Anahio avait passé la journée à la plage, à s'exposer au soleil, sachant que sa peau presque translucide ne bronzerait jamais. Et tant mieux. Elle n'avait jamais aimé bronzer, préférant se raccrocher aux anciens critères de beauté féminine, à savoir la peau très pâle. Elle trougais que ça lui donnait l'air plus classe. A méditer.
Après avoir profité d'une journée plutôt chaude en température, elle avait décidé d'aller au bar. Elle n'y était jamais allé, puisque d'habitude, pour se désaltérer, elle allait à l'open bar de la boite, entre deux danses enflamées sur une musique entraînante. Le bar était selon elle plutôt discret. Du moins, pendant ses voyages, elle avait vu un bon nombre d'enseignes plus colorées, plus exhubérantes. Là, il avait l'air discret, bien que sympa pour un rendez-vous entre amis ou même... faire une rencontre ? Elle devrait penser à faire quelques rencontres tiens. Elle était bien lassée de traîner toujours avec les mêmes personnes. De toute façon, là n'était pas le sujet.
Elle entra dans le bar, son sac à main préféré avec elle, une carte de crédit pleine à craquer, pourrant offrir une tournée générale de champagne. Elle avait l'air d'être une des seules mineures présente dans le bar à cette heure. Il était plus de 21 heures et les personnes de son âge traînaient sans doute assez rarement dans ce genre d'endroit. En fait, elle n'en savait rien. En entrant, elle avait remarqué un espèce d'écriteau indiquant que " pas d'alcool pour les moins de 18 ans ". Quelle importance ? Du moment qu'ils se faisaient du fric, où était le problème ?
Elle entra donc tranquillement dans le bar, s'installant à une table, faisant signe au barman de venir prendre sa commande une fois qu'elle eut choisit.


Barman : Bonsoir. Vous avez choisi ?
Anahio : Pina Colada. Et une vodka, aussi !
Barman : Puis-je voir un justificatif indiquant que vous êtes majeure ?
Anahio : Vous n'en avez pas besoin !
Barman : Nous ne...
Anahio : Trois fois ce que vous me demandez, ça ira ? J'ai du liquide...
Barman : Désolée, je ne marche pas dans cette combine !

La jeune fille soupira,et elle partit, plantant cet idiot de barman sur place et allant dehors, sur le trottoir près du bar. Elle attendait. Elle ne savait pas quoi, mais elle attendait.


[ Désolée, je sais que c'est court et que ça aide pas pour inspirer... u_u ]

Ce n'est pas court pour moi, j'espère que ça ne pose pas de problèmes, je suis moins habituer aux longs RPs que toi, l'important c'est que la qualité y soit)

Asuta avait fini une longue journée de travail, il n'avait pas vraiment besoin de travail vu ses finances, mais comme il s'ennuyait parfois, il faisait des petits boulots, ça ne pouvait pas lui faire de mal. Il allait rentrer chez lui mais la soif le tailladait vraiment, il se dirigea alors vers un bar qui se trouvait sur le chemin du retour, il traversa de nombreuses rues avant d'arriver au dit bar, il mourrait vraiment de soif, arrivée devant, il lut un écriteau qui pour lui, n'avait pas d'importance particulière, après tout il était majeur et profitait bien de la vie. Asuta regarda autour de lui et près de la porte du bar était acôtée une jeune fille, surement mineure et, il fallait le dire, était très jolie on pouvait lire sur son visage qu'elle semblait embêtée voir même en colère après quelqu'un ou quelque chose, avec une once d'appréhenson, il dcida d'aller lui parler

"Bonjour, voud avez un soucis mademoiselle".

Un jeune homme se dirigeait vers elle. Il avait les cheveux châtains et des yeux bruns qui semblaient être rieurs. Il n'était pas vraiment du genre d'Anahio. Pas de Visual Kei ou de gothisme visible sur lui. Cependant, il n'était pas moche. Il y avait pire. Bien pire... Cependant, la jeune fille ne le remarqua pas tout de suite, puisqu'elle regardait par terre, dégoûtée de ce maudit bar et de ce maudit barman ! Non mais ! Elle aurait pris quoi ? Un sirop à l'eau ? Pathétique !

Inconnu : Bonjour, vous avez un souci, mademoiselle ?

Et il lui parlait en plus ! Décidément... Ce n'était pas sa journée ! Les gens lui parlaient sans cesse ! Et si elle pouvait juste avoir ce qu'elle voulait, sans avoir besoin de parler à qui que ce soit ?! Elle s'apprêta à lui cracher quelque chose de méchant comme " Dégagez " ou " Allez vous faire foutre " à la figure, mais en relevant la tête, elle ravala ce qu'elle avait sur le bout de la langue. Il avait l'air sociable et de ne pas lui vouloir de mal. Elle s'éclaircit la gorge.

Anahio : Ouais, en fait, j'ai un p'tit souci. Rien de grave, hein... ! Juste que ce barman me refuse une Pina Colada et une vodka... Alors... Je sais pas trop quoi faire ! J'ai soif...

Elle lui sourit gentimment. Après tout, c'était gentil de sa part de s'inquiéter d'elle, bien qu'après cette broutille, il passerait certainement son chemin !
Anahio regardait à présent l'nconnu, piétinant une brindille, tout en soutenant le regard du jeune homme.

