La jeune femme était au courant de la réputation qu’avait cette forêt et du fait qu’il valait mieux pas s’y aventurer la nuit. C’est pour ça qu’elle s rendit en plein après-midi. Le soleil n’était pas au rendez-vous, une fine nappe de nuages gris voilait le ciel, mais il faisait bon. Aiko avançait doucement en suivant le sentier, les yeux se baladant sur le paysage. Elle était habillée simplement ce jour-là. Elle avait un pantacourt noir tout simple, un débardeur vert et une veste noire à pois verts. Elle tenait sous son bras sa pochette de dessins et à la main, une trousse remplis de stylos, fusains, crayons à papier … En effet, elle n’était pas venue pour faire une balade de santé, mais pour ses études. Elle devait réaliser le croquis d’un paysage, avec comme ambiance un sentiment. Elle avait choisit la mélancolie et le temps s’y prêtait à merveille. C’est donc un fin sourire aux lèvres et les yeux fureteurs qu’elle cherchait un bon panorama. Et elle trouva.
Au détour du chemin, elle tomba sur une clairière. Au centre, un grand arbre sûrement centenaire. Des fleurs se trouvaient tout autour, clairsemées. L’espace dégagé n’était pas très grand et entouré d’arbres hauts. Aiko eu le coup de foudre direct. Elle vit un amas de roche et alla s’asseoir en tailleur là. Elle espérait finir son croquis et avoir capté les principaux jeux de lumière avant de devoir rentrer. C’est donc avec application qu’elle s’immergea dans son dessin, sa main parcourant la feuille, traçant es traits, des courbes, des angles …

Makiko et son maître venaient à peine de rentrer dans leur demeure qu’Allen, son maître donc, voulut repartir pour faire je ne sait plus quoi.

- Makiko, je revient, je doit juste aller faire un truc. Je te confit les clefs. Si tu veux sortir, n’hésite pas ! Mais par contre tu referme la porte derrière toi !

La jeune neko l’écoutait parler assise à genoux, les bras devant elle, en inclinant un peu la tête sur le côté et en remuant la queue. Je me demande bien si elle a tout compris se qu’il lui à dit mais bon… aucune importance !

- Huh !

Elle le regarda partir avec un air un peu triste. Bon, bien sûr il se prit la porte dans la gueule, maladroit comme il est, je suppose que ça n’étonnerais personne. Mais quand elle se leva pour le retenir, il était déjà partit. Elle baissa les yeux et se remit à genoux, dans la même position que tout à l’heure mais cette fois elle ne quitta pas les yeux de la porte. Elle attendit 10, 15, 20 minutes avant qu’il revienne mais aucun signe de son Sama. Elle décida donc de s’en aller prendre l’air. On dirait bien que je l’ai sous-estimée, elle avait bien compris se que lui disait Allen. Bon… Je vais arrêter… Mon avis n’intéresse personne. Revenons à notre chère héroïne. Elle décida, donc, d’aller faire un tour dans la forêt dont lui avait parler Allen. Rester plus qu’à la trouver. Mais heureusement Maki a un sens d’orientation très développé. Bon, on va dire que trouver une forêt presque aussi grande que la ville n’est pas trop difficile. Il suffit juste de suivre l’horizon. Elle prit les clefs, se leva et verrouilla la porte comme lui avait ordonner son maître.

Après une longue, longue et longue marche, Elle arriva enfin à l’endroit voulut. Arrivée à cette gigantesque foret, Maki regarda le plus loin possible. Un frisson lui parcouru le dos mais ce n’était qu’un léger courant d’air. Du moins c’est ce quelle dit ! Elle entra dans cette forêt, et vit à plus d’un kilomètre d’elle, une silhouette contre un arbre. Elle voulut aller voir ce que c’était. Aussitôt dit, aussitôt fait ! Elle se planqua derrière cet arbre et toucha l’épaule de l’individu. C’était une fille. Elle était même très jolie. Makiko refit le geste car elle ne voulait pas lui répondre et celle-ci se retouna.

- O… Ohayo !

#{ Désolé pour mon retard, en plus mon RP n'est pas super... Gomen ne... }#

Makiko tapa, une deuxième fois, sur l’épaule. Puis, cette fois-ci, celui-ci leva la tête et se retourna. La neko vit avec grand plaisir qu’il s’agissait d’une jeune fille. Elle était vraiment très jolie. Ses cheveux rose lui allait à merveille. Puis la jeune femme répondit au salut timide de la neko.

- Salut toi.

Maki pencha la tête en se retirant de derrière l’arbre. Elle vit la jeune femme poser ses affaires sur un rocher perdu au milieu de toute cette végétation. Elle la voyait regarder de partout. Makiko se demanda se qu’elle faisait. Puis elle vit qu’elle la regarda. Elle remua sa queue en s’approchant d’elle.

- Eh ?

- Tu es toute seule ? Où est ton maître ?

