Hopital.

Les lettres se troublement quelque instant, et d'autre mot apparaissent derrière " Hopital psychiatrique St- Jeanne". Alice les fixe un long moment, puis secoue la tête. Non, il se trompe, c'est juste le froid qui lui monte à la tête. Restait enfermé plusieurs jours de suite à l'interieur n'était vraiment pas une bonne idée. Même lorsque il a quitté l'appartement, et que les goutes de pluie se sont écroulait sur son visage, cela ne l'a pas reveillé. A vrai dire, Alice n'était même pas sur de c'être reveiller. Peut-être, un peu, dans le couloir. Puis après, tout c'était passé comme dans un rêve. Mais l'idée ne lui plaisait pas. Un rêve, c'est du bonheur, et le bonheur, ça s'injecte dans les veines. Et il était sur qu'a aucun moment, il n'était drogué. Si cela ne tenait qu'a lui, il se serait écroulé à même le sol. Dormir. Maintenant, oui, il ressentait la fatigue de toute les nuits blanches accumulées. Et pourtant, la simple sensation du corps glacé d'Abysse contre lui arrivait à le convaincre de ne pas le faire. Même le sang qui avait éclaboussé son visage était froid. Alice ne savait pas si cela était normal. Surement pas, il n'en avait jamais touché en quantité, mais les rares fois, c'était tiède, presque chaud. Le bruit d'un chariot de médicament à quelques metres le fit sursauter. Encore une fois, il eu la sensation de s'eveiller temporairement d'un rêve. Il entendit de nouveau les talons des infirmières claquait contre le sol blanc, les paroles des médecins. Vit les regards égarée sur lui quelque secondes. Sentit l'odeur écoeurante de médicament et du propre. Tiens, la pluie ne claquait plus contre les vitres. Peut-être qu'il devrait rester dans son monde, finalement. Son corps de recroquevilla un peu plus (si cela était possible), bien que son regard restait fixé sur un point invisible. Plusieurs fois, des médecins était venu lui demander si tout allait. Bien qu'il "accompagnait quelqu'un", il devait surement donner l'impression que c'était lui, qui avait besoin de soin médicaux. Son regard bleuté se déplaca sur la pendule. Pendant quelque secondes, il fut imcapable de la lire. La fatigué se faisait encore ressentir, mais il se reffusait à se laisser aller à la luxure qu'était le sommeil. Et puis, il n'avait pas envie de se reveiller dans une des chambres alentours .... Ensuite, la porte, une nouvelle fois. Non, décidement, elle était trop loins. De toute façon, son corps n'avait pas retrouvé assez de force pour s'enfuir. Ou bien était-ce l'inquetude qui le paralisait ? Il secoua la tête. Non, surement pas. Il ferme à demi les yeux, écoutant encore pour quelque secondes les paroles des gens autour de lui. Il ne pleut plus, regarde, il ne... Il quoi ? Son cerveau ne veut pas marcherr, du moins, pas correctement. Il ne... Mais quoi à la fin ? Alice est sur de connaître ce mot, alors pourquoi en veut-il pas sortir ? Inquetude, peut-être. Quelque secondes, encore, puis il n'entend plus, déconnecté. Qui désigne un goufre, un endroit sans lumière ... Abysse, encore.

Le brun se demanda vaguement combien de temps on allait le mettre à l'écart. "On s'occupe de lui, ne vous inquetez pas." Sourire doux de la part du médecin, qui devait surement penser quelque chose comme pauvre garçon, il a du bien avoir des ennuie pour arriver dans cet état, et prononcé du même ton que les autre docteurs à St Jeanne lui disait de ne pas s'inqueter, qu'on allait s'occuper de lui.Mais étrangement, cela ne l'a pas rassuré le moins du monde. Pendant quelque secondes, il était sur qu'avoir écouté sa neko était une mauvaise idée, qu'il n'aurait jamais du enmener Abysse ici.

Regarde, il ne pleut plus, il ne...

Regarde ce que tu a fait ! Tu a abîmé mon visage ! , il hurle, une fois qu’Abysse tombe à côté de lui. Non, c’est un mensonge, Alice ne l’a pas hurlé, même pas dit, juste pensé, et encore. Quel égoïsme, la phrase se rajoute à la suite de la première. Mais c’est vrai, son visage le brûle, et c’est encore plus douloureux que tout ce qu’il a pu ressentir jusque là. Il est habitué au coup, mais la simple idée que c’est Abysse qui lui a fait cela suffit à faire surgir la douleur … Il réfléchit, et petit à petit, la douleur s’efface. Il l’a dit, c’est Abysse qui l’a fait, et l’idée n’est pas si déplaisante. Quelque seconde de plus, il se hais de penser cela, c’est… Abject, il croit. Il n’arrive plus à penser, depuis le premier coup sûrement, et il lui faut attendre quelque seconde avant une première réaction. Ses mains se posent sur les épaules du jeune homme, le pousse légèrement sur le côté, mais ne le laissant pas tomber. Alice se redresse, serrant instinctivement le corps évanouie contre lui. Est-ce qu’il mort ? Première pensé cohérente. Sa main se pose sur sa joue glacé.

