Voilà où je m'était retrouvée après mon dernier jeu malsaint, un refuge fraîchement ouvert, en plus il aller falloir que je remplisse des papiers, sinon je ne pourrais pas rentrer dans ce "refuge", pour le moment l'endroit semblais vide, desert, j'allais devoir me débrouillé sûrement. Je me posais un sac sur le dos, un autre callé dans sur mon épaule gauche, j'avais attachés mes cheveux et je m'étais mise dans ma tenue de tout les jours, qu'on m'avais demandé de laver, on l'avais même fait tremper dans de la javelle pour enlever le peu de tâches de sang qu'il restait dessus ... J'avais rangé mes armes de toutes sortes quand un sac que j'avais noué à ma queue, je jouait doucement le faisant valser de droite à gauche. Pour l'occasion, on m'avais aussi appris un ou deux mots polis que j'avais entendu mais que je n'avais jamais trouvé bon de les utiliser . De mon seul oeil j'observais la porte.

De ma main je frappais dessus, pas trop fort, très délicatement même, bien que pourtant je manquais presque la casser, il allais faloir que je soit un peu plus douce, bien que je n'en avais pas du tout envie j'aurais préféré rester dans la rue, je me serais bien plus amusé, imaginais si je venais à tuer quelqu'un ici, je retournerais là bas, et puis il allais bien falloir que j'assouvisse mes pulsions, hum... j'en devenais si perverse d'un coup, je poussais la porte et après l'avoir franchit je posais mes affaires sur une chaise avant de m'avançais vers une sorte d'accueil, vide, personne, j'appuyais sur la sonette en riant, ma queue elle gardait toujours le petit sachet pour ne pas qu'on puisse fouyer dedans je patientais longuement, avant que ma main ne manque écraser la sonette sur la tablette je soupirais loànguement, puis je partie me mettre sur la chaise en face, près de mes sacs, je sortie alors ma guitare, seul objet de valeur, et me mit à jouer un morceau, simple, qui normalement ne se jouais qu'a la strato, mais elle était au fond de mon énorme sac, dans lequel j'avais mis mes quelques vêtements.

Il était vrai que de me servir de mon étuie de guitare comme valise pouvais sembler bizarre mais j'avais juste la place pour toutes mes affaires qui n'était pas si nombreuses, des sous vêtements, un maillot de bain , desaffaires de toilettes, des robes, des jupes, des pantalons simple, des short, et des t-shirt, plus septs paires de chaussures, ça pouvais semblait beaucoup, mais c'était les seules choses que j'avais gardée de ma vie d'avant. Tandis que mes doigt chatouillait le manche pour jouer quelques accords, mon autre main jouais du médiator pour faire sortir les sons mélodieux de l'instrument, sur le chanson douce, qui dérivait en un air de débutant de guitare je jouait un air sur lequel je chantonnais doucement, personne ne venais après tout je pourrais m'en donner à coeur joie. Tandis que je les notes accordées sortaient de moi même et de mon instruments je fermais mon oeil doucement, m'amusant de la douce mélodie. ♫

Pendant l'espace d'un instant, toute ma haine c'était envolé doucement, mais sûrement, je me delectais de chaques accords, il était rare que je puisse faire de la guitare, ici, puisque j'étais seule, pour le moment, je pourrais jouer tans que j'aurais envie, de plus la maison du gérant ne semblais pas si près du refuge. En y repensant il était censé m'accueillir ! Enfin bon je me reconcentrais sur ma mélodie et je jouait en attendant.

La nuit précédente était floue et avait a priori terminée dans l'ivresse, mais sans doute pas celle que l'on croit. Tous ses flashs d'images incomplètes, comprenant des verres d'alcool, ses mains parcourant un corps, du sexe, et surtout un visage, fin et délicat. Oui, ce dernier flash était vrai, celui-là au moins.. Hastia.

Je commençais à reprendre conscience, me réveiller, dans ce qu'on ne pouvait plus tellement appeler un lit tant il était saccagé. Le fin filet de lumière traversant l'entre-ouverture des volets m'irrita les yeux, à peine ouverts, les faisant se refermer de nouveau avant que je les rouvre légèrement, et ainsi de suite jusqu'à ce qu'enfin je puisse les maintenir ouverts. Je levai alors mon poignet gauche pour voir l'heure qu'il était. Dix heures et demie, bon sang !

