"Bang! Bang! Bang!"

Il y avait un neko qui bougeait drôlement dans l’animalerie. En regardant comme il le faut, on ne voyait que des hybrides lassés d’attendre après leurs futurs maitres. Il y en avait tout de même un dans sa salle au fond de l’animalerie. La salle n’était gère éclairé. On aurait dit que c’était intentionnellement qu’on l’avait laissé ainsi. Le neko dans cette salle se frappait volontairement le corps contre la porte pour qu’on l’entende et qu’on porte une plus grande attention à lui au fond de cet enfer. Il y avait sur l’extérieur de la porte un petit pedigree qui résumait un peu ce que l’on connaissait de ce neko. Il y avait d’écrit :

Nom: Von Withell
Prénom: Bran Err Olier
Âge: 21 ans
Surnom: Le Boucher Sanglant
Sang: O négatif
Divers: A tué plusieurs humains. Il aime les couteaux. Ne jamais lui donner de couteaux. Il est plus dangereux qu’il en a véritablement l’air. Voir le vendeur pour de plus amples informations.

Bran avait une camisole de force pour l’empêcher de se déprendre. Le propriétaire avait dû l’enchainé pour être sûr qu’il ne tenterait rien. Il portait un collier de métal attaché à ses poignets. Il pouvait tout de même bouger comme bon lui semblait. Err était remplis d’énergie et devait la dépenser. Ses habits de neige étaient tous empilées dans un coin. Olier voulait qu’on lui laisse bien plus de liberté qu’il n’en avait déjà. Il voulait pouvoir courrir plus librement qu'il ne le faisait déjà. Il voulait ne plus respirer cette odeur d'animalerie qui était impregnée en ces lieux. Après une dizaine de minutes à s'amuser ainsi, Bran s'assit dans son coin et relaxa. Il prit quelques minutes pour penser à ce qu'il aurait très bien pu faire pour ne pas qu'il se fasse attraper.

*Bon cela fais quelques semaines que je suis ici et personne encore n'est venu me voir. Ils sont tous des pissou. Ils ne veulent pas tenter de se retrouver mal pris avec moi. C'est tout à fait normal. J'ai moi même répandu cette rumeur qui veut que je soit vil et sans pitié. Celle qui me décrit comme le Boucher Sanglant. Ce n'est pas si difficile de faire croire n'importe quoi à ses humains. C'est même très facile de les manipuler. J'aurais dû faire quelque chose pour empêcher que Allyna ne se fasse avoir de par cette balle. Cela aurait du être moi qui aurait du la prendre. Mais sans le savoir, elle était déjà morte dans mes bras. Si j'aurais été à sa place, elle ne serait pas morte... Allez sortez moi de cet place qui sent pas bon.*

Von Withell se releva et recommença à se frapper dûrement contre la porte. Il fallait bien que le vendeur se tanne de l'entendre. Il viendrait, Bran le savait. S'il continuait ainsi, c'était certain. Allez une fois, et de deux puis de trois. Allez viens . Olier est peut-être petit et frêle mais, Err a un grand coeur qui lui permet tout genre de choses impensables pour sa grandeur. Von a la vitalité de sa jeunesse de son bord. Err arrêta de se heurter contre la porte quand il entendit les deux verroux de la porte se débarrer. Il avait finalement réussi à faire de quoi en ce lieu. Le vendeur ouvrit la porte regardant Olier d'un regard agressif. Err le dérangeait drôlement. Le marchand avait tellement envie de l'étrangler pour ne plus l'entendre.

-Que veux-tu satané bâtard? N'en a tu pas assez de m'énerver en te frappant contre la porte?

-Mais... moi tout ce que je veux c'est de boire un chocolat chaud. C'est juste cela que je veux. N'en ai-je point le droit? Je suis gentil sinon à part de cela. Je n'ai jamais rien fait... sauf tuer des personnes. Allez un petit chocolat chaud et je retourne tranquillement au fond de la cellule. Correct?

