Lorsque je rentrais à mon appartement dans le quartier abandonné je fût très vite attiré par une vieille usine désinfectée. Tans ma curiosité que mon instinct de félin, je déambula vers le bâtiment. Ce n'étais sûrement pas un lieu ou il pouvais y avoir quelqu'un enfin de toute façon peu importe j'allais le découvrir bien plus tard. Je ne fût pas surprise de rentrer par une vieille porte tout rouillé et gondolé par les intempéries. Une fois entrée je trouva l'endroit extrêmement grand par rapport à la vue médiocre qu'elle donnais de l'extérieure. Je commençais a frissonner tans par la température de la nuit qui se faisais alors ressentir par petit coup de vent léger mais glacial tans pas la lugubre usine qui me donner un peu la chair de poule. Mes oreilles se plaquèrent sans mal contre mon crâne et ma queue fouetta l'air un peu poussiéreux de l'endroit.

" Qui sais si je rencontrerais un Neko ou un humains ici... "

Ce fût les seules petites et médiocres phrases que je put sortir dans un tel moment, je sortis soigneusement ma petite seringue de sédatif ( Ma chérie x3 ) au cas ou je fût attaquer par un quelconque être de quelque espèce. Pour le moment il n'y avais personne je continua d'avancer sans buit.

Il y a 2 jours, Fushigi recevait un appel d'un client. Comme toujours il gardait secret l'identité de son acheteur; tout ce qu'il y avait à savoir c'est que c'était un gros blanc en smoking semblant sortit des films d'espions ou de mafieux. Maintenant il ne l'en blâmait pas vus que c'était typiquement le genre de vêtements que Fushigi portait... enfin bref, sa victime était un homme d'une quarantaine d'année, le chef d'une bande qui trainait depuis peu dans la ville misant leurs fortune sur le racket des commerçants. Fushigi ne se demandait pas si le commerçant en question était à la tête de quelconque organisation sordide même si lui disait, cela n'aurait eut aucune importance. On lui donnait de l'argent pour tuer.
Aujourd'hui, en cette grise après-midi, Fushigi avait trouvait leurs trace et l'endroit où ils se concentraient.
Il démarrait alors sa voiture et fit route vers le quartier abandonné où ils créchaient. Par chance, ces crétins étaient là et venaient de rentrer dans une vielle usine désinfectée. Il attendait dans sa voiture que ceux-ci rentrent dans le bâtiment. Une fois chose faite, il coupa le contact et sortit de l'Aston Martin pour se diriger vers l'entrée de l'usine. Il était vêtu de son ensemble noir comme à l'ordinaire: Veste, pantalon, chapeau noirs et lunettes orangées. Dans sa veste se trouvait son arme favorite. Celle-ci quittait rarement la poche intérieure de sa veste.
Entrant dans le bâtiment, il put voir la petite bande réunie l'attendant avec un arsenal complet: Mp5 et Glock 17 standards.
Face à cette vision il ne put s'empêcher de sourire. Ces assaillants prenaient, contrairement à lui, un air agacé... sans doute parce qu'il les avait suivit jusqu'ici.

"Alors Papi! On dirait que tu t'es frotté à plus fort que toi"

Il braquèrent leurs armes sur Fushigi,ce dernier se contentait de sourire voir de ricaner.

"Et en plus tu te fout de nous?... Butez-le!"

Sur ces mots, les hommes ouvrirent le feu et Fushigi filait derrière un muret pour se mettre hors de portée. Il prit son arme et attendait calmement. Un des individu se dirigeait vers lui, prêt à tirer à vue; il entendait ces pas. Lorsqu'il vit le visage de son adversaire, il tira et le coup fit mouche, répandent alors sa cervelle à terre. Il se relevait et regardait les autres membres de ces lunettes oranges. Il les visait avec son arme et commençait à les cribler de balles, chaque coups atteignant ça cible, tuant ou faisant souffrir le touché. Ayant dévidé son chargeur, il laissait tomber la recharge désormais vide et regardais ce qu'il restait: un pauvre type dont la jambe était arrachée au vu de la puissance destructrice de l'impact baignant dans le sang de ces acolytes. Il ricanait, sa victime ne semblait rien y comprendre; il rechargeait son arme tout en fixant le blessé gémissant à terre avec un large sourire.

"Longueur du canon: 34 cm; permettant une puissance de 1850 joules pour des cracher des balles de calibre .454 Casull à flanc explosif... Pas mal armé le papi non?"

Il braquait son arme contre le dernier survivant.

"Merci d'être venu...au revoir"

Il lui tirait alors une balle entre les deux yeux, lui faisant littéralement exploser sa cervelle. Il n'était pas mécontant de son chef-d'oeuvre même si généralement il préfère torturer à mort ces ennemis, au moins leurs avait il enlevé l'espoir de s'en sortir et il adorait ça. Il prit son portable et signalait le travail fait à son client qui devait lui verser 50000 livres pour son travail: 50000 pour une bande de crétins. Il rangeât son téléphone dans sa veste et sorti un paquet de cigarette pour se récompenser de son modeste succès. Il l'alluma et commença à tirer dessus.

"Bon maintenant que j'ai rien à foutre et qu'il ne reste que toi et moi de vivant dans ce taudis..."

Il retournait la tête en direction d'un coin.

"...tu pourrais te montrer qu'on cause un peu!"

Je fut d'abord surprise de savoir que tout compte faite l'endroit n'étais pas si vide qu'il en avait l'air. Je fut donc la seule témoin d'un telle massacre de vie humaine, je me mis dans un coin de peur de passer le même sale quart d'heure que les cadavres qui glissais sur vieux sol de l'usine. Il n'avais pas laisser un seul survivants ... Le sang coulait de partout et je fut réellement étonné de savoir que les humains pouvais s'entretuer ... Je regardais le spectacle à la fois la peur au ventre qu'on découvre mon emplacement mais en admiration devant un tel massacre dont je ne pu décrire la précision de tire et de la vitesse à laquelle les ... Coupables je pense venait de mourir les uns après les autres. Je rangeais alors ma seringue car dans ce cas là elle ne m'aurais franchement était d'aucune utilité vu la description de l'arme du tireur. J'ouvrais doucement mon sac à mains en y cherchant mon 9mm qui même s'il n'aurait était d'aucune utilité aurais pu qui sais me sortir de cette affaire. Il est vrai que je m'amuser a tirer sur les deux ou trois corbeaux qui se pavanais sur le toit de mon immeuble et j'avais finis par avoir une grande précision dans mes tires, ce qui je pense m'aurais pour une des rares fois servis un peu. Je la sorti et la chargea doucement en attendant qu'il tire sur le misérable et derniers survivant, une fois que ce fut fait je tenta tans bien que mal de me relever mais ma peur bleu n'avais sûrement pas l'intention de me quitter. Je l'entendit parler, le tireur m'avais donc repérer, avais-je était si bruyante en chargeant ma petite arme ? Je réussi enfin à me lever je garda mon arme ranger sous la maigre ouverture de ma tunique et la laissa charger quand même au cas où il m'arriverais un pépin. La tonalité de ma voix sorti un un peu inquiet.

"- C'est bon .... J'arrive ... "

Je sentais de loin une odeur de nicotine qui me plaisais fortement. Il est vrai que je n'avais pas eu l'opportunité de fumer ne serais-ce qu'une taff depuis que la bande de voyou ou j'avais était accueillit était emprisonnée. Je m'approcha doucement de peur qu'il est garder son arme chargeais dans sa main. Mes oreilles se collèrent de plus en plus à mon crâne au fur et à mesure que mes pas avancer de quelques mètres. Je fût presque devant lui mais je resta un moment dans la pénombre le temps de sortir mon arme que je garda dans ma main gauche puis continua d'avancer. Une fois arriver devant lui je baissa le bras, je n'avais pas la force de tirer face a une telle charure.