Au même moment, un son retentit dans toute la villa. Je me levai en quatrième vitesse, on sonnait au refuge. Le temps d'enfiler un jean et une chemise et je me précipitai vers la porte menant au domaine, derrière la villa, là où venait d'être bâti le refuge, encore vide, ce qui devrait changer d'ici peu.

Passant dans le gazon pour gagner du temps, j'atteignis la construction en quelques minutes à pas rapides. La porte avait été ouverte et j'entendais une mélodie chantonnée et grattée. Je m'accoudai au coin du mur, découvrant alors qui s'était invité. C'était une Néko, en toute logique. Accompagnée de sa guitare et son étui en guise de valises, ainsi que d'autres sacs, elle s'était installée là et jouais en m'attendant.

Lui laissant terminer son couplet, je l'interrompis ensuite par des applaudissements à double objectif, la remercier pour sa chanson et surtout pour lui indiquer ma présence. Je m'approchai ensuite.

"Je suppose que tu viens pour venir vivre ici ? En effet, sinon tu serais pas là avec des valises.."

Dis-je, me coupant moi-même.

Je remarquais un sac étrangement lourd accroché à sa queue. Appuyant sur un bouton fondu dans le mur, un faisceau balaya la pièce et marqua ledit sac.

"Je suis désolé, mais les armes sont interdites. Même si pour l'instant tu es la première, par précaution pour moi et mes deux Nékos, je vais devoir te les prendre, tu n'en auras pas besoin ici."

Je fis un pas de plus vers elle et saisit délicatement le sac rempli de métal.

Le déposant dehors, je revins et extirpa de derrière le comptoir qui occupe l'accueil une feuille représentant une demande d'entrée au refuge.

Code:

Nom :

Prénom :

Âge :

Motif de la venue :


Chambre seule ?

Orientation de votre chambre ? (Nord, Sud, Est ou Ouest)

Pratiquez-vous un sport ?

Si oui, le refuge le propose-t-il ?

Désirez-vous que l'on vous cherche un nouveau maître qui saura prendre soin de vous ?

Je le lui remis avec un stylo et attendit qu'elle le remplisse.

"Tiens."

Ajoutai-je à mon geste.

Je la sentis prendre sur elle pour garder son calme, surtout lorsque je lui retirai son sac. Elle n'était pas une sainte, rien qu'à en juger par ledit sac ou le bandeau cachant son oeil. Mais après tout, si elle était là, c'est qu'elle n'était pas si terrible que ça et qu'elle voulait s'en sortir. Aucun collier à son cou, j'en jugeai qu'elle était l'une de ces fameux Nékos rebelles.

Dès lors qu'elle prit la feuille, il fut amusant de la voir réfléchir pour savoir quoi écrire, on pouvait par moment avoir l'impression qu'elle ne savait pas elle-même. Le stylo lui servait presque davantage de baguette pour batterie que d'outil pour écrire, conséquences du stress ?

Après m'avoir rendu sa feuille consciencieusement, elle prit l'initiative de trouver une chambre par ses propres moyens, faisant alors un aller-retour pour prendre ses affaires avant de revenir vers moi.

Elle fit référence à mes Nékos, argument que du fait qu'elles vivent à la villa elles ne courraient aucun risque et termina par demander pour récupérer son sac adoré.

"Elles ? Mais comment tu... Arf, peu importe."

"Ce que tu avances n'est pas faux mais si je t'y autorise, qui me dit que d'autres ensuite n'exigeront pas la même chose ? Je suis désolé mais je préfère les garder, pour le bien de tous."

Elle poussa ensuite la porte menant à la salle commune. Je la suivis et en la voyant s'arrêter là, m'extirpa un léger rire. Je m'avançais alors et pris la moitié des ses bagages puis en les rassemblant dans une seule main, de l'autre je me saisis d'une des siennes.

"Viens, suis-moi."

Vint l'intersection des divers "quartiers".

