Bienvenue en enfer (PV Gargamel)

Date d'inscription : 28/05/2009

Umbre conduisit la voiture jusqu'au manoir, elle stoppa le véhicule devant les lourdes portes. L'entretient du jardin était bien avancer, même si ce n'était pas entièrement satisfaisant. Avec des esclaves au rabais, il ne fallait pas s'attendre à des prouesses. La jeune femme ouvrit la portière et attendit que le neko la suive. Elle ouvrit le portail ou une meute de chien attendaient derrière, alignées. Ils avaient sentie l'odeur d'une nouvelle boule de poils qu'ils dévoreraient bien. Les canidés ne comprenaient pas pourquoi leur maitresse ramenait les nekos sans leur permettre de jouer avec. l'Alpha fit même une crise de jalousie par moment, détérrant les rosiers, bien sur Umbre grondait les Nékos jamais ces chiens ne faisaient de bêtises à ces yeux.

" Dépêche toi un petit peu, je vais pas attendre qu'il neige. Il faut encore que je rentre la voiture."

Umbre caressa la tête de l'alpha, elle se souvint qu'il y a quelques mois. Un vendeur malhonnête lui avait vendu un chiot, un chien loup plus précisément. Le mâle était un lycaon d'Afrique, et la mère était une corniaud érrant que des chasseurs octochtones avaient perdu lors d'une chasse au lions. L'homme avait trouver la femelle lors d'un safary, l'avait adopté et vendu les chiots a ses plus fidèles collaborateurs. Umbre jeta un coup d'oeil au pièges, bien. Ils étaient encore en place. Cela voulait dire qu'il n'y avait pas encore eu d'intrusions ou de tentative de fugue...

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L'humaine attendit que l'hybride sorte de la voiture. Les chiens quand a eux restèrent assis en ligne droite, tel des soldats bien formés. L'alpha lança un regard noir au neko comme pour le juger, dans sa tête de chien il devais surement imaginé plein d'idées pour faire punir le chat. Avec de la chance, leur maitresse fera enfin partir les monstres de leur territoire. Mais le plus dangereux du domaine, n'était pas les chiens. Umbre possédait une jument noire comme la nuit, aussi froide et cruelle qu'elle. Un cheval a moitié sauvage qu'elle avais acheter a un abatoire. La pouliche n'était pas une pure race elle non plus, elle ressemblait plus a un grand poney. Agacée de tant de lenteur, elle lança d'une voix plus agressive:

" Hey georgette... Entre au manoir pendant que je rentre la voiture, à quatre patte. Les chiens veillerons a ce que tu obeisse"

Elle désigna la grande porte du manoir. Laissant le Neko seul avec les canidés, elle monta dans la voiture et la fit entrée dans le grand garage. Elle pris tout sont temps, jubilant en imaginant la peur que l'hybride chat avait surement des chiens. Il allait comprendre qu'ici on était pas chez mémé, qu'il y avait différentes hiérarchie, que les nekos étaient tout en bas de la chaine alimentaire. Bien après le cheval... Pourquoi avait-elle autant d'animaux ? La chasseresse leur faisait plus confiance qu'aux humains, elle ne les aimait pas plus que les nekos. Un manoir immense sans vie, était comme une garderie sans enfants. Umbre avait beau être une femme froide et cruelle envers les autres, elle haïssait la cruauté envers les animaux. Ironique pour une chasseresse n'est-ce pas ? Mais elle ne l'avouera jamais qu'elle n'est pas totalement noire, la seule personne qui la découvert a perdu sa tête qui trône désormais sur un pique dans sont bureau.