Olier s'avancait pendant qu'il parlait. Il ne voulait pas retourner dans cette cellule loin de là mais, un bon chocolat chaud le réconforterait certainement. Hum... un bon chocolat chaud... Le vendeur n'en revenait pas. Il l'avait dérangé que pour cela! Le marchand tenta de fermer la porte mais, Bran Err Olier Von Withell était dans le chemin. Le vendeur lui dit alors fou de rage:

-Tasse toi du chemin et laisse moi refermer la porte! Je n'ai jamais pû supporter ceux dans ton genre! Pousse toi sinon je vais te frapper!

Le vendeur s'apprêta à le frapper quand soudainement...

Naëline marchait le long des rues, avec un objectif simple, obtenir son premier vrai neko rien qu'à elle. L'idée de faire des Neko de combat l'avait amusée, mais aucun combat n'était organisé en ville, puis l'image d'un neko lui était venu à l'esprit. C'était des êtres humains avant tout, légérement plus que des humain. Et puis humain ou pas un être vivant ou non vivant à droit au respect.
Toujours dans ses pensée, un jeune homme qui regardait ses pied la bouscula involontairement. Il s'excusa. Fort beau ce jeune homme, mais Naëline avait quelque chose à faire avant de faire une nouvelle conquête qui tomberais en lambeau aussi vite qu'elle aurait eu son coup de foudre. Enfin bref, faisant taire sa petite voix dans la tête elle tourna dans la rue principale et tomba presque directement sur l'animalerie. Une grande bâtisse (le commerce de Neko apporte de bons chiffres d'affaire d'après 100millions de consomateurs) assez belle à l'exterrieur. Naëline poussa la porte. La vue et l'odeur lui tira une grimasse. L'odeur de désinfectant, de dejections, poubelles, et médicaments. La vue était beaucoup plus attroce que l'odeur ; Des rangée de grosses cages pouvant contenir un à deux neko. A première vue, Naëline vait l'impression de se retrouver dans un camp de concentration. Puis elle vit les neko, qui, à sa vue s'agitaient nerveusement. Certains aboyaient, d'autres miaulaient. Certaines femelles Neko étaient pas beaucoup habbilés. Le panneau écrivait : Jouet.
Naëline, bien que senssible aux charme du corps détestait que l'ont puisse considérer quelqu'un, même néko, comme un jouet, un tel jouet qui plus est.
Finalement Naëline entendis quelque chose frapper au fon du magasin. Le vendeur y alla vivement, sans trop se presser finalement. Visage rouge, sentant quelque peu les médicament contre le stress.
Naëline, sentant qu'elle ne serait pas conduite vers le neko de ses rêves immédiatement, elle alla à l'espace "attente" qui disposait d'un machine à boissons chaude, une fontaine à eau et un tabouret. Très... classe? Pas du tout! Minable. Enfin bref, notre cher Naëline alla se servir un bon chocolat chaud. Le liquide coulant fumait et avait une belle couleur.
La jeune femme attrapa son gobelet chaud. Alors qu'elle allait le porter à ce lèvres elle entendis une douce voix qui lui rappelait un souvenir lointain. Puis le vendeur commença à s'enerver. Naëline accourut, se renversant du chocolat chaud sur sa main. Grimassant de douleur elle arriva et vit le Neko défier le vendeur. Commen un être si plein de douceur et de tristesse pouvait être un prétendus sanguinaire.
Un chocolat chaud?
Naëline s'approcha. Le vendeur levait sa main pour frapper le jeune Neko. Naëline, par instinct se plaça entre le vendeur et le Neko. Le vendeur ne réussis pas à stopper sa main au bon moment. Naëline se pris une baffe qui fit résonner tout le magasin. Sa joue rouge, Naëline observa le vendeur surpris avec un regard, un vrai, de tueuse. Derrière elle se trouvait le neko, sa main brûlée et son chocolat chaud.

