Ennuie-
Il s'ennuyait encore, toujours et encore cette horrible sensation, elle le prenait assez souvent ces dernier temps, il se sentait fatigué, lassé, et il avait envie de découper, détruire, casser, ainsi il avait cassé plusieurs vases contenant des roses, il n'avait rien ramassé, il le fera en rentrant chez lui. Le soleil tombait, les quelques rayons encore présent se faufilaient à travers des coin de rue. Il marchait la tête vide, il faisait aller ces ciseaux dans le vide, le bruit du vent se coupant au passages des lames, elles étaient aiguisées, voir même plus qu'avant. Il créait de plus en plus, les clients venait toujours dans sa boutique, dernièrement il avait eu une commande, une boîte à musique pour offrir à une personne décédé, c'était assez jolie à crée, les mélodies du jeune homme étaient toutes unique, ainsi toutes différentes. Quasiment à chaque instant il s'arrêtait dans les coin de rue, celle-ci étant plus ou moins délabrées, plus ou moins côtoyé par les humains. Il cherchait vaguement de la tête un chemin ou allé, celui ou personne n'irait, à force il finit par tombé sur une église.

Dieu-
Il n'y avait jamais cru, en cette personne qui lui avait laissé la vie, même pas un seul instant il n'avait pensé à se repentir, il entra dans l'imposant bâtiment. Vu sa structure, la construction , l'ambiance, il s'agissait d'une église de style gothique, le jeune homme en dix-neuf ans d'existence n'avait jamais mis les pieds dans un endroit pareil, même quand ALice, cette personne auquel il tenait tant, avait voulu qu'il aille se confesser il avait gentiment refusé et elle avait abandonné, Abysse est assez forte tête, malgré ses 1m80 il peut faire penser à un lycéen, enfin des détails pas très important, son physique l'importe peu, récememt il avait recu une déclaration dans une lettre, il n'avait aps pris la peine de la lire.

Sentiment-
Pourquoi s'encombrer de ca ?, il ne pense pas que cela lui serve beaucoup, et puis lorsqu'il à perdu Alice son coeur à eu comme une carapace de cristal qui le recouvrit, une carapace fragile mais pourtant si difficile à franchir, il alla s'asseoir au premier rang dans la rangé de banc, son coeur fit comme un craquement, il se brisait au fur et à mesure de son existence, quand il l'aura perdu alors, Abysse Kuroi n'aura jamais existé.

Sang-
Le jeune homme soupira, il pris sa paire de ciseau dans son poing, d'un coup vif, exactement comme des griffes s'aggrippant à la chair d'une proie, les lames s'abattirent sur sa main droite, le sang l'éclaboussa un peu, puis coula, un filet écarlate éclairé par les bougies, il faisait nuit,

- Suis-je ...mort..depuis ce jour ?,

Il avait murmuré cette phrase, comme un soupir en quelques sorte. Il retira les lames recouverte du liquide puis recommenca, de nouveau le sang coula. Le ciseau tomba à terre , le son raisonna dans toute l'église, un son métalique, le sang par terre s'infiltra avec le carrelage. Il se pencha en arrière et regarda sa main, sa veste qui n'était pas fermée tomba un peu de ses épaules, le sang coula le long de son bras, un peu de chaleur sur ce corps glacé. sa chemise blanche devenait écarlate, il bougea un peu et sa veste tomba au sol, tant mieux, il n'aura pas à la nettoyé. Le jeune homme entendit un bruit, mais d'où venait-il, et qui ?, il s'en moqua et ingnora, il regarda toujours ca main.

<<[...] Un coté blanc, un coté noir,
Personne n'est tout moche ni tout beau,
Moitié ange et moitié salop.. [...]>>

Renaud~ Docteur Renaud, Mister Renard

Rouge. Comme autant de petite larme de sang tombant sur lui, engloutissant son corps, et teignant son kimono blanc en reflet ensanglanté. On aurait put le prendre pour un ange, si seulement son sourire ne barrait pas son visage en un masque un peu fou. La peur de toute les petites filles, le fanstames des jeunes femmes. Ange ou démon, que sais-je... La lumière des vitraux lui tombait dessus, formant une auréole sombre autour de lui. Alice, toujours vétut de blanc, peut-être dans l'espoir vain de faire croire à une pureté brisé il y'a des années. Il était juste peint de gris, tacheté de rouge, sans jamais un reflet de la perfection qu'on pouvait cependant penser en le voyant. Sa respiration formait un petit bruit a peine perceptible, seul signe qui pouvait montrer au autres qu'il était vivant. Du moins...

Le bruit des chants ne resonnait plus entre les saint mur de l'église, inconnu de tout peché a ce jour. C'était une vieille église, qu'on aurait put penser abandonner vu de l'exterieur. Lueur dansante des bougies qui dansait sur les visages de quiquonque qui rentrait dans ce lieux pouvait donnait l'impression de voir tout autre chose que ce qui est. Il suffit de voir, de regarder. Alice était lui a l'étage supérieuse de l'église. La vieille orgue recouverte d'une fine couche de poussière repossait mélancolique derrière lui. Il savait qu'il n'avait pas le droit d'être ici, mais il l'était tout de même. En s'approchant un peu du bord du balcon, il pouvait voir la porte d'entré, les bancs vierges de toute personne, l'autel. Odeur lourde d'encens, de mystère, de larmes, d'espoir...Et de sang.

A peine perceptible. Une odeur métalique transportait jusqu'en haut des six ou septs mètres qui le sepparait du sol par un courant d'air qui s'infiltrait d'un coins d'un vitraux cassé. Alice avança, toujours dans le reflet rouge . Il se pencha légèrement, un bras replié sur son ventre et observa un homme, debout près de l'autel, lui aussi, dans un reflet écarlate. Il ne semblait pas le voir. Occupé a observer une mains ensanglanté. Sang. Fasciné par le contraste de la rivière rouge qui s'enroulait autour de cette peau si pale, Alice se lécha discrètement les lèvres. Nouveau sourire sur ces lèvres 'parfaites'. Un sourire doux, faux, hypocrite. Un de ces sourires qui met en confiance les enfants, charme les femmes, et fait sourire malgré eux les hommes. Il tourna les talons, et descendit avec lenteur l'escalier en colimaçon qui le ramennait sur le sol.

Il s'arretta quelque marches en hauteur, toujours dans la lumière du vitraux rouge. Alice sourit en sentant le regard de cet homme sur lui. Comme une arme un peu dérisoire, il continuait de sourire, complétant ce tableau presque...parfait. Il entrouvrit les lèvres, sa voix douce résonnant en même temps que le batements de leurs coeurs :

- Vous ne sembliez pas me voir de la ou j'était, alors...Bonjour. Pouvez-vous me voir a présent ?

Alice savait que sa phrase était décalé, presque incompréhensible. Il descendit les marches, attirait par autant de rouge sur la peau blanche de l'inconnu. Facsination totalement malsaine. Sa main aussi pale que le marbre blanc des tombes derrière l'église sortit de sa manche imaculé, saisisant avec douceur mais fermeté le poignet blessé.