"Sud tu m'as dit ? C'est par ici."

J'ouvris la porte qui donnait sur un long couloir menant à d'autres perpendiculairement et à distance régulière, une porte, toutes identiques à quelques détails près. J'ouvris la porte de celle qui offrait la meilleure vue.

Il n'y avait pas de lumière, je désactivai alors le filtre couvrant la fenêtre pour laisser apparaître un soleil radieux et un balcon dont une ouverture permet d'accéder directement à la piscine bordant le refuge.

Je déposai ses bagages sur le sol. Le petit studio de 28 m² devrait lui suffire avec la chambre et la salle de bain, le tout déjà aménagé. La laissant s'asseoir sur son lit, j'extirpai un matelas supplémentaire d'un rangement du mur que je déposai sur le sol pour m'y installer.

"Tout d'abord, ne me remercie pas, c'est moi qui te remercie d'être venue. Je n'espérais pas voir venir quelqu'un si peu de temps après l'ouverture. Ensuite, si tu le veux bien, parle-moi un peu de toi, j'aimerais connaître un peu qui j'héberge."

N'attendant pas sa réponse, je lui fis comprendre, après m'être relevé, d'un geste de main que je revenais rapidement. Et ce fut le cas, je revins en déposant à côté d'elle le sac que je lui avais pris.

"Je ne devrais pas mais après tout, tu as la première, il est normal que je te chouchoute un peu."

"Tout d'abord, ne me remercie pas, c'est moi qui te remercie d'être venue. Je n'espérais pas voir venir quelqu'un si peu de temps après l'ouverture. Ensuite, si tu le veux bien, parle-moi un peu de toi, j'aimerais connaître un peu qui j'héberge."

Il avait entre temps entrepris la décision de me ramener mon sac, je n'en était que plus contente, mais mon histoire n'avais rien d'un conte de fée.

"Je ne devrais pas mais après tout, tu as la première, il est normal que je te chouchoute un peu."

D'un geste simple j'ouvrit le sac pour le vider sur le lit, il était pleins de toutes sortes d'armes, bien que les plus grosses mais était retiré la dernière fois que l'on m'avais retrouvé dans la rue les bras baignant dans le sang. Une dizaine de seringues, des dagues se comptant au nombre de sept, deux couteau, deux ou trois shuriken, un colt 45, un magnum, rien de bien méchant pour moi, il me manquer pourtant sabre et katana, mais soit, je n'en aurais pas plus besoin que tout ce qui était sur mon lit, je me relevais, me posant devant la fenêtre avant de l'ouvrir et de me poser à son encadrement, mes yeux regardant le jeune homme, il voulais savoir , mon hisoire, mon passé, soit...

Je baissa légèrement la tête avant de finir par déclarer, commençant, mon histoire, sans un il était une fois, ni un jadis, d'antant je l'aurais fait, mais il était bien tard pour que je puisse reprendre mes début féerique... Puisque mon histoire ne se finissait , que très mal.

" ... Je me nomme Emily, enfin je me nommais Emily à l'époque, mes parents était tout deux de grand aristocrates, mon père Christian Silvert, et ma mère Aimée, Compte et Comtesse, était des parents aimant, gentils, mais strictes, il en va de source qu'il n'était pas normal de donnais naissance à une neko, pourtant il en fut le cas, je connaissais l'étiquette, les bonnes paroles, la façon de se tenir, et tout ce qui aller faire de moi une héritière, bien que ... ", je stoppa légèrement mon histoire, tandis qu'une douleur se fit parraître en moi, il fut bien longtemps que je ne m'était remémoré l'histoire qui a donné lieu à mon "exile".

