Que faire ? Je m'ennuie... Je me trouve dans un tout petit truc carré, pas plus grand que moi, derrière des barreau et une vitre, enfin, tout d'abord, je suis où ? Quand on m'avait capturer, on m'avais tout de suite mit dans un sac tout raide et pas très agréable, en plus, il sentait les pommes de terre... Bon, après, il m'avaient lancé dans un truc tout dure, puis un bruit de voiture, et l'impression de se déplacer, en voiture... quelle déduction... Bon, revenons à nos patates... Je me trouvais derrière des barreaux froids et une vitrine, lors du déplacement il m'avait sembler entendre un truc comme m'amener dans à l'animalerie... Enfin bon, où que je soit, je n'aimais pas cet endroit, il faisait froid, je me trouvais en plein soleil, on ne me donner pas beaucoup à manger et surtout, je me faisait observé par tout les passant alors que je ne portait qu'un drap, s'était gênant... les monsieur qui m'avaient amenaient là s'étaient pris la peine de m'enlever mes vêtements et de me donner juste un drap à la place, ils étaient tous si radin. Puis, ils m'avaient emmené derrière une porte au bout de la boutique, vers le fond, et m'avait laisser là tout un jours sans même faire attention à moi. Après, ils m'avaient trainer jusqu'à un miroir et m'avais jeter, oui, je dit bien jeter, car c'était loin d'être doucement, dans un truc en forme de carré, tout juste si je pouvais me tenir assit sans baisser la tête, au dessus d'une femelle qui était dans le même cas que moi, en drap avec la cage trop petite... Je l'aimais bien cette femelle, elle était toujours en train de m'écouter et de me réconforter malgré le fait qu'elle soit dans le même cas que moi, voir pire étant donné que ça fait pour elle trois semaine qu'elle se trouve là et moi seulement cinq jours, je la considérais un peu comme une grande sœur sur qui on peut compter... On était souvent en train de parler ensemble, même si du fait que nos cages soit superposés, on ne pouvais pas se voir en attendant de se trouver un maître digne de nous... Devant nos deux cage, il y avait deux panneau bien visible, à peine moins que nous, avec des lettres écrit dessus, je ne sais pas lire, mais elle oui, et c'est comme ça que j'ai su ce qu'il y avait pourtant, ça ne me disait pas grand chose, et je ne savais pas pourquoi il y avait ça là, devant nous.


Je me trouvais en vitrine avec elle, et c'est comme ça que je su où je me trouvais, dans le magasin je veux dire. En face, sur l'autre trottoir dehors, on pouvais y voir un autre magasin, d'objet en tout genre, et devant, sur ce que l'on voyait de là où on se trouvait, il y avait certain objet, pas beaucoup, mais ils étaient derrière une vitre et mit en valeur, comme nous. Grande sœur me disait que s'était pour nous vendre, comme ces objets, plus rapidement et plus facilement, mais si c'était plus rapidement, comme ça se fait qu'elle ne soit pas acheté ? Je la trouvais plutôt gentille en plus... et je ne voyait pas ce qu'elle a fait pour ne pas s'être trouvé un maître depuis le temps qu'elle a passé ici. Ils sont bizarre les humains, non, ce n'est pas le plus bizarre, le truc c'est que je ne vois pas en quoi ils nous sont supérieur, surtout au point de nous vendre...
Cela fait maintenant plus d'une semaine que je me trouve en vitrine, et j'entends de plus en plus les vendeurs râler sur le fait que nous deux, nous ne leurs rapportons rien. Mais ça, je ne fait pas trop attention, c'est surtout sur l'état de santé de grande sœur, on la nourrie de moins en moins et comme moi aussi, je ne peux pas lui donner sa part et elle commence à tomber malade, elle parle de plus en plus faiblement et les vendeurs se mettent de plus en plus à soupirer devant elle... Je me dis souvent "si seulement je pouvais l'aider" mais seulement et justement je ne peut rien faire, de un parce que je ne suis qu'un "neko" comme les autre nous appelle, de deux car je suis un enfant et ça je le sais et de trois, car je suis en cage et que je ne suis pas sorti depuis longtemps... Aujourd'hui, j'étais encore en train de parler avec ma voisine du dessous quand un monsieur entra dans la boutique, le genre de mec costume, lunette et cravate. Ils s'approcha de nos deux cages fit vite un signe au vendeur qui sorti grande sœur qui me faisait en dernier sourire, que vont-ils lui faire ? Je ne le savais pas, pas plus que ce qui se passait dans la boutique, elle se trouvais derrière moi, pourtant je me trouvais dedans, à quelques mètre seulement et je ne savait rien, est ce que les neko qui sorte avec un monsieur ou une madame font toujours le même sourire que grande sœur ? Je ne sais pas... M'enfin bon, ce n'est pas comme si j'allais m'apitoyer sur mon sort. Je me leva sans trop faire attention à là où je me trouver me cognant au plafond de ma cage dans un boucan pas possible, faisant sursauter la moitié de la salle, je ne le voyais pas, mais je pouvais le deviner, puis, le même vendeur que celui qui avait fait sortir grande sœur s'approcha et shoota dans ma cage en me disant un 'Tait-toi" il avait beau dire ça, entre mon petit choc et son shoot y'avait quand même une différence de volume et c'est lui qui l'emportait, mais je me retint de tout commentaire cette fois ci...

