Sujet: Romantisme ? [Pv: Mizuki][Yuri] Lun 21 Juin - 13:19
Les deux types se rapprochaient de plus en plus, mais Mizuki n’avait pas du tout l’air effrayée, bien au contraire elle s’emblait presque heureuse. Elle m’installa sur son dos et grimpa dans un arbre. Je ne savais pas du tout ce qu’elle a dans l’idée de faire, aussi je garda le silence. La belle sortit une arme à feu comme dans les films, le genre de chose qui sert à tuer des gens, le genre de chose que je ne toucherais jamais. Elle tira sur les deux pistolet à filet que portaient les hommes de la fourrière avant de les assommer en leur sautant dessus. Incroyable tout de même un tel courage et de telles tripes. Je n’aurais jamais pu faire ça, moi. Elle me fit signe de descendre et me guida sur le siège passager d’un des véhicules avant de me lancer, pleine de joie, d’attacher ma ceinture. Le camion dérapa une seconde avant de partir à toute allure sur la route, me collant contre le dossier du siège. On aurait dit qu’on était dans un film, la course-poursuite, les pneus qui couinent. Même si j’avais tout de même bien peur, l’excitation reprenait vite le dessus à chaque virage. Mizuki arrêta sans prévenir le véhicule en plein milieu de la rue et regarda derrière comme pour voir si personne ne nous suivait puis me vola un baisé. Mes pommettes se mirent à rougir furieusement pendant que le camion repartait. Et après quelques minutes de route, nous nous arrêtons à nouveau devant une maison. Mizuki me lança qu’elle allait chercher de quoi dormir et que je n’avais pas le choix. Je souris en silence, il y a peu je passais pour sa maîtresse et à présent j’étais son esclave. Elle revint avec deux matelas et des nécessaires de toilette, calla tout dans le coffre et nous étions repartit pour le lac.
Le véhicule s’arrêta sur la berge, je sortis en silence et resta stupéfait devant la beauté des lieux. Moi qui n’étais quasiment jamais sortit de ma cage en plastique et métal, me voila au milieu des lucioles et des arbres en fleurs. Et avec le coucher de soleil entre les immeubles, cela avait vraiment quelque chose de magique. Je resta un moment stupéfaite, en train de regarder partout, de suivre les insectes fluorescents divaguer dans tous les sens puis mon esprit reprit le dessus et m’ordonna d’aller chercher l’un des deux matelas. Je posa donc le tout dans l’herbe contre celui de Mizuki et je sauta littéralement dedans. Quel bonheur une telle chose, aucunement comparable à du plastique dur et rugueux. J’observa ainsi le ciel s’assombrir progressivement et les étoiles apparaître, avant de me retourner vers la belle neko couchée juste à côté. Elle était encore plus belle ainsi, avec quelques lucioles virevoltant au dessus de sa tête. Mais, et si jamais elle ne voulait pas de moi, si jamais elle ne m’avait libérer que pour avoir bonne conscience. Je lui posa la question timidement :
« Mizu, est-ce que … est-ce que je suis un boulet pour toi ? Est-ce que tout ça, c’est juste parce que tu as eu pitié de moi à l’animalerie ? Dit-moi la vérité s’il te plait … parce que maintenant je n’ai plus nul part où aller et je n’y connais encore pas grand-chose à la ville, je n’ai même jamais conduit un camion. Mon seul espoir de survire, c’est de rester avec toi, alors dit-moi s’il te plait … Suis-je un boulet pour toi ? »
Je voulais une réponse franche, même si elle pourrait faire mal, je préfère toujours ça que le mensonge.
« Mizu, est-ce que … est-ce que je suis un boulet pour toi ? Est-ce que tout ça, c’est juste parce que tu as eu pitié de moi à l’animalerie ? Dit-moi la vérité s’il te plait … parce que maintenant je n’ai plus nul part où aller et je n’y connais encore pas grand-chose à la ville, je n’ai même jamais conduit un camion. Mon seul espoir de survire, c’est de rester avec toi, alors dit-moi s’il te plait … Suis-je un boulet pour toi ? »
Je regardais cette petite chose près de moi, puis je regardais le ciel, pendant quelques instants je me demandais si je devais rire, répondre, voir partir sous le coup de ces tas de questions bien trop nombreuses pour que je ne puisse y répondre, je n'aimais pas ces questions en vrac à peine organisé un temps soit peu ! Doucement je retirais ma pince de mes cheveux pour laisser les petites mèches de devant retomber alors que les longueurs de derrière laissais ce refléter les jolies lueurs du début de soirée. Puis dans un râlement étouffé je me redressais pour m'enrouler sur moi même, puis doucement tout doucement je levais les oreilles et parlais d'une voix douce.