[ C'est vrai que je suis plutôt habituée aux longs RPs ! Là j'ai fait un peu plus long, alors j'imagine que tu trouveras peut-être un peu plus de choses à raconter ! Mais tu as raison, l'important, c'est que la qualité y soit ! ]

Asuta vit la jeune fille relevait la tête, elle avait l'air mauvaise dans un premier temps mais cela passa assez vite sur son visage, a contraire, elle lui répondit calmement et intelligiblement, elle était mineure et donc le barman refusait de la servir, c'était assez normale mais apparemment, ce n'était pas du goût de la demoiselle, elle avait un beau sourire et pas que son sourire d'ailleurs, elle aussi était jolie et le style gothic lui allait très bien d'ailleurs, elle n'en faisait pas trop non plus et c style vestimentaire lui allait à ravir

"Je peux peut-être vous aider"

Asuta prit très gentiment main de Anahio et pénétra dans le bar, il s'assit au comptoir sur un tabouret, il lui sourit avant d'appeller le serveur qui revint avec un air souriant, lui et Auita se connaissaient et s'entendaient bien

"Tu vas me servir deux vodka et deux Pina Colada pour moi et la jeune fille, ne t'inquiètes pas, elle n'en a pas l'air mais je la connait bien, elle est majeure mais si elle fait plus jeune"

Asuta vit le serveur partir faire la commande et il fit un clin d'oeil à la jeune gothique avant de lui murmurer

"Le serveur est un de mes amis et il ne me refuse jamais rien, tu vas pouvoir te rincer la gorge".

Inconnu : Je peux peut-être vous aider.
Anahio : Ce serait très gentil à vous.

Il lui avait prit la main très gentimment, l'avait emmenée à l'intérieur du lieu du " drame " et s'était assis. Elle fit de même, le souriannt gentimment. Généreux. C'était le moins qu'on pouvait dire ! Il appela le serveur, passant rapidement une commande.

Inconnu : Tu vas me servir deux vodka et deux Pina Colada pour moi et la jeune fille, ne t'inquiètes pas, elle n'en a pas l'air mais je la connait bien, elle est majeure mais si elle fait plus jeune !
Barman : Tout de suite !

Le jeune homme dont elle ne connaissait pas le nom lui dourit avant de lui murmurer quelques mots.

Inconnu : Le serveur est un de mes amis et il ne me refuse jamais rien, tu vas pouvoir te rincer la gorge.
Anahio : Merci. Merci beaucoup. Je vous en suis très reconnaîssante !...

Quelques minutes plus tard, les boissons étaient devant eux. Maintenant, ce barman à la noix faisait profil bas ! Tant mieux ! Non, mais oh ! Bon... Elle était obligée d'avouer que ce revirement immédiat n'était pas dû à sa petite personnes.
Avant de saisir son verre, elle sourit à son interlocuteur.

Anahio : C'est vraiment très gentil de votre part. Est-ce que je peux au moins savoir à qui j'ai l'honneur ?

Elle le toisait avec un sourire. Il était plutôt mignon, en fait. Et surtout quand il souriait.

Asuta vit Anahio lui sourire, c'est une très belle jeune fille, elle était aussi agréable et il se sentait bien avec elle, il avait pourtant souvent du al à aborder les gens mais le fait qu'il lui semblait qu'elle était contrariée ou ennuyée avait rendue la présentation un peu plus facile, il l'entendit lui poser une question, il émit un petit rire avant de lui sourire de nouveau, le visage un peu amusé et détendu

"C'est étrange, je pensais m'être présenté, je m'appelle Asuta, Asuta Kurochi, je n' ai pas souvent l'habitude de venir dans les bars mais comme toi, j'avais très soif et je ne pouvais attendre d'être de retour chez moi"

Asuta vit le serveur revenir et le remercia, il hésita un peu puis prit d'abord le cocktail et en but deux trois gorgées avant e le poser, un air de contentement sur le visage le serveur de ce bar tait très doué et réussissait à chaque fois ces cocktails, sa pina colada tait délicieuse, il n'avait pas trop l'habitude de ce genre d'alcool ais comme elle avait pris ça, il ne voulait pas passer trois heure à choisir ce qu'il allait prendre, surtout vu leur soif, c'était un peu silencieux, il essaya de casser ce silence qui pouvait devenir pesant, la fille était en plus jolie et mignonne, pourquoi pas essayer de faire connaissance

"Je ne pense pas t'avoir déjà vue, tu vis depuis longtemps ici?"

Etant donné qu'il étai l'aînée dans cette conversation,il avait assez facilement tutoyer la jeune fille mais cela ne le dérangerais pas si elle le faisait aussi.

Alors comme ça, il s'appelait Asuta Kurochi, et il n'avait pas l'habitude de venir dans les bars.
Il avait attrapé sa pina colada de façon assez hésitante, et avait pris deux trois gorgées. Un court moment durant lequel Anahio l'avait fixé, pour ensuite regarder ses chaussures. Un court silence sétait installé. Avant qu'il ne le brise. Elle n'aimait pas le silence dans les conversations. Du moins,quans les interlocuteurs n'ont rien à se dire. Mais quand ils ne se connaissent pas... ce serait tellement dommage de ne pas parler !

Asuta : Je ne pense pas t'avoir déjà vue, tu vis depuis longtemps ici ?
Anahio avec un sourire : J'y ai toujours vécu, mais pour être honnête... je suis une fille de la nuit. Alors ça ne m'étonne pas de ne vous avoir jamais croisé !