- La mort te va bien, sourit Alice sans se rendre compte.

Il observe le visage glacé de son cadet, la forme presque apaisé de ses trait par l’inconscience, la blancheur justement trop pâle pour être normale de son visage … Alice se demande comment certaine personne peuvent le prendre lui pour un ange, sans avoir vu la beauté de celui qu’il tiens dans ses bras. Retournement de situation. Maintenant, c’est le blond le plus faible des deux. Alice se redresse un peu plus. « Abysse ? » il murmure, prenant peu à peu conscience de la situation. « Abysse ? Abysse ! » doucement, puis de plus en plus fort. Et c’est au moment ou son regard commence à trembler, comme si de nouvelle larme allait verser que la porte du salon s’ouvre.

-OII, Byakuran !! On est ren- ...

La voix de l’aînée de ses hybrides, Hello, meurt avant d’avoir fini se phrase. Son regard violet passe d’Abysse à Alice, froidement. Derrière elle, la benjamine (Michiyo) s’exclame que « Oh, Jillian-chan à encore tué quelqu’un ! ». Bruit de coup , suivit de la voix neutre du cadet (Kalok) « Maître Alice, pas Jillian. » Cela semble trop d’un coup pour la plus grande qui assener un grand coup de poing dans le crane des de petit, et aussi d’Alice, qui commence sérieusement à se demander si ce n’est pas la soirée.

- Je te préviens Byakuran, je ne t’aiderais pas à balancer le macchabée dans la baie de Tokyo !
-Il n’est pas mort !

L’affirmation d’Alice ne semble convaincre aucun des trois, qui regarde pensivement les éclats de verre et le sang sur les deux. Hello s’approche, leve une main vers le cou d’Abysse. Le brun recule brusquement, toujours en le serrant contre lui. Elle soupire et marmonne que c’est juste pour verifier si il est en envie, et non pour l’ammocher encore plus.


-Il serait plus simple de le jeter dans la baie, marmonne Hello en composant le numéro de l’hopital.
- Que- Quesque tu fais ? blanchit le jeune homme qui avait déjà très bien compris.


Hello ouvre la bouche, pour expliquer, puis se tait. Elle sait la réticense de son maître face à tout ce qui est médical. Soupir. Silence. Kalok entraine Michiyo dans le salon, peut-être pour lui épargner le spectacle, ou pars que tout ça, c’est des trucs de grands.


- Je suis désolé, mais il va falloir l’enmener à l’..

[... ]

- Comment s'appelle t'il ?
- A- Abysse...
- Abysse comment ?
- ...
- Monsieur ?
- Je ne sais pas.
- Vous ne savez pas ?
- No- ...
- Et vous ?
- Alice.
- Mais Alice comment ?!
- Grimm !
- Donc Abysse Grimm.
- Ce n'est pas son nom.
- Il n'est pas votre frère ?
- N-Non !
- C'est honteux, monsieur, honteux. En plus d'avoir perdu du sang, ll a des marques de coups, de coupures, et bien d'autre ! Votre frère ! Mais vous le battez ou quoi ?!
- Mais ce n'est pas mon ...
- Taisez vous !
　
Le brun baissa la tête, comme un gamin pris en faute. Derrière l'infirmiere qui était censé le questionner sur les cause de "l'accident", il remarqua le regard compatissant du docteur occupé à soigner une énième coupure sur le bras d'Abysse. Non, je ne le bats pas, non, Abysse n'est pas mon frère, non, il n'habite pas avec moi, il repete, pour la 7éme fois. Alors, qui est-vous pour lui ? Il lance un regard au blond. Je ne sais pas. Vous ne savez pas ? Non. Docteur, nous avons affaire à un drogué ! Mais enfin, calmez vous ... Alice ferme les yeux. Il est fatigué, marre de répondre à ses questions, marre de l'hopital ... Il a envie de partir, mais il a compris depuis un moment que l'infirmiere ne le laissera pas s'echapper comme ça. C'est vrai que ça pique la curiosité, un jeune homme plus ou moins recouvert de sang, portant un corps inanimée. Des questions encore, donc il ne saisit que certain mot. "Passer" et "Adresse". Puis voyant qu'il ne répondra pas, l'infirmiere quitte la salle, suivit du docteur. Silence. Il va s'en sortir, ils ont dit, ce n'est pas bien grave. Alice avait approuvé du regard. En boule sur l'unique chaise de la chambre, il écoutait le bruit lent de la perfusion relié sur le bras du blond. Un long moment s'écoula, les rideau étant tiré, Alice ne pouva pas trouver la réponse à la phrase qu'il avait entendu dans la salle d'attente. "Regarde, il ne pleut plus, il ne..."

