oui, j'avais peur, et je termina le voyage sur le siège bien gentiment et attaché, les jambes repliés, fermant les yeux et faisant tout pour ne pas entendre, que se soit en me bouchant les oreilles, ce qui ne faisait pas trop d'effet ou en me les couvrant carrément avec les bras, en les repliant, enfin tout, mais rien, je terminé le voyage qui paraissait pour moi une éternité en tremblant sans rien pouvoir y faire. La voiture s'arrêta cette fois pour de bon. Il me porta jusqu'à chez lui, je m'accrocha à sa veste mouillé durant ce court déplacement et pour une fois, joua le gentil garçon, ou plutôt le gentil domestique et écouta attentivement mon maître, et hocha timidement la tête. Je le suivais à l'étage et regarda bien toutes les pièces qu'il me montrait, en mémorisant bien leurs emplacement surtout, bien que je ne peux pas trop me perdre dans cette maison... Il me dit de lui faire couler un bain et retourna juste après dans le salon. Et moi, qu'est ce que je fait ? On entendait beaucoup moins l'orage de l'intérieur et donc du coup, ça allait beaucoup mieux. J'allai dans la salle de bain qu'il m'avait montrait précédemment et fit ce qu'il m'avais demandé. Ca va, ça c'est simple, y'à juste à laisser faire le travail au robinet. Je descendis voir mon maître et m'installa alors à ses coté enfin, m'assit comme un bon chien à ses pieds, et attendis que le temps passe, enfin, regarda bien l'heure et monta toutes les deux minutes pour voir comment coulait le bain... Avec tout ça, je n'avais même pas remarqué que je ne m'était toujours pas habillé, tant pis, j'avais chaud de toute façon. Je soupira et m'appuya sur le rebord de la baignoire regardant l'eau en attendant qu'elle se remplisse. Lorsqu'il fut prêt, comme il m'avais demandait, je descendis en catastrophe, oui, en catastrophe avant qu'il ne refroidisse en criant un :

-Maîtreuuuuuhhhh Kuraiiiiii !!!

Puis, devant lui, je m'arrèta deux seconde le temps de reprendre mon souffle et lui dit, en ayant les mains derrière le dos et en lui offrant mon plus beau sourire :

-Le bain est prêt maître.

Puis, je monta en premier, en espérant qu'il me suivait, et lui ouvrit la porte le laissant entrer en premier, et restant dans la salle de bain lui faisant des grand sourire... je veux aller au bain moi aussi, maître s'il vous plait... c'était ça que ça voulait dire, et je n'osait pas demander, enfin, si je le faisait je me retrouverais certainement dehors, alors non, et puis, autant que se soit lui qui me le propose. Et il n'a rien à me reprocher, je ne lui fait que des sourires et lui obéis au doigt et à l'œil...

Je descendais tranquillement au rez-de-chaussée pour m'installer dans le salon et poursuivre la lecture de mon ouvrage. En jettant un bref coup d'oeil au dehors, il pleuvait encore. Ce genre de temps ne me déplaisait pas bien au contraire, le petit fracas de chaques gouttes de pluie venant tomber sur chaque choses était pour moi une sorte de mélodie apaisante. Allié à cela, le ruissellement des eaux de pluies vers les canaux d'évacuation, m'en était que plus reposant à mes oreilles. Mes paupières s'allourdirent, la fatigue me regagnait peu à peu. De temps à autres, quelques éclairs éclataient dans le ciel nuageux et épais. Je posais mon livre sur la table et put remarquer que Bou revenait pour s'installer à mes pieds comme un bon ptit néko. Au moins c'était un progrès de fait dans son apprentisage. Il ne me disait rien, attendant surement que la baignoire soie remplie. Je passais alors une main dans ces cheveux et les frottait alors que je regardais vers la fenêtre. Je ne cessais de contempler ce temps gris des jours d'aujourd'hui reflètant au final ma propre vie, s'y j'y songeais un peu. Peu après, le néko s'échappa de mon emprise, sans doute pour aller voir où en était mon bain. Je le laissais donc, continuant de contempler le ciel grit, de me bercer par les gouttes de pluies et fatiguer par la faible lumière environnante. A ce moment je songeais à tout et n'importe quoi, rien de particulier. Je restais ainsi pendant près de 15 minutes, plus ou moins, perdant la notion du temps dans ces états. Soudain, j'entendais le néko débaler dans les escaliers pour m'annoncer que mon bain était près. J'otais alors mes lunettes et les posaient sur la table avant de monter, accompagné de Bou. Arrivé dans la salle de bain, je commença à me dévétir, enlevant haut, bas et sous-vêtements. Une fois complètement nu, je me glissait dans la baignoire, savourant pleinement la douce chaleur de ce bain chaud, soupirant alors d'aise. Je regardais alors Bou qui ne cessait de m'envoyer de sourire... S'il croyait que j'était assez idiot pour ne pas savoir que je savais qu'il voulait se baigner lui-aussi, il se gourrait. Comment le savais-je? Car ces sourires me faisaient penser aux regards fixes et enviants des enfants face à la vitrine d'une patisserie. Je retournais la tête et la pencha en arrière, fermant doucement les yeux.

"C'est bon tu peux venir, mais n'en prend pas l'habitude..."

Ouaiiiiii !!! Je pouvais me baigner ! Et c'est mon maître qui me l'avait proposé. J'ôtai mon seul vêtement et m'approcha de la baignoire avant de doucement entrer dedans, devant mon maître. C'était plus chaud que je ne le pensé, et du coup, je me retrouva à rester debout quelques minutes avant de rentrer lentement. Je m'assit devant Ku-chan, mais dos à lui. l'eau m'arrivais jusqu'aux épaule tellement j'étais petit... Je me mit en boule dans l'eau, ignorant complètement mon maître et comme pour la refroidir, souffla sur l'eau chaude. Puis, quelques minutes plus tard, lorsque je commença à m'habituer à la température pris l'eau entre mes mains et me mouilla lentement les oreilles, comme un chat qui fait sa toilette et les lava précautionneusement à l'eau. Puis repris de l'eau de la même manière et m'aspergea le visage, sans faire attention à maitre Ku qui se trouvait derrière et qui devait certainement prendre toutes les éclaboussures. Puis, je me colla contre mon maître en me penchant en arrière, curieux de sa réaction, et pour la première fois vis ses yeux. Puis, me logea dans ses bras et ferma les yeux, ronronnant. Dans l'eau je n'entendais plus du tout, ni la pluie, ni l'orage, et en plus, j'avais de quoi me réconforter, enfin, je doute que lui il le fasse, mais s'était toujours mieux que rien. J'avais choisi le bon maître cette fois, la partie était amusante et aussi difficile. J'avais les oreilles baissé, il y en a qui doivent dire que je suis bizarre, mais j'aime me sentir inférieur, et comme ça arrivait qu'avec quelques rares personnes, on peut dire que je me trouvais au paradis. En plus, il n'était pas sans cœur non plus... Entre l'alcool et le bain, je mourrais de chaud, mais je ne voulais pas sortir pour autant, j'étais bien là, caler dans les bras de mon maître, s'il me laissait rester encore un peu. J'avais les joues rouges, je ne sais pas si c'est la chaleur ou pas, et je me sentait plutôt fatigué, je n'espère pas au point de m'endormir dans l'eau quand même...

-Mummm... merci... maître...

Puis, je me retourna un rien qu'un peu endormis et lui entoura les bras autour du coup pour lui faire un gros câlin dans le bain et resta comme ça. A ronronner contre son torse...