" Bien que je soit une neko, on avait , dit-on essayé de stopper ma croissance féline, malheureusement pour mes géniteurs, tout les moyens du monde n'ont rien changé, s'il n'est le faite de m'emputer les oreilles, mais cela me vouais déjà a la sourditer à vie... Bref ! Quelques année plus tard, en une fraîche nuit d'hiver, il y eu une sorte d'invité "surprise"", je mimais les crochet à la perfection, " Un cannon soupira dans tout le logis, une odeur métalique se fit ressentir doucement, je descendit en trombe, mes parents enlacés, mort sur le coup, au sol, mon premier reflexe, me mettre à l'abri dans une arrière pièce un peu poussièreuse ... "

Je me relevais fièrement pour ne pas pleurer, et fit un tour sur moi même, relevant légèrement ma tunique dans la tournée. Il ne me restais plus qu'à raconter mon hérance depuis !!! Mes meurtres et toutes le choses que j'avais fait depuis la morts de ces deux êtres qui était mes parents ! Je souriais à pleine bouche pour le futur récit que j'allais contais !

" Depuis ce jour, je suis partie, avec une gouvernant, mais elle n'était plus toute jeune alors je suis allée de foyer en foyer, surtout chez des personnes du troisième âge, je me souviens juste d'un ou de deux, comme celui qui me faisait tans pensais à mon père qui jouait le père noël tout les ans, un grand monsieur un peu dodu à la grande barbe blanche ! Ce soir là, quelques années après la mort de père et mère, jour pour jour je donna lieu à un meurtre, qui me fit perdre mon oeil ... ' je titillais le coin de l'oeil blanc " Le vieux monsieur m'a soigné mais je n'ai jamais retrouvé la vue ... Je ne souriais que peu, ce qui en avais rendue mon "maître" que plus triste sous la vue de mon corps coupé et saignant ... Depuis chaque année j'ai une petite pensée pour ces trois personnes ! Je dois avouais que c'est toujours en hiver que je décide de tuer ... Ni avant, ni après ... "

Je finis mon récit avant de me posais sur le lit, il est vrai que racontais tout cela m'avais rendue nostalgique, je pensais rire de mes moqueries, mais au lieu de racontais mon histoire, fièrement en courageuse, je reparlais comme il le fut jadis, de façon distinguée, je ne pouvais pas réellement en être fière, ce language que j'essayais tans bien que mal de quitter me revenais sans cesse en esprit, je finis par prendre une dague et la faire tourner sur mon index, alors que mon pouce, lui tenais fièrement le manche. Je n'avais plus rien à dire, et pour cause j'avais bien trop parler. Je finit tout cela par ce mot.

" Finit . ", voilà, il était ainsi que recommençais mon érance verbale, pour surement une bonne trentaine de minutes. Un peu plus de 40 Minutes c'était passé depuis mon arrivée et j'avais déjà parlé l'équivalent de 17 jours d'hérance ...

C'est ainsi que je finis par me relever rapidement sur mes deux jambes et je saisit mes valises, une foisd le tour de la chambre fait, je m'avançais vers une armoire, je posait l'étuie de la guitare sur le sol je commençait déjà a débaler mes affaires. Je pris soin dans un premier temps de saisir avec ma queue quelques ceintres sur lesquels j'irais poser mes robes de toutes sortes. Une fois l'action faite je me mit au travail sortant les premières robes, ce n'était que de grandes robes de style un peu ancien, des robes de "princesses" si l'ont peut dire, les autres était beaucoup plus simple, droite, ou parfois fantaisiste, un peu gothic, voir sweet lolita, j'aimais ce style, ce qui faisait d'ailleurs référence au fait de ma grande robe noir, a volant blanc, que j'avais retrouvé deux à trois ans au paravant, c'était une robe que ma mère portais, des grandes manches noires, droites, se terminant en une cascade volants blancs, un bustier se posais sous la robe pour afinner la taille et une jupon se posais sous cette dernière pour un effet bouffant laissant le bas de la robe volumineux. Je posait tout cela sur la barre de fer, j'avais eu peur que mes affaires ne rentre pas mais en faite il n'en fut pas le cas.

Je déambulais de part et d'autres de la chambre pour ranger mes affaires, ronronnant doucement les oreilles valsant de tout sens, ainsi que ma queue qui portais souvent des objets, je finis par ranger mes chaussures dans un tiroir, il y avais une paire de chaussons, des grosses chaussures compensé, puis de petite ballerines rouges, comme celle que je porte en ce jour. Une fois pratiquement finis je pris soin de ranger sous vêtements, pijama, affaire de toutes saisons, et d'un geste je posa l'étuie pleins avec les deux guitares près du lit, quand a l'autre, qui était lourd de lui même je tentais de le posais sur une étagère un peu haute pour qu'il ne me gêne pas plus tard, malheureusement il semblait que l'étagère soit trop haute pour moi, ou peut-être étais-je trop petite...

