C'est ici que tu vivras, dans ta propre tombe... [Pv : Laow-Kun]

Date d'inscription : 10/01/2010

Tu n'es pas au Paradis Chéri...

Cela allais faire plus d'une petite heure que je marchais avec le neko sur mes talons, il n'avais pas l'air d'avoir beaucoup marché dans sa vie il y avais minimum trois à 5 mètres d'écart entre lui et moi. Je vivais dans le quartier abandonné j'y était la seule résidente humaine si on ne comptais pas la neko rebelle, qui habitais dans le voisinage d'un vieux bulding qui tenais debout par le pur hasard. L'heure défilé doucement à ce train là nous ne serions pas chez moi avant la nuit, il ne restait pour moi plus que 15 à 20 minutes de marches un demi heure minimum pour mon nouveau jouet. Je m'arrêta sec puis le regarda

- A cette vitesse on sera chez moi quand la nuit montreras le bous de son nez. Tu n'es pas rapide la limace ... lui dis-je en rigolant avec un air assez enjoué.

Une demi heure plus tard nous fûmes enfin arrivés chez moi, le quartier était calme sans un bruit de moteur ni de petits oiseaux charmants qui ne montrais leurs nez que quand l'aurore du matin se faisait une beauté.

Je me posta devant un grand bulding encore en état de tenir debout pour un siècle ou deux, ma seule voisine était celle d'un bulding délabré 200 mètres plus long, on pouvais dire que l'immeuble m'appartenais de droit ou de force, mais je n'en occuper que le rez de chaussé cassé et le premier étage qui comptais 4 petits studette de célibataire.

L'entrée principale était celle que j'utilisais de garage, c'était un garage équivalent à la surface au dessus, l'ancien rez de chaussé qui était tellement délabré que même un rat n'y aurait pas fondé sa petite famille. Après deux années de travaux j'avais réussi avec quelques ancien "amis" d'infortune, une grande porte de fer volé à une garage en ruine avais était retapé et placé sur un mur effondrais depuis 3 ans.... Une allée de goudron y menais, une poignée de fer blanc servait à soulevé la grande planche de tôle ferraillé. Une fois relevé on peut voir dans la grande pièce deux engins de luxe acheter par une ancienne amie, une Harley Davinson rouge et noir avec sa petite roulotte passager finement peinte de rouge et noir, resplendissante de milles feu elle est la seule et unique fierté de l'hôte de la maison. au fond de la pièce se trouve un immense plan de "travail" qu'elle utilise pour la mécanique et les nombreux essaie qu'elle fait sur son petit bijoux roulant. Tout au fond à droite de la pièce se retrouve un grand escalier de béton blanc gris recouvert d'une épaisse couche de moquette noire. Nous arrivons maintenant dans l'ancien Hall d'entrée de l'étage supérieur. Lieu ou je vis toujours à présent. Une fois bien réaménageais par mes soins j'ai fait du hall le grand salon, pièce maîtresse de mon étage habitable. Un grand poteau de béton centrale cache, comporte une cheminée en son cœur éclairant la pièce et réchauffant tout l'habitacle. Une petite bibliothèque en colimaçon entoure l'immense tube de béton, ce sont des étagères de bois assez massif, recouverte de photo de bibelots en tout genre avec une vingtaine de livre.

Une grande banquette longe un mur aveugle laissant voir les flammes ardentes de la cheminée, juste en face de celui ci une baie vitrée ( donc à la droite de l'escalier.) remplissant tout le mur, les vitraux son de fines mosaïque faite à la main par des connaissances de longues dates voulant la remercier pour un service qu'elle avais donner. Une seule et unique porte mène à la sortie de la pièce de se mur, une porte massif en verre double vitrée menant à un faux jardin suspendue très accueillant. Remplis de nombreuses plante elle remonte en un toit de verdure très solide. Un petit jaccuzi ornais de fines forêt de lierre et de pensée grimpante le camoufles doucement ne laissant paraître que l'eau azurée et légèrement tiède. Une table de fer noir est posé à sa droite avec une petite nassèle deux place se balançant au grès du vent s'engouffrant dans le petit jardinet. En revenant dans le salon 3 porte différente se présent dans un minuscule couloir, la salle de bain avec WC à l'italienne assez simple mais assez coquette dans des ton très chalets d'hiver. La salle à manger cuisine assez coquette mais très simple dans des ton froid blanc inox avec une table en verre épais et une nappe bleu azuré avec 4 chaises en parfaite état.