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La chasseresse sortie du garage, tout en fermant la porte elle entendit des cris. Allons bon, qu'est ce qu'il faisait encore ? L'humaine avança d'un pas rapide vers l'attroupement, visiblement le neko pensait que se faire passer pour un chien lui éviterais des coups de crocs. Au contraire, il avait mis la pagaille ... Les chiens ne lui auraient rien fais s'il se serait contenté de marcher jusqu'à la porte. Ils étaient dressé pour n'attaquer qu'à sont signal. Ce qu'il avait fait était juste une imitation de chien femelle ou d'un chiot allez savoir. Roulant des yeux, elle positionna les deux poing sur les hanches, jugeant d'un air blasé "l'animal". La seule chose qui l'amusa un petit peu, était la supplication du nekos pour qu'elle l'aide. Elle se demanda qu'elle raison avait-elle pour venir en aide a se Neko ? Le fric bien sûr. C'est l'unique chose qui la décida a sortir le chat de se pétrin... Non sans une pointe d'humour à la Umbre Hollow:

" Bon, Juliette tu as suffisamment amusé la court des roméo. "

Umbre le tira sans douceur par la queue de chat afin de le tirer de sous cette attroupement de "chiens féroces". D'un claquement de doigt la meute se remit en rang. Ils craignaient d'avoir leur ration de croquettes sucré pour cette faute professionelle de gardiens. Voyant que la cheftaine engueulait l'individu, les canidés comprirent qu'il n'était qu'un usurpateur. Ils avaient vu ça lors de leur dressage, si leur maitresse criait après un quadrupède, c'était forcement un chat. Les chiens pouvaient ressentir la rage de leur maitresse, en se fiant a la tension, ainsi qu'au ton de sa voix. Seigneur, se neko était a peine arriver qu'il attirait les problèmes, l'ironie, le ciel l'avait punie de sa cruauté pour lui avoir fait choisit un des pires nekos au pif ? Umbre savait qu'elle aurait du s'en tenir a ceux qu'elle avait, ou demander conseil a son cousin qui s'y connaissait en hybride.

" On rentre, puis tu prendra un bain... Tu est vraiment répugnant, déjà que la nature ne t'a pas gâté."

Secouant la tête elle ouvrit la porte du manoir mais n'y rentra pas de suite, Umbre ne confia pas son manteau a l'hybride bien qu'il sois esclave pour la simple et bonne raison qu'il était recouvert de bave de chien, qu'il puait et qu'il avait surement des puces... euh des poux. Umbre ressentait soudain une envie de décompresser, ce Neko allait être plus dur a dressé que les deux autres. Comme pour se défouler, elle fit un pas, puis deux en arrière et se positionna face a la porte ouverte, mais derrière le Nekos.

" Supplie ma divine botte de ne pas t'envoyer en spoutnik à destination, sac a puces."

Comme pour confirmer ces propos, elle flanqua un coup de pied aux fesses du Neko, digne d'une grande footballeuse. Si les chiens seraient des hyènes, ils ricaneraient de voir le chat ainsi malmené. Ils se contentèrent de le regarder, les crocs dehors et la langue pendante. Se jurant de se venger d'avoir été trompés par un chat de gouttière.

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Aver un sourire sadique, elle se délecta de la scène, elle entra lui marcha dessus et s'essuia les pieds sur sont dos. Voilà une leçon d'humiliation qu'il n'était pas près d'oublier. Au moins elle était sure qu'il ne tenterais pas de fuir, car les chiens érraient en permanence dans le jardin. La jeune femme retira le manteau finalement et le mis sur le porte-manteau. L'odeur du matou lui fit plissé le nez, pouah. La pauvre allait avoir du mal à vivre dans une tel porcherie, pourtant on disait que les chats étaient les animaux les plus propres. Même si il avait une excuse, jamais elle avouerais que ce soit la faute de ces adorables toutous.

" En tout cas tu n'est ni aérodynamique ni une flèche, si je m'écouterais je ferait de toi un paillasson."

Le dépecé serait aussi divertissant que jouer au foot, elle retira les gants qu'elle mis dans la poche du manteau.