- Vous permettez...? Murmura t'il en approchant ces lèvres d'une des nombreuses blessures.

Indécence et innocence réunit dans le geste qu'intima sa langue lorsqu'elle lécha le sang qui s'écoulait. Les lèvres rougit par le sang, Alice redresse son visage vers celui de l'inconnu.

- Croiyez vous...au peché ? Si non...

Il se remit a sourire :

- J'en ai assez pour deux....

Rencontre-
A cet instant le jeune homme réalisa vraiment qu'il existait puisqu'on lui parlait, qui était-il , cette personne, en général les êtres humains n'engage pas de conversation avec lui, sauf peut être ses clients à la boutique. Son regard ne se détacha pas du jeune homme, il paraissait jeune, pourtant ses manières, sa façon de parler, il était mature, donc il ne devait pas faire son age, un peu comme lui d'ailleurs. Il le scruta, chaque détail l'intriguait, d'abord, ce blanc, un kimono blanc taché..de sang, était-il lui aussi un peu détraqué ?, va savoir. Ses yeux, il n'y a pas vraiment de couleur pour les décrire, ils semblaient être fait pour emprisonné le regard des autres, en tout cas cela faisait bizarre, un étrange sensation envahi le jeune blond. Pourquoi lui semblait-il que cette personne lui ressemble... Était-il ..du même genre que lui ?,


Contact-
Abysse s'étant perdu dans ses songes et dans la description de ce jeune homme à l'allure si .. angélique, n'avait pas répondu à celui-ci, il sentit le contact de la langue sur sa main, une autre chaleur procurer par quelqu'un , et non lui. Son sang s'était refroidi, il ne séchait pas mais était à un stade entre sa cristallisation en petites pierres et l'état demi liquide, l'humidification de celui-ci via la salive déposé sur sa paume laissai le sang un peu liquide. Un être humain n'aime pas le sang, il en à peur, en général du moins. Abysse resta un moment sans rien dire, il eut juste un frisson lorsque son regard croisa de nouveau celui-du jeune homme, sa question le surpris..un peu. Il eut un rictus, son rire n'était pas forcé, certes très discret, mais pas forcé, cela le faisait rire, il ne croyait pas en dieu, il ne croyait en rien, pourtant il se trouvait dans un lieu saint.

- Je ne crois pas en grand chose, je ne pense pas...le pouvoir.

Sa voix le surpris, ne parlant pas beaucoup il trouva sa voix assez... enfin il n'avait pas vraiment de quoi la qualifié, un stade entre mature et puérile peut être.

Pêché-Il en avait fait tant dans sa vie, d'abord l'assassinat de ses parents, mais son plus grand pêché, s'il y croyait, serait certainement son existence, oui, ce fait, il n'aurait jamais du naître avec ses joyaux, ces iris de couleurs différentes, tout ça à cause d'un gêne de son père ou de sa mère, mais doré et rouge n'étant pas des couleurs normales, Abysse ne devait pas l'être non plus. Il se demandait pourquoi il était si intrigué par ce jeune homme, des questions lui venait à l'esprit, son sourire, était-il faux ?, un peu comme le sien quand il sourit à ses clients de boutique?.

Souvenir-
Alice lui avait souvent dit qu'elle aurait aimé le voir sourire pour de vrai au gens et non à elle seulement, lui s'en contrefichait, il voulait juste la jeune fille, l'avoir pour lui et lui seule, malheureusement comme on dit, un démon ne peut vivre heureux en se bat monde, les habitants , ses parents même, toutes sa famille lui disait cette phrase, en mourant la jeune fille avait sourit à Abysse, un sourire..vrai.

Réalité-
Il revint à la réalité en sentant sa main lui piqué, certainement le fait du mélange de la salive qui avait du entré en contact avec sa chair, il n'avait pas quitter des yeux le jeune homme, cela devenait embarrassant, regardé quelqu'un sans rien dire, ce n'est pas très agréable pour la personne, il afficha une tête un peu gêné et regarda ailleurs, une bougie, sa flamme. Tant pis il posa ses questions, il regarda sa main,

- Serais tu une personne .. Hypocrite ?,

Ah zut!, il venait de se rendre compte que normalement on demande le prénom de la personne en premier, il n'était pas très doué pour les conversations.

Un nouveau courant d'air. Plus froid, plus glacial que le précédent, ennivrant Alice de cet odeur si métalique et ô, combien exitante pour lui. Il se sentait presque vivant en sentant se goût si amer et glacial dans sa bouche. En lui. L'espace d'un instant, Alice ne ressentit plus de frontière entre lui et l'inconnu. Vraiment, le sang donnait vraiment des sensations bizarres. Agréable aussi, comme autant de petit papillions dans son ventre. Noir, les papillions. Le bruit mouillé de ces lèvres sur sa peau envahit l'espace quelque instant, puis fini par s'estomper, et finalement disparaitre. Il garda tout de même sa peau glacé contre ces lèvres tiédit par le liquide vitale, puis finalement se redressa et se les lécha lentement, toujours en souriant.

- Hypocrite ? Tu semble plutôt perspicasse. Dois-je en déduire...Que tu n'est pas comme...Eux ?

Eux. Tout ces humains qui existait a l'exterieur de l'Eglise. Ces nekos qui attendait un maître ou une maîtresse dans leurs cages froide. Toute ces choses qui éxistait égoistement, sans se douter de ce qu'il pouvait bien se passer dans ce lieu. Sans se douter du lien que Alice avait crée avec l'inconnu. Un lien plus fort que l'amitié, l'amour, la haine ou le sexe. Ce sang qui coulait en lui, un peu comme si ils ne faisaient qu'un. Un nouveau sourire se peint sur son visage. Oui, il était à lui maintenant. Son regard multicolore regarda son poignet. Il ne saignait plus. Et cela l'enervait. Alice en désirait encore, même beaucoup plus. Inconsciemment, il franchit la courte limite entre leur deux corps qui consistait en faite a deux pas, collant leur peau l'une contre l'autre malgré la frontière des vêtements, et l'empechant de s'echepper par ces mains fines plaquait sur ces hanches. Légèrement plus grand. Il resta un long moment comme cela, hypnotisait par la couleur si singulière de ces yeux vairon.

- Alors, veut-tu en faire un avec moi ? Murmura de nouveau le brun en plongeant sa tête dans son cou.

Sa peau était douce, légèrement plus bronzé que la sienne. Mais la même odeur de sang y était collait. Une odeur de folie. Alice adorait cela, et ne put s'empecher de laisser agrandir son sourire, laissant ces doigts courir sur ces hanches et sur son ventre. Il entrouvrit ces lèvres, et lécha sur quelque centimètres sa peau. Le brun goutait la peau de l'inconnu de la même manière qu'un chat se serrait amusait avec une souris. Avec lenteur, presque sadisme.