Fushigi vit apparaitre une néko qui semblait être là avant que ces types n'arrivent. Celle-ci portait une courte robe noire et tenait un sac à main. Elle semblait aussi tenir quelque chose dans ces mains, peut-être une arme à feu, un couteau voire peut-être une bombe anti-agression; il avait assez de mal à voir ce qu'elle tenait alors qu'elle était dans la pénombre. Il avait un fin sourire comme à son habitude et attendait que celle-ci fasse quelque chose ou commence un dialogue.
La néko levait alors un bras dans ça direction; entendant le cliquetis typique d'un 9mm. Il décidait de ne rien faire et ne cessait de fixer cette jeune fille qui le "menaçait". Elle décidait finalement de laisser tomber en baissant le bras armé. Fushigi utilisait alors le canon de son calibre et donnait un coup dans l'arme de la fille l'envoyant dans les air. Il colla sa cigarette près de son oreille et attrapa ,de sa main libre, le calibre de la néko et commença à tirer sur l'un des cadavres aux parties vulnérables du corps humain, vidant les 17 balles que contenait le chargeur.

"La tête, le coeur, les poumons, la nuque, le diaphragme, les reins...voilà où il faut toucher pour éliminer"

Il fit une roulette russe avec l'arme de la néko, le rattrapait par le canon et le lui tendait.Celle-ci le prenait d'une main un peu tremblante et le remettait dans son sac. Fushigi ricana, il aimait bien faire peur aux gens et instaurer le doute dans leurs têtes. Là c'était une inconnue, si c'était un ennemi il aurait été 5 fois plus dur. Il la regardait toujours, ne détachant à aucun moment son regard d'elle, laissant toujours apparaître son fin sourire.

"Si tu n'utilise pas ton flingue pour tuer à quoi il te sert? au tir au pigeon?"

En fait, il n'était pas réellement fâché même si dans l'intonation de sa voix il en donnait l'air; il avait juste été éduqué comme ça. De plus il prenait un malin plaisir a ôter la vie même si certaine fois la raison en était inconnue: manque de respect, regard de travers... Il était imprévisible et avait la gâchette sensible mais il pouvait lui arriver de s'abstenir à l'aide d'autres moyen de distraction comme l'alcool, la clope et (en dernier recours) le sexe.
Il reprenait sa cigarette et tirait dessus avant d'expirer de la fumer vers le haut pour ne pas enfumer la jeune fille.

"En parlant de flingue... comment ça se fait que tu te promène avec un colt 45 dans un endroit pareil? En toute logique ce n'est pas la première chose que tes maîtres ou tes ainés te donnerais... A moins que tu n'en ai pas..."

Je pris mon arme et finis par la re-ranger je devais avouer que son coup de main me parût assez impressionnant.... Il cita les endroits ou tirais que de mon passé je connaissais déjà, j'avais l'air très tremblante mais j'étais en admiration devant le mystérieux individu. Je finis par sortir ma seringue et tapoter les ongles dessus pour m'amuser et me rassurer.

" Tu poses trop de questions ... Et puis je peux t'en retourner une ... Un humain qui en tue d'autre me paraissais déjà exceptionnel mais quand on les tue par plusieurs ... "

Je m'approcha de lui en lui lançant mon sale regard noir qui ne lui faisais pas beaucoup peur je pense. Mon Ton avais était très impoli de ma part voir même agressif. Je le regardais toujours quand je me posta à 1 mètre de lui pour finir par ne plus trembler et reprendre le contrôle de moi même.

" Mais je vais répondre à ta question... Je n'ai Ni Maître ni Ainé alors mon arme j'en fais ce que je veux. Si je n'ai pas tirer c'est parce que vu le massacre que tu viens d'effectuer mon acte aurait été inutile ... "

J'avais répondu honnêtement mais je gardais mon ton agressif et partiellement méchant. Je ne resta pas longtemps près de lui je ne sue comment ma dague se refléta on ne sais ou , je mis mon sac sur l'attache de mon collant au niveau du bas de ma tunique. Je l'avais mise la au cas ou la légitime défense m'aurais servis. Je chercha un endroit ou m'adossais car j'avais un peu du mal à tenir debout. Au final je ne trouva rien et il m'était impossible de m'asseoir à moins de vouloir un torticolis pour regarder mon interlocuteur.

" Laisse moi devinez Tueur à gage ... Et à ton style vestimentaire ... Au plus offrant ... "

Je n'avais pas eu de mal à trouver sont travail. Surtout que des gens comme ça sa cours pas les rues. J'avais de plus remarquais que son Mini Massacre achever il avais sortit son portable pour sûrement demander son argent... Je trouvais ça assez amusant et même excitant de me retrouvais avec une telle personne. J'avais remarquer qu'il gardais son sourire en coin depuis le début de son arrivée .

"Pervers ... Et sadique en plus de ça me voilà bien..."

Je le regarda fixement, comme si j'essayais de déceler quelque chose dans son regard, ce que je faisais depuis le début en faite.

Fushigi n'arrêtait pas de sourire, cette néko se révélait vraiment être perspicace. Elle n'avait ni maître, ni ainés comme l'avait déduit Fushigi. Cela n'avait rien d'impressionnant n'importe qui aurait eut un doute en voyant une jeune néko se balader avec un flingue maintenant elle aurait put aussi dire qu'elle appartenait à un flic et qu'il lui donnait ce calibre pour ce défendre mais, au vu de ces expériences avec les humains, Fushigi pouvait d'hors et déjà supprimer cette hypothèse.
Pour lui répondre, la néko utilisait un ton assez agressif et froid envers lui. Cela le faisait rire même si en temps normal il l'aurait tué. Mais rappelons-le: Fushigi est imprévisible et il est capable de s'abstenir de tuer juste parce que la tête de son interlocuteur lui reviens. Là cette néko ne semblait pas de taille, au niveau du corps à corps, et elle osait s'adresser à lui froidement et agressivement. Elle semblait tâter quelque chose dans son sac à main qui semblait lui redonner confiance; sans doute était elle sur-armée pour se défendre.
N'empêche il trouvait ça...mignon; comme si une gamine venait et commençait à le frapper de toute ces force dans l'espoir de lui faire sortir un semblant de peine...mais Fushigi demeurait impassible sur ces souffrance et ne montrait que son sourire à la population, lui qui était heureux à chaque victime qu'il exécutait il n'éprouvait même aucun regret ni aucune tristesse en voyant hommes, femmes et enfants hurler à la mort le suppliant d'arrêter ou d'achever.
Cette néko avait déduit selon son style vestimentaire qu'il était tueur à gage, elle avait raison enfin son métier se résumait à plus subtile mais tueur à gage résumait bien la chose. Elle ajoutait ensuite le qualificatif de pervers au grade de Fushigi.

"Pervers?"

Il commença à rire puis regarda la néko.

"C'est bien la première chose que tu pense des inconnus quand tu les rencontre?"

Il tirait de nouveau sur la cigarette et regarda la néko.

"On ne t'a jamais appris la politesse? Quand tu connais pas quelqu'un, évite d'avoir des préjugés aussi m******** tu ne fait que me faire ce que les autres te font... et je suis sur que cela ne te soulage pas comme tu le voudrais"

Je fut d'abord surprise que l'individu me tienne tête mais me rappelant de ces geste déjà peu commun je regretta mes pensées précédente. Je l'écoutais tout en approuvant avoir était un peu trop désagréable à son égard. Je le jugeait sans le connaitre il avais amplement raison. J'avais gardée de très mauvais souvenir des humains et vu le sourire qu'il affichais il m'en avais rappeler trop ... Il n'y était pour rien mais je ne pouvais pas supporter ce petit sourire narquois qu'il avais tout en me dévisageant, il était le même que celui qu'on me jette comme si j'étais une victime ... Et je ne le supportais pas ... Je m'y habitua de toute façon il sembla que je ne puisse faire autrement.

