Miguelito était dans sa cage allongé à regarder le plafond pensif et rêveur. Il repensait à une chose toute bête... Aux nuages... Il n'en avait pas vu depuis une éternité enfermé dans cet endroit renfermé. Il aimait bien les nuages... Cette apparence presque crémeuse qui volait librement dans les airs... Il aimait les regarder quand il avait une minute de liberté chez ses anciens maîtres. Miguelito avait l'impression rien quand les regardant dans le ciel de flotter lui aussi parmi eux loin de tout ce monde. Il ne supportait plus les miaulements des autres chats de l'animalerie aussi il avait proposé au vendeur de l'isoler un peu à part dans l'arrière boutiqueet qu'en échange, il ferait le ménage dans toute la boutique à fond fèd que celui-ci en aurait besoin. Ce marché avait semblait plaire au marchand. Et même si Miguelito voyait encore moins la lumière du jour et l'extérieur dans l'arrière boutqiue mais au moins il était tranquille et dans le calme. Ce n'est qu'une petite heure avant la fermeture que le marchand venait le sortir de sa cage et le laissait nettoyer la boutique pendant une petite heure ou deux. le amrcahdn pensait attirer plus de client avec un lieu propre et agréable à voir.
Miguelito lui se perdait toujours dans ses pensées en effectuant le ménage avec un matériel tout juste utilisable. Il passait entre les cages derrière les meubles sur les poutres... Et il n'avait aucune intention de s'évader. il se sentait pas spécialement bien dans cet endroit au contraire mais il savait que c'était l'étape indispensable avant de trouver un nouveau maître.

Parfois en voyant certains clients entrer dans la boutique, il laissait son esprit vagabonder pour s'imaginer être leur esclave. Un petit sourire apparaissait sur son visage avant qu'il ne retourne à ses tâches ménagères.

Il était tranquillement en train de lire au bord de la piscine, son livre dans une main et un verre d'eau dans l'autre, parfois il levait les yeux de sa lecture, s'attardant sur les fenêtres du manoir où on pouvait voir passé une jeune neko avec une serpillère à la main. Ce n'était pas la sienne, il avait que faire des femelles, et il en avait même horreur. Mais il lui fallait bien quelqu'un pour faire le ménage dans sa grande demeure. Une fois par semaine, il l'empruntait à son voisin d'en face, étant gay il ne intéressait pas au corps des femmes et le propriétaire de la jeune neko n'avait donc pas de soucis à se faire... Mais la regarder courir dans tout les sens pour entretenir le manoir était quand même un spectacle amusant. Surtout que la femelle était quand même très maladroite.
Il se leva, posa sur une table son livre et le verre et alla se chercher une veste, prévenant au passage la femelle qu'il sortait.

Il se balada dans les rues de la ville, aimant prendre l'air, se changer les idées... Laissant ses pas le mener où ils le désiraient. Après une longue marche, il alla s'assoir sur un banc, regardant les passant et la rue où il se trouvait. Il n'avait pas vraiment l'habitude de se promener dans se quartier, et il commençait même à se demander s'il saurait retourner chez lui du premier coup. Il soupira et se leva.
Il alla repartir quand ses yeux s'arrêtèrent sur une boutique, de neko. Repensant à la femelle qui ne lui appartenait pas faire le ménage et à sa vie solitaire, il se laissa tenter et entra dans le magasin, s'il trouvait quelques chose, enfin, un bon esclave, il repartirait avec, et sinon, il repartirait seul. Dans les deux cas, de son points de vue il était gagnant, et si c'est juste un coup d'œil, il n'avait rien à perdre.

Il n'y avait pas beaucoup de client dans le magasin lorsqu'il y entra, étant assez tard ils étaient sans doute passé plus tôt, mais tant mieux.
Klein passa devant les cages où des nekos entassé miaulaient comme s'ils étaient au bord de la mort, juste pour attiré son attention et recevoir de la pitié. Mais ce bruit de fond ui donnait la migraine. Pour rien au monde il irait récupérer un petit chat comme ça.
Il tourna les talons et alla repartir, n'ayant pas trouver son bonheur, et au moment de franchir la porte, il aperçut un petit neko dans le coin de la boutique, en train de faire le ménage dans se trou à rat. En fait, peut-être qu'il avait trouvait se qu'il cherche. Se retournant une seconde fois, il alla voir le vendeur qui parlait déjà à un autre client. Pour une fois il se montra patient et attendis qu'ils eurent fini pour lui demander en montrant le petit chat du doigt.