Il ne reste plus que la chambre de l'hôte séparé en deux partie par une porte coulissante noir d'un bois japonais assez fin, la première partie visible est une "chambre d'amis" aménageais en bureau, un lit simple et posais dans un coin de la chambre avec une armoire de bois brun ciré. Un grand bureau longe la porte coulissante, en faisant coulisser on tombe sur le chambre de la jeune fille, un grand lit baldaquin noir au droit chocolat crème laisse tomber deux grand rideaux fin crème avec de petites bordures fines. Une descente de lit en forme de cookies ( 8D ) , un grand dressing en bois recouvre le mur aveugles à peine remplis de diverse vêtements de tout style. Un bureau simple en bois et recouvert d'un petit ordinateur portable, d'un bouquet de lys noir et d'un lampe assez mignonne et coquette.

Je fis coulissais la porte du garage et dit à mon acquisition.

- C'est ici que tu va vivres ! Bon c'est pas le grand luxe hein, mais c'est mieux que là ou je t'ai récupérer. Fais comme chez toi mais ne met pas le bordel j'ai déjà assez de mal à ranger !

Lui dis-je d'un air amusais et très sympathique .

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Sortit de l'animalerie, les deux personnes se mirent a marcher... Longtemps...Très longtemps...Laow crut que cela ne s'arreterait jamais, quand il marchait, il était toujours derrière sa propriétaire, a plusieurs mètres d'ecarts, jamais au même niveau. Pendant cette marche, Laow dévoilait malgré lui une de ses grosses faiblesses, sa santée ne lui permettait pas de fournir de gros efforts. Fuyuki lui adressa rapidement la parole au bout d'un bon moment. Mais la marche n'était pas finie, il fallait encore continuer.
Interieurement Laow se demandait pourquoi elle n'avait pas prise de moyen de transports. Cela faisait plusieurs années qu'il n'avait pas eu l'occasion de mettre le nez dehors, au début, il eu même un peu froid, surpris de la température ambiante a l'exterieur, il pouvait respirer autre chose que l'odeur de l'animalerie. Il regardait attentivement l'environnement depuis sa sortie, il ressentit de l'humilité quand les quelques gens croisés le regardait. Au début, l'environnement était très monotone et gris, propre a la ville, a sa pollution, a ses égouts, a ses Sans Domicile Fixes faisant l'aumône dans la rue, a ces quelques "racailles" trainant et faisant les fiers, cet ambiance dans la ville qui faisait qu'il n'avait pas très envit de rester la, il ne devait pas être le seul a la ressentir. La ville, prise avec un peu de recul, est une grande critique de l'homme, détruisant tout ce qui se dresse devant lui, la nature y comprise...Au fur et a mesure de la progression, l'environement changeait, pour devenir plus calme, plus vert, plus paisible...Puis arrivé, quelque peu lugubre. Un long batiment se dressait devant lui. Il crut qu'il allait perdre ses jambes, puis l'humilité vint encore le voir quand il vut sa propriétaire, qui pouvait encore courir un maraton ou deux sans problème. Elle lui adressa la parole pour lui annoncer que c'est içi qu'il allait vivre...Il tomba malgré lui a genoux, essouflé de la route accomplie. Quand il redressa la tête il vut un garage très grand, et regarda rapidement, ce qui semblait être un moyen de transport, mais a deux roues, il n'avait jamais vut ça. Il comprit qu'il allait vivre dans ce garage et espera avoir tord. Il releva la tête vers sa "maîtresse" puis la repointa vers le garage...