Son regard retombe sur Abysse. Lui non plus, ne semble pas heureux d'être ici. Ses sourcils se sont legerement froncés, à moins que ce ne soit son imagination. Cela lui donne un air de gamine pret à faire un caprice, c'est mignon, Alice pense. Bien qu'il n'osait pas bouger depuis un long moment, il pose un pied à terre, et attend, comme si le simple geste effectuait aller reveiller les cauchemard du passé qui dormait au fond de lui.

" Leve toi, marche, ce n'est pas si compliqué, pense à Abysse ..."

Un pas, deux pas, il tombe. Depuis qu'il est ici, ses forces l'on complètement quitté. Et Alice sait qu'il ne sera mieux que lorsque il sera à l'exterieur. Mais pour l'instant, il faut rester, au moins jusqu'au reveil d'Abysse. Il se releve, et se place en face du lit, pour le regarder mieux, mais aussi parsque il peut s'appuyer contre le rebord. Après la peur, l'inquetude, il y'a... l'ennuie. C'est vrai, après avoir longuement observé le visage endormie du blond, il n'y avait rien d'autre d'interessant à faire. Débrancher la perfusion serait peut-être amusant... Il l'aurait bien fait, si cela n'aurait pas risquait de mettre en danger l'équilibre de santé d'Abysse. Peut-être qu'il pouvait aller le faire dans une autre chambre... Non, mauvaise idée. Il ne veut pas sortir. Alice à peur... Peur de s'aventurer trop loins, de se perdre. Et puis ici, il se sentirais presque .... en sécurité. C'était surement ça qu'il ressentait tout à l'heure, la sécurité.

Quelque chose de doré brille à sa droite. Il tourne rapidement la tête. Ce n'est que le manteau du blond. Encore un peu humide. Alice n'avait jamais remarqué à quel point les coutures était.... jaune. Comme les cheveux d'Abysse, il ne l'avait jamais remarqué, mais maintenant que ceux ci était négligeament posait sur des dras imaculées, le contraste était saisisant. Même pas jaune, dorée, un peu comme les rayons du soleil matinal, aveuglant. Il s'ennuie, encore. Regard rapide sur Abysse. Il dors, toujours. Sa main glisse sur le tissus obscur. C'est doux. Tiens, il y'a quelque chose dans la poche. Il hausse un sourcil.... Une montre ?

Il se laisse tomber sur le bors du lit, l'observe sous toute les coutures. En faite, c'est juste une montre. Toute simple, banal. Pourquoi s'attendait-il à trouver quelque chose d'aussi interessant que son proprietaire ? (Je sais plus si elle fait de la musique quand on l'ouvre, alors je fais comme si x___x)

- Tiens ...

La montre s'ouvre, et une petite musique envahi la pièce. Abysse aime beaucoup les boites à musique, tout de même, pense t'il de nouveau. Cela lui fait penser à la sienne, qui est resté sur le sol de la maison. Il espere qu'aucuns de ses hybrides ne la cassera par mégarde. Ce serrait ... Vraiment regretable. Et puis, pourquoi pensait à ça maintenant ? Il a d'autre souci plus grave. La musique lui semble legerement plus joyeuse que la sienne, mais plus douce, plus belle peut-être. Quelque pars cela fait naître un peu de jalousie au fond de lui. Alice soupir, regarde encore Abysse, la montre toujours ouverte dans la main.

- Tu compte encore dormir longtemps ... Le beau au bois dormant ?

(Alors, ça te plait >___< ? J'ai l'impression que... C'est très long.)

Sweet Dream~~

Tiens encore cet endroit, omniprésent dans ses souvenirs, ce jardin, ces personnes tout absolument tout ; il s'en souvient. C'est un petit garçon blond aux yeux à la particularité vaironne, il avance sur un chemin un peu plus loin de la bâtisse, dans la broussaille, il n'a ni chemin pour le guider, ni quelqu'un à ses cotés qui pourrait l'aider, il est seul. Abysse, un gouffre, ne pouvant pas exprimer ces sentiments il ne montre pas que sa solitude lui pèse, il en souffre énormément. Regardant un ciel qui est demi jour demi nuit étoilé, il avance ne regardant pas ou il marche, de toute façon cela arrivera au même pour lui. Zut il vient de tomber, tant pis il se relève et continu son chemin, mais que cherche t'il à la fin ?, ce gamin seul.. Ah changement d'espace, il a grandit , vingt ans, l'âge adulte en quelques sortes. Il n'a pas vraiment changé toujours aussi sinistre et solitaire pourtant quelque chose a changé, il n'est plus aussi inexpressif, à cause de lui, Alice, jeune homme plus âgé que lui et d'une beauté presque irréel (de sa vision) tout comme elle il l'a "changé" mais pas complètement. Son chemin est entièrement recouvert de noirceur, il n'y a plus de couleur, rien, pourtant il continu d'avancé, réveille toi , il t'attend...