Le petit néko s'empressait de venir dans le bain, hésitant un peu au début en constatant que l'eau était chaude. Décidément je ne cessais d'en apprendre sur ces êtres imprévisibles. Tout comme les chats, ils avaient horreur de l'eau froide, en même temps, comme là, ils ne refusent pas un bain chaud. Au final, j'en venais à la même confirmation: les nékos n'étaient rien de plus que des humains aux oreilles et aux goûts de chat, mais pas des êtres inferieurs. D'ailleur j'en avais rencontré une qui avait confirmé mon idée. L'image de cette néko libre et rebelle me restait gravé nuit et jour dans la tête. Chaque fois que je parlais de néko, même si cela était bien rare, j'avais avant tout l'image de Mizuki en tête. Je parlais bien rarement de ce sujet car mon opinion n'était pas vraiment bien vu par la société vis-à-vis de ces créatures qu'ils continaient de sous-estimer en instaurant ce système d'esclavage, tout juste bon pour les beuglard qui leur font croire que l'humain est puissant. Tss... plus andouille qu'un néko pour le gober. Si j'allais à l'animalerie pour me trouver un néko, ce n'était pas pour en faire mon esclave mais mon domestique. Un esclave est sous la dépendance absolue d'un maître et paraît plus que faible. Domestique, un mot que je prends au deuxième sens accordé: le grade pour un animal d'être dompté par une autorité superieur. Si au moins un néko vivait sous mon toit, il obéirait à mes règles, il s'adonnera à ces tâches sans broncher. Dans un esprit d'équité je le logerais et le nourrirais sachant que la qualité de son travail dépend de sa santé et sa régularité de la reconnaissance de mon autorité. Voilà où résidait la différence entre les maîtres en général et moi: les autres maîtres imposeront leurs emprises et leurs désir avant même que le néko n'ai choisi quoi que ce soit, moi je laisse le choix entre crever dehors et pourrir sous la pluie ou subvenir à mes désirs pour avoir un toit. Je voyais les choses ainsi, de mon caractère singulier, me foutant pertinament si cela avait un sens ou pas.

Alors que je songeais, je put sentir un poids sur mon torse. Ayant entendu les ronronnement, je me redressais un peu pour le voir se blottir contre moi. J'me demandais réellement s'il ne me tentais pas pour tirer un coup. Il devait être mignon certes mais mon coeur demeurais restreint, ayant jeté la clé dans les caniveau. Si je venais à le baiser, faudrait pas qu'il s'attende à de l'amour juste à des pulsions passagères dûes au moment. Pour le moment, il n'en n'était rien et le laissait faire, le câlinant simplement, passant ma main sur son dos pour le caresser comme le chaton qu'il était. Manquerais plus qu'il vienne me lécher les orteils. Bon, qu'importe, je continuais à le caresser un moment, continuant de tremper dans l'eau pendant 15 bonnes minutes. Je pouvais remarquer qu'il avait les joues rouges, contrairement à mon teint qui restait pale et mon visage impassible. Je ne savais pas si cela était du à l'alcool, à l'eau chaude ou au fait d'être collé à moi, mais bon sur le moment je m'en fichais. Je vins alors lui tappoter la joue pour qu'il se réveille un peu.

"Bon j'ai fini de tremper, maintenant tu vas me laver."

Je sorti alors du bain et prit une éponge, l'humidifier et y ajouter le savon. Je pressais un peu pour la faire mousser puis regardais le néko dans le bain, me préoccupant nullement de ma nudité. Je n'avais rien à cacher à mes serviteurs, et mieux valaient qu'ils s'habituent à la vue de mon corps car cela faisait aussi partie de leur travail de me laver. Je pris alors un tabouret et le plaça devant la baignoire.

"Sort et assit toi, je vais te montrer comment faire..."

Je resta contre mon maître jusqu'à ce qu'il me réveille et qu'il sorti du bain. Je le regarda étonné, me demandant ce qu'il faisait, puis, il me dit que j'allais le laver... et puis quoi encore, je ne suis pas son domestique. Je le regarda le temps qu'il prépare en m'accoudant sur le rebord de la baignoire... Perdu dans mes pensé, je n'entendis pas Ku me dire de sortir de l'eau, et de toute façon, n'en avais aucune envie. En fait, je n'écoutais que d'une oreille pour pouvoir entendre et surtout comprendre ce qu'il me disais, mais, je ne bougeais pas d'un pouce. Et de toute façon, il n'avais pas besoin de me montrer, je n'était pas bête quand même, et puis de toute façon, je l'avais déjà fait pour certain de mes précédents maîtres. J'avais pas envi de sortir... Doucement, sans mon rendre compte, je glissais lentement sur le coté, pour d'un coup sans prévenir, tomber la tête dans l'eau, ayant toujours autant la flème de bouger, je me tourna simplement sur le dos, m'allongeant tranquillement dans l'eau. Je voulais pas sortir, et je voulait encore que maître Kurai me câline, je suis un peu gâté non ? Mais c'est comme ça, les chats ont besoin d'affection... Je ferma les yeux, luttant quand même contre le sommeille, ou au moins pour ne pas m'endormir dans le bain, même s'il est très relaxant... la nuit dernière, du fait que je me trouvais à le rue, je n'ai pas pu dormir, alors au moins qu'il me laisse terminer ma nuit ici... Sentant le sommeille me gagner, je sorti à regret du bain, et m'allongea à même le sol, sans prendre le temps de me sécher, de m'habiller, ou de jeter un regard à mon maître et m'endormis rapidement, voir même instantanément...

Finalement il se foutait de moi. Son quota de sommeil n'était pas respecté et il allait me faire le coup du je suis trop fatigué pour bosser. Bon sang c'est totalement con! Dés qu'on était à l'animalerie, il gigotait dans tout les sens et criait à tue tête, trop plein d'énergie et maintenant juste avec un bain il dormait comme un loir. Ben si on m'aurait dit un jour qu'un gosse pareil allait me servir, j'aurais déjà prit mes dispositions et l'aurais isolé pendant une journée. Finalement je m'étais fait entubé par un gamin, mais au moins j'avais la moitié d'un serviteur, manquerais plus que je le dresse pour combler la moitié manquante. Il glissait hors de la baignoire et me fixait difficilement, j'en faisait autant d'un regard assez dur. S'il voulait vraiment me servir, il fallait être plus endurant que ça, sinon il risquait bien d'y passer. Soit, mettons ça sur la faute de la fatigue et du premier jour, mais bon, cela m'emmerdait assez que l'on me refuse un ordre alors que je suis maître de cette maison. A son réveil, il devra pas s'étonné s'il reçoit une giffle, pleurer à la rigeur, brailler, trembler devant ma force et ma puissance, un néko endormi pourrait pas. Je mis une serviette autour de ma taille et prit une autre serviette pour enrouler Bou dedans. Je l'emmenais dés lors vers son lit où je le posais. Je choppais ensuite une couverture dans l'armoire et la posa sur lui. Je me dirigeais vers la porte de la chambre, m'arrêtant avant de fermer la porte derrière moi.

"Profite tant que tu peux... ça ne durera pas."

Je fini par monter au dernier étage composant mes appartements. Il y avait en haut toute mes affaires. La pièce au parquet boisé était bien meublé aux multiples armoires renfermant tout et n'importe quoi. Je m'essuyais en marchant et me dirigeais vers ma penderie pour y prendre mes vêtements. Un caleçon, un pantalon noir et une chemise manches longues. Pour mes pieds, chausettes et mocassins. Non je ne sortais pas, c'était simplement ma tenue d'interieur. Je redescendais en suite au premier étage et balançais tout les vêtements dans le coin où je rangeais les vêtements sales. Bah voilà ce qu'il pourra faire pour se racheter, laver le linge. Bref, je redescendais au rez-de-chaussée puis redescendis dans le grenier. J'allumais les bougies, pour éclairer les vieux outils et armes blanche entreposée dans un coin. On pouvait voir dans la lueur de cette lumière une réserve d'alcool en tout genre vieillissant depuis mon arrivée ici. Non loin, il y avait un orgue entreposé près d'une vieille porte en bois, vérouillée dont l'emplacement de la clé était tenu secret. Personne n'avait le droit d'entrer dans cet antre infernal où une odeur nauséabonde régnait dés lors qu'on puisse approcher le nez de la serrure. Ce qui était derrière cette porte était le secret des Kurai... un secret que je garderais pour moi jusqu'à ma mort, pour le moment personne ne saura.
Je m'installais dés lors à mon orgue et commença à jouer un air sombre et apocalyptique, reflètant l'enfer, mon idéal.