Sur ces mots, elle attrapa son verre de vodka, tout en lui faisant un clin d'oeil. Elle le descendit d'une traite, souriant. Elle n'avait jamais trouvé que la vodka avait un goût très fort, et elle avait l'habitude de le finir d'une traite, quand même certaines de ses connaissances qui ignoraient les coutumes de la vodka traînaient et descendaient leurs verres par minuscules gorgées.
Elle repensa à ses derniers mots. Elle l'avait vouvoyé. Alors qu'il ne paraîssait pas si vieux que ça, bien que son aîné ! Ca lui faisait assez bizarre, étant donné qu'elle vouvoyait très peu les gens. Elle étendit ses longues et fines jambes ( les jambes étaient longues, mais il était clair que la demoiselle ne l'était pas ) sans forcément capter que si elle n'avait pas dans l'intention de faire du pied à Asuta, c'était tout comme. De toute façon, elle n'était pas tactile et ne sentait pas trop ce genre de chose.

Anahio : Et dites-moi, Asuta... vous venez d'où ?

Asuta écouta la réponse Anahio avant de voir son clin d'oeil, il la vit attrapper son verre de vodka et le finir d'une traite, il trouvait lui, que la vodka était assez forte mais pour faire comme elle, il attrappa son verre et avala le contenue d'un coup,fermant ensuite les yeux, le temps de digérer ça, il n'était pas habitué à boire de l'alcool, alors u verre de vodka d'un coup l'avait un peu brûlée la gorge, il lui souriait puis sentit quelque chose d'étrange lui frotter le pied et il réalisa qu'il s'agissait du pied de la jeune fille, il rougit, était-elle en train de lui faire du pied, il n'en était pas sure mais ça y ressemblait, c'est alors que la question de la jeune fille le fit sursauter un peu, le ramenant à la réalité

"Heu moi...je...je suis née à Tokyo où j'ai grandie avec mes parents, ma famille était assez aisée mais mes parents ont toujours été trop protecteurs envers moi et m'ont un peu empêchée de m'intégrer hors, je voulais m'intégrer mais ils m'ont toujours éloigner des autres, j'étais comme prisonnier d'une prison dorée, je suis partie de chez moi à ma majorité, en fait mes parents me considèrent en fuite et je me suis réfugiée ici, voilà c'est a peu près mon histoire, j'ai une soeur aussi"

Asuta sourit en repensant à sa soeur, la personne la plus chère à ses yeux das sa vie, il but encore quelques gorgées de son cocktail tout en regardant Anahio

"Si ce n'est pas indiscret, je pourrais savoir ton âge, si tu as de la famille ici, des nékos..un compagnon?"

Asuta rougit à la fin de sa question, il ne savait même pas pourquoi il lui demander si elle avait quelqu'un dans sa vie.

Elle l'avait écouté longuement, son histoire si intéressante, si semblable à la sienne. Comme si lui aussi, il avait été emprisonné. Mais il s'était enfui. Lui, il avait eu l'âge et le courage. Tout ce qu'elle n'avait pas et qui lui manquait pour s'enfuir de sa prison dorée à elle, avec la belle-machin qui voulait faire d'elle une Lady et la marier à un Lord. Comme si elle avait la tête à ça !

Anahio : Ca c'est de l'histoire ! Je... je me sens tellement comme vous, Asuta !

Elle avait prononcé ces mots avec précaution, lui décrochant un timide sourire, avant de poursuivre en emmêlant inconsciement ses doigts.

Anahio : J'ai 16 ans. Je suis née lors d'un voyage en France, à Paris, mais mon père est Anglais et ma mère est Japonaise. Ma mère est morte en couche, et mon père est mort d'un cancer, alors, je vis ici avec ma belle-mère. Je n'ai pas de neko... Quant aux petits amis... Je suis censée me marier d'ici deux ans, vous savez ! Devenir une Lady, ce genre de chose... Vous savez tout.
Mais vous ? Vous avez une comapgne, des nekos ? Vous avez quel êge ? Je peux vous tutoyer ?

Elle lui avait sorti ça comme un interrogatoire, à pleine vitesse. Elle rougit, passa sa main dans ses cheveux et s'excusa.

Anahio : Pardonnez-moi... Je suis tellement curieuse de vous connaître, Asuta.

Asuta fit un sourire quand elle dit qu'elle se sentait comme lui, alors elle aussi avait eu ce genre de problèmes, elle vécut come enfermée, elle écouta son histoire, ça devait être dure pour elle d'avoir perdue ses deux parents sans même pouvoir connaître sa mère, malgrès ça, elle ne semblait pas trop triste, peut-être cacher t-elle sa tristesse, elle devait se marier dans deux ans, surement un omiaï (mariage arrangée), Asuta écouta se questions, il se demandait si il devait présenter ses condoléances pour ses parents ou éviter d'en parler il préféra passer, cela pourrait raviver des douleurs

"16ans, parfois j'aimerais bien avoir de nouveau 16ans, j'ai 19ans, bientôt 20ans, ça fait un an que j'ai quitée ma famille, j'ai une néko, elle s'appelle Amaya, elle est très gentille et je l'adore comme tout les nékos que j'ai eu d'ailleurs mais elle encore plus, par contre je n'ai pas de compagne *j'ai même jais eu de copine, la honte si je lui disais*, tu pi me tutoyer ça me ferait même plaisir, tu n'as pas à t'excuser, mi aussi, je suis curieux de te connaître"

Asuta regarda se deux verres, celui de vodka vide et la pina colada à moitié terminée, il reporta son regard sur Anahio,plus il la regarder et plus, elle se disait qu'elle était jolie et il l'aimait bien de ce qu'il connaissait actuellement d'elle, même si ça n'était pas encore à ce stade, il pouvait dire que c'était sa première amie, vu qu'il ne sortait jamais chez lui et que même ici, il croisait très peu d'humains, il se contentait d'être avec ses nékos, il repensa alors à ce qu'avait dit Anahio sur son mariage

"Quand tu dis que tu dois te marier...tu as un fiancé...que tu aimes...ou c'est un mariage arrangée?"