« Tu poses trop de questions Milly … Si tu était un boulet je t'aurais laissé là bas ... », dis- je alors que je me laissais maintenant glisser sur le matelas, Je riais à pleine joie avant de me mettre sur le ventre, les mains étant mon repose tête unique. Je me demandais comment aller bien pouvoir ce dérouler cette soirée, bien que je n'ai ps grand chose à faire en général, j'ai tendance à vite me lasser de ce que je fais … Puisque dans tout les cas, je ne reste jamais à la même lace plus de deux heures .
Je posais ma tête sur le côté regardant la jeune fille aux oreilles félines, je soupirais de devoir la laisser sur ce matelas, bien qu'il soit près du mien je n'aimais pas la savoir « loin » de mon emprise, on ne sait jamais, elle se casserais une griffe dans un brin de petites herbes si je la laissais faire comme bon lui semblait ! Je m'approchais doucement de son matelas avant de me mettre dessus et de poser mon visage au dessus du sien, venant lui voler un baiser je me posais près d'elle, ma queue passant sur son ventre doucement, très délicatement, pour ne pas l'effrayer. Les seuls souvenirs de la cage qui me revenais était un doux martinet sur le ventre qui passais délicatement une première fois, et qui vous fouettais à sang la fois suivante ! C'est bien pour ça que j'étais partie en cavale et que depuis je ne revenais plus dans cette atroce endroit, un entrepôt à Gigolo … C'est tout ce que je voulais retenir ! A moins que je trouve quelque chose de plus palpitant .
Je continuais doucement mes caresses avant de fermer les yeux .
J’attendis la réponse de Mizuki en silence. Elle prit son temps, on aurait dit que je l’ennuyais profondément. Mais sa réponse me rassura incroyablement.
« Tu poses trop de questions Milly … Si tu était un boulet je t'aurais laissé là bas ... »
Je souris sans que le moindre mot sort de ma bouche. Je n’étais donc pas un boulet pour elle et elle ne m’avait pas prit sous son aile juste parce qu’elle avait eu pitié. Une joie immense m’envahit, je voulais la serrer contre moi, lui montrer ma gratitude. Mais rien que rester avec elle me rendait heureuse. Comme un sentiment de dépendance et qu’il n’y a pas de remède. Je la regarda se coucher sur son matelas puis se tourner vers moi. Je ne bougea pas plus quand elle se rapprocha de moi et s’installa sur mon corps. Les mots ne voulaient pas sortir, je ne pouvais que sourire jusqu’à ce qu’elle m’embrasse avant de se recoucher à mes côtés. C’est fait, je suis à présent totalement dépendante d’elle, je suis accro à ces lèvres, accro à sa queue qui se glisse sous mes vêtements pour me caresser doucement, accro à ces cheveux doux et à ces oreilles chaudes, autant qu’à son corps.
Je passa mon bras autour d’elle, comme pour la garder contre moi-même si elle n’est pas à plus de trois centimètres. Mes lèvres glissèrent jusqu’aux siennes, déposant un long baisé, doux, chaud et délicieux au possible. Ma main droite passa l’une de mes mèches derrière mon oreille droite avant de descendre le long de l’épaule de Mizuki puis lui ouvrir très lentement son haut. J’ignore si elle est d’accord mais moi j’en avais envie, même si c’était ma première fois, mon instinct venait de prendre le dessus sur mon corps. Mes lèvres glissèrent jusque dans son cou, alors que je m’installais sur elle. Ma queue s’enroula autour de la sienne, je ne lui laissa aucun échappatoire, j’étais totalement dans un état second. Ma conscience s’était endormit, mon esprit de félin reprenait le dessus. Je laissa un petit suçon sur la douce peau de son cou avant de caresser ces cuisses chaudes du bout des doigts. Je remonta lentement son bas sur ces hanches. Je redressa la tête vers la belle en souriant, les pommettes en feu :
« Mizu, je … je t’aime … je te veux pour moi … j’ai envie de toi. »
Je rougis comme pas possible en finissant ma phrase. Je pouvais sentir son odeur sur mon corps, sentir sa chaleur dans mes vêtements, sentir sa douceur sur ma peau. Je désirais la féline comme je n’avais jamais désirée quoi que ce soit ni qui que ce soit. Mais était-ce uniquement moi, ou cette délicieuse demoiselle ressentait la même chose. Je l’ignore totalement, et c’est en partie pour cela que je garda le silence.