(J'arrête les mini titre parfois j'en trouve pas >s<)

Il laissa un blanc entre la question du jeune homme dont le prénom était encore inconnu, il ne savait pas quoi répondre, peut être que s'il répondait que oui il n'était pas comme les autres cette personne le prendrais pour quelqu'un de ... modeste ?, enfin il ne savait pas. Il regarda sa main, elle était toute humide mais ce n'était pas désagréable, enfin ce n'était pas agréable non plus, entre les deux. Elle n'était plus recouverte de ce liquide écarlate, dommage, la couleur était belle. Peut être que s'il se recoupait il la reverrai de nouveau .. Mais non il n'en avait pas envi, il devait déja être assez étrange ainsi.
Étrange.. Cette personne l'était tout autant que lui, elle l'intriguait, mais il ne savait pourquoi, une sensation qu'il avait déjà ressenti, mais avec qui, quand, pourquoi ?, tant de question qui resteront sans réponse pour le moment.
Un nouveau contact, plus celui de sa langue contre sa paume, cette fois tout le corps, il ne pouvait pas se débattre car il était assis de plus, il ne le ferait pas, il n'aime pas la violence, il agit toujours avec indifférence même si la il ressenti quelque chose lorsqu'il sentit le contact des mains qui n'était pas les siennes sur ses hanches. Désagréable ou non ?, que dire , rien. Puis cette personne repris la parole, en faire un ?, un pêché.. à quoi cela peut-il servir il n'y crois pas vraiment, et un de plus un de moins quel est la différence ?. Toujours assis il se perdit dans ce regard si..attirant..
Un frisson, plus visible cette fois, quand la langue de l'inconnu parcourait un morceau de sa chair, il sentit ses mains bougées, que lui voulait-il exactement, pourquoi Abysse régissait-il , normalement il aurait du lui dire d'arrêté, pourtant..Cette limite, celle de son cœur, il voulait essayé de la franchir..Mais pourquoi avec lui. Le jeune hommes et ses joyaux vairons se mit à frissonné, le vent était devenu plus froid..horriblement froid. Il sentit un craquement, une fissure, une faille, son cœur..Il éclatait, cette carapace de cristal, elle lui faisait mal. Il réussi à repoussé le jeune homme de quelques centimètres , celui arrêta le contact, il posa sa main droite sur son cœur, son autre main , celle non blessée, se posa sur ça main pareille à une feuille recouvrant le sol, il se pencha un peu , inexorablement sa tête alla contre le torse du jeune homme. Cette douleur.. horrible.. sa respiration se fit un brin plus fort mais inaudible, assez étrange comme façon de respiré.
Son cœur.. réapparaissait.

[mais non >;< revient xD]

Que faire ?, voila la question qu'il se posa, son cœur le faisait atrocement souffrir, et maintenant cet homme se mettait à agir avec de l'étrangeté, la limite qui existe entre deux être humains, lui, il l'avait franchi depuis maintenant un certain temps. Abysse, un gouffre, un endroit ou la lumière ne parvint pas, pourtant aujourd'hui, par cette nuit, sombre, une lumière l'éclair, celle de la bougie, et ce reflet qu'il trouve dans les iris du jeune homme.
Question, il ne savait pas quoi dire à cet homme, on dirait un chat..qui joue avec sa proie, cette proie qui ne pourra ce défendre car elle est plus faible, si elle essaie, elle mourra, elle se fera dévorer.. Voila en quelques sortes la situation ou Abysse était, du moins il pensait l'être. Il sentit une chaleur instable lui monté au front, de la fièvre ?, mais quel sorte, il ne se sentait pas spécialement...malade.
Quand il lui posa des questions ce n'est qu'après un certain temps qu'il répondu, un peu confus mais capable de penser par lui même et non par des illusions.

- J'ai ressenti souvent cette douleur...

Il le repoussa, ce contact sur lui le mettait mal à l'aise, pourtant il ne le montra pas, il remit un peu sa chemise sans pour autant la reboutonner. Il remit sa main sur son cœur..étrange, elle était prise de petit tremblement.

-Pourtant...je ne sais pas vraiment..si cette douleur est habituelle.

Il avait prononcer cette phrase comme une prière, un murmure destiné au vent, souvent lorsqu'il parlait ainsi, le vent, ne lui répondait jamais. S'apercevant que ses yeux avait un peu de mal à resté éveillé, il s'en frotta un d'une main hésitante, il sentit le regard de cette personne sur lui..son prénom..

-Qui es tu ?..

Il le regarda de nouveau, maintenant, il n'en était pas sur, pourtant il pouvait un peu s'en douté...Cette personne, ce jeune homme, cet inconnu, il le fascinait, du moins il le croyait.

Finalement, le jeu devenait de plus en plus amusant. Lorsque il sentit le blond le repoussait, Alice ne put empecher un petit gloussement étonné de sortir de ces lèvres. Il n’était pas vraiment habitué a être repoussé. Quelque part, cela l’avait vexé, mais ce n’était pas le moment de réflechir à cela. Il recula donc de quelque pas, son regard fixé dans les yeux vairon du jeune homme. Le brun s’en serait fiché pour tout autre personne, mais pour lui, il se demandait vraiment ce qui pouvait causer une telle douleur. La solitude ? Le passé ? Ou bien l’amour. De l’avie d’Alice, l’amour était la chose la plus destructrice qui pouvait exister dans ce monde. C’est pour sa qu’il ne pouvait s’empecher de regarder avec mépris toute ces personnes qui prétendait s’aimer dans la rue. Un jour ou l’autre, ce garçon quiterais cette fille pour les yeux d’une autre, et une telle autre le ferait également. Finalement, ils se foutaient de leurs geules, il n’y avait pas de sentiments dans tout les actes qu’il faisait. Si on poussait de ce coté, Alice pouvait arriver a une conclusion : L’amour n’existe pas.

Il soupira, son souffle glacial faisant vaciller quelque instants la flamme pourtant intarissable d’une bougie. Alice détourna les talons, gravissant les quelques marches devant l’autel, et s’allongea a demi dessus, de la même manière qu’un chat l’aurait fait dans un rayon de soleil. Pour lui, à ce moment, le rayon de soleil n’était que le blanc éclatant qu’un vitraux répandait sur l’autel et sur lui. Et tout ce blanc faisait disparaître toute impression mauvaise ou démoniaque qu’on aurait put avoir de lui lorsque il était dans le rouge. Il redevenait Alice, méprisant et méprisé, humain sans l'’être, noir à l’interieur.

De toute façon, il fallait revenir à la réalité pour penser a la question du jeune homme. Et trouvait un faux nom, vite. Il avait l’habitude de mentir sur son identité à toute personne sur qui il était. Trop dangereux. Pourquoi pas Chibana ? «Mille fleurs » c’était plutôt jolie. Il entrouvrit les lèvres, tout son être était devenu « Chibana » son esprit lui hurlait qu’il était « Chibana ».