-Je demanderais une reduction pour cet acte injustifié. Vous m'avez frappée alors que je voulait voir l'écriteau de se Neko! D'aileurs, pourquoi ne pas leurs donner la boisson qu'ils veulent? Cela les rendrait plus dociles et plus proche de l'homme, n'est ce pas ce qu'on appelle "animaux de compagnie"?

Elle fit un petit geste signifiant au neko de prendre la boisson. La main brûlée ne supportait plus la chaleur adrente de la boisson fumante.
Soupirant de bien être quand elle pus s'ésuyer la main avec un mouchoir elle observa le vendeur.

-Je cherche un Neko impeuprès docile, trop me donnerait l'impression de prendre une esclave et cela me dérange fortement. Un mâle ou une femelle, peu m'importe, quoi qu'un mâle serais bien pour bien commençer, les femelles sont souvent agressives. Si possible un Neko connaissant des antécédents de combat ou autre, mais domestique à présent.

Elle fit une pause. Puis elle regarda sa main et sentit sa bouche sèche.

-J'y pense, quel est ce Neko?

Naëline cachait toujours la porte entrouverte. Elle entendait le Neko respirer. Boire? Qui sait?

Le vendeur était estomaqué devant ce que cette femme venait de faire. Défendre ainsi ce bâtard de Boucher Sanglant... Comment cela se peut-il Pourquoi lui? Il ne méritait que de mourir. Ce neko... non ce bâtard à ses yeux ne vallait rien de plus qu'un morceau de pain. En fait, il ne trouvait point aucun sens à la vie de tous ces hybrides. Le vendeur fut rapidement sortit de son questionnement par cette femme qui voulait savoir qui ce neko normalement enfermé dans cette salle puante était vraiment... Le marchand se devait de lui répondre. Ce bâtard était tout de même de la marchandise. Il ne pouvait dire le contraire. C'était son travail que de lui dire ces détails là.

-Il se nomme Bran Err Olier Von Withell mieux connu sous le nom de "Boucher Sanglant". Il est natif d'Allemagne. Il a 21 ans. Son sang est O négatif. Il adore les couteaux. C'est avec quoi il dépecait ses victimes. Les apparences sont parfois trompeuses.mIl n'aura pas de peur de vous découper un petites lamelles. Lorsque l'escouade de police l'a trouvé, il avait toutes sortes de couteaux sur lui. Si vous pensez l'acheter, je vous conseille de bien rester sur vos gardes. Il parrait bien gentil comme cela mais, c'est un véritable démon.

Pendant que le vendeur expliquait à cette damoiselle l'historique connu de ce petit être, Bran lui avait saisit le gobelet de ses dents et buvait comme il le pouvait. Ligoté comme il l'était, cela aurait était un record que de pouvoir boire ce verre normalement. Lorsqu'il eut finit, il s'assit et déposa le gobelet par terre tout doucement. Err alla se gratter l'oreille de son pied pour se soulager un peut. Olier semblait si calme... si innofensif. Il était comme un enfant qui regardait les grandes personnes parler entre elles. Von était amusé de par comment le vendeur réagissait. Bran était intelligent. Il ne l'aurait pas laissé le frapper. Il avait aussi trouvé le moyen d'ôter ses menotes et finalement sa camisole de force. Il savait comment user d'un couteau pour ouvrir un verrou. Ce n'était pas si différent avec ses griffes. De ses pieds, il commença à déverrouiller le tout. Le vendeur trop absobé de par sa discussion avec la damoiselle, il ne le voyait gère. Err fit très attention pour ne pas faire de bruit quand il déposera ses menottes par terre. Sans le faire exiprès, il en fit tomber une qui fit un "Cling!" Le vendeur se retourna vers ce bâtardé Il vit ce qu'il était entrain d'essayer de faire. Le marchand l'agrippalar le collet et le souleva.

-Comment oses-tu tenter de te libérer! Tu vas voir ce qu'il en coute.

Le vendeur perdait vraiment patience et si Naëline ne faisait rien, il ramasserait le neko comme il se devait.