« Mizu, je … je t’aime … je te veux pour moi … j’ai envie de toi. »
Je tentais tans bien que mal de ne pas rougir, on ne me l'avais pas souvent faite celle là, voir jamais de la part d'une fille, c'était une grande première je devais avouer, je l'avais faite une ou deux fois, mais entendre une jeune fille tenir ce genre de propos à mon égard me fis horriblement rougir, même si pour ma part je n'avais pas envie d'avoir l'air impuissante face à la nouvelle belle de la rue. Je redressais doucement mes oreilles alors que je l'avais sentie relever mon bas, pour le haut je n'avais pas grand chose à craindre, une bande de tissus resserrais ma poitrine pour ne pas qu'on puisse en voir les formes un peu trop généreuses, donc dans un sens ou dans un autre, elle ne pouvais rien voir de cette partie de mon petit être.
Je souriais doucement avant de fermais les yeux avant de remuais les oreilles, le jeune fille à califourchon sur mon bassin m'empêcher de bouger, soit, mais je n'avais pas l'impossibilité d'agir comme bon me semble, doucement je re-ouvrais les yeux avant de passer mes mains sur les hanches de la jeune Milly, alors qu'elle les caressait doucement , ma queue , elle, tentais de se glisser dans son dos, avec peine, mais elle finissais toujours par y arriver. Alors que le bou de mes doigts relevais son haut, ma queue passais sur son arrière train.
Mes mains lachais ses hanches, je les laissais montais sur le ventre de la petite féline, pour les remonter près de ses seins, je ne savais pas dans quel état je me mettais si vite, je ronronnais, alors que ma queue, enlevais rapidement rapidement le haut de la belle féline. Je rougissais rapidement en voyant le superbe corps de cette petite semblable à moi même. Mes oreilles se baissèrent alors que je me redressais vivement pour embrasser avec amour la jeune féline. Mes mains caressant avec envie la poitrine et tout le reste du corps de la jeune fille.
Je n'avais jamais réussit à être aussi tendre avec une jeune fille, il est vrai que je n'en avais jamais vu d'aussi belle, de si près. Je serais rapidement son corps au miens, alors que mon haut se baisser sous l'effet de chacun de mes mouvements, laissant la fines bande de tissus serrés cacher tout ce qui pouvais faire physiquement de moi une jeune femme, un temps soit peu belle, et désirable.
Mizuki sourit à ma phrase en rougissant et fit glisser ces mains le long de mes hanches. Sa petite queue se glissa dans mon dos, provoquant un léger frisson le long de mon échine, puis redescendit sur mes fesses pendant que ces douces mains remontaient mon haut. Pour sûr, elle était tout à fait d’accord avec mes sentiments, et cela me rendit tellement heureuse que je ne trouvai pas les mots pour le lui faire comprendre. Mais c’était très certainement visible sur mon visage. Les mains de la féline remontèrent ensuite sur ma poitrine et en un tour de main, et de queue, je me retrouva avec seulement ma culotte blanche.
Mizuki venait de me retirer ce qui me servait de robe à l’animalerie et puisque je ne portais pas de soutif, plus rien ne cachait mon corps à ces yeux vert noisette. Et ce n’est pas plus mal. Je la sentais ronronner sous moi, ce que je fis quelques secondes après elle. C’est plutôt rare, même la première fois pour moi, puisqu’à l’animalerie ce sont plutôt des pleures. La belle sourit avant de me embrasser amoureusement. Pendant que ces petits doigts fins remuaient sur ma poitrine dénudée. Nos corps étaient complément collés l’un contre l’autre, je pouvais sentir la chaleur de Mizuki traverser mon épiderme, et ce qui servait à dissimuler les seins de la féline ne mit pas longtemps à disparaître, si bien que sans trop le vouloir, mes coudes la mirent torse nue. Je pouvais à présent sentir mes tétons glisser, se frotter contre les siens pendant que mes lèvres ne lâchaient pas les siennes.
Je la veux toute entière pour moi et rien que pour moi, la dévorer toute crue. Seulement même si je la désirais, je ne sais absolument pas comment faire, habituellement c’est le vendeur de l’animalerie qui fait tout, qui joue au rentre-dedans avec mon bassin et qui se vide en moi. Alors ici, je devais improviser. Et ça, j’ignore totalement si elle va aimer. Mais autant essayer, mes lèvres quittèrent celles de la belle lentement et glissèrent sans se décoller de sa douce peau jusqu’à sa poitrine, qui par ailleurs est plus grosse que la mienne. Je pris délicatement en main chacun de ces seins et commença à donner des coups de langue humide sur chaque téton, les faisant se durcirent et grossir légèrement. Je pouvais sentir la respiration de la féline s’accélérer légèrement, mais je ne sais pas du tout si elle aime ça, et par peur je n’osai même pas relever la tête vers elle.
