Le matin était plutôt paisible, enfin au début… Juste avant que le voisin d’à-côté ne se mette à faire trop de bruit pour laisser dormir Allen ! Celui-ci avait décidé de ce lever pour aller lui faire avaler son oreiller… Euh pour lui dire de faire moins de bruit ! Mais une fois debout il décida d’abandonner son plan diabolique pour aller déjeuner ailleurs loin de son bloque d’appartement trop bruyant. Il connaissait un resto parfait où il aimait déjeuner, mais celui-ci se trouvait complètement de l’autre côté du cartier !
* Ça en vaut la peine t’en que je quitte cette appartement minable !*

Rendu un peut plus loin, Allen vit sur sa route une animalerie. Lorsque son regard se posa sur les vitrines remplit d’animaux de la place, il nu put s’empêcher de sourire. Dans un geste très spontané il entra dans le bâtiment avec l’intention de ne pas y en ressortir seul! Dans un coin il y avait un gros bonhomme qui ronflait sur ça chaise, surement le gradient de sécurité… ou le responsable de l’animalerie…
Il alla directement où était placer les nekos. Il regarda chacun d’entre eu dans leur cage. Mais son regard s’arrêta sur une neko et il lui fit un grand sourire.
*Si je veux avoir plus d’information sur ces nekos va falloir que je réveille le gros monsieur !*
Allen s’approcha du comptoir où il dormait, il regarda l’homme une brève seconde avant de s’accoter sur le rebord du comptoir, où il n’avait pas remarqué l’écriteau « Attention comptoir brisé ! ». Le comptoir se brisa dans un énorme « CRAC ! » et Allen perdit l’équilibre et s’effondra lui aussi sur le débris de l’ancien, maintenant détruit, comptoir… Le gros bonhomme se réveilla en sursaut et cria :
- Qui va là ?
- Euh… Moi monsieur !, dit Allen en levant faiblement la main.
L’homme le regarda d’un air sévère et très dur.
- J’aimerais acheter un neko monsieur… pourriez-vous m’aider ?
Le bonhomme lui montra la ranger de nekos d’un air presser comme s’il avait très hâte qu’Allen parte ! Allen s’accrocha à un présentoir pour se relever, ce qu’il réussi à faire mais pas sans le faire tomber lui aussi, il regarda l’objet sur le sol et dit un faible :
- Désoler…
- Commencer par trouver un neko qui vous intéresse ! Je vais revenir après !, dit l’homme d’une voix comme quelqu’un de prêt à vous égorger.
Allen passa en revue tous les neko présents, puis il s’arrêta sur l’une d’être eux.
- Salut, comment tu te nommes ?

Une existence, est comme une autre. Elles se ressemblent, parfois s'assemblent, mais rien n'est réel dans ce monde éphémère. L'existence, immatériel, humains, neko. Rien ni personne ne peut dire qu'il est important pour tout le monde. Malgré tout, les humains se permettent toutes les folies. Dont celle d'enfermer, des presque semblables dans des cages, comme de vulgaires animaux. Pourtant leurs vies ne sont pas plus indispensable que celle de ces êtres nés de leurs sales mains … La vie n'est qu'un flots abondant de mensonge ou l'en se noie, Petit à petit, doucement.

Qui oserait se différencier de la masse, ces nekos qui s'en vont, un par un par un bien sûr. Ce ne sont que des avortons, un jour ou l'autre, ils finissent tous par revenir. Doucement mais sûrement. Une preuve, vivante, Ketsueki Silvert, celle qui aurais mieux fait de rester princesse de dinette, sa vie en serais beaucoup plus belle aujourd'hui. Elle se souvient encore de son dernier meurtre, celui qu'elle n'oubliera pas. Un homme, des plus simples, il n'était rien, ni personne, sans famille, pas de petite amie. La victime de base. La petite féline ne l'avais tué que pour son plaisirs personnel. Une envie soudaine, pourtant elle avais fait l'erreur de rester près du corps. Par bêtises, non, par réellement. C'était le dernier. Et ça, elle le savais. Pourquoi ? Parce qu'il existe un jour, même dans la vie des plus grands tueurs, ou l'on décide subitement de tout arrêter. D'en finir. Un jour ou l'autre, on dit « Fin », et l'on ne reviens plus jamais en arrière.