" Désolé pour le pervers ... De vieux souvenirs ... J'avoue que je tire des conclusions trop vite et que je ne fais pas attention au conséquences.... Sumimasen Sama .. "

Je m'était durement à le nommais "Sama" ce qui dominais la marque de respect envers un ainé, il était sûrement plus âgé mais je n'avais pas à lui donnais autant d'importance. Je finis par passer ma main derrière mon sac et à y prendre ma dague que j'avais minussieusement cacher pour la remettre dans mon sac comme si de rien était.

" Si tu n'affichais pas un tel sourire je ne t'aurais pas juger si facilement ... "

Je m'approcha de lui pour l'observer. Mes yeux olives scrutait son visage de marbre mais je pu m'aperçevoir d'un tout petit signes qui ne me trompa pas sur ma future phrase.

" Tu le tiens comme ça tout le temps ... Ton visage en a garder les plis ... "

J'aimais regarder le visage de mes interlocuteur mais j'avoue qu'il me fut un peu de temps avant de déceler ce tout petit détails. Il ne mentais pas en tout cas, se sourire narquois et vicieux il le tenais sans cesse car le plis était bien creuser par le temps, la température. Je me recula un peu , j'étais venu un peu trop près.

" Sumimasen ... Je voulais vérifier un truc ... "

Je devais m'en excuser ou il allait encore me faire une sorte de leçon psychologique qui ne faisais que rentrer par une oreille pour ressortir par l'autre dans le seconde qui suivis .

" Au faite ... Tu trouves ça normal de me parler ainsi en sachant que je viens de te voir massacrer une dizaine de gens. Tu pourrais au moisn t'inquiéter un peu pour ma santé psychologique! "

Je rigolais intérieurement car ma santé psychologique en avais déjà pris un coup et j'avoue que j'avais adorer voir tout ces gens mourir devant mes yeux.

Pervers... un mot qui avait résonné dans sa tête; a vrai dire elle n'était pas la première à luis faire la remarque, en effet partout où il allait tout le monde se méfiait de lui le considérant comme un être vil et méprisable ,ajoutons obsédé et sadique à cause de son sourire scotché sur son visage qui pouvait augmenter selon la situation. Voilà l'idée que la société se faisait de lui, sans apprendre à le connaitre d'avantage. Finalement, il pouvait se mettre à la place des nékos vu qu'ils n'étaient guère respectés généralement traité comme des esclaves ou des jouet sexuels sans aucune âmes et conscience. Il pouvait alors déduire que celle-ci avait eut une mauvaise expérience avec les humains et elle le confirmait peu de temps après, s'excusant poliment. Il laissait la néko lui parler un peu même si elle ne faisait qu'émettre des hypothèses en essayant de le connaitre grâce à ses traits et son regard. Fushigi fumait, se taisait, la fixait et l'écoutait. Il s'était fait une identité de cette néko dans ces fait ces gestes même si ces observations pouvaient se révéler fausses par moment, au moins avait il une idée sur son identité. D'après ces observations, il déduisait ainsi: jeune néko de 13 à 15 ans, libre de toute obligations, possédant de multiples armes accordées à la défense, celle-ci avait sans doute eu une mauvaise expériences avec les humains et devait se débrouiller seule pour vivre en paix.
Pendant ce temps elle s'approchait de plus en plus de lui semblant vouloir l'observer de près en espérant trouver des éléments de son identité. Fushigi ne changeait pas son air et continuait de la regarder tout en tirant sur sa clope. Soudain elle se reculait et s'excuser encore une fois craignant de l'avoir offensé. Il trouvait ça un peu c** faut dire, après tout lorsqu'il marche dans la rue les gens ne font que l'esquiver se qui commence à devenir lassant pour lui de voir les mêmes réactions alors qu'un néko daigne s'approcher de lui, cela ne lui causait aucun tord bien au contraire. Il rigolait alors et regarda la néko.

"Tu n'as pas à t'excuser..."

Il tira sur sa cigarette et expira un autre nuage de fumée.

" Au faite ... Tu trouves ça normal de me parler ainsi en sachant que je viens de te voir massacrer une dizaine de gens. Tu pourrais au moisn t'inquiéter un peu pour ma santé psychologique! "

A cette dernière réplique il ne put s'empêcher de se tordre de rire. Sa santé psychologique? Elle avait eu la première intention de le descendre avec son colt 45 et elle voulait qu'il s'inquiète à propos de sa santé psychologique?

*Drôle de néko* se disait-il

De plus qu'elle trimballait tant d'armes dans son sac qu'elle avait de quoi se défendre contre une bande de voyous. Alors pourquoi s'en ferait-il si elle savait se défendre? Si le coup de la petite fille fait pitié aux humain cela ne faisait rien à Fushigi. Il avait vécu tout le temps seul, sans amis ni bonne âmes. Pas un seul "bonjour", "comment vas-tu" et encore moins de "veux-tu être mon ami?" ou "tu veux jouer avec moi?". Au bout du compte il en avait déduis ça: si je ne vaut rien pour eux, il ne valent rien pour moi. Ici c'était un peu le cas; cette néko c'était trouvée sur son terrain de jeux que pouvait-il y faire? Pour lui elle ne signifiait rien, juste une personne discutant avec lui pour le moment. Maintenant il n'avait pas envie de la tuée car elle lui apparaissait amusante. Elle arrivait à le faire rire sans pour autant que se rire soit sadique mais d'amusement. Qui sait...peut-être commençais-t-elle à avoir une signification pour lui.

"Te préoccupe tu de la mienne? Moi qui vient de leurs ôter la vie?... Si tu réponds à cette question...tu réponds en toute logique à la tienne."

Je le fixais il avais l'air de comprendre que j'aurais plus applaudit que pleurer devant le spectacle qu'il venais de m'offrir. J'étais en mesure de me défendre seule et ma santé psychologique n'avais pas était plus choquer que ça. Je le regardais lui et son allure de grand méchant loup qui me plaisais assez je dois dire. Je me serais sûrement coller à lui si il n'avais pas eu cette arme dans sa main et ces corps gisant sur le sol. Je décida de poser mon sac qui commencer à peser sur mon épaule. Je le ferma pour ne pas qu'on puisse y voir son contenue et le laissa glisser sur le sol en faisant attention qu'il ne baigne pas dans le jus sanglant.

" Si tu les as tué c'est que tu n'en avais rien à faire de leur vies ... Tu les as ôté de toute vie avec le sourire... Ne me fais pas croire que tu a verser une seule larme en les voyant tomber au sol baignant dans leur sang et dans ceux de leurs compagnon d'infortune. Essaye de verser ne serais-ce qu'un soupçon d'une larme a leurs égard ... Tu n'y arrivera pas ... Tout comme moi tu n'as jamais eu ta place et tu fais ça pour avoir un peu d'existence ... Rien de plus "

Je ne su pourquoi je n'eus aucun mal a déceler le pourquoi du comment il avais fait ce geste. J'arrivais peut-être à lire en lui comme dans un livre ou peut-être que nos existences était un temps soit peu similaire.


" Tu es le genre de personne qui n'attend plus le " Tu veux être mon ami " de la part de qui que se sois .... "


J'avais l'impression de connaître la vie de l'individu aussi bien que je connaissais la mienne. Il avais vécu une vie sombre et n'avais pas l'allure d'une personne avec beaucoup d'amis ... Je donnais la même impression que lui, il ne m'étais donc pas difficile de raconter sa peut-être vrai histoire sans le moindre problème. J'étais touchais pas l'histoire que je racontais car je pouvais en connaître la souffrance, le mépris des autres, la solitude, l'abandon avais fait la majeur partie de mon existence et de la sienne.