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Je regarda mon "esclave" tombais au sol, il est vrais que j'aurais pu faire une effort et sortir ma petit Harley de son garage, à première vue, il pensais vivre au côté de ma superbe monture, il est vrai qu'on pourrait presque croire que d'autre personne vivent ici vu que c'est un des seuls bâtiments en était. Malheureusement pour lui, ou plutôt heureusement l'immeuble complet m'appartenais ! Je le regarda doucement avant de m'approchais de lui.

"Si j'avais su j'aurais pris la Harley pour venir. J'avais oublier qu'il était dur de marcher autant quand on sort d'une cage d'à peine deux mètres carré."

Je l'aida à se relever doucement passant son bras légèrement en appuie sur mon épaule et le posant sur le siège avant de la harley, il n'avais pas l'air de savoir ce que c'était, une des nombreuses choses que j'allais devoir lui apprendre donc... Enfin le problème du pilotage était exclu c'était moi qui avait droit de conduire mon petit jouet. Je me posa doucement près de lui avant de le regarder de près.

"Rassures-toi tu ne va pas dormir ici l'étage supérérieur ainsi que tout le reste de l'immeuble m'appartiens.

Je lui fit un large sourire avant de lui embrasser la joue, je n'avais pas choisi un moche je devais l'avouer. Je me leva du siège avant d'exhiber ma harley.

" Je te présente ... Harley, une moto qui coûte un petit paquet de billets. C'est un moyen de transport comme une voiture mais en mieux. Je te montrerais ça en détail plus tard, promis! " lui dis-je en lui faisait un petit clin d'œil.

Je m'approcha de l'escalier avant d'aller ouvrir la porte qui menait à la partie habitable.

" Viens je vais te montrer ou je vis réellement. "

J'attendais qu'il monte pour aller rallumer la cheminée, il devais faire frisquet depuis le temps que j'étais partie.

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Il fut quelque peu surpris quand elle lui annonça que l'immeuble entier
lui appartenait. Comment l'avait elle eu? Mais en repensant au cadre de
vie, au lieu... Ca pouvait être vrai, et puis qui était il pour juger?
Elle lui avait embrassée la joue et un large sourire se dessinait sur
ses lèvres, c'était suffisant pour qu'il se demande presque si c'était
la même personne. Enfin, il préféra ne pas l'ouvrir et laisser faire
les choses, qui se passaient presque trop bien pour que ça lui paraisse
naturel.

Il regarda la moto, et l'examina un peu du regard, puis la suiva quand elle monta les escaliers. Fuyuki était grande, et avec ses talons encore plus, même debout il était plus petit qu'elle, ce qui le dérangeait un peu mais il faisait avec, et puis dans le même sujet, il ne savait pas vraiment comment se tenir, a quatre pattes, comme un vrai chat et montrer clairement sa soumission..? Pas question pour lui, mais il ne voulait pas se mettre debout, de peur d'offencer sa propriétaire completement imprévisible et il ne tenait pas non plus de recevoir un coup, et aussi pour montrer qu'il l'était un peu "soumis". Il l'accompagna aux escaliers puis réstait devant la porte, ne prenant aucune initiative...

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Je regarda mon neko, si je n'avais pas manquer tomber dans l'escalier à cause d'une fausse manipulation de mes talons je me serais tordu de rire sur la marche. Je le regardais faire avec un rire complètement étouffé que je n'arriverais pas à tenir bien longtemps. Une fois rentrée dans mon petit "palais" je le regardais sur le pas de la porte, j'enlevais mes chaussures à talons pour enfiler des chaussons avec de petite semelles confortable mais assez compensée sur 2 à 3 centimètres chacun. Je poussa un énorme rire que je ne pouvais plus tenir du tout, je rirais comme je n'avais, je pense, jamais rit.

