Etre une neko c’est vraiment la belle vie. Du moins…Quand on a un bon maître qui nous respecte sinon c’est vraiment l’enfer. J’ai un parfait exemple.
Flash back
C’est l’histoire d’une jeune neko nommée Rumiko. Cette jeune neko avait 12 ans quand elle à eu son maître. Au premier abord, il avait l’air d’être un parfait gentleman. Il était habillé dans la mode de l’époque. Il n’avait pas vraiment l’air malheureux. Il avait un visage assez fin. Tout cela lésait pensé que c’était un gentil maître Mais cela, ce n’était que les pensées de cette jeune hybrides innocente.
Arrivés dans la villa du jeune maître, Rumiko était émerveillée. Déjà de l’extérieur, c’était magnifique. Des licorys rouge ornaient la moitié du jardin. Les licorys ? C’était les fleures préférés de la neko. Elle sont vraiment belle malgré qu’elles sont souvent dite fleures des enfers a cause de leur rouge profond. Bref… Revenons à la villa du jeune maître.
Le bâtiment en lui-même n’était pas vraiment grands mais c’était quand même une très jolie maison. On pouvait dire que ce jeune homme avait du goût. Mais tout cela reflétait tout l’inverse de ce qu’il était. Pour lui, nous les hybrides, ne sommes que des jouets.
Une fois à l’intérieur, le jeune homme a amené Rumiko dans sa chambre et l’a coucher. Il a commencé à la déshabillée et à l’a tripoté. Bien sur la jeune neko innocente se débattait mais celui-ci à fini par la mettre enceinte et n’a pas hésité a la violée le plus profond qu’il pouvait.
Bien entendu… Comme toutes les autres crapules dans son genres, il l’a mise dehors sans lui donné quoi que se soit. Elle est rester trois jours à la porte du jeune homme pour voir s’il la voulait quand même mais celui-ci l’ignorait totalement. A chaque fois qu’il passait devant elle, il l’a regardait comme si rien ne s’était passé.
Elle a fini par partir de cet endroit pour aller se couché dans un carton à côté d’une poubelle où elle y faisait son garde manger. Neuf moi plus tard, elle mis au monde une petite neko. Cette neko s’appelait Makiko. Et oui, c’était moi.
Malheureusement, à mes trois ans, ma mère tomba gravement malade et mourra deux ans plus tard. Il à fallut que je me débrouille par moi même jusqu’à l’anniversaire de mes sept ans où l’on m’envoya dans un orphelinat avec plein d’humain. Je n’avait pas ma place dans cet orphelinat. Les humain ne m’acceptaient pas. Ils m’ont donc embarqué pour me mettre dans l’animalerie où j’étais nourris et logée.
Fin du flash back
Maintenant, j’ai un maître. Et celui-ci est très sympathique. J’étais sûr qu’il n’allait pas m’abandonnée. Il me laissait aller où je voulais et me donné à mangé. J’était persuadée qu’il n’allait rien me faire. Bref… Fin de la petite histoire mélancolique. Maintenant passons au choses sérieuses.
Donc comme d’habitude, mon maître me laissa la porte ouverte pour que j’aille où je veux. Aujourd’hui je voulais allée me promenée. Je ne savais pas encore où mais j’y vais quand même.
Je sortit puis je marchais, je marchais, et je marchais encore. Quand soudain, j’arriva devant un entrepôt abandonné. Il y avait l’air d’y avoir quelqu’un à l’intérieur. Je m’approcha doucement d’un bidon à côté de l’entrée puis je m’y cache derrière. En effet, il y avait quelqu’un. Je ne sais pas pourquoi il était venu ici mais en tout cas je ne pense pas que c’était pour son plaisir car une odeur nauséabonde y habitait à l’intérieur.
Soudain, je vis un neko sortir de l’entrepôt. Il avait les cheveux tout blanc. En tout cas je ne sais pas ce qu’il faisait mais il parlait tout seul.
-Keuf! Keuf! Oh... cette odeur nauséabonde... Je n'arrive pas à croire que c'est possible. J'ai rarement... Keuf! Keuf! Keuf... vu quelque chose d'aussi pestiférant. Oh... maintenant je peux un peu respirer tranquillement... seul sans personne pour venir m'énerver avec Allyna. Qu'ont-ils tous à savoir ce que j'ai? Ils ne peuvent rien comprendre tant qu'il ne l'auront pas vécu.
Je ne savais pas se qu’il avait ni qui était cette Allyna mais en tout cas il était très énervé. Je m’avança vers lui et me plaça derrière lui. Puis je lui dit d’une petite voix :
- Ohayo !
Je ne savais pas vraiment si cela allait lui faire peur mais c’est mon attention. Si ça marche tant mieux mais sinon tant pis. Il ne manque plus qu’à voir sa réaction.