Laissez moi sortir.. et il vous sera promit pas mal de souffrance... { PV.

Date d'inscription : 20/12/2010

Les gens passaient et repassaient devant sa cage, mais personne ne se s'arrêtaient, oui ! À chaque fois qu'un client passait devant la cage de la terrible Perséphone, elle lançait un de ses regard qui vous glacez sur place et si quelqu'un s'intéressait à elle. Elle poussait des injures et des miaulements à vous glacez le sang. Non ce n'était pas une neko de ce qu'il y avait de plus sympa et encore moins de plus gentil envers ses humains, qui ne pensaient qu'à se faire servir, comme si ils étaient handicapés.. sornette... !

Le vendeur la foudroyait du regard. Peut être qu'aujourd'hui il ouvrirait sa cage ce personnage qui l'agaçait plus qu'autre choses.. à chaque fois qu'elle revenait dans cette animalerie il lui filait une correction, et oui ce n'était pas sa première escapade, ce n'était pas la première fois qu'elle était dans cette animalerie.. normal aussi. L'âge moyen des neko's était situer entre 13 et 15 ans. Alors que la belle Perséphone en avait déjà 18 . . . Elle soupira.. un enfant venait de partir en courant qu'elle avait montrer les crocs pour qu'il ne s'approche pas.. elle les aimait bien les enfants, c'est les parents qu'elle détestait pour emmener de si innocente choses dans un endroit qui respirer la luxure et l'esclavagiste.. si petit et déjà habitué à se faire servir.

Elle fit cela tout le reste de la journée, la nuit commençait à tomber et les clients commençaient à partir. En faite c'était presque l'heure de la fermeture et le vendeur qui ne voyait plus de client dans son magasin s'approcha de la cage, les sourcils fronçait un fouet dans une mains, Perséphone le regardait de haut malgré qu'elle était dans une cage. Il voulait ouvrir la cage ? La fouetter ? Elle n'attendait que ça ! Oui comme ça... elle pourrait s'échapper et lui faire sa faite avant cela.. Elle sourit alors que cela ne lui arrivait pas souvent. Ce n'était pas vraiment un sourire des plus saint faut dire. ..

« Alors comme ça, tu veux te la jouer à la dure ! Tu vas voir de quel bois je me chauffe.. tu vas payer pour t'être comporter de la sorte aujourd'hui.. tu vas souffrir ma belle.. et pas qu'un peu ! »

Elle le regardait sortir son trousseau de clé, elle attendait qu'une seule choses qu'il la trouve et qu'il ouvre sa cage. Elle avait sorti ses griffes, prête à lui sauter à la gorge, mais voilà.. alors que le seul espoir qu'elle avait de sortir d'ici libre.. une jeune femme entra dans le magasin, elle devait certainement avoir entendue ce que le vendeur avait dit.

* Shit … *

Date d'inscription : 14/12/2010

Naëline, par le désir de sortir de là un autre Neko et surtout, de voir si le vendeur était toujours aussi borné à garder une porcheries dont les normes obligatoires n'étaient pas respéctées. Si jamais elle téléphonerais à son amie et ferais le nécessaire.
Dès que la jeune femme entra dans l'animalerie, éspèrant une amélioration dans l'odeur et la vision, elle fut écoeurée. Jamais de sa vie l'animalerie avait sentis aussi fort. Commen les gens pouvaient entrer, parler à cet idiot de vendeur et supporter que les Nekos soient traiter ainsis.
La vue, qu'elle horreur. Les cages rouillée n'avaient pas été changées, certaines avaient été changer pour des plus petite. Beaucoup de Neko sauvages étaient enchaîners de la tête au pied. Rien n'avaient changer. Enfin, si ça avait changer, négativement!
La jeune femme outrée alla vers la caisse, piqua le téléphoner et commença à composer le numéro de son amie, sécrétaire d'une fabuleuse association de contrôle des animaleries vendant des Neko. C'est quand son amie décrocha que Naé entendis le vendeur et le bruit d'un trouseau de clefs, le tout en fer d'après le son clair des clesf tintant contre l'anneau.

-Renvois une équipe à l'animalerie dont je t'ai parler, c'est pire qu'avant et là le vendeur bat une Neko alors que je suis dans l'animalerie, je te laisse.

Elle n'avait pas laisser son amie parler que Naëline raccrocha et courrut vers le vendeur qu'elle attrapa par la chemise verte sale qu'il portait.

-Bon dieu depuis combien de temps ne vous êtes vous pas changé?

Naëline pris du recul et observa le vendeur qui, bouche grande ouverte, LA reconnus.

