Enfin un jour de neige.
Je commençais à désespérer. Malheuresement, j’étais une nouvelle fois derrière ces barreaux, encore plus loin de la liberté que lorsque je servais un maître.
Je voulais sortir, profiter du clair de lune, et des flocons qui tombaient doucement. Mais c’était impossible.
La seule chose que je pouvais faire, c’était dormir.
Dans ma petite cage, il y avait la place pour deux assiette, enfin si l’on peut appeler sa comme sa, et pour dormir.
Pas plus.
Je me mis en boule, enroulant ma queue autours de mon bras, et chercha le sommeil, qui arriva doucement.

Je rêvai de ma sœur, encore une fois, quand on était chez notre maîtres, avant qu’il ne meure. Elle, souriante, et lui, en train de nous donnez des ordres, mais des ordres juste, pas de méchanceté dans tout sa.
Il y eu alors du bruit, comme si l’on tapait contre des piliers de métal de toutes nos forces. Le bruit résonnait tellement que je me bouchai les oreilles et ferma les yeux.
Un coup se fit très fort, et j’ouvris les yeux.

C’était le gérant, qui nous réveillait les uns après les autres, en tapant sur nos cages.
J’en entendis grommeler, d’autres encore ronflait doucement. Juste avant de ce faire réveiller de cette façon que l’on peut qualifier… d’assez radicale, voir brutal.

-Debout là-dedans, les clients vont arrivé !

Toujours la même chose, on nous réveillait à l’ouverture, on devait faire les beaux pendant toute la journée, et la nuit était dérangée par les ronflements des autres, leurs mouvement parfois bruyants, et par les bruit nocturnes.
Au court de la matinée, les clients se succédèrent, mais pas uns se dirigea vers moi.
Sûrement parce que je ne faisais rien pour.
Je cachais mon visage, mais la position dans laquelle je me mettais était inconfortable, et je du laisser tomber au bout d’une heure.
Ensuite, dès que quelqu’un approchait de trop vers ma cage, je feulais.
Je ne voulais plus de maître, plus après ce qu’il s’était passé. C’était presque une phobie, et pour moi, il valait mieux moisir ici ou mourir que d’avoir un maître.
J’étais face au mur qui était contre un des côtés de ma cage, et je me mis ostensiblement dos aux humains.
Je redevins soudain mélancolique.
Après tout, pourquoi est-ce que les humains seraient une race supérieure ?
Je l’étais, moi, jusqu’à mes trois ans !
Fichu météorite…
De quel droit les humains nous traitent-ils comme des chiens, voir pire ? Il n’ont pas à faire sa, nous sommes aussi à moitié comme eux !
Mais je ne peux rien y faire, pas plus que n’importe quel autre néko isolé, mais je n’ai plus le courage de me lancer dans une fugue.
Un bruit me sortit de mes pensées. Un humain était devant ma cage, sans doute en train de lire l’écriteau :



Je ne sait même pas si il y a autres choses sur l’écriteau, car depuis ma cage je ne pouvait le lire, je savais ce qu’il y était écrit car tous les hybrides ont une plaques avec leurs noms et leurs prénoms, mais certains on une remarque en plus, d’autres non.

L’humain était toujours devant ma cage, et sa commençait à m’énerver, ma queue commençant a battre le sol d’agacement.
Je feulai pour la seconde fois, rien à faire.
Je commençais vraiment à en avoir marre, mais une boule se forma dans ma gorge.
Et si l’humain voulait me prendre ?

Lutecia se réveilla comme à son habitude chez elle. Elle sortit de son lit doucement ne voulant pas le moins du monde quitter le chaud de son lit. Miki étant partit en course, elle était toute seule ce qui était, à vrai dire, assez rare. C’est alors qu’un éclat attira son attention. Elle se leva donc et regarda par la fenêtre, émerveillée. De la neige !