Si jamais ça ne lui plaisait pas, comment est-ce que ça allait se passer entre nous après. Un paquet de question déboula entre mes neurones, questions que je supprimai d’un rapide mouvement de tête, ce n’est pas le moment d’avoir des hésitations. Et encore moins dans la position où je me trouve, entre ces jambes, la tête sur sa poitrine et la queue caressant ces cuisses. Ma langue roulait sur ces tétons roses, dur et moelleux à la fois, véritablement délicieux. Ma main droite lâcha cette merveilleuse zone de son corps pour descendre jusqu’à une autre encore plus désirable, son intimité. Ainsi mes doigts glissèrent sur sa culotte en effectuant quelques petites pressions sur cette partie sensible.
Je regardais la féline, douce et si fragile à la fois. Sa main s'avancer près du délice alors que je me retrouvais dans une posture de faiblesse. Bien que très agréable en soit. Je devais trouver un moyen, simple mais efficace de me remettre en avant pour pouvoir garder le contrôle de la manœuvre, pourtant je laissais ma main guider la sienne dans cette endroit que je ne laisse pas toucher au premier venus. Guettant la moindre de ces réactions, je me décidais à la laisser passer sous le tissus fin qui séparer pour l'instant sa main de mon entre-jambe. Peu à peu mes paupières se mirent à tomber au fur et à mesure que la douce main s'avancer du fruit défendu.
Je me redressais un petit peu pour venir lui voler un baiser, la douceur de ces lèvres ne faisant qu'augmenter le désir charnel qui s'écouler en moi comme l'eau fraîche ruisselant sur une cascade de marbre. Je re-ouvrait petit à petit les yeux, je contemplais la beauté de son corps, de ce qu'elle était tout entière, le fruit du mal, celle qui me donnais l'envie de laisser tomber tout le reste à l'instant ou elle venais se coller contre moi. Je n'avais jamais ressentis de tel sentiments pour une neko.
Nos deux mains scellées sous le tissus fin et doux continuais leurs avançais alors que je laissais le plaisir m'envahir petit à petit, à petit feu je quittais mon corps de damnée pour succomber au délice. Mes cuisses de déplacèrent d'elle même alors que j'appuyais cette divine main sur le clitoris qui n'allais pas tarder à gonfler de tout son être.
Un ronronnement sourd résonnais dans le calme de ce lac au lucioles paisible, ceux de Milly accompagnant les miens, nos deux corps enlacé sur ces lit d'infortunes. Je n'aurais pas réellement qualifié cela de magique... Ni de féerique, mais pourtant j'étais agréablement bien ou j'étais, pour rien au monde je ne serais allé vagabonder ici ou là-bas. Je baissais les oreilles alors que je me décidais à ouvrir la bouche pour parler cette fois-ci. Bien que si je n'avais pas eu envie de bavasser j'aurais volé les lèvres de la belle.
« Tu veux guider? », je voulais voir de moi-même de quoi cette petite minette pouvais être capable dans le grand monde pervers du sexe, bien qu'il ne s'agisse pas d'une baise à proprement dit, elle devais bien savoir faire quelques petits trucs, même si je n'étais pas équipé d'un pénis … Tans pis je devrais m'y faire. Je lui apprendrais... Dès que j'aurais eu droit à cette petite satisfaction, de la frêle et pur Milly... Celle qui tentais de voler mon cœur.
Je laissai rouler ma langue lentement sur chacun de ces seins sans relever les yeux vers elle. J’avais bien trop peur de sa réaction si jamais elle refusait. Et pourtant je sentis l’une de ces mains se posé sur la mienne pendant que mes doigts caressaient lentement le tissu qui protège son intimité. Je sentis mon estomac se serrer quand le tissu disparut progressivement et laissa mes doigts au contact de sa douce peau de neko. Mes pommettes virèrent au rouge vif alors que la main de la miss guidait la mienne toujours plus proche de son intimité. Elle se redressa lentement alors que je ne me contrôlais plus totalement et me vola un baiser. Un baiser qui me rendit une partie du souffle qui me manquait pour continuer. Un baiser doux et sensuel qui réchauffa encore un peu mon petit cœur encore endormi et perdu.