Naëline entendis le petit "Cling" et se retourna vers le petit Neko. Le vendeur, fou de rage essaya d'attraper ce petit Neko. Naëline s'interposa encore, son regard n'était que braise.

-Laissez ce Neko tranquil ! C'est normal qu'il essaye de s'échaper aves toute ces menotes ! Je vous promets que zsi vous touchez à ce Neko je téléphonerais aux associations qui s'occupe de contôler la norme des cages et de la façon de traiter les Neko, car même dangereux nous devons les domestiquer et non les rendre sauvage et sachez que je fut la première fondatrice de ces hautes associations et que mes contacts sont haut plaçés.

Aucune crainte et une solidité sans faille annonçais à son recepteur qu'elle ne mentait pas et qu'elle n'hésiterais pas à mettre en oeuvre ce qu'elle annonçais haut et fort.

-Laissez moi seule avec ce Neko s'il vous plaît, je veux lui parler.

Sa,s demander l'avis à l'homme elle entra dans la cage qui sentait fort, grimassa un peu en voyant la litière qui ne devait pas être changer très souvent puis elle se tourna vers le Neko. Elle attendis que le vendeur soit partit pour lui parler :

-Raconte moi qui tu es. J'ai l'habithude de ne pas écouter ces vendeur. Tous des menteurs tricheurs et voleurs.

Naëline sourit. Elle se frotta sa main qui était encore rouge. Le vendeur la surveillait de loin, mais elle n'en avait peur. Et puis, même si les apparences sont trompeuse, même si ce neko était très malin et pouvait sembler sournois, son corps et son regards inspiraient la compassion, la peine et la douleur d'une injustice. A moins qu'il soit un très bon menteur, Naëline ne voyais pas en lui un boucher sanglant. Elle en avait vu des Neko rénégats. Aucun d'eux ne ressemblait à cette petite chose si mignone, si triste.

Le vendeur voyait bien que plus il se fâchait contre le neko, plus elle voulait le protéger. Plus Bran se défendait, plus elle semblait avoir envie de l'acheter. Le vendeur, alla déverrouiller ses menotes et son collier qu'il retira. Il défit la camisole de force qui dû rendre Err bien content. Le marchand partit un peut plus loin gardant un oeil sur ce monstre. Il n'avait pas envie qu'il tue une cliente. Lorsque le vendeur eut quitté Olier et Naëline, Von Withell s'étira et retira sa chemise de force. Un petit corps frèle se présenta à Naë. Un si petit neko avoir 21 ans... si frèle... non cela était impossible... ou bien était-ce la vérité? Bran s'étira pendant que Naëli lui demandait qui il était vraiment. Elle tentait d'entendre la vérité. C'est bien de tenter de savoir cela mais, notre neko ne lui dira pas la vérité. Il ne peut certainement pas révéler toute la vérité à ce sujet... enfin... pas encore. Il ne faisait pas encore assez confiance à cette damoiselle. Err alla se vêtir de ses vêtements d'hiver. Pendant ce temps, il se présenta un peut mieux que le vendeur ne le fit.

-Donc, je suis Bran Err Olier Von Withell. J'étais un neko sauvage avant que je ne me fasse attraper. Je suis un neko qui n'a fait ce qui était nécéssaire pour survivre dans la jungle industrielle. Alors il se peut très bien que j'ai tué au par avant. J'ai bien 21 ans. J'aime écrire, le chocolat chaud...et bien d'autres choses. Je déteste l'eau et les voitures allez savoir pourquoi. Je ne me souviens de rien de mon enfance. Je ne sais pourquoi. Ne t'en fais pas je suis bien dans mes habits d'hiver. J'aime revêtir ses habits continuellement. J'aime rire et faire rire les gens. Je suis paisible et patient. Je suis un neko méthodique dans tout ce que j'entreprend. Je suis tout le temps souriant et j'ai la langue assez franche. Je suis né le 13 octobre. Je mesure cinq pieds. Et bien voilà je me suis présenté. Était-ce assez?