" Vivre sous l'emprise d'une famille un peu trop stricte n'a jamais était bien pour tout le monde. Laisse moi devinez ... Tu n'as plus de famille, l'ignores-tu ou l'as tu simplement laisser mourir devant tes yeux. Cache ton regard derrière tes lunettes tu ne me fais pas peur ... Tu peux braquer ton arme sur moi et me tuer ... Ça n'ôtera jamais la douleur que tu as dans le peu de cœur qu'il te reste ... "

Je le regardais, comme si nous avions vécu ensemble dans la même souffrance. Il ne me connaissais ni d'Eve ni d'Adam et je lui parlais comme j'aurais parler à mon meilleur ami. Si j'avais eu la force j'aurais pris mes jambes a mon cou et serais aller voir si il lui rester un cœur dans son être vidé de toute joie.

Finalement la néko avait tout compris de la vie de Fushigi, du moins de son fonctionnement. Il la regardait de derrière ces lunettes orangées et l'écoutait avec la plus grande attention.Certes certains élément de son histoire était faux mais la majorité demeurait vraie. Elle avait finalement compris que Fushigi avait vécu des épreuves similaire à ce qu'avait dut endurer cette néko: allant des fusillades au existences contestées. Quand elle finit de parler, il ria de plus belle, la regarda et l'applaudit.

"Bravo, tu as tout compris... Il est donc inutile que je réponde à ta question vu qu'a l'évidence..."

Il rangeait son arme et s'avançait vers la néko.

"...tu semble avoir tout compris"

Il laissa tomber son mégot à terre et l'écrasa. Maintenant il n'avait plus rien à faire et la journée était loin d'être terminée. Il pouvait toujours retourner chez lui, mais il serait seul vu qu'il avait laissé la journée à ces servantes. Cette néko semblait être la seule compagnie qui le distrayait réellement. Il soupira et regarda la néko.

"Tu semble connaitre des choses sur moi... et moi aussi connait des choses sur toi pour tout te dire; mais je ne sais pas comment tu te nomme..."

Il sourit

"Comment tu t'appelle?"

[Dsl pour la petite longueur de se post -.- manque d'inspi et de sommeil]

[ Mais on t'en veux pas .. MAIS BON SANG FUSHIGI TU ABUSES XD *ok je sors* x3]

J'avais donc eu raison, mon existence et la sienne était similaire en pleins de points. Je ne su pourquoi il se rapprocha si soudainement de moi, lui qui avais était plutôt froid et distant depuis le début de notre conversation. Il me demanda mon identité que je n'étais pas réellement obliger de lui donner maintenant qu'il avais ranger son jouet. Mais il me parut qu'après toutes mes découvertes je ne pouvais que lui donner.

" Je me nomme Mizuki .... Nakajima Mizuki ... Mais Appelle moi comme bon te semble .... Évite la chose , c'est dégradant ... "

Il est vrai que " Chose " nous qualifié d'objet de jeu ... Qu'il soit jouet de ménages, ou jouets sexuelles je ne supportais pas cela. Je me pouvais pas me faire à l'idée qu'on puisse me traité ainsi. Je remarqua que mon sac commença a prendre le poussière je partis le ramasser avant de revenir devant mon interlocuteur.

" Et toi ... Je dois t'appeler comment ... Le Tueur sans cœur ? "

Je ne faisais même plus attention à ma façon de lui parler, Je le parlais comme si je le connaissais depuis toujours. Je m'étais un peu trop attaché à lui espérant qu'il me comprenne mais en vain je pense qu'il ne comprendrais pas ...

" Je ne semble pas avoir tout compris ... Mais je semble en avoir vécu peut-être autant que toi ... Qui sais si nous n'aurions pas vécu sous la même ... Bonne Étoile si je peut me le permettre de le dire comme cela ... "

Ma Bonne étoile, elle m'avais fait rencontrer un humain avec une histoire semblable à la mienne .... Je ne pensais jamais en rencontrer mais j'avais envie de le connaître ... Savoir les moindres détails de son histoire , comprendre sa souffrance pour ainsi mieux comprendre la mienne... Je sortis mon arme et tira sur l'un des corps avant d'aller marcher dans la marre de sang pour regarder le massacre. Je sortis tout de même de longues chaussures compensé rouge écarlate et finis par aller examiné l'un des cadavres ...

" C'est joli... Tous ce sang ... C'est dommage tu leur à abimé les cœurs ... J'aurais voulu pouvoir voir la taille du cœur d'un criminel ... "

Je riais assez fort pour une fois et je ne pu m'empêcher de tirer sur les reste des corps

" Tu vois ... Je ne fais pas que du tir au Pigeon "

Je fis un clin d'oeil avant de revenir vers lui donnant en passant quelque coups de pied dans les cadavres gênant. Je savais que je ne risquait pas de le choquer alors je me donnais a coeur joie de faire mes petit jeu morbides habituaux.

La néko se présentait sous le nom de Mizuki Nakajima. Elle lui laissait le choix du nom mis à part celui d'"objet". Bien évidement, il comprenait ce que cela faisait mais il n'était pas du genre à considérer les êtres qui l'entoure comme des objets, mis à part ces serviteurs, néko ou humains, qu'il considère alors comme ces affaires et dans ce cas il en fera plus attention. Fushigi à toujours été ainsi depuis l'assassinat de sa famille, il était très possessif voulant prendre ce qu'il lui appartenait de droit... maintenant il ne négligeait pas les devoirs, dont le respect et l'entretien de sa propriété, humaine ou matérielle.
Elle lui demandait ensuite son nom. Cela semblait évidant, après tout, il lui avait bien demandé le sien.Elle posa si bien sa question que Fushigi en rit: "l'être sans coeur"... voilà qui le caractérisait bien aux yeux de la société...mais finalement, la société avait elle un coeur? Il en doutait. Il tira son chapeau et fit la révérence à Mizuki, répondant d'un ton calme et amusé:

"Fushigi Kurai...investigateur privé au service du plus offrant"

Il se redressait, remit son chapeau et continuait de sourire. Il avait remarqué qu'elle avait cessé de le vouvoyer, sans doute arrivait-il à lui plaire. Peut-être s'était-il enfin trouvé une amie qui pouvait l'accepter ou le comprendre. Il ne voulait pas faire de conclusions hâtives et garda ces idées comme de simples suppositions.

" Je ne semble pas avoir tout compris ... Mais je semble en avoir vécu peut-être autant que toi ... Qui sais si nous n'aurions pas vécu sous la même ... Bonne Étoile si je peut me le permettre de le dire comme cela ... "

Fushigi ne répondit rien à cette réplique tout simplement parce qu'il n'avait rien à dire. Il ne croyait plus à tout ces truc de "Bonne étoile" ou "ange gardien et tout ce qui touche à la destinée. Il se considérait désormais maître de sa vie et ce n'était pas la société ni la religion ni même les superstitions qui allait le mener par le bout du nez. Il était assez grand pour se gérer lui-même et n'avait pas besoin de quelqu'un pour le guider.
Mizuki se dirigeait ensuite vers les corps pour les regarder de plus près. Elle ne tardait pas à se défouler sur ces cadavres. Fushigi ne comprenait pas vraiment pourquoi elle s'acharnait sur ces corps sans vie, peut-être pour se défouler qui sait. Il la regarda alors faire; elle revenait ensuite vers lui, lui lâchant un clin d'oeil sur le coup.

"Ça vaut pas la peine de te défouler sur les morts... ils sont pas amusants, ils ne ressentent rien. C'est lorsqu'ils sont vivant que cela devient plus attrayant."

Il soupira et sourit.