-Oui je suis revenue, et votre façon d'agir n'est en rien légal. Comme dit la dernière fois, mais si vous êtes idiot ce n'est pas ma faute, on domestique un Neko non pas par la violence et l'enfermement, mais par regard humain. Si la peine de mort existait ou mieu, le droit de tuer, sachez que j'ai assez de rencoeur envers vous pour me donner l'envie de vous laisser vous payer la tête de la ville et de la mienne.

Avant que le vendeur ne puisse ajouter quelque chose, le téléphone sonna. Le vendeur grogna et s'en alla en courrant vers le téléphone.
Naëline soupira, à force de se mettre les pieds dans le filet elle va finir par se noyer.
Son regard se posa sur la jeune Neko. Elle s'acroupis et observa la jeune fille aux cheveux bien originaux.
Naé sourit et parla d'une voix claire, ferme et sympathique :

-Qui es-tu petite Neko?

Ne sachant pas à quel genre de Neko elle s'adressait, elle n'hésitait pas à laisser beaucoup de sympathie dans son regard et à s'approcher de la cage au métal froid.

[Désolé court ce soir je n'ai pas d'inspiration désoley désoley désoley xD.]

Date d'inscription : 20/12/2010

« Je suis Perséphone, la neko à domestiquer...et vous êtes qui avec vos grands mots, plein de compassion pour notre pauvre race inférieure ? »

[ Cette fois, c'est moi qui suit désolée x_x, pour le temps que j'ai mit à répondre et pour la qualité aussi.. je ne me suis pas relue et il est 6h du mat chez moi xD Donc voilà ^^ je tenais quand même à poster aujourd'hui, car je ne sais pas si je serais dispo dans les prochains jours ... vive les profs et leurs devoirs ^^'' ]

Date d'inscription : 14/12/2010

Naëline fut, sur le coup, surprise par les propos de la Neko. Elle la prenait donc pour une maîtresse pleine de compassion, d'amour etc... Eh bien peut être que Naé n'était pas une grosse sadique ni une maîtresse qui profitait du corps de ses Nekos comme punitions. Naëline pensa qu'elle était plus humaine que ça. Et elle pensait que les Neko avait droit à un minimum d'humanité.
Mes grand mots? Oui Naé exagérais souvent, utilisait des mots forts, mais elle est une personne très impulsive et assez lunatique qui font d'elle une personne avec un caractère assez étrange et souvent, on ne la supportais pas.
Naëline souris. Elle aimait les caractères forts, mais elle ne pourrait vivre avec une Neko rebelle chaque jours. Elle aurait du mal à vivre et cette Neko prendras vite la dominance. Naëline lui dit alors :

-Je suis Naëline Sauvage.

Naé se disait que ce n'était pas le fait d'avoir une Neko qui dérangeais, mais d'avoir une Neko rebelle qui lui disputerais la place de maître dans la maison.
Naé se releva et observa la Neko. Dans ce regard il n'y avait aucune joie, de la colère, peut être de la fureur. Naé n'était pas spécialiste dans la reconnaissance des sentiments, mais elle savait un minimum reconnaître les sentiments les plus forts chez quelqu'un.
C'est alors que Naëline vit l'oeil de la jeune féline. Naé se pencha et l'observa plus attentivement. C'était étrange tout en étant magnifique et mystérieux.

-Tu a un oeil bien étrange, d'où cela vient-il?

Naé n'avait jamais considéré un Neko comme une marchandise, un objets. Plutôt comme une adoptions.
Naëline vit le vendeur aller s'asseoir à la caisse, il observait les gens dans la rue.
La jeune femme soupira et détourna son regard de cet homme pour retourner vers le visage de la Neko. Naé lui sourit.

-Je ne devrait pas te prendre. Sache que même si je suis assez gentille je reste une dominante. Je connais la compassion mais je ne me soumet pas. Étant une Neko qui a l'air assez dure j'ai une raison de plus de ne pas te prendre. L'instinct de conservation du rang sûrement... et j'ai peur. Je n'hésite pas à le dire. Plusieurs choses me font peur : ton comportement, une probable fuite, que tu fasse des choses qui m'apporterons des ennuis. Tant de choses font peur aux hommes. Et c'est cette peur qui a fait de vous des esclaves.

Naëline fit une pause.

-Si je te prend j'aimerais un minimum de fidélité. Tu pourras te promener, travailler si tu le désire, pour ton compte évidemment. Je te demanderais juste un investissement à la maison. J'habite une villa assez grande et le travail est assez grand. Tu auras une chambre meublé.

Naëline soupira. Pourquoi fallait-il qu'elle change toujours d'avis?

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