- Tu peux te tenir debout Laow ... C'est pas la peine de faire le soumis dans la maison !

Je le tira par la main et l'emmena sur le canapé je le posa doucement, car si je ne le faisait pas il resterais devant comme un chien ... Je partie chercher quelques bous de bois dans le jardin suspendue. Je m'arrêta un peu devant la rambarde face à la baie vitrée, un vent tardif m'effleura la peau doucement remuant mes cheveux. Une fois mes morceaux de chêne pris, je re-rentra et alluma la cheminée centrale. Je mis une dizaine de minutes à l'allumer il faisait un peu froid, pour moi ce n'était pas grave mais pour le neko je doutais qu'il connaissait ce genre de température. Une fois allumé je me posa sur devant réchauffant doucement mes petites mains.

- Tu peux visité si tu veux, je reviens je vais me changer.

Je partis en direction de ma chambre, je fit coulisser la porte qui cachais ma chambre, ne montrant que la chambre d'amis, à première vue ma porte aurait pu être celle d'un dressing ! J'enlevais doucement mon petit chapeau et laissa mes cheveux lâche, de toute façon ils étaient bien trop court pour pouvoir les attachais ... Je retira ensuite ma robe dans laquelle je mourrais de chaud et mis un débardeur simple noir et un short m'arrivant au dessus des genoux, je me brossa un minimum les cheveux et je ressortit de ma chambre, je passa devant le miroir, je n'avais plus l'air de la Fuyuki que tout le monde connaissait, j'avais l'air .... Normal, oui c'était le mot !!! Je retourna dans le salon et vu que Laow n'avais toujours pas bougé, il comptais vivre sur la banquette du canapé toute sa vie ?

Je me posta sur un accoudoir du canapé le regardant, je retira mes chaussons les laissant au sol pour poser mes pieds sur la banquette et les serraient contre l'accoudoir. Je regardais l'hybride avec beaucoup d'attention, je n'avais réellement pas pris n'importe lequel ... Il était à la fois "potable" physiquement et il n'était pas superbement bavard, ce qui était un bien et un mal en même temps, mais par dessus tout il était respectueux. Je le regarda et je me mit à rire.

- Bon j'ai l'impression que tu n'as pas compris, je t'ordonne de visitais la maison !!!!

J'essayais d'avoir l'air crédible mais je saisit un bonbon et l'agressa avec je me mit à rire je faillit presque tomber de la banquette tellement j'avais eu l'air bête.

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Après le petit moment passer a côté de la porte, il fut installé sur le canapé avant que Fuyuki aille se changer pour mettre une tenue beaucoup plus décontractée. Elle avait quitté sa grande robe et, comme son caractère, elle était devenue beaucoup plus sociable. D'apparence en tout cas, a croire qu'elle joue un rôle. Enfin, quand elle fut revenue, elle lui "ordonna" d'aller visiter la "maison", cela ressemblait plus à une suggestion qu'à un ordre. Il ouvrit la bouche comme si il allait parler puis finalement il la referma.

- ....

Mais il s'executa et se leva du canapé, disparaissant de la piece pour faire le tour des autres. Il alla vers le couloir, puis ouvrit les portes, en premiere celle de la salle de bain, ou une ambiance "chaude" et agréable se faisait sentir, il ouvrit ensuite l'autre porte, servant de salle à manger. Il regarda un peu plus la pièce que la salle de bain et s'avança, réalisant que cette pièce servait aussi de cuisine. Il regarda la table, qui était recouverte d'une nappe d'un bleu qui lui plaisait bien, puis alla soulever la nappe en poussant quelques chaises, et vut que c'était une table en verre, rayonnante sous la nappe, il remit les chaises en places puis sortit de la pièce et fit le chemin inverse pour revenir dans le salon, il longea les murs de la pièce pour éviter Fuyuki, en essayant de ne pas trop le montrer puis passa la porte de la baie vitrée pour aller dans le jardin. Il regardait les nombreuses fleurs au sol de plusieurs couleurs. Dans sa tête, Laow avait déja choisi que ce serait la qu'il passerait le plus clair de son temps. Il s'assit dans un coin du jardin puis se mit a fermer les yeux, faisant le vide dans son esprit. On entendait un faible vent exterieur...

