HENDERSON
ÉLISABETH
Personnage.
|
• Nom : Henderson, un nom typiquement anglais, donné par son père Sir Henry Henderson. • Prénom : Elisabeth, prénom très ancien. Son origine est biblique, cela signifie « Dieu est promesse ». Ce prénom « divin » fut choisi par sa mère, cette dernière étant chrétienne très pratiquante. • Surnom(s) : Lise, son père l’appelait autrefois comme ceci, mais ce surnom n’était utilisé que dans des moments privilégiés qu’elle avait avec son paternel. Aujourd’hui, c’est un nom qu’elle n’entend plus et qu’elle préfère ne plus entendre. Certains de ses amis l’appelaient parfois Betty. • Âge : 25 ans. Elisabeth est née le 25 décembre 2658, un don du ciel selon sa mère. • Date de naissance : Élisabeth est née le 25 décembre 2655, un don du ciel selon sa mère. Cette dernière accoucha dans la capitale britannique : Londres.
|
Orientation : N’ayant jamais eu de rapport, Élisabeth ne connaît pas vraiment son orientation sexuelle. Pour elle, la normalité voudrait qu’un homme soit avec une femme. Elle changera peut-être d’avis en ayant goûté au plaisir homosexuel.
Famille : Elisabeth est issue d’une longue lignée de nobles Anglais. Son père Sir Henderson était lui-même fils de Duc. La liste de sa famille serait bien trop longue à faire alors voici les personnages principaux : Henry Henderson, son père, noble anglais très attaché aux pratiques de la noblesse et se refusant de côtoyer le bas monde. Sa mère : Alberta Henderson, aristocrate Allemande mariée par arrangement entre les deux familles. Refusant son sort, elle finira par s’habituer à Angleterre et à son époux, deux fois plus âgé qu’elle. Audra Henderson, sa grande sœur, âgée de 30 ans aujourd’hui, cette dernière est mariée à un aristocrate Anglais. Elisabeth vient en troisième position. Le second ? On n’en parle pas. Bryan Henderson, déshérité et rejeté de la famille il y a de cela bien longtemps. Enfin, Léonard et Paul Henderson, deux jumeaux dernièrement nés, ils ont aujourd’hui quinze ans. Ensuite ? Ensuite il n’y eu plus personne. La naissance éprouvante des jumeaux emportèrent Alberta dans sa tombe.
Nationalité, origine(s) : Anglaise et Allemande ( de sa mère).
Métier : Vétérinaire. Malgré le désaccord de son père. Une passion depuis l’enfance, une chose qu’Elisabeth à toujours souhaité faire.
Niveau social : Riche, très riche. En plus de ses bons revenus, Elisabeth est subventionné par son père. Ce dernier à finalement consenti à lui faire parvenir des fonds. Quelques petits milliers par ans. Ce n’est pratiquement rien pour lui. Pour Elisabeth, cela lui permettrait même de ne pas travailler, chose à laquelle elle se refuse. Son niveau social est donc très élevé.
Description Physique.
Typiquement anglaise. C’est ainsi qu’on pourrait la décrire. Son teint est pâle, trop pâle mais Elisabeth ne cherche pas à foncer la couleur de sa peau. Mais tout de même, elle est vraiment très blanche. Ses cheveux sont longs et soyeux. Très bien entretenu, elle prend le temps chaque matin de bien les brosser. Une queue de cheval la plupart du temps, ou simplement relevé à l’aide d’un bandeau. Ayant trop souffert des coiffures extrêmement sophistiqué de sa domestique, Elisabeth se refuse à tout chignon ou pinces qui pourraient lui tirer le cuir chevelu. Plus de massacre pour son pauvre crâne. Ses deux yeux noirs ressortent beaucoup, contrastant avec l’ensemble de son visage. Légèrement trop grand, mais pas globuleux non plus ce qui au final lui donne un regard assez profond voir mystérieux. Chose à laquelle la jeune anglaise ne prétend pas. Ceux-ci sont encadrés par de fins sourcils de la même couleur que les pupilles.