Nos deux mains, l’une sur l’autre, sous le tissu qui dissimulait d’ordinaire son intimité. Cela me fit rougir un peu plus à chaque millimètre parcouru vers ce l’un des lieux les plus protégés de l’anatomie féminine. Je fermai les yeux en me collant contre elle, écoutant son cœur frapper contre sa poitrine douce et chaude, comme une enfant dans les bras de sa mère. Je me sentais vraiment bien avec elle, en sécurité, et surtout heureuse. J’entre ouvris tout de même les yeux lorsque je sentis du bout des doigts le petit bout de chair que je possède aussi et que le vendeur de l’animalerie s’amusait tant à tripoter. Ce petit morceau qui donne tant de plaisir au moindre contact. Les magasines appellent ça le clitoris, il ouvre les portes du plaisir et favorise les relations. Seulement là, elle n’osait plus bouger, que faire. Comment faire et aussi comment savoir si la demoiselle en a envie ou non. Je commençai à me poser une tonne de question et la main de la belle me donna la réponse en guidant sur mes doigts.
Elle me demanda si je voulais guider, une question qui me fit rougir de plus belle. Je ne voulais pas me défiler, lui montrer que je suis capable de lui faire plaisir, que j’ai assez de tripes pour lui montrer que je ne suis pas un boulet inutile mais j’ignore totalement comment m’y prendre. Elle aurait été un homme, cela aurait été plus facile, avec toutes les heures de douleurs passées en compagnie du vendeur de l’animalerie. Mais elle, c’est une femme, une douce, belle et délicieuse femme. Je lui répondis tout de même en tentant d’être le plus clair possible malgré mon estomac serré comme jamais, les yeux dans les siens et les oreilles baissés :
« Je voudrais guider, s’il te plait. Du moins au début … »
Voila, c’est dit. Je ne peux plus revenir en arrière à présent. Comment font les femmes humaines lors de leurs relations sexuelles entre elles. Je n’en ai aucune idée mais il faut faire quelque chose. Je recouru alors à ce qui me servit tant de fois dans le passé, l’improvisation. Visiblement la belle demoiselle est consentante donc je peux essayer sans risquer de lui déplaire. Je souffla un coup et lui vola un nouveau baisé langoureux avant de descendre lentement le long de son ventre. Respirant chaque millimètre de sa peau, je déposai un petit bisou sur son nombril avant de descendre entre ces jambes. Son intimité se trouvait à présent à quelques centimètres de mes lèvres et je pouvais sentir avec délice l’odeur que la belle dégageait au plus profond d’elle-même.
Je glissa deux doigts les long des lèvres chaudes et douces en me rapprochant doucement. Je tourna les yeux un moment vers elle, comme pour lui demander son avis et déposa un bisou langoureux sur son clitoris en fermant les yeux lentement. Je sentis pour mon plus grand plaisir sa chaleur et l’humidité de son intimité sur mes lèvres et je souris. A ce moment-là, je ne pensai plus à rien, même si je m’y prenais mal, même si ce n’était du tout ainsi qu’il faut faire, je n’ai aucune envie de changer de position. Mes mains glissèrent le long de ces cuisses et descendirent caresser son entrée divine du bout des doigts pendant que ma langue sortit de ma bouche rencontrer le clitoris de plus en plus gros et chaud de la belle, les yeux clos.
Ma queue se mit à faire des aller retour sur le matelas au rythme de mes ronronnements et de mes léchouilles. J’ai envie d’elle, elle me donne faim cette demoiselle, et son intimité est si affreusement délicieuse que je ne peux pas m’en détacher. Une attirance inexplicable pour Mizuki et pour qui je donnerais tout.
« Je voudrais guider, s’il te plait. Du moins au début … »
Après tout si c'était ce qu'elle souhaitait, pourquoi ne pas la laisser faire, c'est en pratiquant qu'on apprend, non? Je la regardais descendre le long de mon ventre, laissant ses lèvres rencontrer mon nombril, cet endroit dont j'avais eu le moins de marque plausible dans ma vie. Continuant sa descente elle s'avança vers mon intimité, sur l'instant je réfléchissait à écarter les cuisses où à les refermer avec plus de rapidité qu'il n'en fallait pour dire oups ! Finissant par me dire que je n'avais pas le droit de la décevoir je me laisser attendrir par les gestes maladroit de la jeune fille.
C'est ainsi qu'un baiser se posa sur mon clitoris, encore assez éteins si l'ont peut dire. Ce n'était qu'après les instants ou ces doigts étaient venus rencontrer mes lèvres, la sensation avais, je l'avoue étais des plus exquise, bien que je n'avais pas réellement était habitué à la douceur d'une main de femme sur mon entre-cuisses. Une langue, douce à la sensation de soie vint titiller mon clitoris, ce dernier se mit à gonfler alors que mon intimité, sèche jusqu'à présent gouta au délice et devint assez rapidement humide. La preuve en était là, même si elle n'étais qu'une novice elle avais réussit à faire monter cette excitation en moi.