"Imagine leurs regards quand ils pensaient avoir toute les chances de me tuer et moi finalement leur arrachant leurs espérance avec une violence à nul autre pareil... leurs regards changeant pour laisser place à la peur qu'un gamin éprouverait devant plus fort que lui. Le désespoir régnant dans leurs yeux découvrant ma dangereuse nature...Maintenant ils sont morts et ils ne m'importent plus"

J'avais enfin finis mon petit jeu assez étrange, quand il me coupa durement pour me parler de la joie si je puis dire, qu'il avais en tuant ces êtres. Il me décrit de part en part autant leurs espérances ... Que leurs regards apeurer . Je le regardais avec attention tout en écoutant le moindres des détails de ses paroles. Dans un sens si je me défouler uniquement sur les Morts c'est parce que j'étais une Neko ... Et que pour la race "forte" je n'avais pas à tuer l'un de leur semblables, ce qui m'aurais valu bien pire que mes souffrances passé. Je n'en avais pas non plus la force, je finissais constamment attendrit par le regard suppliant des pauvres êtres que j'avais pris en grippe. Cette fois ci... Je n'avais pas tirer ... Pas pour la même raison, je n'aurais jamais survécue si j'avais osée appuyer sur la gâchette, il avais déjà réussi sans problème à me désarmer ... Je n'allais pas chercher le diable bien qu'il me suis déjà depuis longtemps...

"Ai-je une tête à tirer sur le premier qui passe ... ? "

Rien qu'à me regarder j'avais plus une allure de gentille mère poule que de vilaine Neko Tueuse. Je rangeas ce qui sembler être mon arme, vidée de toute balles à tirer sur une quelconque emplacement. Même armée commeje l'étais je n'avais aucune chance de sortir vivante d'un Hold-up ... Ou d'une quelconque tentative d'enlevement. Je me baladais avec ces armes pour m'amuser bien que je les manier avec soin et que j'en avais acquéri tout les droits nécéssaire.

" Si je tue ... Ne serais-ce qu'un des tiens ... Je revivrais dans des souffrances dont je ne veux même pas repenser... Alors je tire sur des morts... C'est moins amusant... Mais plus sûr que de risquer l'esclavage ... "


Je baissa un peu la tête avant de regarder un mur voisin et de laisser s'échapper juste ... Les sons de ces simples mots.


" Pas encore... Pas encore une fois... "


J'en avais trop dit, je m'étaler sans cesse sur ma fichu vie qui ne rimait à rien. Je l'endurais plus que je la vivait simplement. Je n'avais ni famille, ni amis, ou me raccrocher pour me soutinir un peu. J'étais seule depuis ma naissance mais je ne ralais pas. Garde la tête haute, sois fièrte... Sois belle et tais toi ... Sois discrète et ferme là. Ce fut les seules bases véritables de mon éducation.


" Je ne dit pas que ta vie a était parfaite. Je dit juste que ... Dans un sens même si tu en à plus souffert ... Tu restes un des leurs ... Différent mais tu restes un semblables... Tu ne vivra pas en esclave ... Et tu resteras .. Libre ... "


Libre... Ce pour quoi je m'étais battue depuis des années ... Pour finir seule ... Je voulais une liberté, heureuse, remplie de joie... Mais elle n'est que chaos... Malheurs ... Rancoeur ... Et Amertume ...

Mizuki terminait de tirer sur les morts vu que son chargeur était désormais vide. Il la regardait attentivement, ne voyant les traits typique d'un être docile, mais il en était surement autrement vu qu'elle ne possédait pas de maître et se baladait avec des armes et autres outils de défense. Elle recommençait ensuite à lui parler:

" Si je tue ... Ne serais-ce qu'un des tiens ... Je revivrais dans des souffrances dont je ne veux même pas repenser... Alors je tire sur des morts... C'est moins amusant... Mais plus sûr que de risquer l'esclavage ... "

Elle baissait la tête marmonnant quelques mots à peine audibles. Sans doute un souvenir douloureux. Il avait l'habitude de voir les gens se morfondre et se priver de liberté de peur de vivre une situation insoutenable. C'était logique, chaque êtres vivant possède sa crainte, une crainte fondée sur les conséquences des actes; sur ce point, rares faisaient exceptions. Chacun à peur de faire une chose car chacun sait qu'il devra en payer le prix; un prix, la plupart du temps, fortement amère. Le fait de tirer sur un humain lui évoquait sans doute un pénible souvenir, marqué dans sa mémoire. La preuve en était qu'elle n'avait pas osée tirer sur lui lorsqu'elle le maintenait en joue avec son colt.

" Je ne dit pas que ta vie a était parfaite. Je dit juste que ... Dans un sens même si tu en à plus souffert ... Tu restes un des leurs ... Différent mais tu restes un semblables... Tu ne vivra pas en esclave ... Et tu resteras .. Libre ... "

Libre? Savait-elle ce qu'elle disait? Bien sûr il est vrai que les droits des néko était entièrement restreint; ce n'était, pour les humains, que des êtres inférieurs et différents de par leurs membres félins et souvent méprisés par leurs maîtres alors que ceux-ci se dévouent corps et âmes à leurs services. Fushigi était assez frustré autant en constatant l'hypocrisie des maîtres que par la naïveté des nékos trop dociles envers leurs cruels maîtres. C'était alors une première pour lui d'avoir en face de lui, une néko qui échappait à la règle...tout comme lui.

"Libre certes...mais à quel prix? Les humains cherchent sans cesse de nouvelles règles pour s'attirer plus de bénefs sans avoir à se bruler les doigts; laissant les autres, différents à la doctrine, piétinés, écrabouillé par les gens hauts-placés. Donc des cas comme le tien, il en existe des centaines; comme le miens aussi d'ailleurs et cela laisse plusieurs vivants dans la détresse, néko comme humains..."

Il prit une cigarette et l'alluma.

"Libre à toi de ne pas me croire... maintenant si tu veux une solution pour changer et ne plus avoir peur...écoute juste fermement tes désirs, accomplis les sans aucune gène et à ton mérite. Ne laisse aucune peur ni aucun être se dressait en travers de ta route... c'est toujours ce que je me suis dit tout au long de ma vie."

Je l'écoutais me parler, je n'avais pas réellement voulu l'entendre en premier lieux. Mais je du m'avouais à moi même qu'il avais entièrement raison des gens comme moi il en exister des Paquets ... Et je ne devais pas en faire de montagne et m'estimer heureuse de vivre. Je fût tout de même bien attentive à ces dernières phrases ... " Écoute justement fermement tes désirs" . Si je devais les écouter je serais dans ses bras à l'heure qu'il est en train de lui demande tout et n'importe quoi pour le faire rester près de moi ... Malheureusement il sembla que je ne puisse pas le faire ...

" Si je pouvais réellement faire ce que je veux .... "

Je fais ce que je veux ... Cher moi . En dehors je me plis au règles de la vie sociale de notre belle et sinistre société. Je n'avais pas le choix j'étais déjà passible d'esclavage à tout moment si je tuais qui que sois j'agraverais mon cas plus que je ne l'améliorerais ... Je ne pouvais en aucun moment faire ce que je voulais. Alors je me contentais des reste des autres ...

" Je fais du Tir au pigeon c'est déjà ça ... "

Je rigolais... Le tir au pigeon c'était devenue un passe temps en plus de mes pirouettes habituelles. Je ne pouvais pas m'empêcher de tuer un oiseaux et de le disséquer a chaque fois que j'en croisais un sur ma route. En tout cas j'étais sur d'une chose .. Si je voulais commençais à être libre je devais Tenter le tout ... Pour le tout ...