J'éternuai et me réveillai avec un bruit sourd en tête, je me regarda puis, la fenêtre qui était toujours noir, enfin, cela devait être l'extérieur, il faisait toujours nuit... Je me trouvais dans le noir, mes cheveux étaient encore humide, et je pouvait deviner que je n'avais que sur moi un drap. J'avais dormi, ça j'en était sur, mais combien de temps, ça beaucoup moins. Je n'avais plus sommeil, au contraire, j'avais encore plus d'énergie que la veille. Mais j'avais aussi envie de m'endormir, j'avais fait un rêve super, mais je ne m'en souvenais plus... Zut... Je resta quelques longues minutes assit sur mon lit dans le noir à essayer de m'en souvenir, mais rien... Hum... Tant pis. Je me leva ensuite, en gardant le drap, et sorti de ma chambre dans le noir, ça va encore, les chats ont une bonne vision de nuit. Ce qui ne m'empêcha pas de trébucher sur le drap une bonne dizaine de fois... Heureusement, pas dans les escaliers. J'étais descendu pour chercher mon maître, mais sans résultat, je ne le trouvais nul part. Je m'assit alors, allumant la lumière, à même le sol, le temps de réfléchir à l'endroit où il pourrais se trouvais, sans doute en haut, mais le temps que cette pensé me vienne à l'esprit, j'entendis un bruit sourd venir du sol... en peu comme dans les films d'horreur, bien que j'en ai jamais regardé... Je frissonna, ce n'était pas le bruit qui me faisait peur, on est bien d'accord, juste que j'avais un peu froid... Doucement, je regarda bien attentivement autour de moi, tremblant à chaque bruit avant d'apercevoir une porte mener vers le bas d'ouverte... J'étais curieux, mais aussi, ça faisait quand même un peu peur, il faut bien me l'avouer, peut être qu'il s'y passe des réunions secrètes pour faire re-vivre le seigneurs des enfers avec plein de sacrifices et de neko femelles en drap blanc sur une table de pierre froid avec des statuts qui font peur, plein de sorciers les yeux rivés sur toi avec des grandes capes noir et un masque effrayant avec plein de motif en train d'incanter des malédictions mortelles pour tout ceux qui s'approche de trop près, avec aussi des feux montants jusqu'au toit de toutes les couleurs où un visage effrayant se reflète dedans, avec des cranes tous empilés devant une grande estrade avec leurs leeder en train de faire une danse bizarre devant les offrandes et une musique de fond grave soutenu par les incantations mystiques des sorciers et des cris effrayé des femelles... Je frissonna de nouveau à cette idée, de toutes façon, ça peut pas être vrai... n'est ce pas ? Prenant tout mon courage, je m'aventura dans ce monde, dans le noir rasant les murs... Attendez, si je reste en drap blanc, ils vont peut être me confondre avec un sacrifice !!? Silencieusement avec l'aide de mes griffes que je n'avais pas limer depuis je ne sais combien de temps, je me confectionna un petit truc qui ressemblais que de loin à une tunique, puis avec le drap restant, me fit une cape, tant pis si mon maître me gronde, il faut que je sauve ses femelles !!! Ah... Mon maître, je l'avais oublié... tant pis, la survis des nekos est le plus important ! Alors, j'en était à prendre tout mon courage pour aller les sauver, arrêtant de respirer à chaque note de musique de j'entendais et tremblant contre le mur en regrettant que mon maître ne soit pas à mes cotés... Non, on s'en fou de lui, il aurais rien fait de toute façon... Doucement, lentement, en tremblant, je m'approchait de la si lugubre salle, avant de me cacher derrière la porte et de reprendre mon souffle qui avait cessé, puis d'un actes de courage, je me montra au grand jours (ou du moins, au grand feu) et trébucha dans un boucan pas possible, avant d'avoir pu dire quoi que se soit, a cause du vêtement que je m'étais fait qui venait de lâcher et de tomber. Et me ramassa par terre, devant tout le comité de magie noir, tremblant pensant que ma dernière heure était arrivé.

Je continuais de répéter le même morceau sombre, ténébreux voir ésotérique avec l'orgue. Je jouais ainsi sans voir le temps passer, éclairé par la seule lueur des bougies. Sans même qu'une âme charitable vienne pour accompagner cette douce mélodie, je pouvais entendre les voix des ange déchu hurler la déchéance et la dépravation de se monde, m'imaginant dés lors maître de cet enfer éternel. Bientôt cela sera possible, je le sens, j'en ai l'intuition. Depuis son commencement, la famille Kurai à été marquée par la mort et la malédiction demeurant toujours la tête relevée, nobles et fiers. Cependant nous montrions nos visages hideux au monde près à écraser le moindre opposant. Nous étions bien puissants et la mort était le revers de notre médaille ternie. Plusieurs malédictions marquaient les Kurai et autant d'histoires fourbes et tordues les accompagnaient. Je n'échappais pas à la règle. J'étais connu comme le Kurai qui exécuta sombrement tout son clan, sans aucun regret. Il ne restait que moi... et un autre Kurai. Oui, j'en avais épargné un pour mes raisons qui demeuraient personnelles, gardant ainsi sa position, son histoire et sa malédiction secrète aux yeux de tous. Personne n'avait besoin de le savoir alors pourquoi raconter ma vie à qui que se soit vu qu'on s'en foutra royalement lorsque je leur pointerais le calibre sous la tempe.
Quel jour béni cela sera lorsque je ferais reigner les cauchemars dans un monde chaotique, arrachant chaque souffle de leurs pauvres vies.

Je m'arrêtais de jouer lorsque j'entendis quelque chose tomber, trébucher dans un grand fracas. Je ne me retounais même pas pour savoir que Bou s'était réveillé. Je le soupirais, c'était franchement déconcertant, qu'est-ce qu'un petit néko ira foutre dans ma cave sans mon autorisation alors qu'il était sensé pioncer? C'était digne d'un film d'horreur tout juste bon à me prendre le chou plus qu'autre chose. Premier jour, premier jour mais ça allait être bien difficile à tenir vu que sa me gavait comme pas possible. J'lui ai permit de prendre un bain, il a pas voulu me laver; je le laisse dormir, il vient m'interrompre pendant mon concerto d'orgue, soit il était con soit il le faisait exprès. J'optais une ultime fois pour la première option, près à sévir à la prochaine connerie. Je tournais la tête et le regarda à terre, sans bouger de mon siège.

"Baka... ça tombe bien que tu sois là, sert moi un whisky."

Je montrais un vieux meuble en bois bien poussiereux, là où était entreposé mes alcools.

"Réfléchit bien à tes actes car si tu dit une seule connerie ou que tu me refasse une autre gaffe, je sévirais assez pour que tu te souviennes de ta punition."

Zut, c'était que Ku-chan qui jouer d'un instrument bizarre... ça aurais été plus marrant si c'était une cérémonie de magie noir... je pensais ça, mais franchement, après la trouille que j'ai eu, je fut bien content d'un coté que se ne soit que lui. Je le regarda, puis me leva difficilement du fait que je me pris une nouvelle fois les pieds dans le drap et trébucha de nouveau, avant de me l'attacher bien comme il faut avant de refaire un pas. Puis, j'allai lui sauter dans les bras et de lui faire un gros câlin tout content et m'éloigna avant de m'en prendre une. Il me montrais un vieux meuble et je m'approcher pour voir ce qu'il y avait, des bouteilles... qui ressemblait beaucoup à ce que j'ai bu dans la voiture, c'était aussi 'whisky' je crois en plus... J'ai bien envi d'en boire à nouveau... Mais comment maître va le prendre... Tant pis, comme un bon neko, j'allai lui apporter une bouteille en en cachant précieusement une autre derrière mon dos... Et comme un petit crabe, je me décala sur le coté prenant bien soin de ne pas lui tourner le dos, ce serais un manque de politesse, et arriva lentement près des escaliers... Je dit une dernière parole à mon maître qui est tout simplement "Buvez bien" et commença à courir à toutes vitesse vers ma chambre au premier étage... Je ferma d'un coup la porte derrière moi, et m'assit par terre, le dos contre la porte histoire que personne n'entre, même si je ne suis pas la meilleur barrière... Avant d'ouvrir la bouteille, et de commencer à boire une gorgé comme la dernière fois, et toussa... j'ai du y allé un peu fort quand même, j'avais oublié le gout...