Tout le paysage était blanc la plage compris. Le blanc, c’est tellement beau... C’est la couleur de la pureté. La jeune fille regarda longtemps cette magnifique vue, elle ne se lassait pas. Elle songea ensuite à aller s’habiller surtout puisqu’elle voulait sortir. Elle enfila sa robe habituelle, un manteau noir par dessus, son béret et chaussa ses bottes avant de sortit dehors en courant.

Lutecia frissonna tout d’abord, il fallait dire qu’il ne faisait pas très chaud. Elle leva la tête et sentit les flocons tomber sur son doux visage. Elle secoua la tête pour enlever ceux qui se coinçaient dans ses longs cheveux et commença à marcher. Direction la ville !

Tout était enneigé là-bas aussi mais la petite fille s’y attendait. Que pouvait-elle bien faire ici déjà ? Ha oui ! S’acheter de nouveaux vêtements et une nouvelle amie ! Autrement dit, une neko. Plus âgée que Miki cette fois-ci, sa grande sœur y tenait. Donc... seize ans. Oh non... Elle allait devoir revoir ce gros balourd.
Perdue dans ses réflexions, Lutecia en oublia presque le temps et le lieu où elle se trouvait et ne se rendit pas compte qu’elle était arrivée devant l’animalerie. Elle poussa un léger soupire et tira la porte d’entré. Une clochette retentit, réveillant le vendeur qui s’était sûrement endormi.

« Bonjour Madem... Encore toi !

-Moi aussi je suis ravie de vous revoir, monsieur le méchant.

-Rrrr...

-Hum, avez vous oubliez ce que je vous avais demandé la dernière fois ?»

Il rumina et partit dans l’arrière boutique laissant Lutecia seule dans la pièce. Pfff ce n’était pas trop tôt. Elle se balada entre les cages, triste de voir tout ses hybrides enfermé. Elle s’arrêta devant une belle neko aux cheveux bleu foncé. La petite fille la regarda longtemps avant de lui demander son nom, n’ayant pas envie de lire pancarte.

Une voix féminine retentit alors, venant de l'humain qui se tenait derrière moi.

Mon nom?
Elle savais pas lire iou quoi?
Je n'avais aucune envie de répondre, mais je ne voulait pas qu'elle reste devant ma cage comme sa.
Je mis toute l'animosité possible dans ma voix, et dit:

-Aquarelle.

Je me retournai, histoire de voir à qui je m'adressait, car sa voix ne ressemblait pas à celle de quelqu'un d'agé.
En effet, c'était une enfant. Encore plus petite que moi.
Entre 12 et 14 ans je dirais.
Je l'observai.
Elle a de beaux cheveux longs entre le rose et le violet qui tombe plus loin encore que sa taille, sauf deux mèches qui étaient nouées dans un ruban noir. Elle portait Un manteau noir, ainsi que des bottes et un béret. La fillette a aussi des yeux rouges, tout comme moi.
Cela devait faire cinq minutes que je l'observait.
Elle ne semblait pas vouloir bouger.
Exaspérée, je soupira discrètement, et dis:

-Qu'est-ce que vous me voulez?

La jolie neko s'appellait Aquarelle. Aquarelle... Quel beau prénom... fit Lutecia dans un murmure à peine audible. La belle neko lui demanda ensuite ce qu'elle lui voulait. Aie... ça devait être le genre de neko qui n'aimait pas les humains par rapport à Miki et Yumi, celle-là était totalement différente. les yeux d'Aquarelle était d'une couleur rouge sang exactement comme les siens. Cette teinte si particulière était très rare de nos jours et la petite ne connaissait qu'une personne qui avait cette couleur autre qu'elle et la neko: Sa mère.

-Vos yeux.. Ils sont si beaux... Comme les miens et de ceux de ma mère.

Finit elle par dire. Vouvoyer une neko ? Bien sûr! La politesse est pour tout le monde avec Lutecia. D'ailleurs, les neko et les humains n'était pas si différents...

-Excusez moi, je dois vous embêter. Préfériez vous que je parte?

Demanda elle au bout d'un moment de sa voix douce.