Son nez brusqué est parsemé de tâches de rousseurs, celles-ci s’étendent sur les joues. Comme si l’on avait saupoudré cette petite bouille de plein de petites tâches orange. Ses lèvres cependant apparaissent de façon bien plus volumineuse que son appendice nasal. Alors que celui-ci est fin et légèrement relevé, sa bouche est pulpeuse, imposante, riche de couleur. La forme de sa bouche aurait pu lui donner un air vulgaire et décalé, mais cela ne colle pas au personnage, heureusement. Elle la maquille souvent d’une couleur assez foncé, stricte, comme le rouge sombre ou encore le bordeaux, voir le violet.
Elisabeth est quelqu’un d’assez fine, voire maigre. Non pas qu’elle ne se nourrisse pas ou souffre d’une quelconque maladie. En fait, elle mange même beaucoup. Sa morphologie est juste comme ça. Elle peut manger sans grossir, et cela l’arrange énormément. Ses bras pendouillent mollement à ses épaules légèrement courbées. Ses jambes donnent l’impression qu’elles vont lâchées à chaque instant. Sa taille est fine, elle ne possède presque pas de hanches. Sa domestique lui disait d’ailleurs qu’elle ne risquerait pas d’avoir un enfant si elle restait ainsi. Ses fesses sont légèrement relevé mais sans plus, pas de quoi attirer l’œil. Quant à sa poitrine… une catastrophe, selon elle bien sûr. Bonnet B , c’est sa taille, chose qu’elle se refuse à dire, pour elle il fallait faire du C, au minimum, D c’était encore mieux. Alors elle avait essayé tous les trucs de grand-mère pour faire pousser sa poitrine, rien n’y faisait. Elle était condamnée au B. Il était vrai que sa poitrine n’était pas très grosse, mais elle était joliment sculptée et cela la jeune femme ne le voyait point.
De toute façon, même si elle n’avait pas de forme, personne n’avait pu le constater. Lorsqu’elle habitait avec son père, elle était forcée de porter de longues robes, des corsets, tous ces vêtements qui vous meurtrissent le corps et l’esprit. Depuis qu’elle vit seule, Elisabeth porte des vêtements plus simples. Rarement de jupes, la plupart du temps un pantalon et une chemise. Elle choisit souvent ses vêtements la taille au dessus, histoire de cacher un peu son manque de forme. Pas de couleur, pas de froufrous, pas d’ornements de trucs inutiles. Noir, gris, blanc, que des valeurs. Une robe ou deux trainent dans sa garde robe, pour les grandes occasions. Il en est de même pour les accessoires. Une paire de boucle d’oreille qu’elle ne change jamais, un chapelet blanc ayant appartenu à sa mère, et un ras le coup noir, son préféré, elle dort même avec parfois. Pas de bague, pas de bracelet. Elle évite aussi le maquillage à outrance, ne mettant que le stricte nécessaire. Vêtue de noire, d’apparence stricte et un peu vieux jeu Elisabeth est le genre de fille qui passe très facilement inaperçue dans la rue.
Caractère.
A l’inverse de son physique frêle et fragile, Elisabeth est une femme de caractère. Elevée dans la noblesse anglaise, elle apprit les bonnes manières et l’art de se tenir en société. Ainsi jamais vous n’auriez entendu de sa bouche une insulte, un mot déplacé, une quelconque vulgarité. Lorsque la jeune femme a quitté Londres pour arriver au Japon, elle quitta aussi la noblesse et tous ce blabla qu’elle ne supportait presque plus. Elle adapta le langage japonais courant contre le langage soutenu anglais. Elle troqua le « zut » discret que l’on laisse échappé lors d’une erreur pour un « merde » plus franc et plus direct que l’on sort un peu à toute les sauces. Elisabeth ne s’est pas non plus transformée en un véritable charretier à jurer pour un oui ou un non, loin de là. Elle reste toujours polie envers les gens, mais s’est familiarisé et apprécie grandement la chose. Plus de formule de politesse à rallonge, plus de suffixe ou préfixe débiles accrochés à cause de tel ou tel titre de noblesse. Juste un nom, un prénom qui suffisent amplement.