Son maître ? Mais, il lui avait dit qu’elle pouvait sortir. La jeune neko se sentit mal à l’aise, elle pensait qu’elle avait fait quelque chose de mal… Mais elle s’efforça de ne pas le montre à la ravissante demoiselle. Elle ne voulait pas qu’elle s’inquiète pour elle. Elle avait l’air si inquiète pour elle… Puis la neko lui répondit.

- Mon maître ? Et bien… Il était partit faire quelque chose et il m’a dit que je pouvais sortir si j’en avais envie.

Puis Maki resta muette. Mais la jeune femme lui posa encore une question. Il fallait bien lui répondre.

- Tu es perdue ?

- Euh… Je voulais voir à quoi ressemblait la forêt. Si elle était grande et se que sa ferais d’être à l’intérieur. Mais à vrai dire je ne savais pas vraiment où je me situait par rapport à chez mon maître.

Deux minutes plus tard, elle vit une goûte d’eau tomber sur le nez de la demoiselle. Elle se pencha plus près de celle-ci pour observer la goûte. Mais soudain, une goûte lui tomba sur son dos. Elle se retourna délicatement pour ensuite sauter dans tous les sens. Elle se calma un peu puis alla se cacher derrière la demoiselle. Et quand la queue de la neko n’était plus hérissée, une autre goûte lui tomba dessus et, bien sûr, c’était repartit pour un tour. Puis elle pris le bras de la jeune femme pour aller s’abriter sous un rocher creux. Elle s’aseoie en attendant que la pluie s’arrête et se posa sa tête sur l’épaule de la jeune fille.

#{ Arigatô gozaimasu !! ~ }#

Apparemment, la Néko était un peu paumée quand même. Aiko se disait qu’elle pourrait l’aider à rentrer chez elle, quand la féline s’approcha d’elle pour regarder son nez. La gamine recula un peu la tête haussant un sourcil. Oui, c’était une goutte d’eau et alors … ? La Néko devait avoir un problème avec l’eau car elle se mit à gigoter dans tous les sens lorsqu’il commença à pleuvoir. Aiko sourit doucement.

« Du calme, ce n’est que de la pluie, ça ne va pas te faire du mal. »

Mais alors qu’elle semblait se calmer, elle se remit à bondir dans tous les sens. La gamine attrapa ses affaires, pour pas qu’elles ne soient mouiller. En effet, il aurait été dommage que son croquis soit abîmé. Elle le trouvait plutôt bien réussit et avait décidé de le garder. Il ne restait plus qu’à retourner chez elle pour finir tout ça. Mais la Néko ne semblait pas de cet avis. Elle lui attrapa le bras et commença à la tirer.

« Eh ! Tu vas où comme ça ?! »

La jeune fille avait beau être plus petite que la gamine, elle réussit à traîner Aiko. Celle-ci fronça les sourcils mais quand elle vit l’abri rocheux, son regard s’adoucit. Elle avait entendu dire que les chats n’étaient pas fans de l’eau, ce devait être pareil pour les Nékos. Elle suivit docilement la jeune fille et se laissa tomber par terre, regardant le paysage. Elle sentit un poids sur son épaule et vit que la Néko avait posé sa tête. Aiko lui passa un bras autours des épaules et lui caressa doucement les cheveux.

« Ce n’est rien, ça va bientôt passer, tu … »

A ce moment-là, la pluie se mit à tomber fortement, faisant un bruit d’enfer. Un éclair illumina le ciel et le tonnerre gronda. La gamine resserra instinctivement son étreinte autours de la féline. Bon d’accord, ce n’était pas une simple pluie. En temps normal, elle se serait mise à courir pour retourner chez elle, mais elle ne voulait pas abandonner la jeune fille, qui devait répugner à aller sous cette pluie. Leur abri ne fuyant pas trop, elle décida de rester là. Au pire des cas, elles passeraient la nuit là, puis Aiko ramènerait la Néko à son maître le lendemain. En entendant, elle décida de la distraire un peu.

« Au fait, comment tu t’appelles ? Moi c’est Aiko. »

La jeune femme eut une pensée pour ces Nékos restées seules à la maison. Elle espérait qu’elles n’allaient pas trop s’inquiéter de ne pas la voir rentrer. Ce n’était pas dans ces habitudes …

La neko se posa sur l'épaule de la jeune femme. Puis Maki sentit une main se poser sur son épaule et lui carresser les cheveux. Un petit ronronnement fit son apparition. Puis la grnde jeune femme dit d'une voix douce et seraine.

- Ce n’est rien, ça va bientôt passer, tu …

Mais à se moment-là, Un violent orage fit sursauter la jeune neko. Elle se blotit contre la belle demoiselle en tremblant. Et la demoiselle serra la neko sur elle. Makiko vait peur, Makiko tremblait. Mais elle ne put se retenir d'être heureuse. Mais heureuse pour quoi ? Tout simplement d'être dans les bras d'une ravissante demoiselle comme celle qui était à côté d'elle. Soudain la belle fille repris.