Ha... quel plaisir. pouvoir siroter un thé vert dans un café traditionnel anglais. Levy soupira d'aise, il avait mit une semaine avant de prendre ses marques dans sa nouvelle ville. Heureusement, il avait maintenant un appartement, il savait ou faire ses courses, et il avait réussis a se repérer en ville, et en plus de ça, il avait maintenant ce petit café qui pouvait lui rappeler son pays. Un vrai petit café anglais, comme il y avait a quelques rues de son ancienne maison, à Londres.

Levy fit un signe à la serveuse, pour recevoir l'addition, l'hybride habillée en soubrette partit en trottinant vers l'intérieur de l'établissement. Même à ça il commençait à s'habituer, à Londres, les nekos étaient rare, peu d'anglais en avait, en arrivant ici, le jeune homme avait été plutôt surpris, presque tout le monde avait son hybride personnel, une bonne partie de la population avait des oreilles et une queue.

-ça vous ferra 1200 Yens sil vous plait...

Levy hocha la tête et tendit un billet à la jeune hybride, puis lui fit signe de garder la monnaie en se levant, puis partit vers le quartier marchand, Il avait envie de faire les boutiques, après tout, maintenant qu'il ne se perdait plus, pourquoi s'en priver?

Sans vraiment savoir où se diriger, Levy commença à remonter la rue, en s'arrêtant lorsqu'un magasin présentait quelque chose qui lui plaisait. pour le moment, il n'allait rien acheter, après tout, il pouvait très bien revenir demain, et reprendre un verre dans ce joli (et très bon) café.
en Arrivant en haut de la rue, Levy s'arrêta devant une vitrine plus qu'étrange pour lui. Le magasin, vendait des hybrides, quatre cages étaient visibles en vitrine, et derrière, plusieurs rangée étaient visibles. Les cages devant lui étaient habitée par des Nekos, pas très ages, une quinzaine d'année maximum, des petites fiches étaient visible, détaillant les caractéristiques des animaux.

Le jeune homme s'y attarda peu, préférant examiner les nekos, son sens de l'esthétique travaillant, en essayant de déterminer lequel de ses ensemble irait le mieux pour se promener avec les nekos, et dans quels pièce ils seraient le plus harmonieux.
Son regard dévia finalement sur le derniers des quatre hybride, un garçon, tout chétif, aux cheveux et aux oreilles noires, pendant quelques minutes, Levy le fixa, intrigué, finalement il se redressa, et rentra dans le magasin. Il lui fallait celui la. obligé! ses yeux violet, et son petit air de victime serait parfait en toutes occasions, et puis, il avait l'air fait pour essayer des vetements, Levy s'imaginait déja en train de jouer à la poupée avec l'hybride. le jeune homme se dirigea directement vers le comptoir ou une vendeuse l'attendais, le jeune anglais lui offrit son plus beau sourire charmeur.

-Bonjour... vous pouvez me sortir le petit de la vitrine ... hum... Takeshi.

la jeune femme hocha la tête, et se dirigea vers la vitrine, pour tapoter sur le rebord de la cage du neko avant d'ouvrir doucement la grille.

-il y as quelqu'un qui voudrait t'examiner... tu sors ?

Levy se plaça devant la grille, sans se rendre compte qu'il venait de succomber encore une fois a sa terrible maladie : la fièvre acheteuse. alors qu'il s'était promit de ne rien acheter aujourd'hui, il allait dépenser son argent sur un coup de tete. mais le jeune homme était bien trop atteins pour s'en rendre compte maintenant, il regrettera son achat seulement une fois rentré...