Bou vint me donner la bouteille, ayant caché une autre dans son dos comme un petit gamin malicieux voulant me dérober quelque chose pour plaisanter. On dirait qui voulait se reboire encore un canon de whisky, mais là il emmenait la bouteille entière. Il me donna la bouteille et détalla tellement vite que je ne pus entendre que faiblement sa petite phrase de politesse. Je pus entendre la porte claquer violemment. Il était bien presser d'aller se la vider. Je n'avais rien à craindre, il ne risquait pas de s'enfuir, le connaissant il aurait peur du noir complet de la nuit. J'ouvrais la bouteille et bu de grandes gorgées pour me requinquer. Il ne me fallait pas plus de cinq minutes avant de vider complètement cette bouteille, il faut dire que chez moi je ne bois que rarement avec modération. Il ne me fallut pas attendre trop longtemps pour sentir la chaleur puis avoir la tête qui tourne. Je marchais lentement pour ne pas tomber et m'appuyait aux mur, étant dans un état d'ébriété. Je soufflais sur les bougies, plongeant la pièce dans le noir complet. Je n'y voyais rien mais avait une certaine habitude pour retrouver mon chemin, j'utilisais aussi autre chose dont je gardais le secret. Bref, je pus tater les marches de l'escalier et monter lentement, m'attachant à la rembarde. Alors que ma tête penchée battait contre la porte, je la secouais et l'ouvrais doucement, découvrant derrière le corps enlourdi du petit ivrogne. Je ne put m'empêcher d'éclater de rire face à Bou qui semblait connaître sa première cuite, ça lui apprendra à se farcir autant d'alcool alors que je ne lui avais nullement autorisé. Je poussais légèrement de mon pied son corps fébrile et montait les escaliers pour m'asseoir sur la dernière marche, continuant de rire aux éclats.

"HAHAHAHAHAHAHA! me tarde de voir comment tu va te démerder pour rejoindre ton lit maintenant."

Pouah ! Fait chaud ! Arrivé à peine à la moitié de la bouteille, je commençais déjà à avoir chaud et être encore fatigué... M'endormant petit à petit, je continuais quand même de boire et quelques minutes plus tard, je ne l'avais pas terminé mais j'en avais bu pas mal, et j'étais déjà K.O. J'entendais les pas de mon maître (ou du seigneur de magie noir qui sait ?) Je m'étais allongé derrière la porte, je n'avais plus de force pour retourner à ma chambre, et je senti lentement la porte s'ouvrir pour faire place à Ku-chan, zut, une fois de plus se n'était que lui... Je le regarda silencieusement, non, en fait c'est simplement que je ne pouvais rien dire... mais surtout, alors que je n'était que sous un drap, j'avais extrêmement chaud. Et maître alors ? Il en a bu aussi, il n'a pas chaud ? C'est bizarre, ou du moins, il ne le laisse pas paraitre... Je l'écouta après, il avait l'air heu... je sais pas trop comment, comment je vais rejoindre mon lit !!? Un maître se doit d'aider son neko, en gros, c'est LUI qui va me porter... Doucement, je me leva et commença à marcher, (au moins que j'arrive jusqu'à lui) et trébucha sur les premiers pas avant de prendre le rythme, entre lui est moi, il n'y avais que quelques mètre, alors que je mettais beaucoup de temps à arriver... m'écroulant parfois dans les escaliers, en essayant de ne pas redescendre jusqu'en bas, j'arrivai enfin à lui, et m'accrocha à son cou, les oreilles baissés et le coeur battant.

-M-maitre, portez moi... s'il vous plait...

Je n'arrêtais pas de rire devant ce petit néko qui se battait pour essayer de m'atteindre, montant les escaliers pour venir me voir. Il essayait de trouver son rythme évitant au maximum de se viander dans les escaliers. Demeurant assis, spectateur de cette comédie "de mauvais goût" me dira t-on. Qu'y voulez vous on ne change pas quelqu'un qui aborde un humour noir comme moi. Finalement j'avais obtenu malgré moi ce que je voulais à l'animalerie. L'on me prendra peut-être comme un timbré de service, mais la détermination de ce néko, malgré mes rires continus, ne cessait de m'impressioner. J'avais trouver le néko qui serait assez endurant pour me supporter. Je savais pertinemment qu'il venais à pour me demander de l'aide mais je voyais alors un néko désirant de voir son maître avant tout, incliné face à l'alcool qu'il avait ingurgité. Ca aussi demeurait amusant, chopper sa première cuite si jeune et venir ensuite dans mes bras dans l'espoir que par un élan de bonté je vienne le sauver de sa débauche. Hmf! Il faudrait qu'il se rende compte que c'est moi la débauche, c'est moi l'ombre de l'assassin, c'est moi les ténèbres et c'est chez moi que réside l'enfer! Pour le moment, c'était lui qui s'était bien marré et qui en avait le plus profité, maintenant s'était à mon tour. D'un coup de la main je l'envoyais a terre sans qu'il ait à se chopper toute les marches, gisant alors au bas des escaliers. Je me levais et descendais à mon tour, tenant la rembarde pour ne pas tomber, ma tête ne cessait de tourner mais j'arriver à oublier mon état d'ébriété, songeant à la leçon que Bou allait recevoir. Je me plaçait au dessus de lui, posant un pied sur son ventre comme à l'animalerie.

"C'était pas bien de piquer de la gnole en douce... si un maître te donne foyer et affection, pourquoi viendra tu me voler de l'alcool? je t'aurais donné du lait, mais je constate que t'a été méchant et manquant de respect à plusieurs reprises..."

Un grand sourire vint trancher mes joues et mon regard de démon était désormais visible par mon serviteur qui n'allait pas tarder à recevoir sa sentence. J'allais vers la porte du grenier prenant la bouteille de gnole, désormais à moitié vide. Je retournais vers le domestique et arrachait le drap qu'il portait avant de verser le reste de whisky sur tout son corps.

"Je vais devoir sévir, je te préviens, j'irais pas de main morte. Hahahahahahahahahaha!"

Il devait ne rien n'y comprendre s'il croyait qu'enduire son corps d'alcool était ma punition. Mwaha! Il ne me connaissait pas encore, je projetais bien pire pour lui. Alors qu'il voulait se relever, je saisi son cou et le plaqua à terre, n'ayant pas fini, il se devait de rester, moi étant son maître, il n'avait pas le choix.

"Où pensais-tu aller! J'en ai pas fini avec toi!"

J'approchais ma bouche de son oreille, gardant mon emprise, et lui susurait.

"Je te promet que tu le sentiras passer, foi de Kurai"

Je me mettais alors à mordiller le lobe de son oreille pour qu'il ai un fin aperçu de ce que je lui réservais.

C'est comment dire, une impression de déjà vue... Je me retrouvais en dessous et mon maître un pied sur moi. Zut, si j'avais étais gentil, il m'aurais donné du lait, enfin bon, là j'étais trop fatigué pour répliqué, aussi, me laissa faire... mais qu'est ce qu'il faisait, je croyais qu'il voulait se la garder sa boisson TT en plus, c'était froid, bien que moi j'avais chaud, et si je restais comme ça, je risqué d'attraper un rhume, c'est mauvais pour la santé... J'essayai de me relever afin de lui demandais, mais j'en eu pas le temps, et me revoilà de nouveau au sol, une main sur le cou, se sentant inférieur... Pour moi ce n'est pas une situation inhabituel, mais c'était la première fois que moi, j'étais dans un tel état, je n'avais même plus la force de sortir d'autre conneries, je ne bougeais plus, les joues rouges, je garda les oreilles baissait et senti le souffle de mon maître près de moi. Le laissa faire, je ferma les yeux rougissant de plus belle... qu'est ce qui m'arrivait ? L'alcool, sans doute, étant donné que c'est bien la première fois que je bois autant... Je frissonna avant d'éternuer quand un courant d'air me parcouru le ventre, pourtant j'avais chaud, mes autres maîtres ne m'avais jamais laisser en boire, donc je ne savais pas vraiment ce que ça faisait et je n'en était toujours pas sur. J'ouvris délicatement les yeux pour voir mon maître, les joues encore rouges et j'essayai d'articuler une simple phrase que je mit pourtant quelques longues secondes à prononcer...