- Je m’appelle Alice.
Ausitôt dit cela, il ouvrit de grand yeux rond et se mordit la lèvres. C’était mauvais, il n’aurait pas du le dire. Quesqu’il lui avait prit ? Enfin, c’était trop tard pour reculer maintenant. Il reprit donc son masque d’hypocritie, et attendit dans un silence qui signifiait un « Et toi, qui est-tu ? »

Envie, avarice, acédie et colère ? Voilà qui était bien étrange au yeux d’Alice, qui n’en laissait pourtant rien paraître. C’était des péchés bien sombre, par rapport a l’orgueil et à la luxure donc il faisait preuve. Alice ne savait pas vraiment depuis combien de temps il était devenue comme ça. Peut-être que le trop de liberté qu’il avait reçu lui donnait une trop autre estime de lui même. Car c’était malheureusement vrai, Alice voyait tout ce qui n’entrait pas dans ces bonnes grâce comme des moins que rien. Et la luxure…Cela était devenu presque obligé a cause de son métier. Il soupira, et regarda la bougie qui gisait sur le sol. La cire brûlante formait une petite corolle blanche sur le carrelage.

Cela devenait presque une profanation. Si par un mauvais hasard, un prêtre venait a passé par la, Alice songea avec amertume qu’ils finirait tout deux soi au poste de police, soi dans un confessionnal. Il se redressa légèrement et reprima un baillement. Il ne s’ennuyait pas, même au contraire, tout cela l’amusait à un point fou. Abysse, un très jolie nom. Alice le répèta a voix haute une ou deux fois, puis esquissa un petit sourire pleins de cruauté enfantine.

Il ne croiyait pas en dieu. Mais les démons, c’était autre chose. Lucifer, Mammon, Belzébuth, Belphégor, Satan et Léviathan. Les sept démon représentant les péché. Et Abysse ? Qui était-il parmit tout ça ? Aucun des sept ne le representait réelement. Au yeux de l’ex-détenu, il n’était pas un péché, plutôt quelque chose… D’intouchable. Et ‘dieu’ savait que Alice aimait les choses intouchable, il aimait profanait, violer et détruire lentement. Sauf que maintenant, il n’avait pas envie de détruire le jeune homme.

Alice se leva, et lécha de nouveau la plaie du blond. Luxure, orgeuil, mais aussi gourmandise.

Au fur et à mesure que son sang partait il faiblissait, ou du moins il croyait faiblir, il redevint "normal" quand Alice lui léchait sa plaie, aspirait-il sa vie ?, Abysse le voyait un peu comme ça. Finalement il sourit, un unique sourire, rare, il n'exprimait pas de la "joie" , il exprimait de la mélancolie, de l'amertume... Il colla sa tête contre celle de Alice, la couleur doré de ses cheveux se mélangea dans les reflets bleu, les cheveux noir. Il ne pleurait pas mais son cœur lui ressentait de la tristesse.

- Pourquoi...es -tu ainsi..?.

Quel question, on ne pose pas cette question habituellement, chacun est comme il est, gentil, méchant, hypocrite, sadique. Tout ces caractères, différentes personne, les pêché, chaque être humain en à au moins commis un ou deux. Pourquoi était-il ..gentil avec Alice, enfin gentil est un bien grand mot, il n'était pas différent, enfin si, un peu, juste avec lui. Il retira sa main , le contact se rompu.

- Merci.. mais mon sang à l'habitude de couler ainsi, de toute façon je n'arrive pas à mourir...

Mourir, pourquoi évoquait-il ce fait ?, et puis il y'a pensé, mainte et mainte fois à quitter ce monde, la rejoindre, ne plus existé... Il réalisé que Alice avait du sang sur les lèvres, on dirait un vampire, cet marrant, comme description, on dit qu'il n'existe pas, pourtant il y ressemble beaucoup, déjà par son physique. Il pointa une tache de sang que le jeune homme avait sur le coin de la lèvre.

- Mon sang est souillé, tu ne devrais pas le ..boire ainsi.

Il regarda sa main, le sang coulait toujours, il le lécha. Son coeur recraqua encore un moment, il tomba au sol, était-ce une douleur infligé par dieu parce qu'il à souillé une église avec son sang ?, quel punition...amer. Sa main ensanglantée se posa sur son coeur..Pourquoi encore..

- Souillé ?

Alice avança une mains près de son cœur, comme pour le proteger d’une menace invisible. Puis il cacha sa bouche, et laissa échapper un petit rire amusé. Souillé, voyez-vous cela. Il n’en était pas a ça près. Après-tout, il l’était bien lui même, donc… Le brun se remit a rire, puis se redressa en souriant.

- Peut-être, mais en tout cas, il est vraiment…délicieux.

Avec un goût de regret et de trahisons. Un passé douloureux, voilà ce qui faisait donc souffrir Abysse. Le sang permettait vraiment de lire en quelqu’un comme dans un livre ouvert. Il l’observa tombait au sol, reposant une mains contre son corps, observant d’un air plus méprisant qu’il ne l’aurait voulu le blond. Ce qui souffrait, n’était finalement que des humains. Plus rapidement que cela ne l’aurait été possible, Alice s’agenouilla devant lui, et saisit son visage entre ces mains, l’obligeant ainsi a le regarder.

- Je suis sur que tu est entièrement délicieux de toute façon…
Et comme pour confirmer ces dires, Alice franchit la barrière vide qu’il y’avait entre leur deux visages, collant avant violence ces lèvres contre les siennes, une main posait derrière sa nuque pour l’empécher de reculler. Pendant quelque secondes, il se concentra sur le gout du baiser, puis fini par reculer son visage du sien, de seulement quelque centimètres.

- J’avais raison, ricana l’ex détenu en passant un bras autour de ces hanches, l’empechant une nouvelle fois de s’échapper, recollant ces lèvres contre les siennes.

Abysse se laissa faire, embrasser, retenir, il n'avait pas envie de ..partir ?, peut être qu'il était en train de redevenir capable d'aimé de nouveau, mais avec un garçon...
Le baiser qu'il échangea avec Alice ne dura pas très longtemps, il le fit réalisé à quel point cette être le fascinait, il le voulait, l'avarice de nouveau faisait son apparition dans cette carcasse qui au départ était vide. Il retira la main positionné sur son cœur, celui-ci ne craquait plus, les cicatrices profondes de son point vital étaient toujours présentes, mais moins qu'avant. Un autre baiser après un ricanement du jeune homme, délicieux ?, il ne savait pas à vrai dire, mais s'il le disait...

- Tu es..étrange..

Il déclara ceci lorsque le deuxième contact s'estompa. Il sentit son cœur battre un peu plus fort, étrange sensation, devait-il succomber de nouveau à ce pêché, celui de la tentation ?, il sentit de la chaleur au niveau de ses joues, il rougissait, pas de beaucoup, juste un peu. Il se redressa un peu pour pouvoir murmuré à l'oreille du jeune homme cette phrase presque inaudible,

- Il semblerait...que tu puisses l'être aussi..

Il passa sa main non blessé derrière la nuque d'Alice, sa tête se posa sur son épaule, il l'enlaca, ne serais-ce qu'un moment, il aurait voulut resté ainsi, une des bougies qui arrivait à sa fin s'éteint en laissant derrière elle une fumée blanche. Ils n'étaient plus beaucoup éclairés, pourtant les vitraux réussir à leur procuré de la lumière, celle de la lune.