Je m'était calmé après avoir reçu un coup de cage, et m'était calé dans un coin de ma petite cage, regardant les passants et tournant le regard devant ceux qui s'arrêtaient devant la vitrine. Baissant le regard et rougissant légèrement. Peu avant que la seule femme gentille de la boutique vint me dire que quelqu'un voulait m'examiner, un jeune homme nous avez regardait, moi et mes voisins, avant de rentrer dans l'animalerie, je pense que c'est de lui qui s'agit. Je vais peut-être rejoindre grande sœur alors... Gentiment elle vint m'ouvrir la grille, et me demander de sortir, je l'aimait bien elle aussi, elle me donner toujours un carreau de chocolat, et puis, elle était gentille. Je sorti tout docilement, voir le monsieur qui me demandait, oui, c'était bien celui qui nous avait regardé auparavant. Moi, du haut de mes trois pommes, il me paraissait vraiment grand. Et puis, il était aussi très stylé je trouvait, bien plus que moi... Après l'avoir suffisamment regarder à mon gout, devoir lever la tête était fatiguant, je m'assit par terre, et par mesure de sécurité (pas pour moi, mais pour l'animalerie) je me laissa mettre mon collier habituel autour du coup. Heureusement qu'on ne m'obligeait pas à le porter en cage car il était un peu trop petit pour moi. Il était violet, assorti à mes yeux et a part la taille je l'aimais plutôt bien, en plus il était agréable et n'était pas trop raide. Je baissa les oreilles, regarda le plafond, ou plutôt la main de la vendeuse et ferma les yeux en attendant la suite. La vendeuse, comme à son habitude me caressa les cheveux et je lui répondis en ronronnant. Au début ça me rassurer à chaque sortie de cage, mais maintenant ce n'était qu'une habitude. Cette fois, elle me caressa moins longtemps que les autre fois, et m'accrocha la laisse à ma cage tout en me laissant dehors, avant d'aller voir un autre client qui venais d'entrer, me laissant seul avec l'humain. J'ouvris les yeux mais garda les oreilles baissé avant de me lécher les pattes et de faire ma toilette si il ne voulait pas me parler. D'habitude, les autres neko sont soit plus humain que chat, soit équilibré, ce qui n'était pas mon cas, moi je garder tout les habitudes félines, a savoir me faire la toilette, courir après les pelotes de laine quand il y en avait ou encore d'autres... Ce n'était pas la première fois que je sortait de ma cage pour voir un client, mais en général, j'y retourné tout se suite après, les humains voulant toujours un animal plus mature pouvant travailler... alors que moi, je ne sais rien faire et en plus ne connais rien du monde extérieur...

-Monsieur, vous allez m'acheter ?

Je disais ça d'une petite voie après avoir rapidement terminé ma toilette et m'être assit sur les genoux la queue allant de droite à gauche et vice vers ça en rythme. J'avais envi de sortir de ma cage une bonne fois pour toute, ce n'était pas marrant de voir tout les jours les même choses...

La vendeuse sortit le neko de sa cage, et l'accrocha avec une laisse,
puis partit s'occuper d'autres clients. l'hybride jeta un regard à Levy,
puis commença à faire sa toilette, visiblement peu intéressé par
l'humain. sans se laisser démonter, le jeune homme l'examina
consciencieusement. bien que son choix était déja fait, il préférait
faire semblant de bien réfléchir à la question, pour pouvoir se dire
plus tard "ce n'est pas un achat compulsif, j'y ai bien réfléchit, il m'est extrêmement utile." une manière de rejeter la faute sur autre chose.
Levy l'observait sous toutes les coutures, l'air innocent du neko, et
son joli petit visage était vraiment mignon, en fait, en y regardant de
plus près, on pourrait presque confondre ce joli chaton avec une fille.
Levy se voyait déja en train de le pomponner pour son seul plaisir.

-Monsieur, vous allez m'acheter ?

Le jeune homme haussa un sourcil, il avait une petite voix aiguë qui ne faisait que renforcé son petit coté androgyne. Le jeune homme se mordit la lèvre, le neko faisait tout pour le faire craquer, c'était simple. Le jeune homme essaya de se concentrer sur l'hybride qu'il examinait, doucement il le fit tourner sur lui même sans lui répondre, il prit sa queue en main et la caressa un peu, puis se redressa et le détacha.