Dans un bref mouvement, je m'installai tranquillement sur le matelas que je m'étais préparé, étalant mes jambes en travers et l'une sur l'autre de tout leur long. Je suivais des yeux la première 'réfugiée'.

Elle vida le sac que je venais de lui rendre sur le lit qui était désormais le sien. L'arsenal allait d'armes blanches à armes à feu, comprenant armes de poing et autres shuriken. Le métal brillait joliment sous les rayons du soleil au zénith. Mon impression d'elle avait changé et je la voyait différemment après avoir vu son armurerie personnelle. Elle était jeune, jolie il fallait l'avouer, et gentille, même si elle s'y forçait. Pourquoi tant d'armes ? D'ailleurs, pourquoi des armes tout court ?

Elle s'installa dans l'encadrement de la fenêtre suite à ma demande et s'exécuta. Son histoire était bien sombre, en comparaison à sa tenue de ce jour et pendant qu'elle racontait celle-ci, elle marqua un arrêt et se leva, se retenant de pleurer, ça se voyait. Je l'aurais bien consolée mais elle n'avait pas fini et vis à vis d'Hastia, je préférai ne rien faire.

Elle termina son récit avant de s'asseoir sur son lit. Je me levai alors pour venir la rejoindre, m'asseyant à une quinzaine de centimètres d'elle. Je déposai simplement et pendant un bref instant une main sur son épaule.

"Si tu veux un jour discuter, tu n'auras qu'à venir me voir. Je suis ton hôte mais j'essaierai, comme pour tous ceux et toutes celles qui viendront ici, de faire en sorte que tu sois heureuse."

Cela dit, elle se leva et ouvrit ses valises dont elle commença à transférer le contenu dans les armoire intégrées aux murs, face au lit. Je suivis des yeux ses allers et venues incessants pendant dix bonnes minutes. Toute cette agitation cessa lorsqu'elle tenta de mettre en hauteur un étui qui faisait a priori son poids. Je me levai à mon tour, et, passant dans son dos, je l'aidai à soulever le 'range-guitare' pour le placer au dessus de l'étagère qu'elle visait.

Suite à cela, je rajoutai simplement :

" Je pense que tu es installée maintenant. Si tu as besoin de moi, tu me trouveras à l'accueil ou dehors."

Puis je sortis de sa chambre, prenant soin de refermer derrière moi. Il était vrai que je ,'avais rien à faire aujourd'hui. Quoique c'est ainsi depuis toujours, même si par 'rien' j'insinuai que je n'avais pas à accueillir l'un de mes Nékos car l'arrivée et l'intégration d'Akemi et Hastia m'avait pris un certain temps. Or, je repensai au formulaire d'entrée que Ketsueki avait rempli, j'avais bel et bien une chose à faire. J'avais du boulot qui m'attendait à la section loisirs/sport...

"Si tu veux un jour discuter, tu n'auras qu'à venir me voir. Je suis ton hôte mais j'essaierai, comme pour tous ceux et toutes celles qui viendront ici, de faire en sorte que tu sois heureuse."

Et si je n'étais pas heureuse dans le fond ...? Après tout je n'avais peut-être pas envie d'être heureuse, comme si je l'avais déjà était, je riais intérieurement. Cela va sans dire que si j'avais envie de discuter je préférais parler à un mur que d'avoir l'opinion des autres. Plutôt creuver que de me trouver un confident !!!

C'est ainsi que quelques instants plus tard je sentis quelque chose dans mon dos, dans les secondes qui suivirent mon étui fu monté, et moi, je pris à peine le temps de respirer que je m'étais déjà décollé , le contact humain ou physique n'avais jamais était mon point fort après tout ... Il n'empêche que j''eu a peine le temps de dire merci, qu'il avais déjà recommencé à parler, il était sûr que si ça commençais comme ça le dialogue n'allais pas être simple ...