" Au final on est jamais libre de faire ce qu'on veux tu sais ... Fu... Fushigi . On ne peut pas aimer qui on veut ni manger ce qu'on veux ... On se plis au règles et on se la boucle tel est la Société actuelle ... Si je pouvais me défaire de cette prison je le ferais ... Néanmoins ... Sans maître je n'irais pas loin ... "

Il est vrai que si j'avais pu bénéficier de la protection d'un humain je ne risquais rien ... Hors je tenais trop à ma liberté pour le faire ... Même si pour une fois mon interlocuteur m'aurais était un maître parfais sans égale.

Fushigi continuait de tirer sur sa clope, tout en écoutant Mizuki qui semblait être d'accord avec ces idée de la société. Cette société morne et à sens unique où tout une population est contrainte de suivre aveuglément les ordres des "gros blancs", comme Fushigi les appelait. Certes il en était un, mais il refusait de voir tout ces humains qui ne valaient pas mieux que leurs serviteurs félin.

" Si je pouvais réellement faire ce que je veux .... "

Elle ne continuait pas plus loin et enchainait sur le tir au pigeon; mais ça il s'en foutait royalement, elle n'avait qu'a s'acharner sur les piaf si sa lui chante. Non, il s'intéressait plus à cette interruption, lors de sa première phrase, comme si elle allait lui avouer un de ces plus fervent désirs et que celui-ci concerne Fushigi. Elle semblait l'avoir interrompu croyant que Fushigi le prendrait mal. Il n'était pas dupe pour voir que la Néko lui cachait quelque chose.

" Au final on est jamais libre de faire ce qu'on veux tu sais ... Fu... Fushigi . On ne peut pas aimer qui on veut ni manger ce qu'on veux ... On se plis au règles et on se la boucle tel est la Société actuelle ... Si je pouvais me défaire de cette prison je le ferais ... Néanmoins ... Sans maître je n'irais pas loin ... "

Il soupira alors, un nuage de fumée s'échappant de sa bouche. Il tira une nouvelle fois et fixa Mizuki avec un fin sourire. C'était bien la première fois qu'elle prononce son nom. Il n'avait jamais espéré un jour réentendre son prénom, surtout de la bouche de cette néko. C'était toujours "Maître" ou "Sir Kurai" de peur de le frustrer et de se prendre une balle en pleine tête. Pourtant, il trouvait cela assez mignon de la part de Mizuki.
Il ricana alors pour lui-même.

"Tu évites d'être soumise à l'autorité d'un maître et tu te plein de ne pas en avoir?...C'est un peu compliqué ton truc mais bon la seule solution si tu tiens réellement à ta liberté et à te faire protéger par quelqu'un..."

Il s'approcha plus de Mizuki et posa sa main sur sa joue.

"...ce serait tout simplement de t'enchainer à un humain."

Je le regardais ... Il fumais comme un pompier, mais l'odeur ne me dérangeais pas vraiment. Tout en me rappelant de mes paroles je remarqua mon changement soudain de sujet je ne voulais pas lui dire ce que je désirais au moment ou il me parler.

"Tu évites d'être soumise à l'autorité d'un maître et tu te plein de ne
pas en avoir?...C'est un peu compliqué ton truc mais bon la seule
solution si tu tiens réellement à ta liberté et à te faire protéger par
quelqu'un..."

Il n'avais pas tord j'avais une grande soif de liberté et je raller comme une enfant qu'il m'étais impossible de vivre sans eux, mais ils étaient la seule protection dont pouvais bénéficiez un Neko. Aucun des miens ne me protégerais au péril de sa vie, bien que je savais qu'un humain ne serait pas mieux. Mais l'espoir fais vivre après tout. Il se rapprocha de moi pour terminais sa phrase. Il venais de poser sa propre main sur ma joue, en temps normal je l'aurais gifler sans même réfléchir, pourtant je me laissais faire comme si je n'avais attendue que ça depuis le début, il coupa pourtant ma bonne humeur intérieure ...


"...ce serait tout simplement de t'enchainer à un humain."

M'enchaîner à un humain ... Pas une nouvelle fois ... Je ne le supporterais sûrement pas, d'ailleurs je suis très claire la dessus, j'ai trop souffert de la connerie humaine, hors de question de me rattachais à un humain, même si je me serais bien enchaîner à ce mystérieux Fushigi ...

" Et puis ... Si je devais m'attacher à un humain ... Se serais sans hésiter ... "

Je me coupa nette pourquoi je pensais à haute voix ?!?! Il en fut de peu pour que je lui dise le fond de ma pensée, je souffla un coup pour reprendre mes esprit. Je revins à penser à une phrase plus lointaine sur mes désirs, il m'avais touchais le premier ... Je n'avais plus aucun soucis d'en faire de même. D'un geste simple je saisis sa main qui étais poster sur ma joue et me colla à son haut, j'étais maintenant coller à lui... A un humain certes, mais je me sentais tellement bien ... J'étais comme protéger alors que j'étais coller contre une plaque de marbre tueuse ...

" C'est toi qui m'a dit de suivre mes désirs ... Désolé ... "

J'étais heureuse et je sourirais même si je savais que ça aura sûrement coûter ma vie se que je venais de faire , j'espérais simplement qu'il me tuerais lentement ... De toute façon mourir de cette façon semblait être une fin des plus enviable non ?

" Il faut bien commencer un jour ... Non ? "

Je me blottissais un peu plus à lui.

" Quitte à m'enchaîner ... Sois celui qui me resserra les menottes ... Que je sache que je ne me confie pas au premier venu ... "

Je lui offrais ma semi-liberté tout en restant la plus libre qu'il soit, j'avais envie de vivre avec quelqu'un avec qui le feeling était tout de suite passé , peut importe son appartenant aux humains et d'ailleurs et pour ma part celui si ... Il n'avais pas l'air d'être l'un des plus heureux à appartenir à cette "race".

Mizuki recommença à parler mais s'interrompait, manquant de peu de dévoiler ces sentiments à Fushigi une nouvelle fois. Là Fushigi en était sûr, Mizuki semblait s'éprendre de lui et cela semblait réciproque vus qu'il lui avait posé la main sur sa joue. A vrai dire, lui-même ne pouvait expliquer ce geste. Généralement lorsqu'il posait la main sur quelqu'un c'était pour frapper celui-ci ou donner une caresse affective à ces serviteurs en récompense de leur bon travail. Là, Mizuki n'avait rien de ces cas. Qui sait peut-être était-ce un des nombreux caprices de l'humain...
Sans qu'il n'eut le temps de réagir, Mizuki saisit sa main et posa sa tête contre son haut; se blottissant peu à peu contre lui. Sur le coup, Fushigi même en perdit son sourire, surpris par ce geste de la néko.

" C'est toi qui m'a dit de suivre mes désirs ... Désolé ... "

Fushigi venait de comprendre finalement ce qui lui arrivait. Lui et Mizuki, avait vécu à peu près la même chose. Ils étaient tout deux rejeté de la société actuelle; elle parce que c'est une néko, lui car c'est un homme qui fait peur. Comme il l'avait dit plus tôt, il existait beaucoup de similitude entre néko et humain; et il en était, avec Mizuki, un des nombreux exemples. Même si se n'était pas à la perfection, elle pouvait, mieux que quiconque, savoir ce que Fushigi éprouvait vu qu'il vivait seul et elle aussi. Elle pouvait le lire, et même, chose qui l'avait énormément touché, qu'il cachait derrière son sourire, qu'elle fut la seule à prendre la peine de le comprendre.
Il l'écoutait d'une oreille distraite, et reprenait peu à peu un sourire...un sourire de bonheur, sourire qu'il n'avait plus sorti depuis longtemps. Il entourait alors Mizuki de ces bras et la serra contre lui. Il fit glisser une de ces mains jusqu'à sa poitrine, touchant le coeur. Il battait normalement, si ce n'était que la gêne qu'il frôle un de ces seins, ces battements restaient régulier et non-saccadés; elle n'avait pas peur contrairement aux autres.