-Maître... j'ai... j'ai chaud...

Et en plus de ça, je me sentait tout raplapla et fatigué, si c'était pour finir comme ça, peu importe ce que c'est, je ne boirais plus, c'est sur j'aimais vraiment le gout, mais je préférais encore jouer et embêter mes maîtres, c'était encore plus amusant ça, tandis que là, j'avais déjà du mal à sortir trois mots, alors l'envoyer paitre, encore plus...

Lorsque je relevais la tête pour voir mon néko dans les vappes et tremblotant sous la chaleur intense de l'ébriété, je me mis à ricaner. Il était une vrai tête de mule, je me demandait bien comment ces précédents mecs avaient fait pour se planter à son jeu, c'était si facile de le positionner en situation délicate. Il était sur le coup, littéralement inférieur à moi qui était dominant dans la partie. J'en avais marre de passer pour le maître qui se laisse dicter par ces propres serviteurs dans un jeu aussi futile que celui-ci. Désormais le maître du jeu c'était moi et je savais pertinamment qu'il devait se rendre compte que nous jouons à deux jeux bien différent et que le miens avait une donne bien plus importante, ne tolérant pas l'échec.
Après avoir mordillé son oreille, je passais ma langue sur chaque parcelles de son torse imbibé de gnole, lappant avec joie ce précieux liquide perlant sur sa peau. Une joie partagée entre l'ivresse et l'envie même de le faire souffrir en brisant tout ces espoirs de gagner et le faire passer définitivement pour inférieur. Il n'était pas bon de sous-estimer un Kurai, famille réputée pour ces multiples facettes aussi sombres les unes que les autres. Inconscient, fou ou tout simplement abruti, je me fichais épernuement de la raison de son petit caractère. Le plus important était qu'il n'avait pas cessé de me manquer de respect et pour cela il allait payer. J'étais bien décidé à le faire grandir un peu.
Il se plaignait d'avoir chaud, la bonne affaire, c'était à mon tour de jouer un peu maintenant, j'avais trop laissé la partie en son avantage, tanpis pour lui s'il est tombé sur plus fort que lui, je l'avais tout de même prévenu.
Je continuais d'appliquer mes léchouilles sur son torse encore trempé de whisky pour m'en abreuver. Allant de ma main libre lui pincer un téton, me redressant par la même occasion.

"Chaud! et puis quoi encore! tu ne t'en étais pas plaint dans le bain et puis ta souffrance ne fait que commencer."

J'avais tellement de projets pour le remettre à sa places des manières les plus destructrices psychologiquement. J'utilisais mon autre main pour aller lui pincer l'autre téton, laissant la douleur le reveiller un coup, m'exclafant devant la petite tête rouge de Bou.

Gné ! Je frissonna et écouta bien mon maître, je sais que ce n'était pas vraiment le moment, mais la réplique ta souffrance ne fait que commencer, Me donnait envie de rire, c'était le typique des méchants, le revint sur terre quand je senti la main de mon maître, me réveillant et me faisant rougir à la fois. Tout rouge, je tenta de me relever légèrement, sur les coudes, regardant mon maître, j'étais fatigué, mais j'allais pas abandonné non plus, c'est ça ce qu'il y a de drôle dans les jeux. Me laissant un peu faire, UN PEU, je réfléchis en même temps à comment procéder pour le faire cesser. J'avais la tête qui tourne et il me fallut quelques essaies avant de bien pouvoir tenir sur mes coudes, tout en ayant mon maître dessus. C'était pas une plume... Et puis, l'alcool, je compris enfin pourquoi ce n'était pas fait pour les nekos, a cause de ça, mes oreilles étaient baissaient alors que je ne le voulait pas... En plus, ça me faisait rougir, trembler et me sentir inférieur, et ça pas de question... Prenant tout mon courage et surtout mes forces, j'appelai mon maître et lui dit essoufflé :

-A-arrètez sinon... je... je vous ferais... plus de bain... è.é

Les sourcils froncer, mais les oreilles en arrière, vu de comme ça, j'aurais même pu faire passer cette scène par une scène comique, mon corps ne me répondait presque plus et je sortais plein de truc inutile au yeux des autres (comme d'habitude) et essaya de me dégager en reculant sur les coudes lentement et difficilement...

Je ne put m'empêcher de rire devant la menace qu'il me proférait, "plus de bain si je continuais". Mais il était nullement en position de force! Le petit néko reprenait ces esprits, constatant qu'il tenait désormais sur ces coudes pour essayer de se dégager de mon emprise. Je le pris alors la jambe et le tirait vers mois pour reprendre mes léchouilles. Je n'avais pas terminé, il en avait encore à voir. Sous emprise de l'alcool, son corps ne répondait plus et son esprit semblait divaguer, ne cessant de parler pour ne rien dire. Je saisissais ces oreilles baissées et les frictionait entre mes doigts pour faire naître le sentiment de douleur intense. Chez un néko, la queue et les oreilles étaient les membres félin les plus délicats et fragiles. Entre de mauvaises mains, ils souffriraient attrocement, c'était le cas de Bou, moi lui frictionnant les oreilles, me foutant épernuement de sa menace; je lui referais subir le même châtiment encore et encore, le temps que cela impreigne bien ça petite tête butée.Je lâchais une des oreilles pour aller saisir son entre-jambe et la serrer dans ma main, cachée par l'ultime drap qu'il portait. Je gardais le tout bien empoigné dans mon poing, ricanant alors en examinant Bou rougissant de plus belle, il était temps que je le fasse grandir un peu.

[Désolé du ptit post... me demande si vais faire un Yaoi pour que la réputation de Fushi en prenne un coup, et puis Bou est homo à ce que je me souvienne ^^']

[Gnééhééhéé... Mes oreilles X°°°]

Mon maître me retira par la jambe, il voulait me faire grandir ou quoi ? Bon, si c'est ça, pas de refus, en tout cas, ce que je n'appréciais vraiment pas que l'on me touche mes oreilles, en plus quand ça fait mal... J'étais là, en train pour la première fois de supplier mon maître du regard pour qu'il arrête, les larmes aux yeux, prêt à pleurer, en gémissant de douleur. Avec mes petites pattes, j'allai agripper le poignet de mon maître lui demandant d'arrêté, enfin, sans rien dire... et soupira quand il m'en lâcha une. Mais pas l'autre... et rougis quand je sentit sa main, même à travers le drap, sur mon entre-jambe, baissant les oreilles, ou du moins, celle de libre, laissant couler quelques larmes... de douleur ? oui, il n'y était pas allé de main morte sur ma petite oreilles, aucune pitié, même pour un enfant, ils sont nuls les adultes. Mes pattes sur le poignet de mon maître qui me tripoter l'oreille, je serra d'avantage la prise, bon, ce n'est pas ça qui le fera lâcher, mais c'était par... réflexe ? Peut-être en tout cas, ça ne lui fera rien... j'ai pas de force TT mais, au moins, j'avais de quoi m'agripper, et puis même s'il ça ne lui fait pas mal, il sentirais au moins la pression, tout en essayant de lui faire lâcher mon oreilles. Cette fois, je commençais vraiment à pleurer, j'avais peur... aucun de mes précédant maître était comme ça, et je savais pas ce qu'il allais faire de moi, et je ne voulais pas me retrouver dehors sous la pluie... Même si changer de style, c'est bien, mais il aurais au moins pus attendre le temps que je m'y habitue... Si j'avais su que ça se terminerais, ou plutôt continuerais, car même si je l'espérais, je doute qu'il en ai fini, comme ça...