Asuta : Quand tu dis que tu dois te marier...tu as un fiancé...que tu aimes...ou c'est un mariage arrangée ?

Elle sentit une boule au ventre en entendant cette question. Se marier avec quelqu'un qu'elle n'aimait pas... Elle avait souvent pensé à ce sort qui l'attendait. Tellement malheureux. Se marier alors qu'on a pas encore vingt ans, quelle plaie ! Elle qui voulait profiter de la vie plutôt que de se rendre dans de stupides soirées mondaines... !

Anahio : Oh, tu sais... Je n'ai même pas de fiancé ! Pour ma belle-mère quelqu'un de riche, poli, ennuyeux et bien éduqué fera l'affaire... Mais tu sais, l'amour, je ne connais pas. Et qui qu'elle me trouve, je n'aimerais jamais cet homme !

Elle baissa les yeux, déçue et énervée. Elle serra les poings, enfonça ses ongles longs dans sa paume. Elle se racla la gorge deux fois, et releva la tête avec un semblant de sourire. Elle regarda Asutan dans le blanc des yeux.

Anahio : Asut... Tu sais comment c'est l'amour ? Je dois paraître bizarre avec cette question, je sais ! Je ne parle pas d'amour physique, hein ! Juste... J'ai jamais été amoureuse, moi... Juste des histoires, comme ça... T'as déjà été amoureux ?

Normalement, en plein jour, sans alcool, elle n'aurait JAMAIS posé cette question. Pourquoi ? Parce qu'elle avait honte. Tout le monde connaîssait l'amour. Sauf elle ! Et puis, c'est bien connu... L'alcool enlève la gêne et met à l'aise. Alors elle attendit, comme ça, la réponse.

Asuta écouta ce que dit sa compagne de comptoir, c'était don bien un mariage arrangé que sa belle-mère voulait lui imposer, cela devait être horrible d'imaginer épouser quelqu'un que l'on aime pas uniquement parce qu'il est riche par contre, pour l'homme, ce devrait être plutôt facile d'accepter vu la beauté de Anahio, il avait aussi entendue parler de cela car das les soirées, ses parents tenait toujours à lui présenter les filles de leurs plus grands associés, Asuta la vit baisser les yeux, peut-être aurait-il mieux valu qu'il ne lui pose pas la question,il l'écouta à nouveau parler et l'écouta alors attentivement, rougissant de plus en plus au fil de la question, elle lui demandait si il savait comment c'était l'amour et si il avait déjà été amoureux

"Heu? je...et bien...oui, je pense le connaitre, j'ai déjà été amoureux, sans vouloir me lancer dans les détails, c'était une jeune fille que j'avais vu au cours d'une de ses soirées mais,elle n'était pas une de ses gosses de riches qui ne s'intéressent qu'à l'argent, c'était une modeste étudiante qui faisait la serveuse pour payer ses études, je passa plusieurs soirées à la regarder avant d'enfin aller lui parler, quand elle avait un moment on s'éclipsait discrètement et on parlait pendant des heures, puis j'ai finie par lui avouer mes sentiments, je l'ai embrassée et on a continuée se voir en secret lors de ses soirées jusqu'à qu'un jour un des convies nous surprennent et aille prévenir mon père qui, sur le champ, renvoyée la jeune fille et je ne l'ai plus jamais revue que ce soit dans les soirées ou en essayant d'avoir des informations sur où elle pouvait se trouver. Pour en revenir à l'amour, chacun à sa propre vision mais pour moi, c'est avoir le coeur qui bat fort en voyant la personne, c'est de ressentir un bonheur immense t'envahir rien qu'à la voir et la voir sourire, c'est ne pouvoir détacher son regard d'elle, c'est de vouloir tout faire pour la voir heureuse, c'est vouloir rester avec elle tout le temps, c'est de vouloir son bonheur, c'est de sentir son cour accélérrer quand elle te parle ou rien que quand elle te regarde, c'est de se sentir capable de tout faire pour la protéger pour moi l'amour c'est ça"

Asuta eu un petit air nostalgique avant de baisser la tête, un sourire triste et heureux sur le visage repensant à la tristesse et la joie de sa seule relation.

Asuta : Heu? je...et bien...oui, je pense le connaitre, j'ai déjà été amoureux, sans vouloir me lancer dans les détails, c'était une jeune fille que j'avais vu au cours d'une de ses soirées mais,elle n'était pas une de ses gosses de riches qui ne s'intéressent qu'à l'argent, c'était une modeste étudiante qui faisait la serveuse pour payer ses études, je passa plusieurs soirées à la regarder avant d'enfin aller lui parler, quand elle avait un moment on s'éclipsait discrètement et on parlait pendant des heures, puis j'ai finie par lui avouer mes sentiments, je l'ai embrassée et on a continuée se voir en secret lors de ses soirées jusqu'à qu'un jour un des convies nous surprennent et aille prévenir mon père qui, sur le champ, renvoyée la jeune fille et je ne l'ai plus jamais revue que ce soit dans les soirées ou en essayant d'avoir des informations sur où elle pouvait se trouver. Pour en revenir à l'amour, chacun à sa propre vision mais pour moi, c'est avoir le coeur qui bat fort en voyant la personne, c'est de ressentir un bonheur immense t'envahir rien qu'à la voir et la voir sourire, c'est ne pouvoir détacher son regard d'elle, c'est de vouloir tout faire pour la voir heureuse, c'est vouloir rester avec elle tout le temps, c'est de vouloir son bonheur, c'est de sentir son cour accélérrer quand elle te parle ou rien que quand elle te regarde, c'est de se sentir capable de tout faire pour la protéger pour moi l'amour c'est ça.

