Signum
Raziel

Personnage.

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• Nom : Signum • Prénoms : Raziel, Sisyphe, Fengalon. (être appelé par n’importe lequel de ces trois prénoms ne le dérange pas) • Surnom(s) : Raz • Âge : 19 ans • Date de naissance : Jour X mois X de l’année 2641 • Orientation : Bi avec une légère préférence pour les hommes (râlez pas j’ai fait l’effort de le rendre bi ) • Famille : aucune • Nationalité, origine(s) : Surement égyptienne quand on le regarde • Classe : Docile

Description Physique.

Que dire de Raziel ? Déjà que c’est un neko comme on en voit rarement si ce n’est jamais. On peut également dire qu’il est de taille normale, pas trop grand, pas trop petit, juste dans la moyenne, encore qu’il soit peut être légèrement plus grand que la moyenne mais à peine un ou deux centimètres. Ensuite on peut distinguer une certaine musculature chez l’hybride, pas celle d’un bodybuilding, mais tout de même elle est facilement visible. On remarque également que sa peau a la joli et appétissante couleur du pain doré ou alors celle du sable chaud des plages. Autre détail qui frappe lorsqu’on le voit juste comme ça, si certains nekos ont des yeux comme ceux des humains, Raziel, lui les a jaunes comme l’ambre, fendus par un iris noir, en plus de cela, au milieu de son visage trône une truffe de félin noire et brillante. Sa chevelure noire et brillante est tellement fournie que la première chose à laquelle on pense en la voyant est une crinière de lion. De cette masse chevelue soyeuse émergent deux fines oreilles recouvertes d’un duvet ayant la même couleur que sa peau et recouvrant d'ailleurs celle-ci presque comme une fine pellicule. Nouveau détail plus ou moins visible chez Raziel, sa queue, recouvert sur toute la longueur du même duvet sur ses oreilles mais se terminant par un panache abondant de poils identique à la crinière de l’hybride, jusque là tout est normale mais ce qui surprend vient de la longueur de sa queue, en effet celle-ci en plus d’être aussi agile et mobile qu’un fouet en a presque la longueur. On peut également voir que ses mains et ses pieds sont terminés par des griffes pointues, les doigts de ses mains sont comme ses bras et ses jambes long et agiles, on distingue de légers coussinets presque invisibles sous la dernière phalange de chaque doigt et sur ses paumes tout comme sous ses orteils et sous ses pieds au niveau du talon et de la plante. On distingue aussi une certaine noblesse chez lui.

Enfin pour ce qui est du niveau vestimentaire, le félin préfère les vêtements sombres et plus ou moins serrés. (Minimum 5 lignes complètes.)

Caractère.

N’ayant reçue que très peu voire aucune marque d’affection dont il puisse se souvenir, le félin est extrêmement méfiant vis-à-vis de tout ceux l’entourant, il peut par ailleurs se montrer assez agressif envers une personne lui faisant peur si celle-ci l’approche de trop près. Bien que son regard et ses gestes soient vifs et précis, l’hybride n’a aucune idée de comment se tenir en public et se postera soit debout, sur deux pattes prenant appuie sur une de ses mains ou alors carrément à quatre pattes. Raziel est un individu plus félin qu’humain, en effet il s’exprimera plus souvent par miaulement ou grognement et geste d’affection que par la parole. Parole qu’il n’emploie presque pas le faisant aux yeux de tous passer pour un idiot. Cependant la vérité est tout autre, n’ayant comme dit plus tôt jamais reçue de marque d’affection auquel il peut se fier, le félin ne parlera que si il se sent en confiance avec la personne et passera du chat au jeune homme plus ou moins cultivé et sociable. Il évite le plus souvent de regarder les gens dans les yeux et si on lui montre de l’affection, il aura tendance à a voir l’air perdu. Porter ou non des vêtements l’indiffère et se sera le plus souvent le rôle de montrer à son maître (ou à sa maîtresse) de lui montrer (ou dire) quoi faire. Même si il ne sait pas lire ou écrire, Raziel est néanmoins pourvu d’une certaine intelligence, pas celle d’un géni ou d’un surdoué bien sur, mais agira toujours de manière impulsive ou en fonction de son instinct sans prendre le temps de peser le pour ou le contre de son geste et agira surtout comme un félin normal. C’est un neko pouvant se montrer égoïste comme généreux mais tentera tout son possible pour ne pas attirer de problèmes aux gens auquel il tient.(Minimum 7 lignes complètes.)

Histoire.