L'odeur d'une bougie qui s'éteind fit hausser un sourcil a Alice, le laissant étonné quelque seconde. Mais était-ce vraiment cela qui l'étonnait, ou plutôt la réaction concentente du blond ? Il se mordit la lèvre d'un air gené. Si il était d'accord, c'était surement mieu, mais le jeu n'en perdait-il tout de même pas sa saveur ? Tout en réflechissant, il passa sa main dans les cheveux d'Abysse, observant cette couleur doré avec fascination et ennuie. Comme cette fille à l'hopital. Elle aussi elle était blonde. Il réagit enfin, et enfouit son visage dans son cou, laissant échapper un soupir glacé. De nouveau, il se remit a songer a la tête de la personne qui entrerait a ce moment la. Un fin sourire se dessina sur ces lèvres qu'il fit froller sur la peau pale du cou d'Abysse. Alice en venait presque a prier pour que quelqu'un rentre.

Ces mains qui avait glissait sur ces homoplates tombèrent sur ces hanches, qu'il caressa du boup des doigts. La nuit devait être froide a l'exterieur, car un nouveau courant d'air s'infiltra sur eux, et Alice profita du léger frisson qui fit bouger le corps d'Abysse pour passer entièrement ces mains sous le tissus, puis dans son dos.

- Tu a froid ?

Sa phrase sonnait un peu comme un sous entendu de 'Je peux te réchaufer si tu le désire', mais Alice n'avait pas vraiment envie de le dire. C'était toujours plus interessant de voir comment le blond allait réagir. Il colla son frond au siens, le regardant avec un calme qui ne convenait pas a toute les émotions que Alice ressentait au plus profond de lui même. Désir, moquerie, ennuie, amusement..et autre chose. Quelque chose de plus singulier, qu'il ne pouvait cependant identifier. Comme pour faire taire tout cela, il reposa ces lèvres sur les siennes, a peine quelque seconde, rien que pour s'ennivrer de nouveau du goût qu'elles portaient.

Abysse eu un frisson non pas causé par le froid mais par le souvenir de l'autre Alice, il se retira un peu de l'étreinte du jeune homme, quel dommage, elle venait encore le hanté... Malgré tout il réalisa qu'il était en train de trahir, ou du moins, d'oublier, son amour d'antan.

-Dé..excuse moi..

Que faire, il ressentit cette froideur à l'intérieur de lui, le souvenir d'Alice, c'était comme un poison, cela le ...pourrissait de l'intérieur. Il baissa la tête, il ne pouvait pas recroiser son regard, il y succomberai de nouveau , dans le cas contraire en restant ainsi...Il avait peur, peur de perdre cet être qu'il voulait possédé..

- Je te dis..que tu es étrange, mais je ne suis pas pour autant plus normal.

Cette vague explication était des plus incompréhensible, du moins pour lui, que faire, l'aimait-il ?, était-ce se sentiment, qui le faisait agir ainsi, qui le faisait souffrir. L'amour est une chose bien destructrice quand elle n'est pas du bon coté, il l'a déjà appris à ses dépend..

[désolé petit post ? je le trouve pas bien >.<]

Cette fois, Alice ne s'étonna pas de sentir Abysse se dérobait de son étreinte. Oui, il était vraiment étrange. L'espace d'un instant, le brun eut l'impression que les roles c'était inversé. Au début, ce n'était pas lui qui était le chat, et Abysse la souris ? Pourtant, c'était le blond qui venait a lui, puis qui reculait, encore et encore. Il haussa un sourcil, intrigué par tout ces changements d'envie, mais maintenant, le jeu avait commencé, et la patience du brun avait ces limites.

C'était peut-être pour cela qu'il se recolla de nouveau contre lui, plutôt violement d'ailleurs en lui maintenant les poignets de chaque cotés de son corps. Ces yeux au teintes multicolores ne brillait de la même hypocritie heureuse et bienveillante que lorsque il souriait, quelque seconde plutôt. Le bruit de leur deux corps qui tombèrent sur le marbre blanc résonna quelque seconde dans l'église, venant troubler un moment la tranquilité qui reignait entre les bancs vides.

Alice se retrouvait a présent a quatres pattes sur lui, et le maintenant au sol malgré qu'ils soit légèrements plus petit que le blond. Une de ces mains dériva sur sa joue, et lui fit tourner le visage, l'obligeant ainsi a le regarder.

- Pourquoi est-ce que tu réagit de cette manière ? Est-ce que tu aurait....peur ? Ou peut-être que tu n'aime simplement pas les garçons ?

Sa dernière phrase le fit sourire dangeureusement. De toute façon, c'était bien le dernier de ces soucis. Si il ne l'ai aimait pas, il il ne l'aimait pas, Alice devrait juste faire en sorte de rémedier à la situation. De grès, ou bien de force. En attendant sa réponse, il continua de lui caresser la joue, effleurant parfois sa lèvre inférieure du boups des doigts.

Peur.. Oui, Abysse avait peur, pourtant il ne pouvait se résoudre à voir la réalité. Quel hypocrite, il voulait, ne voulait pas, que désirait-il au final, le jeune homme, ou non. Il fut forcé de le regarder, il succombera encore à ce regard, à ce jeune homme. Après un petit moment de silence et de confusion dans sa tête, le blond pris la parole. L'église était en train de sombré dans les ténèbres de la nuit, les bougies laissaient des filets de fumée blanches pour marqué la fin de leur existence, d'elles il ne resterait que de la cire.

- Je ne pense pas.. que le fait que tu sois un homme me gène, le problème en lui même est..

Il se tut et baissa son regard mais comment le pas croisé le sien ?, il fit comme il put, il ne bougea pas, resta en dessous de lui, ainsi il ne pourrait plus fuir, se forcer à voir la réalité, ses sentiments étant revenus comme son cœur qui le faisait souffrir, quel dur réalité que de voir que l'on aime de nouveau,

- Je suis lâche,

Il sentit un liquide chaud descendre le long de sa joue, une larme ?, une seule et unique larme, il n'en avait jamais versé, même pas à la mort de Alice, celle-ci était anormalement rouge, ses yeux n'étant pas fait pour pleurer pensa t-il, il l'essuya d'un revers de manche, sa chemise blanche eut alors encore une tache écarlate, il laissa sa main lui caché ses yeux, il ne voulait pas...que cette personne le voit ainsi, si pathétique...il l'aimait...il aimait de nouveau quelqu'un, un Alice différent de l'autre, un Alice...intriguant pour ce porte malheur au yeux vairons.

Lâche ? Ce n'était que ça ? Un petit sourire en coins naquit sur le visage d'Alice, puis s'agrandit, encore et encore jusqu'a transformer son masque si angélique en un plus malsain. Tout en lui caressant le visage, le brun se mit à parler, plus fort, comme pour graver sa voix dans les objets religieux qui éttoufait les murs de l'église.