" Il y a une pièce deuxième étage, quatrième porte à droite, où tu trouvera une salle de bain, tâche de ne rien cassé. Je t'attendrais au salon pour te cité les règlement du manoir, hâte toi. "

Autant demander a un enfant de ne pas toucher à quoi que se soit. Elle savait que les hybrides n'était pas totalement finie dans le coco. Elle n'était pas d'humeur a remplacer ce qu'ils cassaient avec leurs deux pattes gauches. Avait-il un sens de l'orientation ? A voir sa difficulté à analysé une situation, ça promet d'être gaie. L'épisode des chiens la fit ricané intérieurement, cela lui fit oublié temporairement sa mauvaise humeur permanente. La chasseresse se demandait comment se débrouillera t'il avec la jument qui était plus argneuse que l'alpha de la meute de chien.

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jl

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Umbre ne porta pas plus longtemps son attention sur le paillasson qui couine, qui s'en alla a l'endroit désigné. Elle continua sa route jusqu'au petit salon et s'installa près de la bibliothèque au fond de la salle. Elle avait envie de lire un bon livre, histoire de se détendre. L'étagère se trouvant au fond, quelqu'un qui entrerais ne la verrais pas de suite. La chasseresse s'adossa au mur et se mit à lire les aventures d'un assassin très talentueux à l'époque de la renaissance. Les murs étant de très mauvaise qualités, elle eu le droit a entendre le chant de la sirène de la salle de bain, sirène très poilue cela dis. Marmonnant des "j'ten donnerais moi de chanter" elle tourna les pages, se disant que si elle met le grappin dessus, elle lui apprendra a s'initier au passe temps de mimes plutôt que de se transformer en chanteuse d'opéra. Parlant de rat, quel rat ... Elle l'entendit revenir a quatre pattes, mais ne sortie de sa lecture que quand elle entendit les frottement des genoux sur le parquet près d'une porte. Umbre oberva le matou silencieusement, découvrant qu'il avait goût a la curiosité, elle fulmina. Umbre posa le livre sur l'étagère en plissant les yeux, sans jamais quitté le chat du regard. On aurais dit un fauve entrain de traqué une proie.

La chasseresse approcha a pas de velours, l'animal lui tournant le dos, elle s'agenouilla et l'attrapa par la peau du cou.. Comme on le ferait pour un chaton ou un chat qui fait une bêtise.

" Première règle, pas de curiosité."

En guise de punition, elle secoua le pauvre Neko par la peau du cou d'avant en arrière, lui faisant embrasser la porte de la pièce qui l'intriguait tant.

" Compris ? le poisson chat ?!"

Pourquoi poisson chat ? Il était encore mouillé, elle se redressa en s'essuyant les mains.

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Mensonges... Comme si elle allait le croire, lui le sac a puce digne d'une mémère qui rendrais gâteux n'importe qui avec son air de chat de salon. Elle le regarda avec mépris et croisa les bras, elle fis quelques pas dans la pièce sombre, les volets était a peine entre-ouvert, le bruit des chiens montant la garde se faisait entendre au loin, surement avaient-ils arrêter et mis en charpie un petit voleur, ce n'était pas rare que des brigands étaient attiré par la réputation de voleuse d'Umbre, ils pensais volé une grande voleuse... des jeunôt bien niais. L'ombre reporta son regard sur le chat et répondit d'une voix autoritaire:

" Tu me cherchais ? a d'autre. Si je te prend encore à fouiné tu aura a faire à moi. Il parrait que les chats castré sont obeissant, je n'hésiterais pas a prendre rendez vous chez un vétérinaie alors."

Elle s'installa dans son fauteuil

" Comme tu a pu le constater, je hais la curiosité mal placé alors tu n'entrera pas dans les pièces sans t'annoncer, si tu vole un objet je te couperais la langue ou un membre, si tu désobeïs tu aura le droit a des jours de diète et de torture que même les pires cauchemars seront rien à coté de ça."

Elle attendit de voir si il suivait pour poursuivre, il avait intérrêt a être attentif.

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