La jeune fille l'écouta, buvant ses paroles ( et le fond de son verre ) sans rien dire. Elle se contentait de le regader et de l'écouter, les yeux dans le vague. Il baissa la tête, un sourire qu'on devinait nostalgique sur le visage. D'un coup, elle sentit ce que ça devait être, la vraie souleur d'un être humain. Et elle, elle ne l'avait jamais ressentie, cette douleur. Et elle ne la ressentirait jamais. A moins, bien sûr, de tomebr amoureuse d'un riche au goût de sa belle-mère, mais ça revenait à demander à un chat de se reproduire avec un chien. Chose impossible de chez impossible, donc. Compatissant du mieux qu'elle pouvait à cette douleur, elle se leva, s'approhant de son compagnon de beuverie, lui posant une main sur l'épaule, l'autre sur la joue. Décidément, l'alcool la décoinçait assez. Non, sérieux, elle avait quoi dans la ttête pour aller ainsi vers des inconnus ?

Anahio : Oh, Asuta... Je suis tellement désolée ! J'ai été tellement idiote de te poser cette question ! Tu dois vraiment avoir mal, surtout que tu l'aimes encore ! Ou du moins, tu as du mal à l'oublier. Ca se voit tellement. Mais si ça peut te consoler... On souffre plus quand on n'a jamais aimé, crois-moi.

Sur ces paroles bien gênées, elle l'embrassa sur la joue, retournant s'asseoir. Elle était plus que gênée par cette situation. En tout cas, la serveuse était une chanceuse. Asuta avait l'air d'être un homme fort agréable et être aimée de lui devait être un luxe. Elle soupira, baissant la tête, honteuse de sa question.

Asuta était perdue dans ses pensées, il ne sentit pas sa main de Anahio sur son épaule, par contre, il fut tiré de ses souvenirs par celle qu'elle posa sur sa joue, sa main était chaude et douce, cela fait longtemps qu'il n'avait pas sentit une main de fille posée sur lui et celle de Anahio était très agréable, il lui souria timidement en rougissant aussi un peu, il était vraiment heureuse de l'avoir rencontrée ce soir, elle était très sympathique et sa compagnie très agréable, il l'écouta s'excuser

"Ne t'excuses pas, ça fait aussi du bien de repenser à ça, bien sur que je pense encore à elle, ce sont des étapes de la vie qu'on ne peut pas oublier, je sais que n'avoir jamais aimé est pire, je l'ai vécue assez longtemps pour le savoir et ne se voir qu'une ou deux fois par mois était déjà très dur, tout le reste du temps, je restais seul, je suis sûr que malgrès le plan de ta belle-mère, tu tomberas un jour amoureuse, j'en suis sûr"

Asuta tenait les deux mains de Anahio, il les avaient prises quand il lui parlé, quand il se rendit compte de ça, il rougit encore plus puis les lâcha doucement et baissa la tête

"Je..excuse-moi".

Elle l'écoutait patiemment la rassurer, lui dire de ne pas s'excuser. Il lui prenait les mains et lui souriait. Jamais un homme ne lui avait pris les mains, cela la fit sourire. En l'écoutant, elle se rendit compte que ce jeune homme rencontré tout à fait par hasard disait vrai. Elle tomberait amoureuse un jour, d'une façon ou d'une autre.
Soudain, il lâcha ses mains, baissant la tête et rougissant peu à peu. Quelle honte y avait-il de tenir les mains de quelqu'un ?

Asuta : Je..excuse-moi.

Elle fut un peu déçue. C'est vrai qu'il n'aimait peut-être pas tenir les mains des gens. Ou peut-être ses mains à elles, qui étaient si petites et jamais à la bonne température pour se poser sur quelqu'un. Trop froide ( à la limite de la glace ), trop chaudes ( presque en ébullition ). Elle ne dit rien, fit comme de rien n'était. Elle ne voyait pas franchement ce qu'elle pouvait lui dire d'autre. Et dire qu'elle n'aimait pas les blancs, c'est elle qui les créait ! Bon... Déjà... elle allait quand même rassurer son interlocuteur, ne pas créer de conflit ! Ho ! Ce que c'est compliqué les conversations ! Parfois, elle aurait voulu avoit à nouveau six ans, l'âge où un " tu veux être mon ami ? " suffit amplement.

Anahio : Oh, ce n'est rien ! Ne vous en faites pas, à vrai dire, on.. rien.

Elle allait commencer à lui dire que jamais personne ne lui avait pris les mains. La honte ! Rougissant telle une pivoine, elle se dirigea vers le bar, ramenant deux vodkas et deux pina colada. Ca valait mieux ! En plus, elle commençait à avoir envie d'embrasser Asuta. Saleté de vodka ! Et puisqu'on soigne le mal par le mal...

Anahio : Voilà ! On aura plus soif comme ça... enfin... le truc, c'est que j'aime pas les blancs, alors...