Un jour comme un autre d’un mois de l’année 2641, un neko naît quelque part dans une rue sans que personne ne s’occupe de lui ou de sa mère luttant pour survivre, ce sont tout les deux des nekos. Des être ayant aux yeux des humains autant d’importance qu’un animal de compagnie si ce n’est moins qu’un détritus. Certains vivent comme des esclaves, d’autre comme des fugitifs… D’autres encore sont abandonnés sur la chaussée comme des animaux de compagnie. C’est le cas de cette mère dont le seul crime a été de servir à assouvir les pulsions d’un homme marié dont l’épouse était partie en voyage. Si au début sa grossesse passa inaperçu, l’homme se sentit de plus en plus mal à l’aise alors que le ventre de son esclave grossissait et que la femme l’air de rien s’en occupait avec de plus en plus d’affection.

Puis vint le jour fatidique ou sous un ciel sombre et laissant pleuvoir des trombes d’eau la femme trompée, après avoir battue l’esclave sur le point d’accoucher l’avait jeté à la rue sous les yeux de son mari qui ne fit aucun geste pour l’aider. A peine quelques heures plus tard, alors que ses vêtements déchirés lui collaient à la peau, la future mère s’était laissée glisser le long d’un mur ne pouvant faire un pas de plus. Dans le froid de la pluie et la solitude, l’enfant vint au monde laissant celui-ci entendre sa voix plaintive en découvrant la froideur de ce monde. Les nourrissant le plus souvent de restes trouvés dans des poubelles, la mère de l’enfant s’éteindra trois ans plus tard sous les yeux du bambin pleurant à chaudes larmes. Pleurs qui attirèrent une femme, sans délicatesse elle attrapa le félin aux yeux dorés et s’occupa de lui trouver des vêtements avant de le jeter aux pieds d’un serviteur en lui lançant froidement.

« Voila l’aide que tu voulais. Débrouilles toi avec mais ne te plains plus. »

Très rapidement, le félin apprit avec brio le chemin menant de sa chambre à la cuisine et celui allant de la cuisine au salon bureau où restait toute la journée la femme l’ayant « recueilli ». Celle-ci se montra froide et indifférente la plupart du temps même si lorsque ses affaires allaient mal, sa main tenant un bâton devenait étonnamment lourde sur le dos de son petit serviteur. Au bout de trois quatre ans, soucieux de leur sécurité et survie commune, l’autre esclave emmena le bambin une nuit hors de la maison, pensant qu’ils étaient en sûreté, ils s’arrêtèrent dans un parc ou, à leur grand malheur des agents de la fourrière passaient. Conduits en cage, le domestique le plus âgé fut emmené le lendemain par une femme alors que l’enfant, ayant tapé dans l’œil d’un homme le ramena chez lui. S’occupant de lui sans lui montrait d’affection, le félin le servit sans problème pendant quelque temps à faire de nombreux travaux dans sa maison. Puis un soir, ayant bu plus que de raison, l’homme se rendit dans la chambre de son serviteur et avec un sourire mauvais défit sa ceinture reliant les poignets de l’enfant au montant de son lit qui laissa échapper un miaulement craintif en voyant son maître baisser son pantalon et présenter son érection à l’enfant qui, malgré la main plongée dans ses cheveux tournait la tête comme il pouvait.

Furieux de la résistance qu’il lui opposait, le maître leva bien haut sa main et l’abattu violemment une première fois puis une seconde sur les joues du neko qui laissa échapper un cri de douleur alors que sous la force du coup, la ceinture le rattachant au lit se déchira et le domestique roulait au sol. Voyant cela comme une tentative de fuite, le maître se jeta sur lui et le roua de coups jusqu’à ce que le sang mêlé de larmes lui fasse reprendre plus ou moins conscience et quitte la chambre sans un mot. Le lendemain, croyant à un mauvais rêve, alors qu’il allait chercher Raziel, les traces de sang menant à la fenêtre grande ouverte et partant de la mare dans un coin lui firent comprendre que cela c’était bel et bien produit.

Après sa fuite avec l’homme, l’hybride se réfugia dans la forêt ou, lentement et sans soins, le blessé se remit peu à peu de ses blessures. Pendant plusieurs années, le félin se sustenta de petits animaux et s’aventura de temps à autre dans la ville pour voler ce qu’il pouvait afin de pouvoir se nourrir. C’est ainsi qu’un beau jour… (la suite dans le post d’adoption )

Autres.

• Aime : les pâtisseries, les pelotes de laines sans vraiment savoir pourquoi.
• N'aime pas : les gens en général, ils lui font peur
• Particularités, autres : Mrouw ?

• Code de validation : Valideyyy par la Tueuse de Pigeon ♥