Elle parla alors de mes yeux, disant que j'avais les mêmes qu'elle et sa mère.
Sur le moment, je pensai très sincèrement que j'en avais rien à ficher.
Mais je remarqua alors le vouvoiment.
Une marque de respect, face à un neko?
En même temps, cette fille semblait très gentille...
S'il me fallait un maître, mieux vaudrait que sa soit quelqu'un de gentil...
Elle me demanda alors si elle me dérangeais.
J'avais envie de dire oui mais quelque chose m'en empêchais.
Je ne controlai même plus les mots qui sortaient de ma bouche:

-Si vous devenez ma maîtresses, me batterez-vous vous aussi?

A peine j'eu prononcer ces mots que je les regrettais.
Je m'attendais à une punition, après avoir dit sa.
Mais j'avais bien plus peur d'être acheter par un maître qui me maltraitera... Mieux valait être prudente en risquant la puniton...
Malgré tout, même si elle était 'gentille' je ne voulait plus reporter ses choses affreuses qui prouvent notre statue d'esclave, ces collier et le fait d'être tenu par une laisse...
Plus jamais.
Une larme silencieuse coula le long de ma joue droite, alors que je repensait aux supplices que m'avaitbfait subir mon ancien maître...

Lutecia s'étonna à la question d'Aquarelle. La battre ? Jamais ! Lutecia n'oserais jamais lever la main sur quelqu'un enfin sauf les très très méchants mais sinon jamais. Et puis, comment pourrais elle lui faire le moindre mal ? Une chatouille tout au plus. Mais bon. La jeune mannequin -et oui c'en est une- regarda dans la direction de l'arrière boutique où était l'ordure de vendeur tout en répondant.

"Je ne bat pas les neko, moi. Ni personne d'autre d'ailleurs. Pas comme lui par exemple."

Dit elle en finissant à voix basse en montrant la direction du vendeur des yeux avec une grimace. C'est alors qu'elle vit la larme de la belle neko. Lutecia n'hésita pas et passa la main entre les barreaux et essuya avec douceur sa joue.

"Si vous vennez avec moi, Mademoiselle Aquarelle, je promet de bien m'occuper de vous. Je ne vous abandonnerais pas."

Elle laissa sa main, voulant voir comment la neko réagirait. Lutecia la regardait.

Une humaine qui ne battait pas les nékos? Jamais?
Même mon premier maîte n'était pas gentil à ce point.
J'hésita.
Et puis, elle semblait elle aussi éprouver une animosité envers ce gros pourri de vendeur.
Mais... Comment être sur qu'elle ne mentait pas?
Elle parraissait si innocente, c'est vrai qu'elle ne semblait pas sur le point de donner des coups de fouet.

"Si vous vennez avec moi, Mademoiselle Aquarelle, je promet de bien m'occuper de vous. Je ne vous abandonnerais pas."

Mademoiselle?
De telle manière ne se faisait pas pour de faux.
Et puis, elle venait d'essuyer la larme qui avait coulée sur ma joue, dans un geste... Tendre?!
Elle laissa sa main dans la cage.
Cette fille avait l'air si gentille...
Mais mon animosité contre les humains combattait hardemment ce sentiment.
Mais, après tout, mieux vallait une fillette comme elle qu'un mec, qui en plus, risquerait de me violer, comme mon ancien maître non?
Et puis, je n'ai pas beaucoup de temps.

-D'accord...

Ma voix était hésitante, comme celle d'un enfant.
Je tremblait légèrement, et me leva comme je pus dans ma petite cage, de toute façon je n'étais pas grande, je devais à peine courbée le dos.
Mais je rajoutais, plus amère:

-Mais je hais les menteurs.

Aquarelle n'aimait pas les menteurs. Bien venue au club ! pensa Lutecia avec un demi-sourire. Sérieusement, à quoi cela servirait de mentir ? Autant dire la véritée, c'est plus simple et plus rapide. C'est vrai que parfois ça peut faire mal mais bon...
Hum hum, revenons à la réalité je vous prie.
La jeune fille se tourna pour aller du côté des colliers. Est-ce que les colliers l'interressait ? Point du tout, ce genre d'acessoires ne l'interressait guère. C'était plutôt les clés des cages. Elle prit en sautant, quelle idées de les mettres tout en haut ?! Bon, passons. Lutecia revint vers la cage de la belle neko et l'ouvrit. Elle lui tendit ensuite la main.