[j'ai pas tout compris avec ta réputation mais Bou est Gay, oui]

[Désolé du gors retard]

Mon sourire continuait de fendre mes joues. La situation tournait en mon avantage, vu qu'il aimait jouer et gagner j'allais finalement être le premier à l'avoir vaincu. J'avouerais que ce genre de jeux ne m'intéresse pas la plupart du temps mais bon pour me manquer de respect ainsi, je voulais le faire payer comptant et quoi de mieux que de le battre sur son propre terrain pour rendre la souffrance inssupportable? Bah le viol je vois que ça. En même temps tout se rejoignait en y réfléchissant bien. Peu importe, je me réjouissais d'avantage lorsque celui ci commença à verser des larmes, il souffrait déjà trop, j'avais découvert la limite même de ce qu'il pouvait supporter. En quoi cela me rendait heureux? Yavait pas de bonheur dans ce que je faisais ni de malheur non plus, ce n'était juste qu'une frénésie qui m'animait depuis ma "tendre" enfance, a quoi me servait les sentiments si ce n'est qu'a me rendre faible? Je voulais bien qu'on me donne la réponse mais bon elle tardais trop.
Je passais un doigt sur sa joue trempée de ces larmes et vint l'apporter à ma langue. Il me voyait comme un fou? un sadique? un tueur psychopathe? Tant mieux tout était bon pour me caractériser. Je callais ma tête au creux de son cou pour le mordre et mastiquer la peau pendant que ma main allait pincer l'un de ces tétons rosés.

Pouhhhh !!! Pourquoi mes maîtres sont toujours comme ça ? bon, d'accord, je les cherchais... juste un peu... mais bon quand même, il y a des limites. Aussi rapidement ? ça faisait un peu beaucoup, un peu beaucoup trop même, je ne suis qu'un jeune neko innocent... j'ai jamais rien fait de mal et j'obéis toujours à mes maîtres... Je le regarda lécher ma larme, oui, c'est salé et j'aime bien aussi les larmes, mais je veux pas les donner moi, surtout à celui qui les à causé. Je senti d'abord son souffle dans mon cou, puis mon maître... j'aime pas ><. Puis, je laissa sortir un petit gémissement, quand je senti une sorte de courant électrique parcourir mon corps et la main de Ku-chan, et rougis tout de suite après. Je me mordis la lèvre inférieur pour ne pas faire de bruit, les oreilles baissés, et essayant de donner des coup de pieds pour qu'il me lâche... sans résultat avant d'enfin en réussir un... dans le ventre de Ku-chan. Na. Qui me lâcha et je commença de nouveau à reculer discrètement, en espérant qu'il ne ma tire pas la jambe... pas question de se laisser faire et de perdre au jeu. èé.

Je senti un cou de pied à mon ventre, me faisant perdre le fil de mon action ainsi que l'étreinte que j'exerçais sur lui. Cela était étonnant de savoir qu'un si petit corps était capable de se débattre ainsi. Je préférais mieux le constater ainsi que d'avoir la déception de constater que dans son jeu où il se disait le roi, il n'était finalement qu'un débutant. Même une flingueuse de pigeon aurait pu le laminer avant même qu'il ne franchisse le pas de sa porte. Sans compter que j'avais été bien gentil sur ce coup et avait passé sur bon nombres de caprices, tout ces écarts je les ai accordé, je l'ai donné un logis... et finalement le résultat restait le même, à se demander si ces précédent maître n'avaient pas succombé au charme d'un gosse suffisament pour le considérer finalement comme leur fils, leur jouet tout mignon ou je ne sais quoi mais une chose était sure: ils l'ont bien trop gâté. Mais il n'y avait aucune illusion à se faire ici, je l'avais pris à l'animalerie, m'ayant réclamé pour maître. Au moment où il franchit le pas de ma porte, il était devenu mon serviteur, rien de plus, rien de moins... et maintenant il devait payer le prix de son insolence depuis qu'il était entré ici.
Je me levais alors et rala Bou en l'attrapant par le cou, je serrais assez pour qu'il le sente passer mais tout de même moins que si je le serrais dans l'intention de l'étrangler. Il avait beau se débattre, il n'arrivait pas à se détacher, lui laissant un aperçu de ce que j'étais capable de faire, même de le tuer sans hésitation tout simplement en lui cassant la nuque. Mais tuer mon serviteur ne me serais pas d'une grande utilité, je devais le dompter tout simplement. Je le plaquais alors violement contre le mur, gardant mon étreinte au cou, pour qu'il arrête une fois pour toute de gémir. Un fin sourire était tracé sur mes lèvres mais mon regard demeurait dur et flamboyant de haine.

"Ecoute moi bien merdeux! tu t'es assez foutu de moi pour aujourd'hui et comme t'es mon néko, t'es pas dispensé de punition"

Je ricanais.

"t'en fais pas plein d'humains et de néko y sont passé mais une seule à réussi à me tenir tête... mais toi! t'ose me tenir tête alors que tu n'as finalement rien là..."

De ma main libre je lui foutais une pichenette entre les yeux.

"...ni là."

Je pressais alors son entrejambe.

"Pour ton insolence, je vais te punir mais comme c'est ta première punition je te laisse le choix: soit je te fais subir une humiliation sexuelle, soit je te torture pendant des heures, usant de mes méthodes habituelles, sans doute des gestes inconnu qui ne te le resteront pas très longtemps. Imagine! toute les douleurs les plus insuportable sans même mourir, condamné à mourir jusqu'a ce que JE décide d'arrêter ou de t'achever... Alors tu choisis quoi?"

J'étais sans doute hétérosexuel et la possibilité qu'il choisisse le premier choix était forte mais son sexe, son âge ou sa race ne le dispensait pas d'une de ces deux sanctions qui m'étaient favorite, arborant d'avantage la deuxième.

[désolé du gros retard, j'avais l'esprit ailleur u_u']

Je fut surpris se sentir violemment une main se porter à mon cou, je n'aurais pas du ? Enfin, je n'aurais pas du être surpris, je m'y attendait, mais peut-être en moins violent, il n'avais aucune pitié envers un jeune neko pur et innocent... Je commença à gémir un peu, la prise de mon maître était forte et ça me faisait mal. Si j'avais su je me serais tenu tranquille dans ma chambre moi. Mais je ne regrettait rien, s'était quand même marrant de voir les maîtres en colère ou en train de crier contre moi, ça me changer des tout gentils qui voulais se faire passer pour plus pire qu'il ne l'était... s'il ne l'était ne serais-ce qu'un peu. Et puis, c'est comme la première partie d'un trophée, j'ai su choisir le bon maître et il ne me laisserais pas m'enfuir facilement, ça rendait le jeu encore plus intéressant. Je senti sa main se resserrais légèrement, suivit d'un grand boum, ma tête venais d'avoir rencontrer le mur de la maison, et apparemment, il ne s'entendait pas bien, malheureusement pour moi, et je regarda mon maître, il souriait. Il trouvais ça marrant de torturer des pauvres petits chats ? Quel sans cœur, je pris une petite respiration, enfin du mieux que je pu, et lui tira discrètement la langue

"Ecoute moi bien merdeux! tu t'es assez foutu de moi pour aujourd'hui et comme t'es mon néko, t'es pas dispensé de punition. T'en fais pas plein d'humains et de néko y sont passé mais une seule à réussi à me tenir tête... mais toi! t'ose me tenir tête alors que tu n'as finalement rien là... ni là."

Il me donna une petite pichenette entre les yeux, que je senti quand même suffisamment, et rougis à la suite quand je senti sa main entre mes jambes, que j'essayai timidement de resserrer.

"Pour ton insolence, je vais te punir mais comme c'est ta première punition je te laisse le choix: soit je te fais subir une humiliation sexuelle, soit je te torture pendant des heures, usant de mes méthodes habituelles, sans doute des gestes inconnu qui ne te le resteront pas très longtemps. Imagine! toute les douleurs les plus insupportable sans même mourir, condamné à mourir jusqu'à ce que JE décide d'arrêter ou de t'achever... Alors tu choisis quoi?"

Je baissa les oreilles, suite à la déclaration de mon maître, un peu effrayé sur le coup, il n'y allait pas de main morte et apparemment, il avait l'air sérieux. D'une petite voix et avec une bouille soumise pour un fois, j'osa lui répondre timidement...

"Heu... est ce qu'il y a une troisième option ? é.è du genre, boire un verre de lait ? " *je marqua une courte pause pour réfléchir* "nan, je pense pas... alors heu... si je te prépare un bain ? é.è ça ira ? et puis, j'ai pas été méchant non ? croyez moi maître Kurai, ça peut être pire des fois...