Good Morning~~

Une musique... Abysse connait cet air par cœur, il le reconnaitrait entre milles , dans une foule dans un endroit ou le bruit est à son comble il serait l'entendre, "sa musique" sa mélodie d'âme, celle qu'Alice à écrite pour lui. Le son des lames d'acier émanant de sa petite montre fond pour lui un réveille si doux mais aussi tellement douloureux. Souvenir souvenir. Ses yeux s'ouvrent petit à petit, il se doute bien de qui a pu hormis "lui" ouvrir sa montre gousset. Les harmonies , les notes, cette montres n'a pas de défauts, pourtant Abysse se dit que le "parfait" n'existe pas dans ce monde, ses yeux vairons a demi-ouvert il voit à l'emplacement ou il sentait un poids cette personne , si importante à ses yeux, elle semble plus fragile, il aurait tant aimé la protégé pendant ce moment ou ils n'ont plus eu signe de vie l'un est l'autre même s'il se rendait tout les soirs quasi devant la porte du lieu d'habitation de ce dernier. Et comme un parfait abruti la seule chose qu'il trouva à faire c'est de le frapper et de perdre son sang froid même si ce "mad-hatter" a quand même bien exprimer le ressentiment d'Abysse à ce moment la. Le jeune blond se redressa un peu de sa position allongé, il sentit tout de suite l'effet des anti-douleurs et eut un moment d'hésitation. Il n'avait jamais vraiment eut les hôpitaux dans son cœur, mais rien que de savoir qu'ils l'avaient "touché" cela le répugnait il détestait tout ce qui se rapportait à la médecine, ces termes compliqués, ces instruments bizarres, et par dessus tout ces médecins et infiermières. Il posa une main sur son front comme pour voir s'il était vraiment lui, étrange façon de procédé, ceci fait il remarqua tout de suite qu'il avait de multiples bandages et une perfusion dans son bras gauche, horreur, d'un geste quasi nerveux il arracha celle-ci, la balançant à l'autre bout de la pièce malgré qu'il n'y eut pas mis beaucoup de force. Il frotta un peu son bras puis enfin se concentra sur cette présence en face de lui, bien qu'il ne m'y pas longtemps à effectué toutes ces choses.

My précious Alice..~~

Combien de fois son regard avait-il été capté par le sien ? environ une dizaine, il resta là, assis a regardé Alice qui ne bougeait pas non plus, la mélodie venait de s'arrêté cela eut pour effet de réveillé une nouvelle fois Abysse en quelque sorte, il attrapa la chaine qui était directement relié à la montre et tira dessus un coup sec, rattrapant cette dernière avec tout de même énormément de précaution et la referma. Il regarda cette dernière un long moment pour lui mais juste quelques minutes en temps réel, un silence pesant régnait dans la pièce, mais que dire ?, excuse moi de t'avoir frappé ?, oui il devrait certainement commencé par la mais en son intérieur son caractère de gamin joueur l'en empêchait, il soupira un sourire mélancolique affiché sur son visage, puis il regarda Alice de nouveau,

- C'est étrange de t'aimé...

Ah merde il ne devait pas parlé, bah tant pis pour cette phrase ce ne doit pas être très....important ?, pourtant il le pensait au fond de lui, aimé cette personne pourquoi est-ce aussi compliqué, son cœur était deja occupé qui plus est mais par un mort, c'est assez sordide comme idée, il sourit à lui même puis regarda par la fenêtre même s'il ne faisait pas vraiment attention, que dire....
Abysse remarqua une petite lueur rouge qui clignotait ah... ils vont se ramenés ?, comment... ah oui peut être lorsqu'il a retiré sa perfusion... non impossible, bah on verra bien.

- Très étrange...

 Le contact de la montre glacé dans sa paume s’échappa brutalement, ramenant d’une certaine manière Alice dans la réalité de la chambre d’hôpital. De nouveau, il ressentit la fatigue d’être ici, étouffé par ses peurs passées. Oh… Ah bien y réfléchir, une montre ne s’échappe pas toute seule. Il tourne la tête, observe le visage concentré d’Abysse lorsqu’il referme la montre. Peut-être un peu contrarié, aussi. Il ne fallait sûrement pas y toucher, mais au lieu d’avoir des regret, cela amuse un peu Alice. Amuser, voilà un bien grand mot. Il serait plus approprier « distraire », car tant qu’il serait présent dans un hôpital, rien ne pourrait l’amuser. Il réfléchir un instant. Peut-être que Abysse, si, finalement. Ses prunelles bleu se ferment un court instant. Finalement, même si il n’est plus envahi par la musique, Alice ressent la même sensation de sécurité. Imperceptiblement, il se rapproche d’Abysse. Il sent son regard insistant sur le moindre de ses gestes. Et si il lui en voulait de ce qui c’était passé plus tôt ? Alice réfléchit, puis regarde son bras , comme pour prétexter qu’il n’aurait pas du arracher la perfusion, et en profite pour se rapprocher encore plus. Il se mord la lèvre, sachant qu’il devait dire quelque chose. Lorsque la douleur se fait sentir, il s’arrêta, mais fut immédiatement coupé par une phrase du blond.