Mes mains se posèrent à présent sur le matelas alors que mes oreilles s'abaissaient vers l'arrière de mon crâne, des ronronnements de plaisirs sourds prirent place pour accompagner les siens cassant petit à petit le silence plat qu'offrait le lac à cet instant précis. Quelques libellules vinrent éclairer un petit peu plus notre désir charnel alors que la lune nous laisser la frénésie du désir qu'il soit d'ordre sexuel ou purement sentimental. Mes doigts vinrent se mettre dans la délicieuse chevelure de la novice alors qu'elle s'atteler à la tâche. J'espérais pouvoir lui rendre le plaisirs qu'elle m'offrais au plus vite. Car elle l'aurais bien mérité je dois dire.
L'instant me semblais magique, j'étais là complètement esclave des caresse d'une jeune fille que je venais de "sauver" si l'ont peut dire. Ce n'étais pas un remerciement de sa part j'en étais bien consciente mais la lune rendait cet instant magique. Les lucioles qui osait s'approcher de notre étreinte, elles, me laissait croire que j'étais dans un rêve. Pourtant j'étais éveillé.
Des gémissement sortirent de ma bouche alors que j'avais tenté vainement de les retenir tout ce temps. Mon intimité, tellement humide n'attendait plus que les doigts de la belle s'y invite pour augmenter encore plus ce désir d'elle qui montais en moi. Jouant avec une mèche de ses cheveux je m'adonnais à murmurer son prénom tout en soupirant de plaisir. Les yeux clos je lâchais la mèche de cheveux pour laisser mon dos se cambrer légèrement, je devais arrêter la jeune fille. Essayant tans bien que mal de l'arrêter je me décalais pour lui redresser le visage et l'embrasser avec amour, alors que le "jus" de l'excitation couler sur le matelas, j'en été honteuse c'est vrai. Cela ne m'empêchait pas d'embrasser la jeune fille en la serrant dans mes bras.
« Merci Milly. », j'en venais même à la remercier de m'avoir procuré autant de plaisir.
Mais à présent c'étais à mon tour, j'embrassait son cou, doucement, très doucement, descendant entre le fruit délicieux féminin qu'étais la poitrine. Je venais embrasser ces seins avec de lécher ses tétons et de les suçoter avec cet envie de la manger. Je léché le téton gauche de la jeune fille du bou de la langue en glissant ma main sur son entre jambe, était-elle réellement prête ? Je n'en savais rien.
Mais ce qui étais sûre, c'est qu'elle avais fait l'effet d'une drogue en moi. J'avais était enivré par la jeune fille, j'étais dépendante de Milly en tout point. J'étais son jouet, son objet. J'étais là, à tenter de lui faire du bien. Parce que j'avais l'impression de ne plus pouvoir me détacher d'elle.
Mes baisés sur le corps doux et chaud de Mizuki semblait lui faire énormément plaisir. Je pouvais entendre ces ronronnements suivre les miens, sa respiration accélérant au rythme de mes caresses intimes, son cœur qui bat dans sa poitrine et la chaleur que cela procure dans ces veines. En quelques secondes, je connaissais le corps de celle qui m’avait libéré de l’enfer. En quelques secondes, j’aurais voulu lui donner tellement, mais le temps n’est pas modulable. Mes doigts se contentaient de caresser ces lèvres intimes du bout des doigts pendant que ma bouche entrait en contact puis relâchait son clitoris devenu bien chaud et attirant. Ma langue jouait doucement avec son entrée divine mais j’en voulais plus. Rien que sentir le plaisir de la belle couler sur mes doigts m’excitait au plus au point.
Je pouvais sentir mes cuisses s’humidifier, son intimité s’ouvrir progressivement sous ce déluge de plaisir. J’ignorais totalement si ma propre intimité sentait aussi bon, mais celle de Mizuki est vraiment exquise. Chaude, humide et excitante à souhait. Ma langue balaya ces lèvres sexuelles de haut en bas, passant de son vagin à son clitoris pour redescendre à nouveau. Ça rendait la scène encore plus excitante qu’elle ne l’était actuellement. De temps en temps, j’embrassais ces lèvres inférieures, récoltant un peu plus de liquide que son corps me fabriquait. J’adore cela, son jus a quelque chose de doux, d’apaisant, il est si bon que je collai mes lèvres tout au tour de l’entrée de son vagin et introduisit ma langue à l’intérieur. C’est tout chaud, tout doux et tellement appétissant. Je sentais son liquide dans ma bouche, que j’avalai pour mon plus grand plaisir, et certainement pour le sien également. Ma langue roulait en elle, caressant ces parois vaginales encore inexplorées.