Asuta avait fait quitter ses mains de celles de Anahio, bien qu'à contre-coeur, mais il ne voulait pas gêner ou ennuyer celle qui lui tenait compagnie, il la vit commencer à lui parler avant de revenir avec une nouvelle ration d'alcool, Asuta qu'il n'avait pas l'habitude de boire, allait pour la première fois de sa vie, descendre autant d'alcool, voir finir saôul, vu qu'il parlait assez facilement avec elle, il fallait dire qu'il devait être autant décoincé qu'elle par ce breuvage, il prit son verre tout en l'écoutant

"Moi aussi, je n'aime pas les blancs mais c'est pas toujours facile...de savoir quoi dire"

Asuta était accoudée au comptoir, il regarda pardessus son épaule et vit à côté de lui la main de Anahio, elle était chaude et quand il avait prit dans ses mains, elles lui avait semblées douce aussi, il fallait qu'il oublie, il se remit à regarder ses verres, quand en bougea, sa main toucha le bras de la jeune fille, comme machinalement, sa main suivi son bras et arriva finalement à sa miain qu'il serra doucement dans la sienne, Asuta finit par s'en rendre compte, il s'apprêtait à la lâcher de nouveau mais ne le fit pas et continua de la serre doucement, comme plus tôt, elle était chaude, doucement Asuta n'avait aucune encie de la lâcher, toujours rouge et sans oser dire un mot, il but une gorgée de sa nouvelle pina colada, il regarda très furtivement Anahio mais ses yeux ne se poser que sur ses lèvres qui semblaient elles aussi douces et chaudes, il se mit vite sur son verre encore plus rouge à ses pensés.

Elle sentit la main d'Asuta serrer la sienne. Elle aimait ce contact. Elle le laissa faire, alors qu'il devenit rouge pivoine au fil des minutes. C'était tellement mignon ! Tellement plus que toutes ces grosses brutes qui essayaient de l'approcher. Elle descendit son verre de Vodka, souriante. Cette main chaude qui serrait la sienne lui donnait confiance en elle, malgré l'alcool qui se pedait dans son corps, la décoinçant au fil des minutes, capable de la faire faire des choses qu'elle ourrait regretter. Elle avait un vague souvenir d'un numéro de danse sur table lors d'une soirée arrosée.
Alors comme ça, lui non plus n'aimait pas les blancs. Un point commun. Un de plus. Cela la fit sourire. Ses yeux se perdirent sur Asuta. D'un coup, elle avait envie de se serrer contre lui, de l'embrasser, lui caresser la joue, le coup, le torse... il fallait vraiment qu'elle arrête de boire. Cependant, après avoir fini sa pina colada, elle commanda une autre vodka, qu'elle descendit.
Elle avait une folle envie de parler, mais si elle le faisait, elle était sure de gaffer à un moment ou un autre de sa phrase. L'embrasser par accident, par exemple, elle en était parfaitement capable. Elle prit son courage à deux mains et une grande inspiration.

Anahio : Asuta... J'ai envie de t'embrasser.

C'était sûr, elle aurait du la fermer. Sans forcément commander son cerveau elle posa ses mains sur Asuta, une sur la nuque, l'autre sur le torse. Ses lèvres frolèrent les siennes. Celles d'Anahio étaient glacées, et elles ne demandaient qu'à être réchauffées par celles d'Asuta, chaudes. Se rendant compte de ce qu'elle faisait, elle se recula, effrayée d'elle même.

Anahio : Oh je suis désolée ! Pardonne moi ! Je n'aurais pas dû, je..

Instantanément, elle enfouit son visage dans ses mains.

Asuta fut rassuré au bout d'une dizaine de secondes, car même après ce laps de temps, sa main était toujours autour de celles de la jeune fille, celle ci n'avait essayait de la retirer, pourtant dans son esprit, c'était assez embrouillé, savoir pourquoi il tenait sa main et pourquoi il se sentait si bien rie qu'une faisant ce geste qui pourrait paraître parfois anodin, il put alors de nouveau regarder Anahio et la voir continuer de boire, c'est alors qu'elle lui dit qu'elle avait envie de l'embrasser, Asuta devint rouge comme jamais auparavant, sentant ses mains sur son corps et la fraîcheur de ses lèvres frôler les siennes, elle se recula juste avant que leurs lèvres soient collées et s'excusa, cachant visage dans ses mains

Asuta resta rouge regardant Anahio surement morte de gêne, lui, il aurait aimé sentir ses lèvres, peu importe qu'elles soient chaudes ou froides, poussé par une envie mais aidé surement par l'alcool, il mit ses mains sur le nez de Anahio, d'un geste doux, retira les mains de celles-ci et mirent les siennes sur ses joues, la regardant et les caressant tendrement

"Anahio...moi aussi"

Asuta approcha son visage et ferma les yeux en posant ses lèvres sur les douces de Anahio.

Alors qu'Anahio était terriblement gênée, se confondant en excuse sans savoir quoi faire, enne sentit les mains d'Asuta sur son visage, le caresant tendrement, ce qui la fit frémir.

Asuta : Anahio... moi aussi.