Etrange de l’aimer ? Ah… Une envie soudaine de fermer les yeux se fait ressentir, mais la pression qu’effectue les iris vaironnées d’Abysse sur les sien l’en empêcha. Cette phrase lui rappelait quelque chose, quelque chose de lointain. Il l’avait déjà entendu, et pas comme il aurait put la saisir dans la conversation de deux personne, non, cette même phrase lui avait déjà était adressé, mais où … Avant. A St-Jeanne ? Non, Alice ne pensait pas que c’était là. Peut-être après. Après sa fuite, peut-être. Quelque mois…Oui, quelque mois après. Au début, quand il avait commençait à se prostituer, avec l’un de ses premiers client. Son regard bleu se perd dans le vide, fixant pour la première fois Abysse sans le voir. Qui lui avait dit ça ? Blanc. Un garçon au yeux… Bleu ? Non, violet. Oui, il s’en souvenait maintenant, des cheveux blanc et des yeux violet. Par contre, impossible de se souvenir de son nom. Etrange, comme le blond disait si bien. Encore une fois, il n’arrivait pas à se souvenir de ce qui c’était passer après que le premier garçon lui ai dit ça. Peut-être que c’était une sorte de malédiction, il oubliait toute les personnes qui en venait à l’aimer. Alice se « reconnecta » à la réalité, et répondit donc avec un long moment de retard, remarquant qu’Abysse ne le regardait plus, il sourit. Au moins, il n’avait pas remarquer son trouble.

- Ah bon ? Je ne sais pas si je peux te répondre la même chose, je ne sais pas exactement si ce que je ressent est assez étrange pour être nommée amour.

Alice soupire, le blond ne l’avait sûrement pas entendu. Ou alors il faisait bien semblant. A son tour, il l’observe, mais plus tristement. Il n’aime pas la manière qu’à Abysse de se détacher de lui. Encore un sentiment étrange à dire. Il n’aimait pas… Que le blond n’ai pas besoin de lui, maintenant. Qu’il trouve refuge dans ses pensées, alors qu’Alice n’avait aucun accès pour les lires. Il lui semblait avoir entendu que quand on aime, on peut lire dans les yeux de quelqu’un comme dans un livre ouvert. Or, les yeux d’Abysse ne parvienne qu’à le faire rougir, et détourner la tête parfois. Un peu comme un… Labyrinthe. Oui, c’est exactement cela. A chaque fois que Abysse se détacher, Alice avait l’impression d’essayer de le rattraper, puis de se perdre dans le labyrinthe qu’il formait, sans réel espoir de le ramener. Il n’y avait que lui même, qui pouvait décider de revenir dans la réalité, et de nouveau voir Alice. Un sourire faussement amusée se peind sur ses lèvres, et il murmure en espérant que sa phrase le fasse réagir.

- En faite, même si tes yeux sont ouvert, tu est encore endormi à l’interieur…. Ou peut-être devrais-je dire mort ?

Il se redresse, se penche un peu sur lui et continue de murmurer tout près de son oreille.

- Est-ce qu’en en faite, ce n’est pas toi qui rêverais tout ce qui se passe, et il faudrait que je insuffle la vie pour te réveiller… Et te rendre réel ?


[ … Quel post étrange.]

"Hein... que dit tu ?... je ne t'entend pas....Alice...."

Le jeune blond restait impassible devant ce petit problème, il n'entendait plus cette personne... pourtant il en mourait d'envie. Cette voix qui était la seule pouvoir... lui garder cette envie de vivre. Peut être était-ce du au fait qu'il était a moitié endormi encore... Merde, il voulut faire quelque chose mais son corps ne lui obéissait pas encore, tout de suite il pensa aux médicaments qu'on avait du lui transférer dans son corps. Entre temps Alice s'était rapproché de lui, en un temps de réaction il réussi a faire bouger son bras peut être un brin trop violemment mais il agrippa les cheveux du jeune homme pour rapproché leurs deux tête puis il ferma les yeux, n'ayant pas entendu la conversation cela lui donnait un léger handicap mais tant qu'a faire. Un long baiser s'échangea entre les deux personnes avec un long silence par la suite, la main si violente dans ses cheveux descendit le long du dos d'Alice le serrant ainsi dans ses bras.