"Connaitra-tu alors...celui qui te serreras les menottes?"

Il dit à voix basse: "...ou te les ôtera?"

Je ne le regardais plus vraiment ma tête restais coller à sa veste comme un aiment. Je finis par relever ma tête, mon interlocuteur ... Souriais , mais de manière plus douce que les fois précédente. D'un geste sûre et décidé je fis glisser un doigt sur les courbes peu régulière du sourire de Fushigi. Il semblais que se sourire était assez maladroit et peu souvent tenus vu la manière dont se positionnais ses lèvres. Je le regarda en gardant un visage serin. Je ne compris pas réellement les gestes qu'il fit ensuite, d'un geste assez rapide il m'entoura de ses bras et me serra contre lui, j'étais ... Heureuse réellement heureuse, puis il posa une de ses mains sur ma poitrine, à l'endroit du coeur. Voulait-il savoir si il était réellement là ? Ou voulait-il voir si j'avais le coeur qui battais, aussi vite, qu'une bell transperce le corps d'une victime passable ? De toute façon mon coeur il battais le plus normalement qui soit, j'étais heureuse pourquoi prendrais-je peur ... ?

"Connaitra-tu alors...celui qui te serreras les menottes?"

Sincerment je n'aurais pas su lui répondre ... Mais j'entendis ensuite la fin de la phrase, à peine audible.

"...ou te les ôtera?"

Comment pouvait-on se debarrasser de menottes, on vivant sous la tutel d'un humain ? Je n'arrivais pas réellement à comprendre cette phrase, même si je devais avoir l'air d'une inculte je préfèrais lui demander.

" Un humain n'est-il pas censé ... Les resserrais fermement ... ? "

De tout les maîtres avec qui j'avais était un petit moment, aucun ne m'avais laisser de vrai liberté ... Je devais les servir continuellement sans relâche, alors je n'avais jamais vu d'exceptions à la règle ...

" Existe-t-il des exceptions à la règle ? "

Je le regardais, puis je passa mes deux bras derrière sa nuque, par chance j'étais assez grande pour atteindre son visage, je le regardais avec tendresse, mais , j'étais gêner par ces lunette orangées qui m'empêchait de voir ses yeux ... J'approchas ma main près de la monture des lunettes, je n'aimais pas avoir l'impression d'être dévisageais sans que je m'en rende compte .

" Je peut ? ... "

Je n'attendit pas réellement sa réponse et enleva les lunettes orangées de mon interlocuteur, je fut surprise de voir , qu'il cachait des yeux magnifique sous une paire de lunette au couleur peu commune. J'avouais que mes yeux vert olive à côté n'étais pas si exceptionnel face à la couleur des siens, cette couleur entre le rouge et l'orangée donnais une impression de flamme incandescente ... C'était magnifique... Je ne pu m'empêcher de rapprocher mon visage et de coller mon front au sien pour regarder de plus près les deux perles de feu qui lui servait de pupilles, en espérant me brûler dedans ...

Fushigi sentait un des doigts de Mizuki parcourir son visage pâle et quelque peu rugueux, semblant vouloir découvrir "l'identité" de Fushigi. Elle voulait desceller ce sourire assez rare de la part de Fushigi. En effet, ce sourire de bonheur et de sérénité n'était plus apparut au coin de ces lèvres depuis ces 6 ans. Il était en ce temps gardé par une des nombreuses servantes de la famille Kurai. Celle-ci s'occupait de lui avec une extrême gentillesse, sans prendre compte qu'il lui était hiérarchiquement supérieur. Fushigi l'aimait comme une tata ou une mère de remplacement. Apprenant cet affection que lui accordait cette gouvernante en leur absence; le père de Fushigi n'hésita pas à la renvoyer estimant que l'amour qu'elle lui donnait le gâterait trop et le rendrais faible. Depuis ce jour il fut amère, et n'entendit plus jamais parler d'elle. Il ne gardait alors qu'un sourire sadique et satisfait depuis la mort de son clan entier. Il restait certes amère mais prenait plaisir à éliminer les gens, à les voir souffrir autant que lui à souffert petit.
Tout ces mauvais souvenirs, ces pensées amères de la société, ces douleurs , ces plaies et ces souffrances, tout semblait disparaître peu à peu...lorsque Mizuki se collait à lui.

" Existe-t-il des exceptions à la règle ? "

Il sourit amusé; la réponse lui paraissait évidente vu qu'il était toujours vu différemment et que Mizuki le savait désormais. Il ne voyait pas vraiment pourquoi poser la question mais bon si elle voulais confirmation.

"Bien évidement... Sinon tu ne serais pas la en train de me parler."

Elle ne tarda pas à passer ces bras derrière sa nuque voulant le contempler de près. Elle retira alors ces lunettes pour voir ses yeux assez particuliers. Il ne les montraient jamais en publique et gardait ,de jour comme de nuit, ces lunettes sur le bout de son nez.
En temps normal, il aurait déjà troué la personne qui ne toucherait ne serait-ce qu'un de ces verres sans son autorisation. Là, il laissait la néko faire, ne sachant trop pourquoi il réagissait ainsi. Une fois ces lunettes enlevées, elle plongeait son regard olive dans le sien. Elle semblait passionnée par les yeux de l'humain même si le rouge n'était pas une couleur courante pour la pupille. Elle posa alors son front contre le sien, ne lâchant pas du regard ces yeux rouges. Le coeur de Fushigi se mettait alors à battre de plus en plus rapidement. Chaque battement lui était insupportable mais il ne le montrait pas et se contentait de faire disparaitre son sourire. Il n'arrivait plus à prononcer ne serait-ce qu'un mot pour lui dire ce qu'il ressentait; la parole ne lui suffisait pas. Au fur et à mesure que ces battements amplifiaient, il approchait ses lèvres de celles de Mizuki, lentement mais surement, jusqu'à poser ces lèvres contre les siennes.

[ Désolé du retard j'ai pas pu trouver de PC °° ]

Je continuais de plonger mon regard dans le sien, ces yeux semblables à des flammes ardantes ou j'avais laissais mes yeux verts olives se plongeait dedans.J'étais si proche de lui que je pouvais sentir son coeur battre de plus en plus vite, pourquoi ? Lui avais-je fais peur ? Ou était-ce une preuve qu'il éprouvais les même sentiment que moi ? Le silence qu'il laissa place deveint très peusant ... Je commenca à croire qu'il allais me tuer après avoir profiter de ma poitrine assez bien proportionné. Il n'en fut pas le cas en tout cas, plus ses bâtements devenais puissants plus il raprocha ses lèvres des miennes... Qu'allait-il faire ? Me souffler dessus pour que je me brise comme une feuille ? Ou ce que j'avais espérait. Quelques instants après il posa ses lèvres sur les miennes mon coeur commença à avoir un rythme assez saccader, j'étais littérallement étonné que se soit lui qui m'ai embrassé le premier. Il resta silencieux, je devais dire quelque chose quelque chose et , vite !

" ... Fushigi ... Tu m'as .... "

Punaise, je peut pas faire mieux ? C'était impossible ... Je n'avais rien de mieux je restais tétaniser dans les bras de l'individu que je venais à peine de rencontrer, était-ce ... Juste une pulsions humaine qui l'avais poussé à faire cela ? Je ne sais pas mais je me remis contre lui et repris ses lèvres pour continuer le baiser qu'il avais lui même commencer.

" Etait-ce un désir ? Ou une folie humaine très cher ? "

J'avais poser cette question; parce que je ne voulais pas m'attendrir et baisser ma garde dans les bras d'un humain qui en voulais peut-être pour autre chose que ma propre personne ...