Et je me tut, maudissant la langue qui parlait parfois un peu trop, sans mon consentement disons.. et puis, j'avais actuellement pas envi d'avoir à affronter mon maître, maintenant, face à face, il était un peu trop... effrayant à mon gout. Et je suis encore un enfant, un neko, d'accord, un esclave, d'accord, mais un enfant quand même. Un minimum de douceur s'il vous plait.
J'avais les oreilles baissé, les fermé petit à petit mes jambes, et je regardait Ku-chan avec un regard de chat battu, en espérant qu'il se calme. J'avais une main posé sur son poignet qui m'étrangler, lui demandant timidement de me lâcher, sans pour autant parler, et me soumissant un peu pour une fois, dans ses moment là, je savais qui était le maitre, j'avais beau être courageux, je savais quand j'allais m'amener au suicide... Et je ne voulais pas mourir si jeune...


[prosterne toi et supplie moi de te pardonner >.<]

[me prosterner? Et puis quoi encore l'mioche u_u]

Il essayait de gagner du temps et d'arriver à un compromis, comme s'il pouvait encore espérer un truc du genre. Pauvre sot. Après tout ce qu'il a pu observer à l'animalerie, durant le trajet et avec mes recommendations et règles dans cette maisons, il avait toujours pas compris que je ne faisais aucun cadeau et que je pardonnais rarement? Il peut être plus méchant alors? La bonne affaire, je n'étais même pas méchant avec ce mioche, la preuve , je le laissais décider de son chatiment, donc qu'il s'en contente, tout comme le fait d'être domestique et de loger sous mon toi. Qu'il soit "méchant"... tss il croyait pouvoir me faire peur? Cela frolait la provocation, il ne tardera pas à connaître comment je réagis face à ça surtout lorsque cela vient de mes domestiques. Mais je retenais quand même ce détail, finalement je pourrais lui trouver une utilité à ce Bou. Mais pour l'heure, il devait apprendre qui commande, et à qui il avait affaire. Je n'étais pas du tout comme les autres humains, ne connaissant plus ce que l'on appelle compassion, pitié, santé psychologique. Non, ma famille à passé tout son temps à regner ces valeurs qui pouvait transformer l'homme en une mauviette et non pas une arme prète pour le combat. J'avais sans doute tué tout les descendants des Kurai mais finalement avait hérité de leurs caractères: la haine, la rage, le calcul, la volonté de dominer ainsi que celle du sang et de la souffrance, recherchant la domination suprême dans l'esprit de tous. Contrairement au reste de ma famille, le monde m'importait peu, seul ma personne comptait avant tout, donc dire que je voulais dominer le monde était faux, je voulais dominer mon petit monde.

La plaisanterie et les gamineries avaient assez duré, il était maintenant temps pour ce gosse qui se vantait de vaincre ces précédents maîtres qu'il joue dans la cour des grands. Il saura bientôt qu'a coté, ces maîtres étaient de vrais anges. Je sorti mon flingue de ma main libre et l'enfonçais dans sa bouche avant qu'il ne parle à nouveau, il apprendra à réfléchir.

"Deux choix: Sexe ou Torture. Pointe mon pantalon ou mon flingue... ne fait ne serait ce que remuer les lèvres et je tire. . . Je te laisse une minute avant de faire feu... rien de plus merdique qu'un domestique qui sais pas se décider."

Je demandais gentiment un truc, et l'instant d'après, j'étais menacer, non mais franchement, ils n'ont aucun sens de l'hospitalité ses humains, et ils font même peur. Surtout celui là, j'en avais déjà eu plusieurs maitres avant celui ci, mais aucun n'était... comme ça. Il m'avais mit son 'flingue' dans la bouche, m'empêchant de dire une choses, et d'ailleurs, je n'allais pas essayer. J'avais vu ce que cet objet pouvait faire à l'animalerie, et c'était un peu... trop sanglant à mon gout, et puis, c'est autorisé ce genre de truc ? j'espère pas, parce que je plein mes ancien maître si tout le monde en a sauf eux...
J'avais les oreilles baissées et je n'osais pas bouger, de peur qu'il mette sa menace à exécution, chui trop jeune pour mourir. J'avais peur, ce qui n'était pas habituel, mais bon, disons que ça changer un peu, et c'était amusant... enfin, d'un certain sens, c'était aussi assez... je-m'en-passerais.

"Deux choix: Sexe ou Torture. Pointe mon pantalon ou mon flingue... ne fait ne serait ce que remuer les lèvres et je tire. . . Je te laisse une minute avant de faire feu... rien de plus merdique qu'un domestique qui sais pas se décider."

Je baissa encore plus les oreilles, sans oser trop bouger, les larmes aux yeux, laissant mes penser défiler à toute vitesse. Que faire. J'ai peur. Je veux partir. Laisse moi tranquille. Désolé. Je dois choisir quoi. Pourquoi. Comment. J'aurais pas dû choisir ce maître là. Il va me tuer. Non, veut pas. Excusez moi...
Lentement, je laissait couler quelques petites larmes salé sur mes joues, je ne bougeais plus, c'est à peine si j'osais respirer. Et j'attendis quelques secondes le temps de mettre mes pensés en place et de faire le vide dans ma tête, avant de me décider, il le fallait bien, et je savais que Ku-chan n'hésiterais pas à me tuer. Enfin, j'allais dire qu'il perdrais inutilement de l'argent, mais comme il ne m'a pas acheter...
Je ferma les yeux pendant qu'il y coulait quelques perles salé, et rougis en portant mon pied doucement sur l'entre jambe de mon maître, faisant attention à y aller doucement, certain que ça irait encore plus mal pour moi, si je lui faisait mal à lui. Après m'être fait comprendre, je retira mon pied et le reposa par terrre, avant de trembler un peu et secouer la tête, finalement, je ne voulais pas, chui un vrai girouette, mais bon...

Finalement le gringalet pointait mon entre-jambe avec son pied, je m'en doutais un peu, ces larmes de tout à l'heure étaient seulement utilisées pour provoquer ma pitié mais comme elle demeure inexistante il avait fini par comprendre que je n'étais pas résigner à laisser une chance encore moins lui accorder un traîtement de faveur. Je retirais alors le flingue de sa bouche et l'envoyait à terre d'un simple geste, je voulais qu'il comprenne bien que du moment seul où il devint mon serviteur, sa vie ne lui appartiendra plus, elle appartiendra à moi et moi seul. Il portait encore ce drap qui, en fin de compte demeurait le seul vêtement qu'il portait. Je venais alors le plaquer au sol d'un simple coup de pied et lui retirait son drap sans aucune douceur. J'examinais alors minutieusement le corps de Bou, c'était lamentable. Pourquoi? Parce que les seules marques que je pouvais voir n'étaient que celles que je lui avais asséné jusqu'à maintenant, à croire que ces maîtres étaient de vrais mauviettes qui s'étaient laissés embobinés par un gamin, à croire que l'humanité n'est pas se qu'elle prétend être ou tout simplement dans ce cas que je ne sois pas humain pour être le seul à penser ainsi. Mais qu'importe, cela avait aussi du bon, l'expression de la nouveauté m'avait aussi plu chez mes victimes. Elles croyaient avoir tout enduré hors je m'étais dressé sur le chemin et seulement là ils ont pu l'assurer. Je ne pouvais assurer que c'était ça première fois, mais si s'était le cas, je serais ravi de m'accaparer sa virginité, même si c'est un mec. Deux grandes pulsions destructrices animent ma vie: la pulsion sexuelle et la pulsion d'agression. Le sexe était un substitut de l'agression et de la torture, une manière de me soulager bien singulière mais lorsque le choix se présente j'opte toujours pour la boucherie, aborant tout les côtés de l'enfer. "Mon enfer n'est pas le seul existant" certes... mais il est le plus proche de l'enfer et des cauchemars que tout autre enfer.
Je me mis à genou pour continuer là où il m'avait grossièrement arrêté, je lèchais l'intégralité de son torse, ayant toujours le goût du whisky que je lui avais versé dessus. Je mordillais ensuite le téton faufilant ma main sur son ventre puis sur son entre-jambe la massant et applicant quelques va-et-viens avec ma main, j'étais peut-être hétéro en temps normal, je sais néanmoins comment sa marche dans les deux cas.