*Toc Toc*

Ah il entendit la porte s'ouvrir, un infirmière entra suivit d'un chariot avec de multiple bandages et d'autres médicaments Abysse eut le temps d'interrompre l'étreinte qu'il avait avec Alice mais ses joues se teignirent d'un rosé écarlate. ce jeune homme n'entendait toujours pas très bien mais elle parlait tellement fort qu'il fut obligé.

- Quoi ? mais qui a fait ca ?! qui a retirer la perfusion ?!! c'est vous ? mais vous êtes malade mon pauvre gens vous voulez qu'il meure ou quoi ? !!!

Abysse regardait cette personne si précieuse à ses yeux, comment faire pour parler les muscles de son visage... n'exprimait rien.

- Ah et vous r'endormez vous de suite!! avec la dose de morphine qu'on vous a mis vous devez être à peine capable de vous levez, si ce n'est pour dire de parler. Ca fait toujours ca au personnes trop envieuse de se rétablir trop vite, d'abord elle vont bien et elle gigote et après pouf" plus rien. Non Mais.

Ah il avait entendu, ses sens se remettaient un peu. Pourtant il ne bougeait toujours pas, il regarda ses mains qui tremblaient , la morphine, qu'elle drogue infâme. Il vit Alice se lever et comme pour l'en empécher il réunit ses forces et sa main entouré de son bandage avec des teints écarlates alla s'agripper au pull du brun, jamais, jamais il ne le laisserait repartir désormais. Ses yeux traduisirent ses paroles.

-Re..reste ici.

Il entendit l'infirmière repartir, peut être allait-elle chercher le docteur zut. Il essaya de bouger tout en maintenant le bout de tissu d'Alice, le rouge devait être parti de ses joues.

-...aide moi..Alice.

Alice secoua négativement la tête. Pas parce qu'il ne voulait pas aider Abysse, au contraire même : Si cela pouvait lui permettre de quitter cet endroit au plus vite, il était même prêt à s'enfuir par la fenêtre si cela avait été nécessaire. Mais ce qui l'empêchait d'esquisser le moindre geste pour lui était la peur pur et simple de désobéir à l'ordre de la femme. Après tout, ne lui avait-elle pas ordonné de se rendormir et de ne pas tenter de se lever ou de parler ? Cela lui rappelait un épisode de St-Jeanne, ce jour où ce garçon au cheveux blanc ( il n'était plus tout à fait sûr que c'était lui) avait tenté de lui retirer le ruban qui le coupait du monde et que les médecins l'obligeait à porter des qu'il sortait de sa chambre. Il n'avait pas le droit de l'enlever, il le savait, mais par malheur lorsqu'il avait reculer pour empêcher le garçon de faire cela, le ruban c'était défait et il avait pu apercevoir le bas de son visage, et un monde affreusement blanc. Puis les médecins étaient arrivé et l'avait plus ou moins ramenait de son pleins grès dans sa chambre, avec une bonne dose de drogue pour le faire oublier. Pourquoi ? Il ne savait pas, à cet époque. Mais après y avoir réfléchit, il avait émit l'hypothèse que c'était peut-être pour le conditionner à une entière soumission envers eux, puisqu'il ne connaissait pas le monde extérieur, il en aurait peur, et ne voudrait pas sortir. Il secoua la tête, et observa la main d'Abysse qui se serrait sur son vêtements : ce n'était pas le moment de penser à ça.

Il leva son regard vers lui, et frissonna en constatant que son regard avait changé. Bien sûr, il avait toujours ce quelque chose qui l'attirait et lui faisait peur en même temps, mais peut-être à cause de la morphine, il avait perdu un peu de sa... vitalité ? Il semblait plus que jamais ne pas le voir, ce qui était à ce moment plus attristant qu'agaçant. Alice soupira, et se pencha un peu sur le lit une fois qu'il fut sur que l'infirmière était parti, passa un bras autour des épaules du blond le tira maladroitement, et l'orienta de manière à ce qu'il puisse se lever de lui même. Pendant quelque chose seconde, il ne se passa rien, et il revient contre lui en soupirant à son oreille :

- Je sens que je ne devrais pas, mais alors pas du tout faire ça...


Le brun passa un bras autour de ses hanches et le hissa hors du lit. Le corps d'Abysse dans ses bras été semblable à une poupée de chiffon, peut-être c'était t'il endormi ? Il baissa le regard vers lui et croisa de nouveau le sien. N'y avait-il pas une pointe d'incompréhension ? Il n'en était pas sur. Peut-être encore un effet de ce que les médecins lui avait donné. À la manière donc il le soutenait, il avait un peu l'impression qu'Abysse était plus petit que lui... Et même si c'était étrange, de danser aussi. D'ailleurs, la danse ne dura pas très longtemps vu que la perfusion qui était toujours au milieu de la pièce se plaça par mégarde sous ses pieds, ce qui pour simple effet de le faire basculer en arrière. Quelque seconde plus tard, et pour la seconde fois de la soirée, il était allongé sur le sol après c'être cogné la tête dans le pied métallique de la perfusion, avec Abysse allongé sur lui. A la seul difference que le blond était cet fois totalement passif, et continuait de le regarder, ce qui mettait d'un côté Alice mal à l'aise. Toujours les bras passé autour de ses hanches il se redressa en soupirant qu'il était désolé, et le rallongea sur le lit.