Date d'inscription : 10/01/2010

Le neko c'était retiré dans le jardin suspendue; lieux qui m'était des plus agréables après ma chambre, je fit un pâle sourire en remarquant qu'il évitais mon regard ou même ma propre personne. Il ne revenais pas, avait-il fuit par la voie extérieure, cela me semblait peu plausible pour un humain, vu le nombre de mini massacre que j'avais fait, pour tout dire c'était un endroit bien calme et très pratique pour y jeter un corps mort et vidé d'âme, enfin passons, c'était un neko, mais il n'avais pas réussi à suivre la cadanse pour venir comment aurait-il pu sauter de le semi vide ... Je ne resta pas longtemps dans le salon j'avais eu une petite soif, je sortis un excellent jus de pomme que j'avais chaparder à ma Seule voisine des environs, prenant soin de lui faire oublier comme il se doit ce mini vole. Je m'en servit un verre, je n'allais pas en proposé un à ma trouvaille il avais l'air bien trop occupé à admirer le paysage singulier et peu commun, enfin admiré les yeux fermés sembler tout de même contraire au "loi" de la nature, je rit doucement en voyant qu'il avais l'air de dormir, je sortis donc pour aller le réveiller, il était hors de question que laisse se "parasite" sur mes fleurs... Enfin il allais surtout attraper froid le pauvre garçon... Je posa mon verre sur la table basse avant de m'allonger sur ma petit balancelle.

" Tu devrais rentrer Laow, tu va finir par attraper froid ... Les nuits sont fraiches ici. "

Vu son état de santé une simple brise hivernale le casserais comme une château de carte, je fit un pâle sourire pour l'inciter à rentrer. Pour ma part je n'était pas très chaudement habillé mais le froid ne m'a jamais dérangé, ou que très peu, je ferma les yeux jouant avec le camaïeux de couleur qu'il m'était offert d'arborer, et essayer de créer de nouvelle couleur avec mes humeurs passagère.

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Il restait dans le jardin, puis entendit les quelques mots prononcés par la jeune fille. Il rouvrit les yeux et jeta un dernier coup d'oeil aux quelques plantes tapissant le sol avant de rentrer doucement a l'intérieur. Il ne longeait plus les murs, mais évitait quand même tout contact avec elle, et regarda rapidement le verre que tenait Fuyuki dans sa main avant de continuer son chemin.
Il passa dans le salon et refit un tour dans les différentes pièces, puis il remarqua une porte à laquelle il ne prêta surement pas attention a son premier passage. Il entra dedans et remarqua que ce devait être la chambre de Fuyuki puisqu'il y avait un lit, une petite armoire et un bureau. En tout cas c'est ce a quoi fit penser ces éléments, même si cette pièce n'était pas riche en éléments de decoration. Une grande portes coulissantes formait a elle seule un des murs de la pièces et il devait surement se trouver derrière une sorte de grande armoire incrustée dans le mur.
Il fit coulisser une des portes et derrière se dévoilait finalement un autre pièce, ou plutôt, la pièce dût surement être coupée en deux. Lao avait l'air légerement surpris mais finalement il trouva ça plutôt bien pensé.
L'atmosphère de cette pièce différait beaucoup de celle juste derrière lui, qui devait surement être la "chambre d'amis"...Ou peut être sa nouvelle chambre. En tout cas, la chambre "cachée" derrière la porte se dévoilait et paraissait plus grande que l'autre. Dans cette pièce était présent un grand lit baldaquin, qui ressemblait plus a ce que Fuyuki pouvait appréciée, un petit bureau sur lequel se trouvait un petit ordinateur et quelques autres choses, comme ce bouquet de lys noir. Enfin, ce qui sautait le plus au yeux dans la pièce était le dressing, remplit de divers vêtements, qui contribuait à rendre la pièce moins terne et triste.
Il ne rentra pas vraiment dans la chambre et sortit de la pièce. Il revenait dans le salon et alla timidement se poster devant Fuyuki en lui adressant ces quelques mots, le corps légerement baissé:

-J'ai fait le tour...

