La question ( PV: Razel Baroquehat )

Date d'inscription : 28/09/2009

J'étais assez intrigué... Razel n'avait toujours ne m'avais toujours pas parlé. Elle était plutôt penchait sûr la route, ce qui était une bonne chose. Elle s'arrêta sûr un parking, juste devant un magasin d'habits. Elle descendit puis, elle me fis descendre à mon tour. Elle m'enleva le collier serré, qui entourait encore mon cou. Je n'aimais pas trop ce collier, les maîtres sans servaient pour tenir les nékos à fin qu'il ne s'échappe pas. Une fois ceci fait, elle me dit:

-On va aller te chercher des vêtements et autres objets dont tu auras besoin, n'hésites pas à demander quelques chose, on reviendra pas tous les jours. Je t'ai enlevé le collier car j'estime que je n'en ai pas besoin, à toi de me prouver que je n'ai pas eu tort. Je te laisserai choisir ce que tu veux, le prix n'est pas un problème.

Elle avait parlé d'un ton ni gentil, ni méchant, comme toute les personnes font quand ils s'adresse à un Néko tel que moi. Malgré ça, sa phrase m'intriguait... Moi qui voulais m'échapper dès qu'elle aurait le dos tourné... Si elle me rattrapera, s'en sera finit de "la liberté". Je restais donc sage en attendant que l'on trouve la partie homme du magasin.

Le magasin était assez grand, il y faisait chaud, mais par contre, il n'y avait presque que des habits de femme, ce qui m'étonnais. Au bout de quelques minutes, nous arrivons enfin vers les habits masculins. Il n'y avait pas grand chose, mais ça devait allé, et en plus ce n'était pas très chers. Je pris tout d'abord quelques pantalons, pas très chers, puis ensuite quelques haut (tee-shirts, pulls...). Puis enfin des sous vêtements (Chaussette et caleçons). Puis nous nous dirigeons vers la caisse. Nous fessions la queue comme tout le monde. J'étais assez gênais car il n'y avait presque que des humains, je ne voyais pas un seul Néko. Quand ce fût à notre tour, je déposa les affaires à la caisse. Cela ne coûta pas très chair.

Une fois les achats fait, nous retournions déposé cela à la voiture puis nous remontions à la voiture. Je n'ouvris toujours pas la bouche, je n'avais rien à dire, jusqu'à que la question me revienne à l'esprit... Pourquoi m'avait t-elle choisit. Moi? Et cette fois ci, je lui posa la question:

"...Pourquoi m'avais vous choisit..."

Chuchotais-je...

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Il nous fallu un moment avant de trouver un magasin où l'on vendait des habits pour homme, il n'y avait rien d'extraordinaire, mais il fallait dire qu'aujourd'hui je n'avais pas vraiment la tête à faire tout les magasins de la ville. Au pire on pourrait commander, ou encore faire du shopping lors d'une autre journée de congé. certes cela n'arrivait pas souvent, mais j'aurai plus de temps normalement, s'il faisait bien son boulot. Ce dont je veillerais, bref il fallu parcourir différents rayons pour trouver tous ce dont le neko aurait besoin. Je ne faisait pas vraiment attention à ce qu'il prenait, je lui avait dit que le prix n'était pas important, ce n'était pas pour vérifier ce qu'il prenait. De plus ce n'était pas moi qui portait les habits donc je ne voyais pas l'utilité de regardais tout ce qu'il prenait. Mais je voyais le regard posé sur le neko avec mépris, on me jetais le même regard. En fait on me regardait dune tel façon qu'on me faisait comprendre qu'il était scandaleux de faire s'habiller un neko dans les même magasins que ceux des humains. Un seul regard froid, les fit baisser les yeux. un vendeur vint vers moi, je lui montra ma carte d'identité avec mon nom écrit dessus avant qu'il ne dise quoique ce soit. Et il décampa tout de suite, après tout mon nom de famille était assez célèbre dans le monde des affaires pour que lorsque je rentrais dans un magasin on me fiche la paix.

Quand il eut choisit ce dont il avait besoin, nous sommes allait régler les achats, il y avait du monde à la caisse, nous dûmes donc faire la queue, ce qui m'exaspéra quelques peu. Je n'aimais pas voir tous ces regards posés sur le neko. Il ne leurs avait rien demandé alors ils pouvaient tout de même le laissé en paix. Néanmoins je ne fis pas de commentaire, si tout ceci ne le gênait pas. Je n'avais rien à dire. Au bout d'une quinzaine de minutes nous passâmes enfin et il ne nous fallu que cinq minutes, pour passer la totalité des vêtements et payé. J'ai payé par carte cette fois, je n'avais pas tant d'argent liquide que ça chez moi. Mais sortir ma carte golde ici me mettait mal à l'aise. Pour des raisons idiotes que je ne citerai même pas. La somme à payé était dérisoire par rapport à ce que j'avais prévu. Il n'avait pas fait d'excès ce qui était un bon point dans un sens, mais dans un autre il faudrait que je l'habitue à autre chose. Si je n'aimais pas étalé ma fortune devant les autres, je ne me privais pas non plus, et toute personne vivant à mes côtés ferait de même. Il faudra donc qu'il s'y habitue. Après avoir payé nous sommes repartis vers la voiture avec les paquets.