- Lache, nous l'avons tous était un jour. Personne n'est parfait dans ce bas monde, tout le monde a hérité d'une part de noirceur plus ou moins prononcé. Toi, tu n'est pas lache, tu est...

Alice redescendt au niveau de son torse, une main plaqué sur son épaule pour le maintenir contre le sol, et l'autre défaisant avec aisance les boutons de la chemise. Arrivé au dernier, il redressa son visage vers celui d'Abysse, et gloussa en voyant que celui ci avait enfin décidait de le regarder. C'était plutôt étrange, mais il n'arrivait pas a lire le sentiment qui se cachait derrière se regard, aussi, il esseya de l'oublier en reposant ces lèvres sur la peau glacé de son torse, formant un petit chemin humide jusqu'au nombril, ou il resta un long moment avant de murmurer :

- Ennuyeux, amusant, intriguant...

Il descendit sa main gauche jusqu'a sa jambe, hésita quelque instant avant de la poser dessus pour la caresser, effleurant parfois l'interieur, mais sans toute fois aller plus loins. Après avoir fait cela, il effectua de nouveau une légère pression sur son épaule pour lui faire comprendre de ne pas bouger. Alice la remonta ensuite sur le haut de son pantalon, et caressa du boups des doigts a l'horizontal la frontière que barrait le tissus. Sa langue prit la succesion de ces lèvres, et se remirent à tourner autour de son nombril, imitant plus ou moins...certaines choses.

- Si tu n'aime pas, ou si ça te gène, ferme les yeux, et...imagine.

L'imagination était la chose la plus puissante au yeux d'Alice qui pouvait exister. Il ne savait toujours pas ce qui semblait tellement gené Abysse...Un autre garçon ? Ou une fille ? En songeant a cela, le jeune homme sentit une boule se formait dans son ventre. Jalousie ? Il poussa un petit grognement ennuyé. La jalousie, d'après ce qu'il savait, était souvent associé à...l'amour. Et il ne pouvait pas se permettre d'aimer. Vraiment....


(Gomen du retard >o< *s'accroche a un mur* Tue moi !! C'est tout petit O_O)

( mais tu rêves je te tuerai jamais xD)
Voila une situation quelque peu embarrassante, Abysse ne sachant pas trop quoi faire ni comment faire d'ailleurs, car Alice le maintenait au sol, il aurait très bien pu se défaire de cette emprise et s'en aller..il aurait pu. Il regarda les vitraux, frissonnant en sentant le contact de la langue du jeune homme, étrange, était-ce ..agréable?, alors d'après lui, Abysse était ennuyeux, certes il le savait, amusant, ça il l'ignorait jusqu'a aujourd'hui, personne de de toute façon autre que "son" Alice ne lui faisait de compliment ou ne lui parlait tout court. Et enfin Intriguant, bah lui aussi l'était tout autant que lui. Il entendit une sorte de son étrange sortir de la gorge d'Alice, cela le fit rire un peu, c'était étrange pour lui, rire...

- Pourquoi..as tu fais ce son bizarre ?,

Il avait croisé son regard, il se sentait étrange dès que cela arrivait. Il ferma les yeux pour les r'ouvrir après , il regardait le plafond, sa main lui refit un peu mal, encore et toujours, il devrait y réfléchir à deux fois avant d'agir, cette blessure n'est que superficiel pourtant elle fait souffrir.

- Mieux vaux avoir des cicatrices visibles...plutot qu'invisible.

Quelle étrange pensée, il l'avait dit à voix très basse sans vraiment sans rendre compte. Il se sentait étonament..troublé.

- Je pense comme toi, toute fois, toute mes cicatrices sont invisibles, donc cela est presque décalé de le penser.

Alors qu'il allait passer sa main sous la barrière que consistait le pantalon, Alice se redressa a quatres pattes sur lui, planta de nouveau son regard dans le sien. Toute fois, toute trace d'amusement avait disparu de ces yeux au teintes si singulières, pour laisser place à d'autre sentiment, qu'il n'avait jamais alors ressentit jusqu'à alors.

- C'est ennuyeux...De réaliser que je sais rien de toi, et que tu pourrais penser à une toute autre personnes pendant que j'agit.

Jalousie, indéniable jalousie qui lui brulait presque la gorge. Finalement, il ne pouvait la reffouler, elle et tout les sentiments qui se bousculait dans son corps comme pour lui rappellait que finalement, il n'était qu'un humain comme tout les autres. Ces joues se teintèrent de rouge, et il plaqua avec violence mais surtout désir ces lèvres contre les siennes. Comme pour confirmer son terme utilisé dans sa phrase, Alice fit brusquement dériva sa main gauche auparavent sur son ventre sous le pantalon d'Abysse, caressant avec une envie non dissimulé son intimité à travers le tissus. Pendant quelque instants, il se concentra sur le bruit étrange qu'émetait leur baiser, avant de le couper et de plonger ces yeux dans ceux vairon du blond.

- Tu comprend ? Je veux...Que tu pense à moi, rien qu'à moi, murmura Alice avec une gène qui lui était inconnu, tout en continuant ces caresses devenue plus douce mais aussi plus insistante.

Un frisson parcourut le dos du jeune homme aux yeux vairons, ce n'était pas à cause du froid, ce n'était pas à cause du geste de Alice, c'était encore de la peur, la peur de voir à quel point ce jeune homme , celui qui l'intriguait, celui qu'il ..désirait, était sérieux. Pourquoi devait-il réagir ainsi ?, bah , étant humain lui aussi malgré les apparences le fait que quelqu'un l'aime ainsi... le troublait du plus profond de son être.
Il sentit ses "caresses" plus intense, il en re'frissona, étrange, il n'était jamais ainsi habituellement, comment faisait Alice pour le troubler ainsi... Il sentait le rouge lui monté au joues, il rougissait de plus belle, il était gêné si on peut qualifier ça de gêne. Il avait mit du temps à réaliser mais le résultat était la, il retombait amoureux, étrange... Les yeux vairons de Abysse rencontrèrent de nouveau les iris colorées de Alice, décidement. Avait-il deviné que Abysse avait repenser à son ancien amour mort?... Il se mit à parler avec un brin de sériosité dans sa voix, mais aussi quelque chose d'autre..

- je ne sais rien de toi non plus, enfaite ce que tu dis pour moi s'applique aussi pour toi...c'est ..

Il marqua un temps d'arrêt et regarda sa main , le sang avait coagulé, il était sèc et lui tiraillait un peu la peau.

- amusant.

Il ferma sa phrase avec un léger rire qui ne dura guère longtemps, le rouge resta sur ses joues, ses cheveux dorés sur ce sol glacial, cette personne à quatre pattes au dessus de lui, ce fut une scène très étrange et peu commune.