Lorsque Bran eut finit de parler, il était entièrement habillé des seuls souvenirs qu'il avait d'Allyna. Il ne pourrait jamais s'en séparer. C'est bien trop précieux à son coeur pourqu'il puisse les laisser là ou n'importe où. Ils sentaient encore la douce odeur de cette tendre moitiée de Bran. Il les renifla un instant et fut apporté au septième ciel. Il pensait à tous les bons moments qu'il avait pu penser. Err était partis dans ses pensées. Le bon temps...

*Oh Allyna... Tous ces moments... si près... si loin... Tu m'as sauvé de la mort c'est certain. Si tu étais encore des nôtres rien ne serais pareil. Je serais avec toi à vivre encore des journées palpitantes. Maintenant... la vie ne mérite plus d'être vécue mais, je ne peux le montrer. Il faut que je reste souriant pour que le monde croient que tout va pour le mieux. Si j'avais su j'aurais...*

Naëline écouta la description que le petit Neko se faisait de lui même. Naé sentit qu'il avait du réciter cette phrases dans sa tête plus d'une fois. Souriante elle le vit dans ces vêtements d'hivers. 21 ans? Il était si petit, si frêle. Naëline pensa plutôt à un petit enfant, pas a un homme âgé d'un ans de plus qu'elle. Elle devrait faire attention à ce qu'elle dirait ou ferais. Il semblait si intelligent dans ces paroles.
Puis la jeune femme remarqua qu'il était dans ces pensée, elle ne voulut pas l'en extraire. Des bruits de pas s'approchaient. Naëline observa le vendeur approcher. Ce dernier lui cria :

-Ce Neko n'a pas le droit de porter ces vêtements !

Naëline lui lança un autre regard noir. Finalement il n'arrêteras pas de lui nuire.
Elle observa le Neko, toujours dans son nuage. Elle n'aimais pas sortir les gens de leurs pensée mais elle le pris dans ses bras, lui murmura :

-Je vais t'adopter, j'ai confiance en toi, Bran. Tu me rappel quelqu'un qui me manque, mais je ne te prend pas que pour ça, ce vendeur me tape sur le système, et tu doit sûrement en avoir marre toi aussi.

Elle lâcha le petit Neko et fit face au vendeur qui venait d'ouvrir la porte. Avant qu'il ne puisse ajouter ne serait-ce qu'un mot, Naëline prononça quelques mots :

-Je l'achète.

Le vendeur, surpris n'ouvrit la bouche mais ne parla pas. Naëline le bouscula et alla chercher elle même dans les tiroirs du commerçant une laisse, les papiers du Neko, sa médaille, son collier,... Dire qu'il y a des années elle était apprentie commerçante dans cet endroit maudit, rien n'a changé.
Elle retourna voir le Neko, lui mis le collier à peine serré, la laisse, la médaille et rangea les papiers dans son sac. Le vendeur furieux lui barra la route. Naé lui donna plusieurs billets qui contenais tout l'argent qu'elle devait et partit en annonçant un bref remerciement.

En sortant de la boutique elle respira longuement pour calmer sa colère. Elle sortit son portable et composa un numéros.

-Allô, Natasha? Peux tu envoyer un groupe pour vérifier les normes de l'animalerie du centre ville et vérifier le traitement qu'il donne aux Nekos? J'y suis allée et je suis pas sûre mais une vérification ne devrait pas faire de mal. Tu ne trouve pas? Cela donnerait une meilleure image à notre ville si le résultat est positif, sinon en changeant un peu vous pourriez donner vos félicitations plus tard. Enfin, je vais te laisser j'ai des courses à faire, je t'envoies mon derniers roman. Bye.

Elle sourit. Regarda le petit Neko et continua :

-Ça c'est fait, maintenant, dis moi ce que tu aimerais, des vêtements? Même si tu va porter ceux ci il t'en faut pour dormir et porter quelque chose d'autre si le besoin est de les laver. Et,...Que veux tu manger pour fêter ton adoption?