"Comme ça nous sommes deux."

Lui dit elle avec un jolie sourire.

"Alors, voulez vous partir avec moi ? Vous pouvez très bien refusez si vous le désirez."

Ajouta elle tout de suite après laissant le silence pour lui laisser le temps de réfléchir.

La fillette se retourna et se dirigea vers les colliers

*C'est reparti...*

Pensais-je amèrement.
Mais elle ne regarda pas les colliers, mais au-dessus.
Les clés.
De sa petite taille, elle dut sauter pour atteindre les clés.
Elle revint vers moi, et ouvrit ma cage.
Elle tendit la main, et me parla.
On étais deux à quoi? A ne pas aimer les menteurs?
Mais je n'eus pas beaucoup de temps pour m'interroger, elle vérifia si je voulais vraiment venir.

-Oui

Elle avait l'air gentille.
Je sortis de ma cage, m'étirant de tout mon long.
Le vendeur réapparut alors.
Je regardait dehors, me laissant entrainer par Lutecia.
On avait à peu près la même taille, je devais avoir deux ou trois centimètres de plus qu'elle.
Je regardai alors par la fenêtre, il neigeit toujours...
J'avais à la fois hâte, et peur de sortir de cet endroit.
Quoique je sentais une certaine excitation au fait que j'allais quitter cet enddroit affreux.
Bizarrement, la pensée qui me traversa alors l'esprit était que j'aimais bien quand on me carressait derrière les oreilles... Saugrenue comme idée à cet instant.

Lutecia laissa deux petites secondes Aquarelle pour s'approcher du babouin (tout le monde a deviné qui c'est bien sûr) afin de lui donner l'argent pour acheter la belle neko. La petite détestait ce genre de personne qui affichait un sourire béat dès qu'on leur montrait un peu d'argent. Avare ? Plus que ça.

La petite retourna vers la neko, lui prit la main et poussa la porte qui en se refermant étouffa les cris du vendeur qui voulait keur faire acheter des colliers en plus. Elle leva la tête une fois dehors, la neige avait continué de tomber. Les flocons glacés brûlaient son visgae, rougit par la chaleur de l'animalerie.

"Dîtes dîtes, Mademoiselle Aquarelle, est-ce que je peux vous tutoyez ? Qu'est ce que vous aimeriez faire ? Ou qu'est ce que vous aimez tout simplement ?"

Demanda elle en retirant son béret pour enlever la neige tombé dessus. Elle regarda ensuite Aquarelle qui finalement n'était pas beaucoup plus grande qu'elle, de deux ou trois centimètres maximum.

La fillette se dirigea vers l'immonde porc qui se fait appeler vendeur, et elle me paya.
Il jetait un regard avide aux sus, comme si il était pauvre, sale avare.
Lutecia m'attira dehors en me prenant par la main, et claqua la porte au nez du vendeur qui voulait lui faire acheter un collier.
A croire qu'elle ne voulait m'en mettre...
Elle me demanda, pendant que l'on marchait, qi elle pouvait me tutoyer, et ce que j'aimais.
J'allais répondre, quand un doux flocon de neige tomba sur le bout de mon nez, provenant du bérêt que ma maîtresse, car c'est ce qu'elle était, venait d'enlever.
J'étira ma langue rapeuse au maximum, et lécha le flocon.
Cela faisait tellement de bien d'être hors de cette cage, surtout en ce jour de neige...
Un rire cristallin résonna après que j'eu récupérée le flocon.
Je répondis alors:

-Ou... Oui bien sur. Euuh... J'aime beaucoup la neige à vrai dire, et la lune... J'adore chanter, mais ça sa n'intéresse personne...Faites ce que vous avez envie de faire, maîtresse...