-tu t'appelle Takeshi c'est ça ? t'a quel age ?

Levy lui adressa un petit sourire et tira sur la laisse doucement, il avait hate de rentrer et de s'amuser avec... Déjà, il lui ferait prendre un bain, c'était de première importance, Take n'était pas très propre, à force de trainer à l'animalerie. L'humain s'approcha du comptoir, ou l'un des vendeur remplissait des papiers, il posa trois billets de 25 000 Yens sur le meuble et sourit, il avait toujours adoré payer les grosses sommes en liquide, faire du shoping était surement son activité favorite.

-j'aimerais l'acheter, je peux avoir les papiers d'adoptions?

Le vendeur haussa un sourcil, et hocha la tété en sortant les papiers, les billets disparurent en quelques secondes, l'homme aimait remplir de grosses ventes.

-vous signer ici, là et là.

Levy hocha la tête et rempli rapidement les papiers, sans même les lire. des que l'homme les eut rangé avec un sourire il tira doucement Takeshi par sa laisse et sortit de la boutique.

-Mon appartement est par là.

Sans attendre de réponse, l'homme partit vers sa maison. son nouvel accessoire avait besoin d'être lavé avant qu'il ne puisse vraiment l'essayer.

Le monsieur me regarda sous tout les angles, se qui me fit légèrement rougir, je n'aimais pas être observé à ce point, en même temps, j'aurais du m'y habituer, car une vitrine, c'est pas l'endroit où passer le plus inaperçu... Comme un bon petit neko, je me laissa faire quand il me tourna dans l'autre sens, il aurais pas pu faire le tour ? Enfin, on ne m'avais jamais rien appris, la seule chose que je savais s'était que je devais obéir au humains, quel qu'ils soient. Et si j'aimais pas cet humain, j'étais quand même obliger de lui obéir ? Les méchants humains de l'animalerie, je ne les aimais pas moi... il faisait peur, et me criaient toujours dessus ou me frapper et parfois même me touchaient tout le corps avec un sourire sur les lèvres, pourquoi ? Je vois pas ce qu'il y a de rigolo de toucher un neko... Ils sont bizarre, et même les jours où je suis fatigué, j'ai même pas le droit à un poisson. Ils sont méchant et je les aime pas moi. Mais si je leurs obéis pas ils vont m'emmener derrière la porte du fond de l'animalerie, et aucun neko n'est jamais revenu... j'ai toujours peur de cette porte, je veux pas y aller, alors je joues les gentils petits chats de compagnie. Je savais pas encore si cet humain là était gentil ou méchant, car les monsieur me faisaient généralement peur, mais il semblait quand même gentil... Je laissa donc les choses se dérouler...
Il pris ma queue dans ses mains ce qui me fit frissonner, d'un car la queue d'un neko, est avec ses oreilles un des endroits les plus sensible, de deux, car j'avais peur qu'il me la tire, comme certain enfant qui s'amuse ou d'autre monsieur qui veulent me faire crier... J'aime pas les monsieur... Bon, il y en a quand même qui sont gentil aussi. Celui qui me regardais faisait peut-être aussi parti de ses monsieur là. Il était juste en train de me caresser la queue, et non de me la tirer ou je ne sais pas. Du coup, je me laissa faire gentiment, laissant un tout petit ronronnement m'échapper. Puis, à regret, il laissa l'humain se relever, et étonné de son geste, regarda la laisse détaché... j'allais avoir un maître c'est ça ? Je n'allais pas finir derrière la porte du fond ? J'écoutai le monsieur, lui répondis gentiment avec un grand sourire, en regardant mes doigts et lui montrant une main complète, quatre doigts sur l'autre et ma petite voie qui n'avait toujours pas mué...

-Un, deux, trois... heu... quatre, cinq... neuf... heu... heu... quatre horze. J'ai quatre horze ans.