Le camion, comme celui de la fourrière dans ces vieilles séries américaine, l'animalerie avait décider de prendre les même, on ne sait pas trop pourquoi, mais bon. C'est comme-ci, c'est comme-ça, soit jolis, laisse toi faire. Et laisse toi enfermer dans une pitoyable cage ou tu vas saigner pendant des heures ! Les hybrides ont tous d'une vie enviable pour les Maso. Une cage, du sexe, du viol. Et bah dit donc, pourquoi envier hein ? Après tout, ils sont bien content de leurs vies puisqu'ils y pourrissent dans leurs cages! Hourra ! On aime ça hein ? Pourtant, ça n'a rien de bien. Ketsueki s'est laissé prendre, puis violé pour lui souhaiter la bienvenue, de toute façon faut pas flatter paupaul comme dit le gérant ! Même sans le flatter on se fait sauter !

Voilà plus d'un mois, qu'elle, Ketsueki, l'ancienne tueuse redouté, pourrissais ici, en ce lieux sale, très sale même ! On ne compte plus les nombreuses fois ou elle a était pénétré, le pire c'est qu'on lui avais volé le peu de pureté qu'elle avais pu préserver, on lui avais manger le corps, salis l'esprit et pourtant tout le monde était en vie. La voix cristalline de l'ex tueuse ne résonnais plus dans les coins de la ville, muette, c'était celle qu'elle avais décidé de devenir. Ce n'était pas sans risque car ces non dit ne voulais pas dire qu'elle ne pensais plus ! Au contraire d'ailleurs.

Aujourd'hui n'était qu'une pale journée pendant laquelle elle ne parlais pas, enfin la nuit elle avais ouvert un peu la bouche pour boire de l'eau, mais aux dernières nouvelles aucun son n'était sortis. Un mois qu'on n'entendais plus le son de sa voix que pour demander quelques petits services pour rester en vie. Pourtant ce matin là, alors qu'elle n'avais pas bougé depuis une bonne heure, elle redressa le regard, un homme l'observait. Un ton presque enfantin lui vint à l'oreille. Elle ne répondit pas en premier lieu . Puis laissa juste une légère phrase.

« Tu sais pas lire les pancartes ? », dit-elle alors que sa queue de féline pointais l'écriteau.

Le vendeur se posais devant eux avant de regarder le jeune homme, il critiquais son choix, bien évidemment, la tueuse n'était pas la bonne d'après lui, il lui proposa la blondasse d'à côté, mignonne jolie sexy et serviable ! Pour un jeune homme c'est l'extase total hein ?

La neko s'en retourna dans son océan de pensées morbide dont personne ne pourrais la sortir à présent. Si ce n'est le son du carillon quand la blonde et le jeune homme repartirais.

(Je ne suis pas du genre à être hamateur de sexe, donc il n'y aurais pas de viole avec moi! Juste pour te prévenir....^^)

« Tu sais pas lire les pancartes ? »
Allen leva les yeux et fixa la pancarte. Il eu à peine le temps de lire le prénom qui y était graver que la voix du gros bonhomme (et si on continuait de l’appeler comme ça !) lui dit que cette neko n’était pas un bon choix et que l’autre dans l’autre cage était plus approprié… Allen vit rouge à ces mots, en fait ce n’était même pas pour la neko qu’il réagissait comme cela ! C’était une odeur à peine perceptible, ou plutôt une intuition que seul un garçon pourrait sentir… la testostérone !
- Vous les avez violé… n’est-ce pas !
Mais l’homme était déjà trop loin pour l’entendre dire.
Il retourna voir les neko du nom de Ketsueki. Celle-ci était retournée sur elle-même, comme si elle croyait qu’il n’était plus là… Il étira lentement son bras entre les barreaux de la cage et lui caressa lentement une oreille.
- Tu n’as qu’à me dire si c’est vrai...S’il t’a fait du mal… Et il ce retrouvera par terre à me supplier de partir !, lui chuchota-il.
(Quoi que le gros bonhomme serait déjà content de le voir partir vu ce qu’il avait brisé)
Puis l’homme revient le voir :
- Donc, finalement laquelle allé vous prendre ?
Il regarda d’un air complice Ketsueki, il n’avait rien dit mais c’est comme si elle avait pu comprendre qu’un hochement de tête aurais sufis, qu’un « oui » aurait été suffisant pour qu’il lui colla la face par terre.
- Je crois avoir fait mon choix, Gr… Euh Monsieur… Mais je ne partirais pas avec elle t’en qu’elle ne m’aura pas dit si elle veut de moi comme maître !
Il attendait toujours la réponse à ses question, une au sujet de comment le gros bonhomme les traitait et l’autre pour savoir si Ketsueki était d’accord pour partir avec lui…

-Je crois avoir fait mon choix, Gr… Euh Monsieur… Mais je ne partirais pas avec elle t’en qu’elle ne m’aura pas dit si elle veut de moi comme maître !