Date d'inscription : 10/01/2010

Je le regarda revenir à première vue il avais finit de visiter l'appartement, je finis mon verre sans trop de mal. Je finis par arrêter de jouer avec mes yeux je commençais à avoir un peu mal aux rétines à force de m'amusais avec. Il c'était arrêter sur un noir profond à première vu, je ne savais pas encore ce que cela allais représentée mais je n'avais jamais réussi une telle couleur jusqu'à présent. Je cligna une dernière fois pour que mes yeux puisse redevenir de leurs teintes originelle.

" Alors Laow, l'endroit te plait ? Comme tu as pu le remarquais ou non la chambre "cachée" est la mienne... La tienne sera donc l'autre à moins que cela te déplaise. "

Lui dis-je avec un petit air rieur et assez sympathique pour ce que j'en montrais. Je daigna me lever pour "admirer" le neko qui se tenais pas trop loin de moi, même si en tout état de cause il m'évitais et ça même aveugle je l'aurais su tout de suite. La question était juste; pourquoi ne m'approchait-il pas...? Lui avais-je fait peur dans l'animalerie ou tenait-il juste à montrais l'écart de race entre nos personnes... Je m'approcha pour frôler sa joue de la main et lui fait un fin sourire avant de lui embrasser la joue opposé.

J'avais envie de voir sa réaction, peut-être une façon de savoir à quoi m'en tenir à présent. Où plutôt d'y remédier rapidement, car je ne supporterais pas de vivre sous le même toit que cette chose en faisant comme si nous étions les meilleurs ennemis ...

" Peut-on savoir pourquoi tu m'évites ? Aurais-tu peur de me servir de diner ? "

Dis-je en riant doucement comme la sale peste que je suis.

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Laow apprit donc que la première chambre serait la sienne, et que part le même coup, il serait presque toujours près d'elle la nuit. Il fût envahi d'une drôle de sensation quand elle lui attrapa la joue, et ce sentiment s'intensifia quand elle l'embrassa, c'était un mal a l'aise indescriptible, contenant beaucoup de gêne, et un peu de colère envers Fuyuki.
Quelle impression voulait elle donnée ? Très sévère voir presque effrayante a l'animalerie, tendre et presque gentille quand il arriva, et maintenant encore un autre sourire. Cela ne pouvait paraitre qu'un détail mais ces changement d'humeur l'intriguait vraiment. On dit que dès le premier contact, le premier coup d'oeil la personne en façe de vous se forge une opinion sur vous. Une simple poignée de mains pouvait révélée beaucoup de choses sur la personne. Et l'impression gardée par Laow était bien la première, il trouvait cette gentillesse un peu trop rapide, presque suspecte. Mais lui n'a pût accordé la sienne qu'une fois...C'est pour lui normal de ne pas l'accordée tout de suite. Vint ensuite une autre question... Il répondit un peu gêné à cette question qu'il n'aurait préféré n'entendre que plus tard :

-Je...Je ne veut pas vous déranger. Un neko se limite a rendre service et faire ce qu'on lui demande... Et a aller autre part dès qu'il a finit sa tâche. Pas à être une gêne pour son propriétaire... Et cette règle régit mon existence.

Il lui sortit cela presque naturellement, un discours déja fait et apprit par coeur, Laow était considéré comme un bon élément car il avait bien compris son rôle.