Est-ce qu'elel était folle ? Est-ce que l'alcool lui jouait des tours ? Est-ce qu'eelle venait de gagner son passeport pour l'asile ou est-ce qu'elle avait bien entendu ? Elle espérait que oui. De toute façon, elle n'avait pas le temps de réaliser que les lèvre du jeune homme touchaient les siennes, la rassurant sur ce qu'elle avait entendue. Dieu que ses lèvres étaient chaudes. Et douce ! Des lèvres, elle en avait goûté, mais jamais de telles ! Elle passa ses mains autor du cou du jeune homme, glissant sur sa nuque. Si elle n'avait jamais été aussi gênée, elle s'était rarement sentie aussi bien. Elle était certainement rouge, mais elle s'en fichait totalement à cette instant. Ses lèvres s'entrouvrirent, laissant passer sa langue qui caressa celle d'Asuta avec une douceur infinie. Elle se sentaiit bien, et si elle s'écoutait, elle lui retirerait sa chemise. Pour le moment, elle se contentait de jouer avec la langue du jeune homme, lui caressant la nique, et le cou.
Elle espérait que ce baiser ne finirait pas. Ou alors, pas avant un moment !

Asuta avait peur, malgrès ça, son envie d'embrasser Anahio était plus forte et il colla alors ses lèvres au siennes, elles étaient douces sans être chaudes mais la chaleur de celles d'Asuta se diffusa assez cite alors les sennes devinrent chaude aussi et le baiser n'en fut que plus agréable, il fut rassurer en sentant les mains de la jeune file venant entourer son cou, il n'avait pas embrasser depuis longtemps et les lèvres de Anahio étaient particulièrement douces et fruitées un gout exquis qu'il ne voulait pas perdre, c'est alors que Anahio prit les devants, ouvrant ses lèvres pour sortir sa langue, en la sentant contre ses lèvres, Asuta les ouvrit aussi, lui ouvrant le chemin et la sentit caresser sa propre langue, elle commença alors caresse la sienne avec une telle douceur il se laissa faire pour partager ce baser avec sa langue l'entourant autour de celles d'Anahio, sa langue était particulièrement douces aussi

Asuta passa les bras autour de la taille de la jeune fille et l'enlaça tendrement, la serrant contre lui, leurs corps se touchant légèrement, il avait oublié qu'ils étaient ans un lieu public ses yeux étaient fermés et il ne pensait plus qu'à Anahio et lui et ce baiser qu'ils partageaient un baiser qu'il ne voulait surtout pas arrêter, caressant la langue de Anahio avec la sienne.

Les bras d'Asuta autour de sa taille la rassuraient, la protégeaient et elle se sentait bien. Comme en sécurité, comme si ce baiser durerais toujours, comme si elle resterait contre le jeune homme pour toujours. Deux heures ou peut-être même trois auraient pu s'être écoulées, elle n'en aurait rien remarqué. Pour elle, le temps s'était arrêté. Anahio balladait ses mains dans le cou d'Asuta et commença à les passer sous la chemise de celui-ci, alors qu'ils s'embrassaient toujours, afin de sentir sa peau. Même si elle avait bu quelques verres, elle se sentait totalement sobre et totalement bien.
Malheureusement, ce baiser prit fin à un moment ou à un autre, comme le font un jour tous les baiser. Elle en profita pour regarder celui qu'elle venait d'embrasser, et même si elle l'avait déjà trouvé mignon avant ce baiser, il lui paraissait encore plus beau, il dégageait à présent quelque chose de plus masculin, de plus viril, de plus fort qui ne s'était pas exprimé jusqu'à présent, sûrement du à la ferveur qu'il avait mise dans ce baiser.
Elle aurait voulu parler, lui dire quelque chose. Mais l'inspiration lui manquait. Et qu'est-ce qu'elle pouvait dire après ça ? Elle se contenta alors de caresse la joue d'Asuta, l'embrassant tendrement à nouveau, chastement, cette fois, retirant ses lèvres, en rougissant. Gênée, elle se retourna face au comptoir et commanda un bon vieux whisky, histoire de se remettre les idées en place tant ce baiser l'avait perturbée. Oui, il avait été bon, mais perturbant. Elle ne savait plus trop quoi dire, quoi faire ou quoi penser.

Asuta eu un frisson quand les main de Anahio arrivèrent sus sa chemise et touchèrent directement sa peau, peu de temps après,elles en ressortirent, et, à son grand regret mais avant que ça allait arriver un jour,le baiser prit fin, il se retira doucement et fut assez surpris du cout baiser que Anahio lui transmit, au moins, il était rassurée car cela voulait dire qu'elle devait avoir bien aimée et que ce baiser était vraiment voulue et non pas qu'elle s'était juste laissée faire, il se retourna vers ses verres et vit Anahio commander un nouveau verre, lui avala rapidement sa pina colada et sa vodka pour se remettre de toutes ces émotions

Asuta se demandait maintenant quoi faire, ils s'étaient embrassés...et maintenant que dire, que faire,comment briser ce nouveau silence, c'est sur qu'on ne s'est quoi dire dans ces moments-là, il se sentait coincé dans la spirale du silence, tout ce qu'il s'apprêtait à dire, il trouvait ça à chaque fois idiot de dire ça après un baiser, pris de court, il lâcha quelques mots, les premiers qui lui vinrent à l'esprit

"Tu as des lèvres très douces...je pourrais...t'inviter à dîner?"

Lorsqu'elle avait posé ses mains sur la peau d'Asuta, elle l'avait senti frissoner. Cela la fit sourire intérieurement, alors qu'elle y repensait, avalant son verre de whisky pur malt. Cela lui déchirait la gorge, et si elle continuait, elle finirait probablement hors service.

Asuta : Tu as des lèvres très douces...je pourrais...t'inviter à dîner ?