D’un naturel peu curieux, la jeune femme se satisfait amplement de ce qu’elle a. Elle ne cherche pas forcément à regarder à côté, ni à aller parler à des individus qu’elle ne connaît pas. Elle se contente d’aimer son travail et son chien, qu’elle promène tous les soirs. Elle mène une vie de routine, complètement banale, mais dont elle ne se plaint pas. Sa seule motivation, ou presque est dans son travail, ambitieuse, voire carriériste pour certains, elle aime ce qu’elle fait et souhaite progresser dedans. Non pas pour elle ou son image, non pas pour son père qui attend ses résultats, mais pour les animaux, l’une de ses passions depuis son enfance. Ces derniers sont une source de motivation énorme. Concernant les nekos, Elisabeth n’en a jamais vu auparavant. Son père ne souhaitant pas en acheter comme domestiques, trouvant cela répugnant, la jeune femme s’est alors contentée de saisir quelques rumeurs qui passaient sur eux dans sa grande école bourgeoise. Fortement intéressés par ces mi humains mi animaux, elle fera tout pour ses rapprocher d’eux, ne sachant pas non plus que ceux-ci se vendent.
Élevée dans le luxe et la richesse, elle ne rechigne pas sur la vie qu’elle mène actuellement, bien moins luxueuse et bien plus proche du bas peuple comme dirait son père. Même si elle possède un appartement assez grand, elle n’a jamais embauché un quelconque domestique, préférant faire les choses par elle-même, rejetant les ordres que lui donnaient ses anciens domestiques lors de son enfance, s’habiller comme ceci, se coiffer comme cela. Elisabeth aimait avant tout sa liberté, chose qu’elle n’avait pas eue depuis 25 ans et dont elle comptait bien profiter. Femme libre ne voulait pas pour autant dire femme libérée. Plutôt coincée dans les mœurs, elle est du genre à fuir si un garçon l’approche trop rapidement. N’ayant pas vraiment eu l’habitude de côtoyer le sexe masculin, elle est en réalité craintive de ses derniers. Elle eu un fiancé, qui lui baisait la main pour la saluer, Elisabeth n’a encore jamais été embrassé. Loin d’être la rêveuse assise sur son balcon à attendre le prince charmant, elle s’en moque un peu en réalité, les rapports sociaux ne la concerne pas vraiment. Un peu misanthrope en fait, beaucoup trop solitaire dans l’ensemble.
Histoire.
Sept heures et demie du matin. La jeune anglaise prenait le métro dans sa future ville. Elle avait déjà emménagé dans un appartement chic et propre, ni trop grand ni trop petit, son chien Poupy avait déjà fait ses marques, chose qu’elle n’avait d’ailleurs guère appréciée. Elle se dirigeait vers son premier entretient d’embauche. L’hôpital de la ville l’accueillait ce matin même à huit heure précise. Elisabeth pensait arriver avec au moins un quart d’heure d’avance. Malgré le permis et le véhicule elle ne souhaitait le prendre, de peur de ne pouvoir se garer dans cette immense ville. Les transports étaient bondés le matin, et sentaient le savon. Forcément, le matin, les gens étaient propres, le soir l’odeur risquait d’être plus dérangeant. Elisabeth repensait à son entretien téléphonique. Elle avait été surprise de tomber sur un hôpital en cherchant une clinique vétérinaire, mais lorsqu’elle avait donné le nom de son diplôme la personne n’avait pas fait remarque particulière. Peut-être avait-il un service vétérinaire. Dans un hôpital ? Étrange. La jeune anglaise espérait secrètement qu’elle pourrait étudier les nekos, cette race hybride qu’elle n’avait encore jamais vu. D’ailleurs, elle avait regardé un peu autour d’elle, espérant en apercevoir un mais non, pas la moindre oreille de chat à l’horizon. Avaient-ils une conscience pleinement humaine ou celle-ci était-elle aussi altérée ? Plein de questions concernant ces chats se bousculaient dans sa tête, tellement qu’elle failli louper son arrêt. Elle sortit en trombe, bousculant une personne au passage, se retournant pour s’excuser.