Date d'inscription : 10/01/2010

Être une gêne pour son propriétaire voilà les phrases sur lesquels j'avais buter un petit moment... Pourquoi acheter un neko pour lui faire simplement cirais le parquet et faire la lessive, si j'en avais eu envie je me serais acheter un robot larbin. Un neko est mi-animal mais tout d'abord humain , non ...? Il avais un cœur des sentiments des réactions comme tout être civilisée qui pouvais vivre sur cette terre, j'eus envie de rire mais cela serait bien mal placée.

" S'il te plait, garde ton discours appris par cœur pour une autre c*nne que moi ..."

Il est vrai qu'il me parut bien étrange son petit discours, du bien fait bien dicté comme si il le connaissait depuis toujours, un moyen simple et lâche de garder ces distances, je ne lui avais pas laissé de souvenir dans l'animalerie, le fait d'avoir massacré un sale type n'avais pas eu la meilleure impression . Je n'étais plus la même quand j'étais en dehors de la ville, loin du regard des autres je pouvais paraître normale. En ville je ne voulais pas, tout ces humains crades et salasse me dégoutés. Me distinguer était le seule moyen que j'avais trouvé, la violence, la mépris, le dégout et tans d'autres choses qui s'offrait à moi était mes échappatoire. Malheureusement le neko ne semblait pas comprendre la chose ainsi, je devais donnais l'air de cachais quelques choses ou de vouloir obtenir je ne sais quoi de lui. Je ne pouvais pas avouer pourquoi j'avais fait ça ... C'était lâche et honteux, je n'aimais pas vanter les mérites d'une facette carapace que je m'appropriais pour pouvoir cachais ma sale face de gamine qui se cachais derrière moi.

" Alors ton existence de se base que sur cela, être un robot sans âme ni cœur ... Tu es un humain à part entière, tu te tiens debout, mange dans une assiette dors dans un lit te douche avec du savon ... Tu serais un chien je comprendrais que tu aille chercher mes godasses mais là ... "

Lui dis-je doucement avec un once de gentillesse.

**Invité** Invité

[Han le post pitoyable j'ai sincerement rien trouvé de plus...]

Suite à ces mots, Laow hésita un peu avant de répondre, il détourna son
regard, baissa la tête et l'inclina legerement vers la gauche, il porta
sa main sur sa nuque puis se taisit quelques secondes avant de répliquer
timidement:

-Selon les lois...Oui mon existence ne se resume
qu'a ça. Si j'était humain a part entière je n'aurais pas ces...Ces oreilles et cette queue. Il n'y a que depuis quelques heures que je me tiens debout...Je n'ai pas mangé dans une assiette depuis longtemps, et même si quand j'en avait un il était grand, j'ai toujours dormit dans un panier, ou plus récemment dans une cage...

Date d'inscription : 10/01/2010

Je le regarda longuement à première vue il voulais réellement me faire avoir tord, malheureusement pour lui et bien heureux pour moi, j'étais une tête de mule accomplit qui ne se taira pas sans avoir eu droit au dernier mot. Certes sa vie ne fut pas superbe jusqu'à présent, elle ne le serais peut-être pas non plus avec une tel peste comme maîtresse mais après tout qui aime bien châties bien ! Je nota soigneusement dans ma petite tête les nombreuses choses que je devrais changer si je voulais faire de mon nouveau jouet un humain à part entière. Je le tira vers la chambre et le posta contre l'encadrement de la porte.

" Comme tu peux le voir, pas de panier ! Mais un lit, n'ayant pas envie de te financer un panier tu va devoir dormir la dedans. "

Je le tira ensuite vers les autres pièces qu'il m'avais était plausible de montrer pour lui faire savoir qu'ici c'est pas l'animalerie, pas de cage pas de fouet, ou en tout cas pas au dernière nouvelle. La seconde fut la cuisine.

" Alors comme tu le vois ici des assiettes et pas de gamelles ! Nah tu vois ici c'est out humain ou rien.

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