-Dîtes, il est en vente ? Si oui, le prix et je l'emmène.

L'homme regarda attentivement le client, afin de voir jusqu'où il pouvait monter le prix et souri, se frottant les mains et prenant un air angélique comme n'importe quel marchant cherchant refiler n'importe quoi à n'importe qui.

-Mais bien sur monsieur, et pour le prix, heu disons...

Agacé par l'homme, Klein lui fourra une liasse de billet dans la main, le regardant de haut.

-Tenez, ça devrait largement aller non ? Aller chercher les papiers que je puisse partir de cet endroit.

L'homme s'inclina avec un sourire qui lui faisait trois fois le tour du visage et parti chercher les papiers en catastrophe, pendant que le jeune homme s'approcha de son futur esclave, un grand sourire.

-Salut toi. Dis, comment tu t'appelles ? ça te dis de sortir de là ?

Diego en train de passer ce qui lui servait de balai sous les tapis sagement l'esprit ailleurs essayant de s'imaginer les petits nuages qu'il n'avait plus le droit de voir dans cet espace. Il ne souciait de rien autour de lui jusqu'au moment où il vit s'approcher de lui un homme vêtu élégamment ce qui voulait dire qu'il ne s'agissait pas d'un esclave et pas du vendeur qui avait pour habits des vieilles loques recousues. Diego releva la tête et dévisagea l'homme qui avançait vers lui, il avait une allure sûre de lui et assez conquérante. Se pouvait-il que le vendeur l'ai enfin vendu à quelqu'un ?

La manière dont l'homme le regardait en s'approchant de lui l'en rendait sûr. Il avait devant lui celui qui serait sans doute son nouveau maître. La voix de l'homme coupa ses réflexions quand celui-ci à côté de lui se mit à lui parler. Son ton de voix grave laissait ressentir une légère impression de froideur mais Diego n'y fit pas plus attention que ça. Il se contenta de se redresser pour prendre une posture un peu plus digne pour regarder l'homme qui était désormais juste devant ses yeux. Il toussa légérement pour s'éclaircir la voix. La poussière qui l'entourait avait tendance à lui irriter la gorge et à le faire tousser. Il répondit alors sur un ton calme et doux aux questions que son maître venait de lui poser.

"Diego Miguelito Kayal, mosieur. Quand à sortir d'ici, je vous avouerez que j'en rêve. "

Lorsqu'il referma la bouche, il se mit aussitôt à errer dans ses pensées en regardant l'homme et à se demander tellement de chose sur lui... Serait-il un maître plutôt gentil et plutôt doux ou un maître cruel ? Lui demanderait-il simplement de faire le ménage et le bricolage, c'est-à-dire tenir un rôle proche du majordome ou aurait-il d'autres exigences ? Toutes ses questions se bousculaient dans l'esprit du Neko alors qu'il attendait que l'homme lui faisant face ouvre à nouveau la bouche pour parler.

Le jeune homme écouta tranquillement la réponse de son futur hybride, trouvant en même tant qu'il avait un magnifique voix, à la fois douce et clair... Pour la première fois sans doute depuis longtemps, le voilà qu'il était passionné par quelques chose, qu'il intéressait à une autre personne que lui même. L'observant de haut en bas discrètement, il alla lui ébouriffer les cheveux d'une main.

-Ne m'appelle pas monsieur, ce sera maître maintenant pour toi.

Il plongea son regard dans celui de son neko, il s'appelait Diego Miguelito Kayal, un nom bien trop long pour une si petite créature... L'observant sous tout les angles, il se demandait pourquoi il l'avait acheté, sur un coup de tête, mais surtout sur un coup de foudre... Et à quoi il allait servir. Pas grand chose, enfin, au moins si le petit chat s'occupait du manoir, la femelle n'aurait plus aucune raison de venir, tant mieux.
Le sortant de ses pensés, l'homme à qui il l'avait acheté revint avec des papiers à la mains, l'argent fourré dans la poche, avec un grand sourire victorieux. Il mena le jeune maître jusqu'au comptoir et lui montra les papiers que Klein signa d'un air agacé. Une fois les choses ennuyantes faîtes, il se retourna vers son mignon petit neko, un sourire sincère aux lèvres, avant de s'approcher de lui a nouveau et lui poser les papiers de son achat sur la tête, tout en les tenant de deux doigts.

-Voilà. Maintenant tu es à moi petit chat.

Doucement, il prit le poignet du neko s'apprêtant à partir en vitesse de cet endroit, quand le vendeur voulu lui attacher sa laisse. Le jeune maître l'arrêta d'un signe de main, espérant se débarrasser de lui...