Après avoir mis les courses dans le coffre, nous montâmes dans la voiture et cette fois ci j'intimai Nagatsu à monter à l'avant côté passager. Puis sans un mot nous reprîmes la route. Un silence s'installa de nouveaux, et au moment où j'allais allumer l'autoradio, pour détendre un peu l'atmosphère. Nagastu me posa une question, heureusement que je n'avais pas allumer l'autoradio parce que je n'aurais rien entendu puisqu'il avait chuchoter. Il m'avait aussi vouvoyée alors que moi je le tutoyais. Je ne trouvais pas cela tellement juste, mais j'écoutai et réfléchis à la question qu'il m'avait posé. Elle n'était pas facile, c'était une bonne question. Pourquoi lui ? Il y avait plein de bonnes raisons, et toutes n'étaient pas vraiment bonnes. Comment expliquer un choix telle que celui là. Je pris quelques secondes afin de rassembler mes idées, les mettre en ordre et répondre de façon convenables. Certes j'aurai pu l'envoyer balader et lui dire que ça ne le regardait pas et qu'il n'avait rien à y redire. Mais c'était faux ça le regardais et de toute façon ce n'était pas mon genre de dire de telles choses. Cette fois je répondis plus doucement, presque gentiment mais c'était pas encore ça. Il me faudrait de l'entrainement. car je savais que ce n'était pas un de mes collègues ni mes parents. Alors ma façon de lui parler devrait être différentes, mais je n'avais qu'eux comme référence. Alors il faudrait que je m'y fasse autant que lui.

- Pourquoi pas toi ? Ce que je veux dire c'est que je cherchais quelqu'un pour m'aider dans ma vie de tout les jours. Comme tu auras bientôt l'occasion de le constater, je suis très prise par mon travail, me laissant que très peu de temps libre, et ce peu de temps libre je l'occupais à m'occuper de ma maison, bref je n'avais pas un instant pour moi. Mais tenir un tel rythme est difficile même pour moi, c'est pour cela que j'ai décidé d'emmener avec moi aujourd'hui quelqu'un qui pourrait s'occuper de ma maison. Et sur ta fiche il était écrit que tu savis très bien le faire, de plus c'est toi qui a attiré mon regard rien de plus. Je n'ai pas vraiment de répnse et il te faudra te contenter de celle là car je n'en ai pas de meilleur. Au faite je me suis pas présentée, je m'appelle Razel Baroquehat, quand tu me parleras tutoie moi, ce sera plus simple, et appelle moi par mon prénom. Je n'aime pas le mot maitresse. Et j'imagine que tu préfère aussi.

Date d'inscription : 28/09/2009

J'étais à l'avant de la voiture, et je regardais Razel. Elle avait réfléchit à ma question quelques secondes, c'est vrai qu'elle était très difficile à répondre... Puis enfin, elle parla:

- Pourquoi pas toi ? Ce que je veux dire c'est que je cherchais quelqu'un pour m'aider dans ma vie de tout les jours. Comme tu auras bientôt l'occasion de le constater, je suis très prise par mon travail, me laissant que très peu de temps libre, et ce peu de temps libre je l'occupais à m'occuper de ma maison, bref je n'avais pas un instant pour moi. Mais tenir un tel rythme est difficile même pour moi, c'est pour cela que j'ai décidé d'emmener avec moi aujourd'hui quelqu'un qui pourrait s'occuper de ma maison. Et sur ta fiche il était écrit que tu savais très bien le faire, de plus c'est toi qui a attiré mon regard rien de plus. Je n'ai pas vraiment de réponse et il te faudra te contenter de celle là car je n'en ai pas de meilleur. Au faite je me suis pas présentée, je m'appelle Razel Baroquehat, quand tu me parleras tutoie moi, ce sera plus simple, et appelle moi par mon prénom. Je n'aime pas le mot maîtresse. Et j'imagine que tu préfère aussi.

Elle n'avait toujours pas prit un ton particulier mais il était un peu plus doux que d'habitude... Quand à moi c'est vrai que je préfère tutoyais ou appelait les gens par leurs prénoms, mais je n'en avait pas eu beaucoup d'occasion. J'esquissa quelques secondes un petit sourire timide avant de regarder devant moi. Et de nouveau, une silence pesant s'installa dans la voiture. Cela dura assez longtemps, et j'en étais assez dérangé. Je décida de ne plus parler jusqu'au nouvel arrêt. Cela dura environ cinq grosse minutes, mais j'étais plutôt préoccupé par le paysage... Il y avait des forêts immense, ce qui attira mon intention. Quelque oiseaux étaient perchés sûr les quelques branches visible. La nature me fasciné quelques peu... Je me demandé comment elle était arrivé sûr cette terre... Moi même je me demandais pourquoi j'étais là... À servir des personnes jusqu'à la fin de ma vie... Pitoyable cette vie, mais tant que je ne me faisait pas maltraiter, ça irait déjà mieux...

Tout à coup, je remarqua que la voiture s'était arrêté... Nous étions devant une jolie maison ni trop grande, ni trop petite, normale en faite...
Razel descendit en premier de la voiture, avant que je ne fasse de même. Je regarda au alentours, il y avait quelques maisons, quelques arbres et une forêt qui se dessiné au loin... Je ne prit pas la peine de la regarder quelques minutes... J'avais de suite comprit ce que je devait faire. Je pris les affaires qu'il y avait dans le coffre avant de suivre Razel. Nous avançons près de la porte. Nous rentrions la l'intérieur. La première pièce était assez jolie, mais sans plus... Malgré ça, j'étais assez étonné. Une femme aussi enfermé sûr elle même , avait des goûts très étonnant.

" Woow, c'est super jolie "

Dis-je avant de regarder le plafond.

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