Les mots du jeune homme résonnais dans la tête de l'hybride alors qu'elle tentais tans bien que mal de retourner ses pensées qui n'ont ni queue ni tête, il ni avais jamais rien eu de très passionnant dans les pensées de la jeune fille. Si ce n'est le sang, et la neige, ces deux petit bou de rien qui avais tellement de sens pour elle. Le bruit cessa dans l'assemblé, était-ce son tour de parler ? Qui sait, pourtant elle ne répondais pas. Le gros bonhomme s'avança vers le cage et la tapota pour faire revenir la jeune tueuse dans la vie réelle. Ne bougeant pas d'un poil, elle hocha simplement la tête pour ne contrarier personne.

Ne se doutant en aucun cas de ce qu'il allais lui arrivé, elle remarquais juste le regard insistant de l'homme au cheveux étrange, c'était la cicatrice qu'il arborais qui lui rendais cet air assez mystérieux, celui pour lequel toute les jeune fille bien ou mal éduquailler de ce monde aurais craqué dès la première seconde. Dans le cas présent il ne fut pas le cas. Ketsueki remarquait peu à peu le bruits des clés de sa cage, elle n'en croyait plus ces yeux, un mois, un seul mois s'était écoulé et elle retrouverais déjà sa liberté ! Non non, on ne lui fera pas le coup cette fois. Pourtant c'était SON heure. Descendant petit à petit du sol froid en métal pour en rencontrer un autre, elle s'étirait de tout son longs avant de descendre le bandage de son oeil pour voir, non pas ce qui l'entourais, mais la réaction du jeune homme. Un mois c'était trop peu pour la changer.

Son regard partais dans le vide avant qu'elle ne remette l'épaisse couche de bandage, qui la recouvrait d'un peu partout en réalité. Ketsueki regardait la cage, poussant le portillon pour la regarder vide, un petit sourire s'affichait sur son visage, un air de renouveau venait une fois encore de s'installer en elle. Restant muette, se retournant, se tenant à une distance assez immense de ce qui aller lui servir de maître, la neko le remercia du regard, ce n'était pas dans ses habitudes de sauter au cou des gens depuis ce jour, bénis si l'on peut dire.

Faisant quelques pas sur le sol frais elle continuait de s'étirer de tout son longs alors qu'elle luttais contre l'envie de retourner dans la cage.

Lorsqu’Allen vit le hochement de tête indiquant qu’elle allait devenir sa neko, il fut très heureux ! Tellement qu’il oublia tout le reste ! La seule chose qui avait de la valeur c’était de sortir une des ces créatures loin d’un endroit aussi abominable… Et pourtant il se sentait désoler pour toutes les autres créatures qu’il venait, comme t’en d’autres, de briser l’une des seules choses à laquelle ils étaient libre… Espérer….Espérer qu’une personne vienne enfin les sortir de cette sinistre cage ! Lorsqu’Allen eu cette penser, son sourire si naturel et aimable disparue pendant une fraction de seconde, après quoi celui-ci se rappela du geste bienveillant poser sur la vie de sa neko.

Allen à la au comptoir et attendit que le gros monsieur récupère un objet qui était tombé par terre lors de « l’avalanche » du meuble. Après quelque instant l’homme lui dit le montant total de la somme que valait Ketsueki.

*Quoi…si peux… Cet homme vend des vies et il ne n’offre qu’un prix misérable en échange ! Au moins avec une telle somme les autres laissés derrière pourront bientôt partir !*

Allen payant l’homme en argent comptant avant de quitter l’animalerie. Une fois rendu à la porte il remarqua que sa neko restait à une certaine distance de lui. Pensant que ce ne serait que temporaire et qu’elle finirait bientôt par ne plus être timide, il lui tien la porte ouverte. Mais avant que celle-ci n’est eu le temps de passer le gros monsieur s’exclama qu’il lui faudrait une laisse pour ne pas qu’elle s’échappe ! Allen perdit un peut patience… Cet homme était vraiment abject !

-Et vous il vous faudrait un tapis roulant pour perdre quelques kilos ! Parce que moi si elle s’échappe je peux courir après alors que vous aller vous écraser comme une pierre !