Lorsque Naëline dit qu'elle le prenait, Err sorta aussitôt de ses pensées pour réaliser ce qu'elle fesait. Elle voulait de lui. Ah bon il ressemblait à quelqu'un qu'elle a jadis connu? Meuh... il ne doit pas lui ressembler tellement que cela. Bran est un petit être au caractère fort. Il n'a pas peur d'affronter les dangers. Olier est un grand neko à la bravoure de mille d'entre les siens. Il ira toujours plus loin et encore plus loin si le destin veux bien qu'il lui arrive cela. Bran fit une grimace au vendeur tout en se cachant derrière Naëline. Il pourra de nouveau respirer l'air frais de l'extérieur. Sentir cette douce brise sur son doux petit visage. Ce neko mini mimi avait finalement trouvé chaussure à sa taille. Il n'aura plus à souffrir d'être ligoté ainsi. La liberté offerte à lui sur un beau plateau d'argent. Bran n'était que sortit un instant de ses pensées pour finalement y retourner assez rapidement. Il ne bougeait plus. Lorsqu'elle redit qu'elle l'achetait, il ressortit dès lors de ses penseés. Lorsque Naë lui mit le collier, il fut un peut décut. Ensuite ce fut la laisse. Beurk... une laisse. Sans que Naëline ne le remarque, il ôta la laisse de son collier pour se déplacer plus librement. S'il n'avait plus le droit de faire cela rien ne lui serait permit. Il suiva sa nouvelle maitresse dehors. Une bouffé d'air frais vien lui éclaboussé en plein figure. C'était si bon.

Par la suite, elle fit un appel à une de ses amies pour faire vérifier l'entretient de cette porcherie. C'était bien fait pour ce vendeur. Héhé... il va en avoir un surprise. Elle semblait avoir des liens direct avec la ville. Un peut comme si elle s'occupait de quelque chose dans cette ville. Finalement, elle fermit son cell et lui demanda s'il voulait d'autres vêtements... Non jamais, Bran portera toujours ces vêtements qui sont le seul souvenir de Allyna. Il ne pourra jamais les changer. C'est sa vonlonté qui le faisait ainsi réagir.

-Non je ne veux pas d'autres vêtements et je n'ai pas si faim. Toi qu'est-ce qui te tente de faire maintenant que tu m'as?

(Dsl manque d'inspiration)

Ce dont j'ai envie? Moi? Naëline réfléchis, à vrai dire elle n'avait pas fin, rien que le visage du vendeur dans ses souvenirs lui donnait la nausée. Elle se rappela toute cette scène. Puis elle dit joyeusement :

-Que dis-tu d'un chocolat chaud?

Elle rangea la laisse qui pendait dans son sac, elle se sentait mal à l'aise à l'idée qu'un Neko, à qui elle tenait beaucoup déjà, puisse partir, la laisser comme le Neko de ses souvenirs l'avait laissé.

-Tu sais, tu ne fais pas tes 21 ans. Et pour ton collier, je te l'enlèverais dès que nous serons à la maison, ne pas le porter dehors risquerais de te faire revenir dans cette porcherie. Quand à ta laisse je ne te la mettrais pas contre ta volonté même si le fait de te laisser comme ça me donne l'impression que tu va me laisser... comme lui m'a laisser...

Naëline regarda le ciel de ses yeux triste. Elle se réconfortais par mille mensonges. *S'il part, tant pis, j'aurais qu'à en acheter un autre. J'ai assez d'argent. J'en trouverais un mieux...* Mais elle ne voulait pas avoir un autre Neko, elle ne trouverais pas mieux...
Elle sortit de ses pensée, elle fixait le Neko avec des yeux attendris.
*Ne pas oublier qu'il a un ans de plus que moi*
Naëline soupira. Puis elle sourit au jeune Neko.

-Tu es humain de toute manière. Même si tu m'aidera à faire certaines tâches ménagères, on seras égaux, tu es d'accord?

Naëline regarda le collier. Bien qu'elle ne lui avait pas serrer à fond elle le trouvait quand même massif et il devait le gêner.