Wouh. Il l'invitait à dîner, il l'embrassait... Sympa, ce mec, se disait-elle, intérieurement. Sympa, très mignon, il embrassait bien, elle ne voyait pas quels défauts elle pouvait lui trouver, pour le moment. Et ce qui était bien, avec ce début d'invitation à dîner, c'est que ça brisait le silence. C'est qu'il savait quoi dire au bon moment, en plus !
Mais là, elle avait un petit problème... elle ne savait pas quoi lui répondre ! Oui ? Non ? Peut-être ? !
De toute façon, elle avait envie d'accepter.

Anahio : Hum... Pourquoi pas ? Ce serait avec joie...

Elle s'était contentée de répondre ça, ponctuant sa réponse d'un clin d'oeil. Elle avait bien envie de passer le reste de sa soirée avec lui, face à lui, et pourquoi pas même dans ses bras, sur ses lèvres... ? Jusque là, il avait été très doux avec elle, bien que sans doute un peu timide. Peut-être qu'il n'avait pas vu beaucoup de filles aussi " entreprenantes " ( et saoules ? ) qu'elle ? Il fallait dire que l'alcool la décoinçait fortement, et ce whisky déchirant lui montait au cerveau. Si la jeune fille n'avait pas encore sauté sur Asuta, cela lui passait par la tête.

Elle se contenta de sourire, se mordillant la lèvre, pour éviter de la poser sur celles d'Asuta. Et puis, cédant à une envie passagère, elle posa sa main sr celle de son interlocuteur, laissant ses doigts la caresser sur le dos.

(Désolé du retard)

Asuta commençait à douter de ce que pensait vraiment Anahio de lui vu qu'elle n'avait toujours pas répondue à son invitation à aller manger, son ressentiment augmenta quand elle répondit pourquoi pas, cette façon de dire semblait ne pas l'emballer, pourtant, ce qu'elle rajouta le rassura tout comme le coin d'oeil qui suivit, c'est vrai qu'il aurait vraiment été déçue qu'elle refuse, il aurait même été très gênée et aurait surement fuit le bar mort de honte sans demander son reste et au pas de course, même si il était presque sure qu'elle accepte, si elle avait bien voulue l'embrasser, elle aurait surement accepter sauf si elle avait un empêchement ou une chose importante déjà prévue pour ce soir, sans vraiment attendre, il prit son portable et appella un des plus beaux restaurants de la ville, si il l'invitait autant le faire au mieux, et réserva eux places pour ce soir

Asuta referma son portable et sourit à Anahio et rougit en sentant sa main se poser sur la sienne et en caresser le dos, il bougea alors doucement la sienne pour entrelacer se doigts avec ceux de la jeune fille en rougissant un peu plus

"Je...je n'ai pas vraiment envie de te quitter tout de suite mais...si nous voulons aller dîner...peut-être...devrions-nous aller chez nous...pour nous changer?"

Asuta et Anahio n'était pas mal habillé, il se demandait même pourquoi il avait dit ça, en disant ça, c'est comme si il précisait à Anahio que ce rendrez-cous n'était pas une invitation à un diner entre amis mais plus un diner romantique.

Le coeur de la jeune fille fit un bon quand elle capta qu'il appelait un des restaurants les plus chics et les plus en vue de la ville. Elle était habituée aux soirées et aux restaurants, mais là, c'était gênant de se faire inviter dans un endroit aussi chic par un homme charmant qu'elle venait à peine de rencontrer. Pourtant, cette invitation lui faisait très plaisir, et elle offrit son plus beau sourire à Asuta, ne sachant que faire d'autre. Deviendrait-elle coincée ? Impossible... !

Anahio sourit quand elle sentit les doigts d'Asuta se mélanger aux siens. Elle aimait ce contact soft. Elle caressait ces doigts qui venaient d'enlacer les siens avec une douceur infinie, et si le jeune homme n'avait pas commencé à parler, elle aurait sans doute très volontiers caressé ses lèvres une fois de plus. Pourtant, cette fois là, elle y pensait, et sans remettre ça sur une dose d'alcool un peu trop forte ou un on ne sait quoi.

Asuta : Je...je n'ai pas vraiment envie de te quitter tout de suite mais...si nous voulons aller dîner...peut-être...devrions-nous aller chez nous...pour nous changer ?

Se changer ! C'est vrai ! Elle ne pouvait pas aller dîner au restaurant dans cette tenue. Par contre, elle n'avait pas du tout envie de quitter Asuta. Et si elle était habillée un peu trop grunge pour l'occasion, lui, il était parfait. Elle réfléchit un milliardième de seconde pour chercher ce qu'elle mettrait... Oh, et puis, elle verrait bien une fois arrivée devant son armoiré.

Anahio : Moi non plus, je n'ai pas envie... Mais tu as raison, je ne peux pas aller dans un restaurant comme ça... ! J'imagine la tête des serveurs...

La jeune fille émit un rire cristallin à cette pensée. Les serveurs seraient probablement choqués qu'une cliente arrive dans cette tenue, comme si elle était pr^pete à donner un concert de métal ! Quoique ça pourrait être sympa... Mais non, elle ne tenterait pas ce soir. Elle ne voulait surtout pas faire honte à Asuta !

Anahio : En tout cas, c'est vraiment adorable de m'inviter.

Sur ces mots, elle déposa un baiser sur les lèvres du jeune homme.

(Pardon pour le retard de réponse,voilà le sujet au restaurant https://master-neko.bbactif.com/restaurant-3-f18/un-rendez-vous-pv-anahio-nossuh-t2979.htm#33496