- Tu vois, je ne peux pas t'aider, je suis bien trop maladroit dans ce genre d'environnement ...

En priant intérieurement pour qu' Abysse ne soulevé pas cet phrase, il continua :

- Et puis, je ne vais pas te trainer de cet manière dans les couloirs ? Quoique, moi, ça ne me dérange pas, c'est plutôt l'autre hystérique qui risque une crise cardiaque.

Il ponctua sa phrase d'un sourire et pencha de nouveau au dessus de lui, observant un très court instant les lèvres d'Abysse, approchant son visage du sien, puis se rétracta et s'assit tout simplement sur le lit. Pas trop loin, juste assez près de lui pour pouvoir se sentir protéger (même si dans l'état ou était le blond, cela ne servait pas à grand chose de le penser) si quelqu'un d'autre rentrer dans la pièce.

Un long soupire comme réponse, c'est vrai qu'il n'y avait pas pensé mais à quoi cela pouvait-il servir de s'échapper de toute façon dans cet état il ne pourrait rien faire, ce fut juste un "caprice" de gamin tourné à la Abysse. Il resta assis sur son lit et regarda par le fenêtre, a priori ils étaient... au premier étage, donc pas possible pour lui de sauter, bien qu'il ne paraissait pas spécialement mal au point on se sais jamais quel effets pouvaient donné les médicaments. Il re'soupira de nouveau pour finalement scruté l'horizon sans rien dire, il faisait... sa poupée. Dans des moments ou il réfléchissait il se mettait dans une position et ne bougeait plus jusqu'au moment ou il trouverait une solution du moins. Ainsi il scruta le ciel qui prenait petit à petit sa couleur bleuté, le jour se levait. Il n'était pas spécialement... bien il ne se sentais pas comme d'habitude, les médicaments n'étaient jamais très bon, qui plus est l'hôpital le rendait des plus désagréable il détestait par dessus tout cet endroit. Le chant matinal d'un oiseau le fit revenir à lui, Alice à coté de lui semblait absent aussi.

-Mmm.

Que faire, il voulait s'en aller au plus vite et ses infirmières qui ne revenaient pas, ce docteur absent qu'on allait soi-disant "chercher", bref il en avait marre. Il regarda attentivement ses blessures, elles étaient pour la plupart toutes cicatrisées, il pouvait, non il voulait il devait s'en aller.

*toc toc*

Un personne entra, ce n'était pas une infirmière elle n'avait pas de blouse, elle n'avait rien qui pouvait faire un lien quelconque avec l'hôpital, qui étais-ce ?.

-Vous pouvez sortir.

Tiens... sa voix...non rien en faite. Il attendit qu'elle sorte puis il regarda Alice un air plus...heureux.

-Youpi. Il l'avait déclara comme ca, juste... pour exprimer ca joie. Puis il se leva et retomba...pouvait-il vraiment "sortir", et la façon dont la demoiselle l'avait dit était ... disons des plus étrange, l'intonation dans sa voix ne semblait pas très "normal" mais bon après il n'était pas très normal lui non plus. Il se releva tant bien que mal et pris son manteau, puis il regarda la porte et s'adressa à Alice, à l'intérieur de lui, il n'avait le courage de le regarder, pas après l'avoir frappé et lui avoir causé tant d'ennuis. Il serra son point pour essayé de sa "contrôler". Il essaya de trouver les mots juste mais pour le compte il n'y arrivait déja pas vraiment psychologiquement alors techniquement parlant...

-...je...enfin... je ne suis qu'un gamin comparé à toi..déja en âge..et même dans la société, j'aurai beau être mature...je t'ai frappé... Je ne sais même pas si je peux encore te regarder tel que je suis.

Il marqua un temps d'arrêt...encore cette douleur dans la poitrine. Horreur pourquoi maintenant, sa main recouverte de ce tissu blanc alla serré sa poitrine.

-Un gamin...schyzophrène...Il avait dit cette dernière phrase comme un secret qu'on fait à quelqu'un, pour que juste lui l'entende. Il en était...ainsi.