Dehors il faisait froid, suffisamment pour qu’elle regrette de n’avoir pris quelque chose de plus chaud. Sept heure quarante-cinq, elle arrivait devant l’hôpital. On devait la recevoir d’ici peu. Huit heure et de mi, personne. L’anglaise commençait à paniquer, était-elle au bon endroit, était-ce le bon jour, la bonne heure ? Alors qu’elle se levait pour demander un renseignement à l’accueil, quelqu’un prononça son nom. Un homme assez âgé, une cinquantaine d’année, bien vêtu, bien coiffé. Timidement, elle s’approcha de lui, lui serra la main et puis le suivit dans son bureau. Elle posa son blouson et s’assit docilement comme il le lui demanda sur une chaise en cuir. Froid, la chaise était froide. Elle retint une grimace et sourit poliment. Parlez-moi de vous. Première question. Elisabeth commença.
Elle était d’origine anglaise, elle ne précisa pas la noblesse, chose inutile. Elle avait étudié dans une prestigieuse université la médecine, puis s’était spécialisée vétérinaire. Elle était sortie majeure de promotion. Elle avait eu les meilleures notes de toute la classe. Complimentée par ses professeur et admirée par ses camardes de classes, elle vouait une véritable passion aux animaux et à la médecine. Aider les animaux, les soigner, c’était ce qu’elle avait toujours voulue faire. Elle expliqua alors son parcours. De façon assez courte. Si elle devait raconter tout ce qu’il s’était passé depuis sa naissance cela serait plus long. Mais l’homme en face d’elle lui demanda de commencer du début. De tout raconter. Prenant une grande inspiration, elle commença alors :
Je suis née un 25 décembre. Le jour de Dieu selon ma mère, le jour où Jésus est venu au monde. C’était un signe.C’est ainsi qu’elle portait ce prénom là : Elisabeth, Dieu est promesse. Sa mère l’avait choisi le jour de sa naissance à cause de ce jour particulier. Croyante et très pratiquante, Elisabeth fut tout de suite la favorite de sa mère à cause de sa naissance. Lorsque la jeune anglaise vint au monde, elle avait déjà une grande sœur, plus âgée de 5 ans et un grand frère, qui avait deux ans de plus qu’elle. Sa mère l’allaita pendant quelque semaine puis ce fut une nourrice qui prit le relais, la mère étant trop fatiguée. A l’âge de cinq ans Lise eu son premier précepteur. Il venait chaque jour lui enseigner l’histoire, la géographie, l’art, l’équitation, les mathématiques. Elle préférait cependant la science et la biologie, l’étude des plantes, de la nature. Elle aimait quand en de rares occasions elle et son précepteur sortaient étudier les roches et les végétaux. Les journées s’enfilaient les une à la suite des autres et au fur et à mesure Elisabeth se transforma en une belle jeune femme, mais cela non sans mal. Son éducation fut très stricte. Elle n’avait pas le droit de sortir sans autorisation, n’avait pas d’amis jusqu’à son entrée à l’université. Elle devait veiller à son teint, à son maintien, à sa taille, à son poids. Porter des robes aussi lourdes qu’encombrantes, des corsets qui lui serrait la poitrine, des chaussures qui lui donnaient des ampoules.
Son quotidien était fait de repas long à mourir, de courbettes à n’en plus finir, de titres de noblesses, de tonnes de nom à retenir, comte, duc, prince… Il y avait aussi les intrigues politiques dans lesquelles elle était fortement initiée, les mariages arrangés, les relations sociales du beau monde quoi. Sa sœur subissait les mêmes traitements, mais cette dernière un peu plus rebelle fricotait avec le palefrenier et sortait tard le soir en cachette, souvent couverte par les mensonges de sa petite sœur. Les deux jeunes femmes s’entendaient bien mais n’avaient guère le temps de se voir. Hors de ses cours Elisabeth apprenait la couture, l’art de la table, de la composition florale. Bien trop de choses inutiles selon elle, mais comme une bonne petite fille, elle récitait sa leçon apprise par cœur chaque matin, sans fautes, sous l’œil attentif et fière de ses parents.
Le premier « événement » de sa vie fut la mort de sa mère et la naissance de ses deux petits frères. Elle avait dix ans. Deux jumeaux qui poussèrent la jeune femme dans la tombe. L’accouchement fatigua Mme Henderson et cette dernière succomba quelques heures après avoir mis au monde deux petits bouts de chair rose. L’enterrement se passa dans un silence macabre. Endeuillé pendant plusieurs mois, Elisabeth se rendit compte qu’elle n’avait finalement pas tant pleuré que ça. Elle aimait sa mère mais n’avait jamais vraiment eu de moment particulier avec elle. Il en était de même avec son père, jusqu’à ce jour. Suite au décès de son épouse bien aimée, Henry Henderson décida de passer plus de temps avec ses enfants. C’est ainsi qu’il surnomma sa deuxième fille Lise, son enfant dont il était le plus fière.