Il repossa ces lèvres sur les siennes, pour lui intimer de se taire, même si sa voix sonnait agréablement bien au oreilles d'Alice. Tout en observant l'expression qui avait peint son visage, il songea que cela n'aurait plus du tout amusant que quelqu'un rentre à ce moment. Pendant quelque instants, il arretta de bouger et l'observa avec une fascination non dissimulé. Pourtant, c'était la même expression que tout ces clients, avec peut-être quelque chose en plus, ou en moins. Sauf qu'a cette vision, Alice sentit son coeur se mettre à battre bien plus fort qu'à la normal dans son torse. Douloureux, mais en même temps très agréable. Il se mordilla la lèvres quelque instant, avant de fermer les yeux et de rescendre au niveau de son torse, reprennant ces caresses quelques instants avant de retirer sa main pour déboutonner son pantalon, beaucoup plus timidement qu'il ne l'aurait voulu.

Interieurement, Alice hésitait, et c'était quelque chose qu'il ne connaisait pas et qui l'agaçait profondément. Une envie brusque de se détourner et de s'enfuir le prit, mais la simple respiration d'Abysse le forçait cepandant à rester. Délicieux, et en même temps une vrai torture. Alice se demanda a quoi il ressemblait à cet instant. Vu la légère douleur sur ces joues, il devait surement avoir fortement rougi. Donc, il devait être parfaitement ridicule. Ou était passait ce masque d'hypocritie qu'il avait prit tant de temps à construire ? Et depuis combien de temps avait t'il disparu ?

Tout en se possant ces questions, Alice se rendit compte qu'il avait déja commençait a baisser le pantalon jusqu'au genoux. Un nouveau sentiment de gène le prit, ce qui le fit stopper tout mouvement pendant plusieurs secondes. Sa main effleura avec tout autant de timidité son bas ventre, et il trouva finalement la solution pour masquer sa gène. Se redressant plus rapidement que cela ne l'était possible, il se jetta avidement sur les lèvres, et proffita du court moment ou leur lèvres se rencontrèrent pour glisser sa main sous le dernier vêtement du blond. Finalement, cela n'arranga pas grand chose pour l'ex détenu qui s'entendit gémir pitoyablement de gène.

Le pêché de tentation, ils étaient en train d'y sombré en y repensant, ressentant de nouveau les lèvres du jeune homme Abysse rougit de nouveau, il se sentait quelque peu pathétique, lui qui habituellement ne souriait jamais, ne parlait pas beaucoup, ne rougissait pas.. Peut être n'était'il plus lui, ses jambes demi nues contre le sol glacial de l'église le firent de nouveau frissonner, encore et toujours.

Quand Alice passa le "dernier obstacle" s'il puit le décrire ainsi il ressentit une gêne. Jamais personne n'avait agit ainsi, c'en était... indescriptible enfaite. Il regarda le visage de Alice qui lui aussi avait pris ce teint rouge, étrange mais cela affecta le jeune homme.

Abysse fit un geste assez "osé" d'après lui, en allant posé sa main blessée sur le torse du jeune homme, il avait passé le tissu du kimono, son corps était chaud comparé à sa main...froide. Il la posa sur son coeur, cet organe le permettant de vivre ainsi, il écouta les battements de son coeur et ferma les yeux.

- étrange..

Ayant finit d'écouté il retira sa main avec lenteur. Sa main attrapa l'épaule de Alice, il le renversa sur son coté gauche désormais il se retrouvait à quatre pattes sur lui, role inversé peut être. Il laissa sa main gauche sur son épaule, bloquant ainsi au jeune homme la possibilité de se relevé, il n'était plus trop lui même, il désirait...cet être qui le fascinait. Il pris un bout de la ceinture du kimono blanc de sa main en sang, il le tira doucement, il posa son front contre le sien, le regardant avec ce sentiment étrange..

- Pourquoi me trouble tu ainsi...

Sincèrement, il n'avait pas eu le temps de comprendre ce qu'il c'était passé. Hypnotisé par le regard vairon d'Abysse, ce n'est qu'a peine si il se rendit compte que c'était maintenant lui qui était sur le sol glacial de l'église. Ces yeux tremblait légèrement, pas vraiment de peur, plutôt de surprise. Le brun sentit son coeur s'accelerait de nouveau lorsque il possa sa main dessus, ce qui le fit de nouveau rougir et déglutir péniblement. Si lui était troublé, alors comment devait-il se considérait lui ? De nouveau, il eut envie de s'enfuir, mais savait qu'avec toute la volonté du monde il n'aurait pas put le faire. C'était un peu comme une noyade, il sombrait encore et encore dans un océan glacé au teinte doré et écarlate. Vraiment, c'était ce qu'Alice ressentait lorsque tout son corps fut parcouru d'un frisson, lorsqu'il entendit le bruit feutré de l'obi qui glissa le long de kimono quand Abysse tira dessus.

Alice entrouvrit les lèvres, esseyant de lui répondre, mais aucun son ne parvient à sortir de sa bouche. Peut-être aurait-il fallu pour cela qu'il détourne ces yeux du regard du blond. Avec le peu de volonté qu'il lui restait, il passa ces bras autour de son bras et enfouit son visage dans son cou, collant plus ou moins leurs torses l'un à l'autre. Redressant sa tête au boup de quelque seconde, il posa plus chastement qu'il ne l'aurait désiré au fond de lui ces lèvres sur les siennes avant de murmurer un timide 'Abysse~san'. San, qui avait phonetiquement dérivé en 'chan'. Il esquissa nouveau un sourire.

[C'est affreusement court, gomen éè]

(ca y'est je m'y met xD)
(je modifie un peu pour le caractère)

Il n'était plus trop lui même depuis un certain temps, du moins il ne venait de s'en apercevoir qu'à présent, le contact de son torse et du sien l'avait fait frissonner du plus profond de son être s'il en avait un. Sa conscience compromise depuis un certain temps ne lui disait rien, habituellement il réfléchis, il pense au conséquence et autre, pourtant la il avait la tête vidée, il savait juste qu'il était animé de cette personne, pas ce jeune homme habituellement taciturne et indifférent, mais plutôt cet Abysse animé par la folie et le désir bien que généralement la folie y'est pour quelque chose, lorsqu'il brisait quelque chose, lorsqu'il coupait, détruisait, anéantissait, ce n'était pas lui, c'était un autre. Oui c'est ce qu'on à appelé être schizophrène. Il est au courant de sa "maladie" depuis un certain temps mais pourtant cette facette de lui s'alterne souvent avec sa normal. Quelques années auparavant lorsqu'il tua ses parents cet Abysse la apparu, puis vint ses crises de folies, bien qu'il était conscient pour la plupart, d'autres étaient plus grave. Il ferma les yeux pour les r'ouvrir, sa pupille si écarlate laissa place au doré, un changement assez....étrange, plus de malédiction alors ?, ca serait trop beau dit on.
Revenons en à ce moment dans cette église, le froid ambiant était glacial, pourtant il n'avait pas froid, quand il respirait il voyait la vapeur faite par son corps sortir de lui même, il dégageait alors encore de la chaleur, un être humain. Il fut embrassé par la source de sa folie de ce soir, il ferma les yeux lorsque le contact se fit, vint après la vue de son sourire, il sourit à son tour mais un sourire pas très... normal. Un brin de perversité. Il attrapa les deux mains du jeune homme pour les maintenir au dessus de la tête de celui-ci, étrange, avait-il peur que Alice s'enfuit ?, va savoir, il alla déposé un léger baiser dans le cou de celui-ci, ses mains toujours maintenu, puis avec l'agilité de celle-ci , ou plutot la rapidité, il alla les attaché avec l'obi en soie, le noeud ne semblait pas très solide pourtant il ne fallait pas se fier au apparence.