Je le suivi avec un grand sourire et la queue se balançant de droit à gauche et vice vers ça. Il s'avança vers un vendeur et posa des papiers sur la table devant. A quoi servaient-ils ? Du haut de mes trois pommes, je dû me mettre sur la pointe des pieds, voir sautiller un peu pour pouvoir les voir, et doucement leurs souffla dessus avant de vite me faire tout petit au pied de mon nouveau maître d'après ce que j'avais compris, afin d'éviter d'être vu quand les billets ont volé... non, c'était pas moi, c'est le vent. Après avoir attendu sagement, je senti un petit coup sur mon cou, et me leva pour aller dehors... C'était la première fois que je sortais, je pouvais voir de ma vitrine ce qui se passait dehors, mais là, c'est le première fois que je pu enfin respirer cet air. Il y avais plein de chose que je ne voyais pas de ma cage, c'était rigolo. J'avançais au début à quatre pattes, comme les chats, mais après avoir croisé quelques neko en laisse comme moi qui marcher que sur deux, je fit de même et me leva, tremblant légèrement. Je regarda mon maître qui marchait devant moi avant d'être interrompu par un papillons qui traversait mon champ de vision... c'est rigolo ça. Comme un chat, je me remis à quatre pattes et commença à sauter de partout, essayant de mordre le papillons, après plusieurs tentative qui m'ont mit le nez par terre, ou me prendre mon maître, j'y arriva enfin. Maintenant devant lui, je me retourna pour regarder le gentil monsieur qui m'avait acheter, avec une des ailes du pauvre papillon entre mes canines, et le reste, pendait sur mes lèvres, et lui fit un grand sourire. Puis, je vit passer une boule de poils avec une longue queue sans, et des moustaches, couiner derrière mon maître. Je sorti silencieusement mes griffes, et sauta sur la petites souris qui venez de finir ses jours embroché. Je me releva victorieux, sans avoir lâcher mon papillon, décidément le monde de dehors était rigolo, puis, regarda la petite créature qui se trouver entre mes griffes, puis mon maître, puis de nouveau la créature, puis mon maître... avant de lui tendre avec un grand sourire, et mon papillon que je n'avais pas l'intention de lâcher de si tôt.

-C'est pour vous.

Le petit Neko Sautillait partout en sortant du magasin, sont petit sourire content était plutôt amusant. Je tint bien la laisse en main en lui laissant jouer un peu devant lui. visiblement ce gamin n'était jamais sortit de l'animalerie... ou en tout cas pas depuis longtemps. Il regardait partout dans tout les sens, En fait, il ressemblait fort à un chaton... il était bien plus près du chat que de l'humain en fait. Le jeune homme rit un peu en le voyant pourchasser un papillon, Je fit attention à lui laisser le faire sans l'étrangler. Tenir un neko aussi remuant en laisse n'était pas vraiment facile. Soudain, alors qu'il avait déja failli se faire mal plusieurs fois, il attrapa le papillon entre ses dents. Takeshi se retourna vers moi en remuant les oreilles, l'air tout content, la petite aile multicolore de l'insecte entre les dents, il me fit un grand sourire, je le lui rendit, amusé par son attitude.

On marchait depuis quelques minutes déja, mon appartement devait être à quelques rues d'ici, je crois que je sais me repérer sans trop de probleme. Même si je n'était pas certain d'avoir déja vu ce quartier sombre...

Soudain, Take sauta en avant, juste derrière moi, un couinement d'agonie s'éleva du petit corps poilu que Take tenait entre ses griffes. un petit sourire victorieux sur les lèvres. j'avais du mal a ne pas rire de mon nouveau serviteur. il était vraiment plus que mignon. il jeta un regard à la souris puis à moi, avant de me tendre son trophée.


-C'est pour vous.

Sa petite voix était décidément bien trop mignon. le prit doucement le cadavre, et je lui passa une main dans les cheveux. difficile d'être plus mignon que ça.

-Merci Take... Tu viens ? la maison est par là.

j'ai donné un petit coup sur la laisse pour le faire venir avec moi en enveloppant mon présent d'un mouchoir en tissus. je ne pouvais pas vraiment jeter la souris devant lui... Je lui jeta un petit regard. Cet hybride était vraiment plus que mignon, Je n'avais pas envie de le rendre triste, et je préférais faire en sorte de bien m'entendre avec lui... et si il m'aimait bien c'était encore mieux.


(>< je poste une suite dans l'appart de Levy, et je ferais pareil avec Chiro, pour répondre tu va à la villa de soka. :3 )

[j'essaye un peu d'écrire à la première personne pour être plus homogène avec tes posts. >< tu me dira si ça te convient ou pas. personnellement, ça ne change pas grand choses, j'ai juste l'impression d'écrire un peu moins bien comme ça;]