-Tu veux que je te le dessert un peu?

Plus loin, un jeune Neko vendait du chocolat chaud. La plupart des passants l'évitaient comme la peste, d'autres, rares, lui souriaient, mais sans pour autant lui prendre son chocolat pourtant si bon.
Quand il vit Naëline approcher il sourit et sa queue remua d'amusement.

-Bonjour mademoiselle Naëline, ce sera pour un chocolat chaud?

Naëline mis la main sur l'épaule frêle de Bran.

-Deux chocolat s'il te plaît. Je te présente Bran, je l'ai sortit de cet immonde animalerie aujourd'hui.

Le Neko sourit à Bran avec une pointe d'envie. Lui devait rester dehors à vendre du chocolat chaud alors que son maître, sévère, le punissait le soir car il ne rapportait pas assez.
Il demanda à Naëline si son dernier livre avançais bien. Naé y répondit positivement. "Bientôt" avança-t-elle.
Le chocolat entre les mains elle avança vers un banc où elle s'assit. Elle réfléchis puis parla calmement à Bran :

-Je vais quand même aller nous acheter des vêtement, même si tu ne les porteras pas, j'y tiens, je les préfères considéré comme un achat plaisir et dans un placard. Puis, ça te dis de rentrer ou tu veux passer par le parc?

Naëline observa le jeune Neko. Elle le trouvait mignon. *Un ans de plus.* Elle sourit encore. La jeune femme ne se lassait pas de le regarder. Il lui ressemblait un peu. Il semblait néanmoins cacher plus de secrets. Finalement en les comparant vraiment. Ils ne se ressemblaient pas autant que ça.
Mais peu lui importait. Elle l'aimait. Elle l'appréciais plutôt.

Bran n'eut même pas le temps de rien dire qu'elle propose d'aller chercher un autre chocolat chaud en pleine ville. Il se laissa mener sans rien dire. Il observait les alentours pour connaitre le chemin à partir de l'animalerie. Il ne voulait rien rater du regard même pas une lumière. Lorsqu'ils arrivèrent un peut plus loin sur leur route, Err vit un neko qui semblait vendre du chocolat chaud. Il semblait connaitre Naëline car de par son prénom elle fut appelé. Il semblait si triste de travailler ici et se doutait bien de pourquoi il souffrait de cette manière... Un maitre sans pitié qui le rabaisse à chaque journée car il ne rapporte pas assez d'argent à la maison. C'est normal de voir ça de par ici. Olier pirt son chocolat chaud et commença à le siroter. Olier sentait bien au par avant qu'elle ne lui dise qu'il risque de partir, qu'elle le pensait déjà. À voir l'intelligence de Bran, il n'aura pas de misère à survivre dans la nature. Voilà pourquoi elle voulait le garder en laisse. Ce n'est pas une vulgaire laisse qui le gardera ainsi avec elle. Elle avait payé clair et net pour lui. Il respecte sa décision et trouve même que c'en est une bonne. Il sait bien qu'avec elle il pourra jouer les 400 mauvais coups mais, elle est sa maitresse et rien de moins. Il lui dit alors:

-Merci beaucoup pour le chocolat chaud. C'est très gentil tout comme tantôt lorsque tu m'as sauvé de cette porcherie. Je n'aurais pu trouver moi même une meilleure maitresse. Je veux bien faire quelques petites choses chez toi pour t'aider mais, étant neko, je ne peux pas me penser ton égal. Cela ne se pourra jamais! Je suis un neko, une bête sauvage, un bâtard, un hybride... rien de plus que cela! Je ne pourrais jamais être au même niveau qu'une humaine! Tout de même, c'est bien de penser ainsi! Peut-être un jour penserais-je ainsi! Laisse moi mon collier comme il est! Il est très bien là! Il me rappellera que je n'ai plus le loisir d'aller ou je le désire! Je n'ai surtout pas envie d'être ratraper par cette escouade de police! Même si je ne garde pas de laisse, je sais qui est ma maitresse! Je connais maintenant ton odeur! Je saurais retrouver mon chemin vers ton chez toi! Je suis un neko un bon tout de même! Tu as payé pour moi et personne d'autre! Je suis ta possession! Tu es ma maitresse et je ne pourrais jamais te remercier assez pour ce que tu as fait! Certainement sans toi je serais là à pourrir tel un choux-fleur oublié dans le réfrigérateur! Alors ne pense jamais me revenir sur ce sujet une autre fois! Je ne suis pas comme elle... euh... je veux dire celui que tu as connu...