-Mais, monsieur, s'il n'a pas sa laisse il risque de s'échapper... Laissez moi le..

Klein tenta de se calmer, sentant la colère lui monter. Il avait horreur de se genre de personnes.
*PU♦IN! C'est moi son maître non !? Qu'est ce tu viens encore nous faire ch♦er vieux c♦n !? Il est hors de question que mon neko porte un collier aussi pourris!*
C'est ce qu'il aurait voulu dire, il aurait bien voulu se lâcher un peu, pour pouvoir se défouler. Mais en même tant il ne voulait pas effrayer son nouveau neko avant même qu'ils soient rentré chez lui. Alors il se contrôla un minimum, soupira pour évacuer sa rage, et releva la tête affichant un sourire parfait... ou presque si on ne voyait pas ses mains se crisper sur le poignet de son neko, le faisait sans doute légèrement souffrir. Klein malgré un corps d'apparence plutôt faible, cachait bien sa force.

-Ce ne sera pas la peine, merci. Et je l'ai déjà payé, donc s'il s'enfuit, ce n'est en aucun cas vos affaires.

Ignorant l'homme Klein baissa la tête vers son petit chat, sans désserrer son emprise sur le pauvre poignet de Diego, impatient de pouvoir partir, et lui posa une question qui n'en était pas vraiment une..

-On peut y aller ?

Diego écouta à nouveau les propos du jeune homme avec attention et ceux-ci le convinquirent de ce qu'il supposait. Il vait bien face à lui son nouveau maître. Diego le fixa dans les yeux pour essayerde mieux percevoir la personnalité de son maître. Plus il le regardait dans les yeux et plus il ressentait comme une légère froideur cachée. il sentait que son futur maître devait avoir un caractère plutôt lunatique. Il fallait donc à l'avenir qu'il fasse particulièrement attention à ses propos et à ses gestes. Il n'avait aucune intention d'agaacer ou d'énerver sciemment son maître. Il préférait au contraire le satisfaire et être bien traité. C'est pour cela qu'il répondit doucement et avec un sourire léger.

" Bien maître "

Diego Miguelito baissa légérement la tête en prononçant doucement cette phrase comme un léger signe de soumission pour son maître. Diego se demandait si ce qu'il ressentait était seulement une impression ou véritablement la réalité ? Ses pensées étaient en train une nouvelle fois de l'éloigner de cette réalite pour lui faire gagner son petit monde mais il fut ramené ici bas par le crasseux vendeur qui revenait sans doute avec les derniers papiers à faire signer à son maître.Miguelito le regarda faire sasn rien dire. Apparemment ces dernières formalités étaient en train de fortement agacer son maître. Miguelito ne dit rien ne se faisant pas remarquer pour ne pas aggraver la situation.

Le geste que son maître fit pour lui montrer qu'il était à lui le fit légérement sourire puis il sentit une main sur son poignet. Il rougit légérement en découvrant qu'il s'agissait de celle de son maître mais se laissa totalement faire. Il ne réagit pas non plus lorsqu'il vit le vendeur sur le point de lui mettre un collier. après tout, c'était tout à fait naturel. Il en avait déjà porté plusieurs et n'avait absolument rien contre.Ce fut son maître qui s'interposa et qui l'empêcha de le faire ce qui surpris légérement le neko. Mais ce qui surpris surtout le neko se fut son poignet serré par son maître au point de lui faire mal.

Miguelito avait la peau fragile et n'était pas bien robuste du tout. Son visage griimaça pour dissimuler la douleur qu'il ressentait concentré sur cette douleur subite il ne fit pas attention au propos de son maître adressé au vendeur. Il ne bougea pas zet n'essaya pas de se dégager de l'emprise de son maître mais lorsque celui-ci se retourna vers lui en lui posant une question rhétorique. il ne put dissimuler la douleur que l'on voyait sur son visage et laissa échapper un léger gémissement de douleur de ses douces lèvres.

Regardant son neko en attente d'une réponse à une question qui n'en était pas vraiment une, il fut surpris de n'entendre qu'un léger gémissement. Il fronça un instant les sourcils avant de comprendre pourquoi son hybride réagissait ainsi, et maladroitement, il lâcha le jeune neko et s'excusa rapidement et froidement sans lui adresser un regard.

-D-désolé. Aller Viens.

En faisant plus attention cette fois, il lui prit la main, veillant à ne pas la serrer trop fort et se dirigea vers la sortie...