La vie continua. Le manoir reprit peu à peu vie. Son père portait toujours le deuil, Elisabeth l’avait quitté depuis déjà deux mois. Son apprentissage devenait plus difficile, plus pénible. Elle était confrontée à des situations plus variées dans le monde de la noblesse. Sa sœur était déjà fiancée et n’allait pas tarder à se marier, Lise savait que son tour ne tarderait pas. Elle n’avait guère envie de finir dans les bras d’un noble dont elle ne connaissait que le nom. Les propositions arrivèrent vers ses quinze ans. Son fiancé fut choisi par son père, elle, n’avait bien évidemment pas son mot à dire. Un jeune homme charmant, beau, blond, un peu trop grand, pas vraiment intelligent mais fils d’un noble. Elle s’y résigna, se moquant de l’avenir pour l’instant.
Peu de temps après, un drame éclata. Son grand frère fut renié de la maison. Les causes ; encore aujourd’hui elle restées floues, son père n’avait voulu lui en parler. En tout cas, Bryan Henderson avait quitté la maison sur ordre de son père, déshérité, humilié et renié par sa famille. Apparemment il avait un peu trop joué avec les servantes de sa fiancée. Buvait beaucoup, se moquait de pas mal de monde. Il devait sûrement avoir fait quelque chose de plus grave pour être mis à la porte de chez lui, mais personne excepté père n’en sut quelque chose. Juste des rumeurs.
A 18 ans, Elisabeth quitta la maison pour aller étudier à l’université de médecine. Elle dut négocier durement avec son père qui refusait d’écouter sa requête. Il lui laissa finalement le droit d’aller étudier sans envisager de métier par la suite, il considérait les études de sa fille comme un caprice. En quittant la maison, la jeune femme découvrit le monde. La technologie fortement avancé était prohibé dans le manoir. Elle rencontra des jeunes femmes de son âge avec qui elle se lia rapidement. Pendant sept ans elle se consacra entièrement à ses études. Elle ne sortait pas à l’inverse de ses camarades de classes qui finirent par se décourager tant elle essayer de la motiver à décrocher des études. Elle restait tard le soir le nez dans ses livres. Le résultat payait plutôt bien. Elle décrocha ses première année de médecine haut la main et obtenu l’accord de son père pour la spécialisation. Lors de ses années là, une autre mort survint, celle de son fiancé. Elisabeth était au premier rang lors de l’enterrement, pourtant, elle ne l’avait pratiquement jamais côtoyé, cela ne lui faisait pas grand-chose de le voir partir, peut-être un petit soulagement malsain. Suite à ceci, la question de son avenir se reposait alors.
A force de persuasion, de preuves concernant sa volonté, elle finit par convaincre son père de la laisser partir travailler à l’étranger. Triste de voir partir sa fille, il lui souhaita tout de même de réussir dans ce qu’elle entreprendrait.
"C’est ainsi que je suis là, devant vous, avec l’espoir d’en apprendre plus sur cette race appelé neko."Elisabeth rougit quelque peu, elle regrettait sa dernière phrase, elle n’aurait peut-être pas du en parler. Apparemment ceci fit l’effet inverse chez le directeur qui sourit lors de ces derniers mots. Il se leva un peu soudainement et lui tendit la main.
« Félicitation, vous êtes embauchée. Vous venez, je vais vous montrer votre nouveau poste, vous aller adorer. »Un peu surprise mais heureuse, elle s’empressa de le suivre dans les couloirs de l’hôpital.
Autres.
•
Aime : Les animaux, son travail, et c'est déjà pas mal..
•
N'aime pas : Le contact physique, ou du moins en a peur. Qu'on la prive de sa liberté.
•
Particularités, autres : A un chien : Popy. (Il ne sera pratiquement pas joué dans les rps)
•
Code de validation :
Validé par
Judikaël ♥