- Au fait, comment tu t’appelles ? Moi c’est Aiko.

Aiko ? Quel jolie nom ! Cela lui allait plutôt bien en plus. Ca allait bien avec son tein pâle et on carractère plutôt doux. Makiko eut tout de suite une sorte d'affection pour elle. Sa ne pouvait pas s'expliquer. Elle avait juste une certaine confiance en elle. Bon... Ce n'est pas tout mais il fallais répondre à la question de la belle Aiko.

- Mmh... Moi c'est... Maki... Makiko.

La jeune neko tremblait toujours autant. Elle avait très froid. Ses oreille étaient congelés, ses poils commençais à s'hérissés. De plus, L'orage grondait de plus en plus fort, se qui la terrorisait. Et puis son maître, son maître devait être très inquiet mais elle s'en fichait. Elle était en compagnie d'une ravissante demoiselle, jolie et très gentille. Elle aimait son maître mais la compagnie d'Aiko la rendait très heureuse.

Soudain, elle pris Aiko dans ses bras et la plaqua contre le mûr. C'était vraiment le retournement de situation de base. Moi-même je ne comprend plus rien... Etait-est-ce pour se réchauffer ? Ou bien avait-elle trop de compassion, et eut d'un coup envie d'elle ? Je ne sais pas, je ne sais rien... Elle était juste un peu étrange.

« Makiko ? C’est un joli prénom ça, tu as bien de la chance. »

A vrai dire, les Nékos avaient plus de chance que les chiens. Ces derniers avaient des noms ridicules tel que Médor, Rufus, Rex … Au moins les félins avaient des prénoms tout à fait normaux et parfois ravissant. La Néko tremblait toujours contre elle et les efforts d’Aiko pour la rassurer de fonctionnaient pas. De plus, la gamine sentait que la Néko se refroidissait. Elle enleva sa veste et lui mi autours des épaules.

« Tiens, je crains pas trop le froid. »

Brusquement, la Néko la prit dans les ses bras et la plaqua contre le mur.

« Bah … ? »

Elle était étonnée du comportement de cette jeune fille, qui semblait assez sage au premier abord. Aiko fit un petit sourire malicieux. La tête de la Néko se trouvait presque en face de la sienne. La main de la gamine se glissa sous le haut de la féline et lui caressa doucement le dos, puis elle se pencha pour lui embrasser le front.

« T’es moins innocente que tu parais hein ? »

Sous sa gueule d’ange, Aiko était comme tous les êtres humains, assouvie à des désirs, qu’ils soient nécessaire ou pas. Il n’était donc pas difficile de comprendre de quoi elle parlait. Elle passa sa deuxième main dans les cheveux de Makiko et lui caressa doucement les cheveux en lui souriant gentiment. Après tout, tous les moyens sont bons pour se réchauffer …

[désolée du retard, et c'pas très bon T.T']

Aiko lui avait donné sa veste puis Makiko s’était prit dans un aspect très bizarre. Elle avait plaquer la jeune Aiko contre le rocher. On ne dirait pas comme ça, mais si ! Elle est comme ça ! Makiko n’attendit pas spécialement une réponse de la part de Aiko, même si cela était plus que probable qu’elle réagirait, mais celle ci dit d’une voix étonnée.

- Bah … ?

La neko ne bougea pas pour autant je pense plutôt qu’elle voulait qu’Aiko la touche. Qu’elle perverse celle-la ! Soudain Aiko fit un sourire malicieux. Avait-elle compris se que voulait Makiko ? Je pense que oui, à moins qu’elle n’est juste profitée de la situation mais bon je pense que s’était plutôt évident. La tête de Makiko était située juste en face de celle d’Aiko. Puis Makiko sentit la main de la jeune femme dans son dos, sous son haut. Puis lui parcourant le dos. Des rougeurs se firent sur son petit visage pâle. Puis la neko vit la tête de la femme se pencher pour lui faire un bisous sur le front. Là, Maki fronça les sourcils et pris la tête de la demoiselle pour lui léché les lèvres. Makiko la lâcha puis Aiko prit la parole.

- T’es moins innocente que tu parais hein ?

La neko détourna le regard pour ensuite prendre la main de la jeune femme et la posée sur sa poitrine. Elle posa son autre main sous le haut d’Aiko pour aller jusqu’au dos pour ensuite, aller lui détacher son soutient-gorge. Elle lui caressa doucement le dos pour ensuite faire passer sa main sur sa poitrine. Pour répondre à la question d’Aiko, je dirais que non, elle n’est pas innocente du tout. Au contraire, sous son visage doux, se cache une personne que je qualifierais comme pas très nette.
La neko commençait à s'excitée.

#{ Non, il est très bien ton RP. Ne t’inquiète pas. ^^}#