C’est incroyable. C’est la première fois que je fais ça et pourtant, j’étais comme transformée. Mon corps agissait comme lui semble, mon instinct guidait chacun de mes mouvements. Et la belle semblait être parfaitement d’accord avec moi, sa main me caressait une mèche de cheveux. Je souris à ce moment-là, ce geste, c’est ce que font souvent les mères à leur fille lorsqu’elle sont heureuse avec leur enfant. Même si, la joie exprimée ici n’était pas du tout à comprendre dans le même sens, cela rajoutait un petit air de supériorité que j’approuve totalement. Quand sans que je comprenne pourquoi, elle se redressa légèrement et attira mes lèvres sur les siennes. Avait-je fais quelque chose de mal ou bien …
« Merci Milly. »
Un étonnement rapidement balayé par une joie immense envahit mon visage. Je pris sa place sur le matelas, suivant ces gestes comme une élève model. Ces douces lèvres se déposèrent dans mon cou puis descendirent entre ma poitrine. Je ne dis rien, je la regardai faire en silence, un sourire plein de joie et d’amour en travers du visage. Elle commença à embrasser mes seins lentement, doucement, sans me faire le moindre mal. Tout le contraire du vendeur de l’animalerie qui les tirait dans tous les sens pour qu’ils grossissent. Ici, je me laissai totalement à elle, mon corps je le lui offrais. Et c’est normal quelque part, puisque je suis sorti de l’animalerie avec elle. C’est un peu comme si elle était ma maîtresse. Ma maîtresse de cœur.
Je sentis l’une de ces mains glisser entre mes cuisses. Ce geste me fit frissonner sans savoir pourquoi. Mes yeux se fermèrent instantanément puis se rouvrirent timidement. Ma propre main s’était refermée sur son poignet sans que je lui ordonne quoi que ce soit. Mon corps ne m’obéissait plus, en quelques heures, j’étais devenu l’esclave de cette belle neko sans même m’en rendre compte. Je relâcha son bras doucement et lui souffla à l’oreille.
« Pardon, tu peux continuer … maîtresse. »
Mes pommettes rougirent furieusement. Et c’est sans parler de mon intimité, toujours prisonnière d’une culotte discount, qui commençait déjà à inonder le tissu blanc. Pour rien au monde je n’aurais voulu qu’elle s’arrête, même si c’était plus à moi de la remercier de m’avoir libérée, je ne pouvais pas imposer quoi que ce soit à ma maîtresse. C’est à elle que mon corps appartient. Mon corps comme mon âme.
Ma main était restée là, sur le fruit défendus, alors que je le caressait doucement, je pouvais me rendre compte qu'elle s'humidifier au fur et à mesure des caresses. La douce humidité ne faisait qu'augmenter mon désir, glissant mes doigts dans la culotte, blanche et légèrement souillé par le jus du plaisirs. Ne tardant pas à lui enlever je restais là, l'embrassant doucement alors que ma main divagué dans l'entre jambes de la jeune fille. Mes doigts ne tardèrent pas à trouver le clitoris de l'hybride, déjà bien gonflé par le désirs charnel qu'elle éprouvait, je l'espère, à cet instant. Le regard amoureux je jouais avec le petit "jouet" qui pouvais procurer autant de plaisirs solitaires que de plaisirs dans un "couple", si je puis dire. Doucement j'embrassais une nouvelle fois les tétons de la neko avant de venir embrasser chaque parcelles de son corps, descendant peu à peu sur le corps de déesse de la demoiselle.
Arrivait sur l'intimité, je posais un baiser alors qu'une fois allongé, Milly m'offrait le plaisirs de pouvoir "admirer" son intimité. Délicatement je venais lécher le clitoris de la jeune fille, le sentant gonfler un peu plus qu'il ne l'étais déjà. Je laisser mon regard se perdre dans l'immensité de la nuit, le ciel, au reflet si merveilleux ne me laisser pratiquement plus voir la belle et douce hybride, alors que le ballet de lucioles tournoyant autour de notre étreinte passionnel me laissais la légère visibilité. Il n'étais pas de cadre plus beau qu'une belle nuit peu fraîche, pour pouvoir exprimer, de façon explicite, la passion et l'amour entre deux êtres.
Je m'abandonner à entendre les quelques gémissements de plaisirs que je pouvais entendre de la jeune fille, mes doigts glissèrent le longs des lèvres chaudes et humide de son intimité, alors qu'une entrée, probablement abimé par les coups trop brusque d'un crétin, s'offrait à moi comme une évidence. Entrant doucement mon majeur à l'intérieur je restais à l'intérieur chercher le dit point G. Sachant à peu prêt ou il pouvais se cacher je ne mis pas longtemps à enfin trouver l'endroit de la jouissance.