" Je pense que tu es installée maintenant. Si tu as besoin de moi, tu me trouveras à l'accueil ou dehors."

Encore fallait-il que je me souvienne d'ou se trouvais l'acceuil ! J'avais beau être au rez de chaussée ça n'allais pas réellement m'aider pour savoir ou se trouvais l'acceuil ! Bien qu'il me serais plus simple de le croiser dehors ...

M'enfin...

J'était maintenant installé dans ma chambre, je me posais sur le lit pour réfléchir un instant à ce que j'allais faire, après une dizaine de minutes, de réflection, je me relevais pour ouvrir la fenêtre et passer par cette dernière, retombant sur un balcon, donnant directement sur le sol, ma chambre se situés donc au premier étage, d'ici je pouvais voir une pisicine, je ne comprenais pas réellement ce qu'elle faisiat là, de tout temps on m'avais dit que les chats n'aimer pas l'eau !!! Mais il était vrai que cette piscine était splendide ... Bref, le temps ne s'adonnais pas à la baignade, enfin d'après moi. Je décidais donc d'aller visiter l'établissement.

Après une petite visite en suivant les plans je me trouvais près de cette fameuse piscine, j'aurais pas la rejoindre en passant par ma chambre, mais j'avais préféré visitais avant tout ! Je me posais au bord de l'eau et fit tremper ma queue dans l'eau fraîche, c'est ainsi que ma queue fut mouillé et qu'elle se mit doucement à secher au grès du vent, s'ébourrifant sous chaque bourrasque de vent. Par chance, j'avais laissé la fenêtre de ma chambre ouverte, en un instant j'étais passé de piscine à balcon, puis de balcon à l'encradrement de la fenêtre. Je pris soin de ne pas salir sur mon passage, car je dois avouer que si je venais à salir quoi que se soit je n'aurais nullement l'envie de nettoyer derrière mon passage ...

J'ouvrais l'armoir doucement mais sûrement histoire de voir quel vêtement j'allais mettre, demain ou après demain , il ne me restais plus qu'à me trouvais un endroit sur le toi pour me recueillir en cas de pépins, je n'avais pas envie de rester dans ma chambre jusqu'a la fin de mes jours. D'un geste simple, je pris une robe et la mis sur le côté gauche, comme ça j'étais sûre de la mettre le lendemain. Je fit de même pour la porte jointe, je l'ouvrit avec délicatesse et je prit mon sac, celui qui contenais les armes que j'avais pu garder avec moi en tout cas, puis ma guitare, au cas ou. Dans un tirroir au dessus, je sortis une chaîne en argent. Je sortie de ma chambre, puis je la ferma a clé, ayant déja pris soin de fermer toute issue plausible pour y entrer. Même si je n'avais pas peur qu'on y entre j'aimais fermer tout ce que je trouvais.

Je pris la clé une fois la serrure fermée, puis je pris la clé et la passa autour de la chaîne avant de la mettre autour de mon cou, un moyen simple et ludique de ne pas la perdre, enfin je pense, je passa en courant devant plusieurs salle, dont le hall, la pièce principale, le refectoire, et la salle des sport, c'est ainsi que je me retrouvais nez à nez avec le gérant, je me demandais ce qu'il pouvais bien faire dans une salle dédié au sport, bien que je ne doute pas qu'il en fasse, m'enfin c'est une salle réservée au habitants du refuge non .? Je poussa la porte doucement et j'entrais dans la salle, avec discrétion je posait l'étuie de ma guitare sur le sol, et je laissa mon sachet d'armes pendre autour de ma queue, produisant de temps à autres des petits carillonage agréables à l'ouïe fine dont je disposais. Doucement, très doucement je me fofilais derrière le jeune homme.

"- Dit tu fais quoi .? T'étais pas censé être à l'acceuil ...? Encore je te trouverais en train de décuvé je veux bien mais ici c'est la salle pour le sport si je ne me trompe pas ... " , je riais doucement tandis que me sac jouait en l'air, mes oreilles elles, dressaient fièrement, montrais mon air joyeux que j'aimais tans arborer quand j'avais raison !!