[Faudrait mettre [Yaoi] dans le titre sinon on va s'étonner... ]

Aussitôt... choisi, aussitôt reçu... dès que je m'était décidé, Ku-chi m'envoya brutalement par terre, décidément, il ne connaissait pas la douceur... enfin, en prenant du recul, il n'a pas trop une tête à donner à manger au pigeon, et il a parfaitement raison, enfin, que pour les oiseaux. Mais ce n'était pas une raison pour s'en prendre à moi. Il m'enleva le drap, mais pas avec douceur, il fallait s'y attendre... et me plaqua au sol, mais cette fois ci, j'éviterais de trop de débattre, je n'avais pas envi de faire connaissance à nouveau avec le "flingue" de mon maître dans la même journée, et même, dans la même année. Une fois suffisait. Je resta alors tranquillement cette fois ci, et laissa faire Ku-chan. Il commença à me lécher le torse, ce qui me fit frissonner, surtout qu'il ne faisait pas chaud et que j'étais complètement nu. Ça va encore, ce n'était pas ma première fois, j'avais déjà gouté au viol avec quelques de mes précédent maître, mais pas beaucoup, généralement, je m'était enfuis avant et donc, il n'en avait pas eu le temps. Et ce n'est pas que j'aimais ça, si je le pouvais, je m'en serais volontiers passé, mais parmi les choix de mon maître, celui ci était le plus ... accueillant. Je sentit soudain une morsure, au niveau de mon téton, et rougis en poussant un petit gémissement, avant de mettre ma main devant la bouche, m'empêchant de faire de nouveau cri quand je senti la main de maître sur mon entre jambe, c'était quand même gênant... Mais, même en étouffant mes petits gémissement, mon ronronnement se faisait entendre, et malgré moi. Ku-chan savait quand même y faire avec les hommes, rapidement, je me durcis, resserrant légèrement les jambes, gêné, les oreilles couchées en arrière, signe de soumission envers mon maître...

Mes gestes commençaient à faire de l'effet, j'étais ravi de ne pas avoir perdu la main. Il ne pouvait nier qu'il appréciait l'gamin, en tout cas c'est pas ce que ces gémissements m'indiquaient le contraire, je ne pouvais m'empècher en le voyant rougir comme une pivoine. Je continuais de mordiller le téton avec ardiesse, alors qu'il occupait la pièce de ces gémissements. Je pus à un moment sentir qu'il durcissait, saisissant alors le membre à pleine main, commençant de légers va-et-viens pour entretenir sa dureté. Une fois le téton dépourvu du goût de whisky je léchais alors son ventre, m'attardant au nombril, pour le lècher. S'il voulait rire c'était le moment car après il gémira, il suintera, il jouira. Oui! j'avais tout prévu exactement comme pour mes rares invités. Je descendais alors mes léchouilles vers le bas de son ventre. Avant de le regarder avec un grand sourire.

"Ecoute bien ce que je vais te dire, tu jouiras deux fois"

Je gloussais, j'adorais mettre mes victimes dans le désarrois en leurs annonçant plus où moins exactement ce qui les attendait. Je violais rarement des hommes c'étaient surtout des femmes vu qu'elles étaient rattaché à leur pudeur, les hommes craignent d'avantage pour leur fierté que pour leur être intime. Ainsi une femme souffrait le double de ce que subissait un homme avec moi, tant au niveau physique qu'au niveau moral. Mais bon il était toujours agréable pour moi de voir les têtes des victimes masculines: les yeux éteints et en larmes, leur égo totalement anéanti, tels étaient mes viols durs et réels.
Je donnais une petite pichenette sur le membre de Bou, celui-ci rebondissait et ce secouait, assez dur pour attaquer la première partie. Je le regardais avec un sourire mesquin, il était totalement soumis et ce n'était que le début. Je pris son membre en main et le lèchait sur la longueur avant de suçoter le gland. Avoir un penis dans la bouche était pas quotidien et non pas un de mes passe-temps privilégié. Cela avait même tendence à me faire passer pour le soumis lorsqu'ils se vident dans ma bouche. C'est comme avoir le cigare à m'enfoncer dans la bouche, j'aimais pas je détestais pas, c'était un geste comme un autre. Mais dans ce cas-ci je voulais m'accaparer de tout son corps et celà ne fesait pas exception, peu importe si mon image en prenait un coup. Je me mis alors à faire des va-et-viens, l'enfourgant totalement dans ma bouche.

Ce n'était pas désagréable, enfin, ça restait quand même gênant, que se soit les petits gémissement que je poussait ou ce que mon maître me faisait. Je me demandait si c'était la première fois avec un homme, il n'avait pas trop l'air de coucher avec des neko mâle, je ne sais pas pourquoi, ce doit être l'instant animal, mais d'un autre coté, il s'y connaissait quand même... c'était assez... effrayant.
Il était en train de me mordiller le téton, pas que je n'aimait pas, enfin si, je n'aimait pas qu'on me morde, du coup, mes gémissement était beaucoup moins sensuelles, mais ça restait des gémissement, et je pouvais être quasi-sur qu'il préférait ce genre de cri. Puis, il descendit et je du faire quelques efforts pour ne pas rire, dans un moment pareil. Oui, je suis très chatouilleux, et c'était même un supplice, j'aurais encore préférait être battu, enfin non, pas de la main de maître car lui, ne se retiendrait pas si je lui aurais dit ça.

"Écoute bien ce que je vais te dire, tu jouiras deux fois"

Qu'est ce qu'il racontait !? enfin, il pouvait raconter ce qu'il veut, mais pas dans des moments comme ça, c'était assez gênant, surtout dans la position dans laquelle je me trouvais. Je ne lui répondis pas cette fois, conscient de ce qui allait m'attendre que je le fasse... ou pas.
Puis, il fit quelques chose qui était assez gênant, il prit mon entre jambe en bouche. Mes joues virèrent au cramoisi, et mes oreilles, plaqué en arrière contre ma nuque, se mirent à trembler. Je remuais la queue sur le coté de plus en plus rapidement, battant le sol à coup régulier.

Doucement, j'essaya de me relever sur les coudes, et resserra mes jambes qui tremblait un peu. Je posa une main sur la tête de Ku-chan, le repoussant un peu pour qu'il arrête, bien que j'étais quasi-certain qu'il ne m'écouterais pas... essayant un peu de reculer, sans succès...

-K-ku-chan... arrête... é////è

Le néko commençait à opposer un semblant de résistance, apparemment assez géné pour ne pas vouloir aller plus loin mais ces petits cris et ces rougeurs ardantes me persuadaient du contraire. Pourquoi se cacher, j'étais son maître après tout pas un inconnu. Bah qu'il essait de me faire croire que c'était génant, je continuerais quand même. Et puis s'il n'opposait aucune résistance cela n'aurais plus une allure de viol et je n'aurais pas la satisfaction de voir dans son regard tout espoir de vaincre disparaître peu à peu pour finalement se résigner à mes volontés. Je regardais sur le côté, gardant toujours son membre en bouche, sa queue battait sur le sol, il aimait ça et voulais me le cacher. Mais il n'en était pas question je voulais voir ces désirs cachés, le mettre complètement à découvert devant mes seuls yeux prêt à me délecter du vice.
De mes mains je lui écartais ces jambes tremblantes une nouvelle fois pour laisser le champ libre, continuant mes mouvements sans aucune retenue, commençant à accélerer le rythme, j'étais bien conscient que si je continuais d'insister j'aurais droit à sa semance, je ne lui laissais aucun répis, mais je n'avait pas encore usé de tout mes moyens, ce n'était que le commencement de mon oeuvre.
Alors que je poursuivais mes va-et-viens, d'une main baladeuse remontant l'interieur de ces cuisses, je prenait sournoisement en main sa bourse pour la masser, provoquant ainsi son petit corps bien ferme. Mes va-et-viens englobaient alors la totalité de sa virilité désormais bien dur, ce n'était plus qu'une question de temps.

[Dsl du ptit post]