-Aurais-tu froid ?,

Le cou de Alice avait à peu près la même température que celui de Abysse d'après lui, sa main qui maintenait ses mains glissa jusqu'a l'épaule du jeune homme, de toute facon il ne pourrait plus bouger celle-ci, il ne s'enfuirait plus, il sombrera avec lui dans le pêché de chair. Avec celle-ci il parcoura le cou de Alice, de son épaule à sa nuque, de ses omoplates à son dos, jusqu'a ce qu'il arrive au niveau des hanches, il devait s'imaginer que la froideur de sa main ne devait pas être très agréable, il ria lorsqu'il sentait les frissons d'Alice dans son épine dorsale, bref, il agisait un peu comme un pervers, un homme normal sombrant dans le ... désir ?, ou dans la folie, soit. Il descendit le dernier bout de tissu qui habillait le jeune homme, quoique il n'avait pas tout à fais retirer le kimono mais bon, il n'avait pas envie de retirer ce noeud qui maintenait le jeune homme au sol, d'ailleur celui-ci n'était plus trop froid, peut être qu'avec le temps il prenait une température disons normal. Il crut entendre Alice lui parler mais le jeune homme avec ses pupilles doré n'était pas vraiment..conscient?, du moins ce n'était pas Abysse, du moins pas l'habituel.
Il n'était pas très frileux pourtant il garda lui aussi son haut, sa chemise blanche aux multiples taches rouge. Il retira son bas puis regarda de nouveau Alice, il afficha un sourire , celui d'un enfant qui s'amusait à découvrir son nouveau jouet, du moins il ressemblait à un gosse, ou à un lycéen, enfin bref, beaucoup de chose dite pour rien. Il se rapprocha un peu du corps , un corps paraissant si ... faible, si frêle. Au dessus de lui il voit qu'il ne peu pas vraiment fuir son regard, cela l'amuse, un vrai gamin. Sa main va se poser de nouveau sur son coeur, le sang à coagulé, un laisse quelque trace rouge derrière lui.
Il ne parlait plus, il souriait de temps à autres lorsque leurs regards se croisaient, il avait encore ce sourire anormal, légerement pervers. Enfin c'est une facon de parler. Il ne lui fallut qu'un instant, à priori il avait surpris ALice car celui-ci eu un sursaut, du moins d'après la vision de Abysse, il était desormais en lui, il commetait son pêché de chair avec Alice, bien que celui-ci n'avait peut être pas encore pris conscience de sa situation, il était à lui, Alice lui appartenait, qu'il le veuille ou non, cet Abysse la est effrayant. Il fit avec lenteur quelques va et viens en souriant à chaque fois que Alice réagissait, le froid dehors, l'endroit, cela était assez étrange.

(tu me diras ce que tu en pense x) même ceux qui lisent peuvent donner leur avis xD par mp ca serait interressant xXXD)

L'innocence et la naiveté sont deux choses bien distinctes. Dans le cas de Alice, c'était la suprise qui animait son être. Il vivait dans ce perpetuél état. Depuis son départ de l'hopital, le plus dure était surement son innocence devant les choses qu'on apprend des son enfance. Comme une fourchette, la notion du temps, ou simplement être émotif. N'arrivant pas a cette dernière choses, il avait apprit a faire semblant de ressentir toute les émotions que les humains normaux pouvait ressentir d'eux même. Et à ce moment, poignet habilement et fermement ataché, à moitié nu et frissonant sous le froid et les caresses brûlantes d'Abysse, Alice ne pouvait que s'étonner des émotions qu'il ressentait. Ce n'était plus une expression forcé de timidité, de gêne, d'envie et de plaisir. Il les ressentait réellement. Ne pouvant se résoudre à fermer les yeux, il observant timidement le sourire et le regard du blond - qui avait changé en quelque chose de plus...bestial-. Sa bouche entrouverte laissait échapper une respiration irégulière, et parfois quelques gémissement qui venait ajouter de nouvelle rougeur sur ses joues. Avec le peu de volonté consciente qui lui restait -ne désirant à ce stade que des idées indécentes et surement réprouvé par le lieu ou ils étaient-, il ferma les yeux et gémit de nouveau. C'était bon.

- Non...Je n'ai pas froid....

Et c'était vrai. Il avait chaud, trop chaud. Agréable et douloureux à la fois. Tirrant légèrement sur les liens qu'il le retenait, il grimaça en coins. Cela lui rappelait l'époque ou il n'avait pas encore apprit à se rebeller, lorsque il était qu'un jouet parmis tant d'autre pour ces médecins. C'était facile de faire du mal à quelque de plus faible que ce soit, surtout quand l'autre est coincé, et ne peut pas s'échapper. Une bouffé d'angoisse se fit ressentir, et il tira de nouveau sur l'obi qui liait ses poignets. Alice se mordit la lèvres, et entrouvrit les yeux. Il fallait qu'il voit la réalité, il n'était plus attaché sur un lit dans une chambre blanche, mais bel et bien dans une église - et cette fois, il se trouvait bien plus que concentant-, et non pas avec un médecin vicieux, mais avec Abysse. Il ne trouvait pas vraiment de mot pour décrire ce qu'il était pour lui. Pas un ami, il ne se connaisait pas assez pour cela -en y reflechissant, il doutais fort que le blond puisse faire confiance à un garçon qui lui avais sauté dessus il y'a à peine une vingtaine de minute-. Un inconnu, surement, mais il ne pouvait se résoudre à pensé que après que 'tout' serait fini, ils ne se reverait plus, et reprendrait leurs vie, chaqu'un de leurs cotés. Un amant, pas encore. Pas envie. Si au yeux d'Abysse, il n'était qu'un coup d'un soir, alors il en serrait ainsi...Mais il ne le voulait pas. Un amant, c'est juste du sexe pour le sexe. Et rien d'autre. Son coeur battait vite, bien trop vite. Alice commençait à avoir peur de ce qu'il pouvait ressentir, n'ayant jamais ressentit cela avant. Pressant son corps -et légèrement plus le bassin- contre celui du blond, pour lui faire comprendre de continuer, il rabaissa ces poignets lié devant son visage, de manière à ce qu'il ne voit plus que le bas de son visage, et surtout bas son regard remplit de l'indulgence qu'on désignait par le mot "amour". Peut-être qu'avec un peu de chance, Abysse ne s'en était pas rendu compte, et avait juste prit conscience de sa voix qui murmurer son prénom exaltiquement, ou de ses gémissements qui à ce stade en demandait bien plus. Il se cambra de nouveau, et entrouvrit les lèvres qui laissèrent échappé un petit "Ah..." de plaisir et de surprise.