Bran semblait avoir changé totalement de comportement au cours de sa conversation. Il a changé à sa cinquième phrase. Il est passé d'un comportement normal heureux à un comportement un peut plus rageux allant vers la rage véritablement. Il levait le ton contre sa maitresse qui venait tout juste de l'acheter. C'était normal pour un vrai lunatique. Être lunatique ne veux pas dire d'aller dans la lune à bien des moments, mais, bien de changer d'un brin de comportement pour arriver avec un autre. Err parlait avec son coeur. Il prenait exemple sur ce qui était arrivé avec Allyna. S'il avait été plus intelligent, il aurait pris la balle et elle serait encore en vie. C'est pourquoi, il se pense bien plus bas que les humains. En même temps que Bran parlait, il pensait à plusieurs choses. Il n'arrivait pas à croire que Nae pouvait penser ainsi de lui.

*Zut, ne parle pas d'Ally. Il faut que je trouve un moyen d'aider les miens. Ainsi, je pourrais me racheter un peut sur ce qui est arrivé à Allyna. Je pourrais lui demander de sauver un ou une autre de ma race. Ce serait bien. Il faudrait aussi que j'aide ce neko qui souffre à cause de son maitre. Ce pourrait être bien mais, pas tout en même temps. Il faut que je rédige un horaire stric qui risque de me prendre beaucoup de temps. Il va falloir que je planifie cela pour passer du temps avec Naeline.*

-Oui si tu veux m'acheter des vêtements c'est bien correct. Je ne dirais point non. Et oui j'ai bien 21 ans. Je ne me souviens peut-être plus de ma jeunesse mais, je me souviens de tout à partir de 15 ans ainsi que mon nom, prénom et mon âge. Allons alors au magasin de vêtements. Cela pourrait être bien peut-être en fin de compte. On y vas? Allez guide moi maitresse et je suivrais.

Et voilà il était de retour à son comportement normal. Elle aura certainement un peut peur. Avec le temps, elle comprendra certainement qu'il est lunatique. Bran lui souria et observait le ciel longuement avant de retourner son regard vers Naeline et attendre qu'elle réagisse à ce qu'il venait de lui dire.

Plus le Neko haussait la voix plus Naëline se sentit d'une même colère, mais les propos du jeune garçon la faisait se taire et écouter attentivement. Finalement, même si la colère du Neko grandissait, celle de Naëline régressai. Elle s'en voulait. Finalement, alors que le Neko avait finit de parler, elle ne dit que quelques phrases :

-Désolé, tu n'es pas comme lui. Mais un humains peux avoir peur pour quelqu'un qu'elle apprécie. Évidemment, nous ne sommes pas vraiment égaux, mais sache que je ne te prendrais pas pour un esclave et encore moins comme un animal domestique.

Elle finit par prendre Bran dans ses brase et elle dit tout en le lâchant :

-Merci de ta fidélitée.

Sentant que le vent se rafraîchissait, elle croisa les bras et souris au garçon. Puis, sans un mot, seulement un regard entendus elle avançais vers les commerces. Elle sentait Bran la suivre, et cela lui réchauffait le coeur un peu plus qu'il y a quelques heures, avant d'entrer dans l'animalerie, elle ne pensait pas ressortir avec un tel spécimen, si adorable, si lunatique à première vue, mais tellement charmant et vivant.

[Désolé, pas trop d'inspiration, on conclus ce post ou pas?]