" Sache que ... Non rien ... Fais comme si je n'avais rien dit "

J'avais envie de lui dire que je voulais rester avec lui, et que j'éprouvais des sentiments mais ... Je ne pouvais pas baisser ma garde ainsi ...

Fushigi n'arrivait pas à croire qu'il l'avait embrassé; pourtant le fait était là... et il n'en regrettait rien. Certes avait elle un corps bien foutu, comme toute les autres qu'il s'était faites avant de les tuer, quelque chose l'avait séduit en elle. Dés qu'il avait croisé son regard, il avait senti qu'elle avait connu a peu près les mêmes souffrances que lui, voire pire.
Mizuki ne savait que dire dans un premier temps, elle aussi emporté par ce baiser volé. Oui, on pouvait le dire, il l'avait volé ce baiser sans doute par caprice ou alors commençait-il à changer.

" Etait-ce un désir ? Ou une folie humaine très cher ? "

Il n'eut pas le temps de répondre qu'elle recommençait à parler.

" Sache que ... Non rien ... Fais comme si je n'avais rien dit "

Elle s'apprêtait à nouveau de lui dévoiler ces sentiment. Cela commençait à devenir de plus en plus fréquent. La prochaine fois, peut-être ira t'elle jusqu'à dire qu'elle l'aime. En tout cas pour Fushigi, le message était clair... elle l'aime mais se méfie tout de même, comme toute personnes "sensée" de ce monde. Il était un peu pareil, à toujours cacher sa nature derrière un sourire douteux qui semblait, jusqu'alors, éternel. Personne ne le voyait comme étant une victime au vu de ces traits froids et de ces actes cruels. Mais il ne faisait qu'exprimer amèrement ces désirs déchus. Cependant cela n'expliquait pas le fait de torturer à la mort et de violer avec violence ces victimes mais ça il le comprenait et s'en attribuait une étrange satisfaction.
Il soupira, remit ces lunettes et regarda la néko.

"Bon...ben moi je vais aller boire un coup..."

Il marcha en direction de la sortit mais s'arrêta et se retourna pour regarder Mizuki. Il hésita un moment.

"T'as..envie de boire avec moi?"

Une fois de plus je m'étais couper dans mon élan, heureusement d'ailleurs ! Il se décolla de moi et remit ses lunettes orangées, il allais partir ... Je soupira intérieurement, le plaisir ne fut que d'une très courte durée cette fois encore.

"Bon....ben moi je vais aller boire un coup..."

J'avais eu raison il partais, me laissant en plan dans ce nid de cadavre de carcasse humaine baignant dans leurs sangs . Je baissa les oreilles et regarda le sol sanglant tristement, j'allais devoir rentré seule et déçue, comme d'habitude de toute façon... Je partie chercher un objet que j'avais laissé trainer et resta plantée contre un mur le regard vide. Ce fut cours ... Trop cours ... Je ne le regardais plus... Finit, il partais dans son coin moi dans le mien.

"T'as..envie de boire avec moi?"

Je ne l'écoutais pas ... J'étais pas réellement présente sur ce coup là, j'avais juste envie de repenser au moment passé de ces derniers heures. J'étais venus ici, j'ai vu de mes prunelles olive un massacre sanguinaire, j'étais tomber sous le charme d'un humain tueur, je m'étais lamentablement mise dans ses bras, je m'étais finalement laissé attendrir par cet homme... Je ne sais pas si c'est bon, ou mauvais ... Je finis par redresser ma tête et regardais mon interlocuteur, à première vu il venait de me proposé de le suivre, j'allais devoir accepter ... Ou non ? Je ne sais pas j'avais envie de dire oui, mais l'impression hésitante qu'il donnait ne me plut gère... Mais dans le fond je n'avais aucune envie de rentré seule comme une mendiante alors que je venais d'être heureuse, de plus je ne serais pas sortie de ce lieu avant une bonne heure me connaissant.

" Je veux bien... Merci de me le proposer ... Fushigi... "

Fushigi, c'était le nom de mon interlocuteur, qui sais si en l'oubliant, j'aurais oublier ce qu'il venait de faire... Sûrement pas tout compte fait. Je me rapprocha de la sortie, avec un air vidé de toutes émotions arriver devant lui je sourit faiblement, il avais remit ses petites lunettes qui cachais ses yeux... Je trouvais ça inutile de les gardais quand on avais des yeux aussi rare... Enfin bon... Je sortit un bandeau de couleur rouge sang de mon grand sac à main pour le mettre dans mes cheveux avant de le regardais et de sourire un peu plus joyeusement.

" On y va ? Ou tu préfère rester ici à regardais une porte rouillé en espérant qu'elle s'ouvre ? "

J'avais repris mon air amusé qui ne m'avais pas réellement, dans mes vastes souvenir était des plus réels ... Enfin bon j'ouvrit la porte.

" Sésames ouvre toi... Difficile hein ? Mais ça marche ! "

Je lui pris la main et l'emmena dehors.

" Beuh ... Il fait moche dit donc, je pensais que le soleil reviendrais enfin tans pis. Tu veux aller où Fushigi... ? "

J'aurais peut-être du l'appeler Sama en dehors du bâtilment par respect ou par pur c******e... Je regardais le ciel gris en attendant sa réponse.

[very sorry du retard -.- -> overbooked avec les devoirs]

Fushigi aperçu que la petite tueuse prenait un peu mal le fait qu'il se soit décollé d'elle pour s'en aller picoler; en même temps ça paraissait un peu logique. C'était en partie pour ça qu'il voulut l'inviter à le suivre et pour autre chose dont il ignorait la raison.
Bref, Mizuki avait accepté son invitation même si elle le disait de manière évasive. Cela rassurait un peu le tueur car, pour une fois, il n'allait pas picoler seul et puis personne ne l'attendait à la maison. Il avait laissé à "Miss clochette" une liste de choses à faire après elle était libre de sa journée donc cela lui étonnerais fortement qu'elle l'attende et le sermonne s'il rentre tard; après tout c'était plus un enfant et il n'obéissait qu'à lui-même.
Mizuki le sortait de ces pensées en l'emmenant dehors. C'était un temps gris et lourd comme il en avait l'habitude de voir à Londres, sans le smog cette fois, m'enfin, un temps qu'il aimait fallait dire. Bien sûr c'était pas l'idée de tout le monde:

"Beuh ... Il fait moche dit donc, je pensais que le soleil reviendrais enfin tans pis. Tu veux aller où Fushigi... ? "

La question lui paraissait un peu bête vu qu'il l'avait dit tout à l'heure, mais bon, c'était loin d'arriver à le frustrer. Il se contenta de soupirer et de prendre la main de Mizuki.

"Je crois te l'avoir dit tout à l'heure: je vais boire, donc dans un bar me semble t-il...Il y a un bar en ville, c'est ptet long en marche mais c'est assez rapide en voiture."

Il l'emmena vers sa Aston Martin verte foncée de 1987, et ouvrit la porte passager.

"Après-toi"

Il la fit entrer et ferma la porte. Il entra à son tour dans la voiture et mit le contact. Cette fois-ci le moteur ne faisait pas de caprice et c'était allumé normalement. Il fit vrombir comme à son habitude le moteur pour le réchauffer; c'est qu'il avait près de 100 ans et méritait la plus grande des affection fallait dire (le moteur qu'on se comprenne bien). Il fit ensuite route vers le quartier est où il connaissait un bon pub dont il avait l'habitude d'aller à chaque fin de journée. Certes il était 17h, l'heure de son thé mais cela ne le dérangeais pas des masse pour une fois.

[Faudra que je crée un post au bar...je t'enverrais l'adresse du topic quand je l'aurais crée mais la j'y go pour 2h de DS d'esp... Ciao ]
"Aprè