Cela faisatt longtemps que je n'avais pas autant parler.
A vrai dire rentrer chez elle aurait été le plus agréable, pouvoir m'assoir pour me reposer...
Mes oreilles frémir aalors que je repensais au fait que vu quj'ai fuguer la nuit avant mon anniversaire, cela faisait à peine une semaine que j'avais seize ans...
Sans m'en rendre compte, par habitude, je me ms à chanter une chanson japonaise que j'avais dans la tête à mi-voix...
Je ne sais pas pourquoi, mais cette fille avais déjà gagner ma confiance...

-Ou... Oui bien sur. Euuh... J'aime beaucoup la neige à vrai dire, et la lune... J'adore chanter, mais ça sa n'intéresse personne...Faites ce que vous avez envie de faire, maîtresse...

Lutecia la regarda. Elle aurait aimé répondre qu'elle aussi aimait la neige ainsi que chanter mais Aquarelle se mit à chanter. La petite fille écouta le chant magnifique, la voix de la neko était superbe. Elle ferma les yeux pour plus en profiter. Elle attendit la fin de la chanson pour ouvrir la bouche. La nige tombait de plus en plus fort.

"Il commence à neiger fort, non ? Rentrons chez moi alors. Au faite, Aquarelle, appelle moi
Lutecia ou un surnom si tu veux, Litchi par exemple. Et tutois moi s'il te plait."

Lutecia reprit sa main qu'elle avaiat dû lacher par inatention. Elle commenca à marcher, tirant avec douceur la belle neko. La neige rendait le paysage plus blanc qu'il ne l'était auparavant si cela était possible. La jeune mannequin habitait une belle villa près de la plage. Qui était à la maison... No body ! Oh... Lutecia se souvenais d'une phrase en anglais qui l'avait amusé.

"Il commence à neiger fort, non ? Rentrons chez moi alors. Au faite, Aquarelle, appelle moi
Lutecia ou un surnom si tu veux, Litchi par exemple. Et tutois moi s'il te plait."

Je hochai de la tête, et laissa Lutecia me prendre la main.
On se dirigeait vers la plage, sa maison était là-bas? Les flocons tombaient vraiment forts maintenant, et mes cheveux prirent une teinte bleue ciel avec les reflet de la neige. Je seucouai la tête, car mon visage commençait à être recouvert de neige, et envoya valser de la neige sur ma maîtresse.
Cette dernière me tenait toujours la main, comme pour ne pas me perdre. La question qui me brulait les lèvres sortit alors:

-Vo... Tu comptes me mettre un collier et une laisse après? Et je devrais faire beaucoup de choses?




[Vraiment court, désolée T_T pas d'inspiration]

Lutecia regarda la neko, étonnée. Une laisse ? Un collier ? A quoi cela servirait il ? Si Aquarelle voualit s'enfuir, qu'elle le fasse, la petite n'en saurait que très triste. Elle ne l'empêcherait pas. Après tout, c'était la vie de la neko, pas la sienne.
Litchi vit la neko secouer ses cheveux et se prit de la neige dans la figure. Elle éclata tout simplement de rire. Un rire joyeux, cristallin.

"Non, je ne te mettrais pas de collier ni de laisse, rassure toi. Tu feras ce que tu as envie de faire. Enfin, si tu voudras bien m'aider de temps en temps... Par exemple mes devoirs ou faire un peu de ménage avec moi... Après tu vois si tu veux ou pas."

Finit-elle avec un sourire. Elle accéléra le pas sous la neige. La petite vit de loin sa maison et commença à courir joyeusement, entraînant Aquarelle. Elles arrivèrent rapidement à l'entré de la villa et Lutecia ouvrit la porte, fit passer la neko en premier et referma la porte. L'intérieur de la maison était aux couleurs chaudes tandis que les chambres étaient l'une rose et argent, qui était celle de Lutecia, l'une blanche et noir, celles des invités et trois chambres dont deux occupés. La première était rouge foncé, réserver à Miki, la seconde était rose et marron, appartenait à la deuxième hybride. La dernière était bleu foncé et or. C'était celle que la petite préférait des trois. Ce serait celle d'Aquarelle !