Titillant la zone du bou des doigts je guettais chaque faits et gestes de ma nouvelle drogue. Baissant les oreilles je cherchais de nouveau le clitoris avec ma langue en le léchant alors que je continuer d'effectuer des pression du bou du doigts sur le point G. L'intimité de plus en plus humide, je pouvais maintenant me rendre compte que j'arrivais, probablement, à procurer du plaisirs à celle qui m'en avais temps procurer.
Je regarda Mizuki les pommettes si rouge qu’on aurait pu y faire cuir un œuf. La sentir si proche de moi, sentir son souffle sur ma peau, ses caresses sur mon intimité, ses lèvres sur les miennes, tout cela en même temps me rendait tellement heureuse. Bien plus que je n’aurai pu l’imaginer dans mes rêves les plus fous. Elle me retira ma culotte trempée en m’embrassant tendrement. Je m’offrais totalement à elle, mon corps comme mon âme lui appartenait. J’étais son jouet perso, son petit plaisir entre deux heures de boulot intense, son moyen de s’évader quelques secondes de ce monde parfois si cruel. Et la façon dont elle jouait avec mon corps m’indiquait très clairement que j’étais à son goût, ce qui me rendit d’autant plus heureuse. Ces petits doigts fins se refermèrent sur mon clitoris et à le titiller doucement. Je frissonna de plaisir un moment sans bouger, mon rythme respiratoire s’accéléra progressivement. La belle descendit sur ma poitrine y passer sa douce langue rose sur chaque tétons puis embrassa chaque parcelle de mon corps jusqu’à arriver à mon intimité.
A ce moment-là, je ne savais pas quoi faire, je ne savais même pas s’il fallait faire quelque chose ou non. Mizuki observa un moment cette partie de moi que je cachais habituellement plus que tout, avant d’embrasser mon clitoris et d’y passer la langue. Je me laissa tomber sur le matelas, les yeux clos et la respiration rapide. C’est in croyable tout ce que cela peut procurer que d’être amoureuse. C’est impensable, inimaginable. Je sentis un doigt entrer en moi là où il y a encore un temps, c’était le vendeur de l’animalerie qui entrait, avec son gros engin tout poisseux. Là, c’est doux, c’est chaud et surtout c’est bon. La belle tourna en moi et me procura encore plus de plaisir en arrivant au point le plus sensible de mon corps. Un filet de bave sortit involontairement de ma bouche pendant que je laissais échapper des gémissements de plaisir et des ronronnements intenses.
« Cela te plait ?
- … oui. Merci maîtresse … »
La façon dont elle continua ces gestes, la douceur avec laquelle elle faisait tout cela. L’ensemble de tous ces petits morceaux de plaisir s’emboîtait parfaitement dans un puzzle que les journaux appellent la jouissance. Je n’y étais encore jamais arrivée mais cette fois-ci mon corps avait totalement déplacé le record de plaisir et de chaleur qu’il pouvait recevoir d’une relation. Je sentis tout cela monter en moi, une chaleur insurmontable au niveau du bassin, et une sensation étrange comme si mon corps ne m’appartenait plus. Comme si j’étais une simple spectatrice de tout cela. Mon intimité se mit à inonder le visage de la belle sans que je ne puisse faire quoi que ce soit pour l’arrêter. Ma respiration s’arrêta brutalement pendant que je lâcha un cri de jouissance dans le vent. Et d’un coup, tout s’arrêta. Le souffle court, je repris possession de mon corps, toute en sueur. Après quelques secondes je redressa la tête vers Mizuki afin de m’excuser. Quand un son tout autre que celui de la nature retentit soudainement dans les parages. Un bruit de sirène accompagnée de deux lumières rouges et bleues. La police dérapa sur le bord de la pelouse menant au lac et deux personnages sortirent du véhicule. Avec la lumière, je n’aurai pas su dire si c’était des hommes ou non mais de toute évidence, ils étaient là pour nous. L’un d’eux se mit à parler très fort, comme si sa voix était amplifiée dans un entonnoir :
« Police ! Vous êtes en état d’arrestation ! Rendez-vous et il ne vous sera fait aucun mal ! Tout le secteur est cerné, vous n’avez aucunes chances de vous enfuir ! »
Je tourna brusquement la tête vers Mizuki. Bon sang, je ne voulais surtout pas retourner à l’animalerie. Maintenant que Mizuki m’avait fait goûter à la liberté, je ne pouvais plus m’en passer. Je chuchota à la belle en attrapant mes rares vêtements :
« Mizu, qu’est-ce qu’on fait ? Je ne veux pas retourner là-bas … »