Le jour. C'est ce qui fait sortir Alice de son absence. D'un côté, il lui semblait comprendre Abysse, c'était plutôt rassurant de se réfugier pour échapper à la réalité. Un peu lâche, quand même, mais il n'était pas à ce défaut près. La lumière matinal rentra donc par l'interstice des rideaux à demi fermé, ce qu'il n'avait pas remarqué la veille, tombant sur lui. Il pouvait le sentir sur son dos. Son regard se tourna légèrement vers la fenêtre. Il admirait la manière donc les choses pouvait se changer en si peu de temps. D'abords les rideaux... entièrement tiré. Quand l'infirmière avait fait cela ? Aucun souvenir. Puis finalement la couleur du ciel, encore bleu foncée, presque noir par endroit, un peu gris, mais aussi un peu rouge... En faite, il y'avait presque toute les couleurs. Alice aimait l'aube, plus que le crépuscule ... Trop inquiétant. Peut-être trop sombre, pour lui qui avait toujours été habité à la douceur inquiétante du blanc ? Toute fois, après cette soirée à l'église (enfin, il supposait que c'était la même nuit, mais peut-être avait-il dormi -encore une fois, il supposait- plus longtemps, alors saurait tout à fait put-être le lendemain), lorsqu'il avait regardé le ciel nocturne tout de suite après avoir ouvert les yeux, les ténèbres ne l'avait pas inquiété... C'était une sensation étrange, qu'il avait ressentit une seule fois par la suite, quelque semaines après .... Après quoi, déjà ? Il regarda de nouveau Abysse qui avait bougé pendant qu'il réfléchissait. Il l'avait entendu, même senti, mais de manière lointaine, et il fut presque étonné de le voir debout devant la porte. Ah oui, c'est vrai qu'il pouvait sortir.

...

Sortir ? Un large sourire brûlait l'intérieur de son corps, mais il du se faire violence pour ne pas le sortir. Devant le jeune homme entrain de s'excuser, cela n'aurait-il pas pu être mal reçu ? Et il n'avait pas non plus envie de s'attirer de nouveau sa colère... Même si il refusait d'y penser depuis qu'il avait vu Abysse allongé sur le lit, encore endormi, il y'a une dizaine de minute, sa joue et le reste de son corps lui faisait mal. Ah, d'ailleurs, il commença par s'excuser à propos de ça. Il l'écouta en silence jusqu'au boup. Un gamin? Oui, peut-être. Il ne savait pas son âge exact, mais même si il avait parfois des réactions puéril, Alice l'avait toujours vu comme mature. Le brun se leva, resta quelque seconde à le fixer, puis s'approcha de lui pour rester finalement à quelque mm de lui. Puis sa main se leva et alla se poser sur la sienne. Ses lèvres formèrent un sourire, cependant pas celui qu'il voulait il y'à un court moment. Un sourire plus faux, presque triste.

- Non, schizophrène ou pas, tu n'est pas un gamin Abysse-san... Si tu en étais un, j'aurais envie de te briser encore et encore jusqu'à ce que tu ne puisse plus jamais imaginer que tu pourra un jour sourire comme tu le faisait avant.... Mais toi...

Ses doigts s'entrelacèrent au sien, et il termina sa phrase dans un murmure :

- Mais toi, tu est déjà brisé.

Peut-être aurait-il du rajouter ce qu'une petite voix lui soufflait à l'intérieur de lui, cette phrase qui lui semblait si odieusement mièvre et pleine de sentiment, ce "Et je n'ai envie que de te réparer". Mais cela n'aurait-il pas revenu à un "Je t'aime" détourné ? Il n'en savait rien, et n'avait pas trop envie d'y penser. Il savait que dans les jours à venir, il allait surement être confronté à ce problème. Ses yeux bleu se plongèrent dans les iris vaironné. Cette fois, il était sur que Abysse l'avait écouté jusqu'au boup.En faite .... Abysse était un peu comme le miroir brisé de l'appartement. Si on le brise, il faut le réparer en se blessant .... Mais ne vairait-on pas toujours les fissures dans le nouveau reflet ? Sa main gauche contourna son corps, et ouvrit la porte en souriant plus doucement, presque sincère, mais pas tout à fait. Lui aussi, à ça manière, était un miroir à réparer.

- On y va ? Abysse-san.

Derrière lui, la brise fit rentrée cet odeur qu'il aimait tant, celle du printemps ... Lorsqu'il avait fuit l'hôpital, c'était le printemps, aussi. L'odeur de médicament ne l'entoura plus, ni dans les chambres, ni lorsqu'ils marchèrent dans les couloirs pour sortir. Un peu comme si tout ce qui l'entourait s'effacer ... Il ne voulait plus jamais revenir ici. Et pour ceux, il fallait tout simplement que ni lui, ni ses trois hybrides, ni surtout Abysse-san ne se re blesse. Il fallait donc les... protéger ? C'était une sensation et une idée nouvelle pour le brun qui ne put s'empêcher de rire. En sortant de l'hôpital, il leva les yeux vers le ciel qui avait finalement pris sa couleur normal. Il n'avait plus peur, mais se sentait juste... Changeant . Ils étaient encore vivant, mais lui se sentait presque ... Flottant ? Etrange, n'est-ce pas..


( Terminée, j'en reviens pas .... C'est tellement guimauve, pardonne moi =^=)