♣ Chapitre 1 _ Ce qu'on rencontre dans la vie est la destinée. La façon dont on la rencontre est l'effort personnel.

On ne voit plus le ciel ... IL n'y a plus de ciel pour lui... A cet instant tous ce qu'il peu voir c'est du gris, le gris des barreaux, le gris du plafond.. Rien que du gris... Il n'aime pas être aussi a l'étroit dans cette cage... Il n'aime pas en fait cette cage, ni la tunique blanche qui couvre a peine son corps... Pourquoi ne lui a t'on pas laisser ces vêtements, il aimait bien son pantalon blanc et sa chemise.. Non la il devait porter une tunique qui dévoilait presque tous son corps... Qui ne le réchauffais même pas... C'est qu'il faisait froid dans cette cage... Il ne pouvait même pas déployer ces ailes, pour ce couvrir.. Heureusement il n'était pas comme certain couvert de chaine il y avait se neko avec son collier, ces menottes et ces chaine au pieds;.. Il faisait peur se neko, si peur que le jeune ange se recroquevilla un peu plus contre les barreaux de la cage... Il se sentait tellement différents des autres dans ces vêtements blanc, le blanc, il aimait cette couleur parce qu'elle lui faisait penser au nuage... Les nuages lui manquait tant..

Doucement ramener ces jambes contre lui, les genoux replier contre son corps, son front poser contre ces genoux... Il faisait si froid qu'il avait l'impression que son corps allait cesser de battre, si froid au fond de lui, son maitre l'avait laisser seule, il ressentait un étrange mélange de plaisir et de douleur, une douleur étrange au fond de son cœur, son maitre lui manquait, et en même temps il savait qu'il ne pourrais plus lui faire du mal...

L’animalerie. Encore et encore ce même endroit. Autant hier le magasin avait été presque totalement vidé qu’aujourd’hui on le re-remplit. Adieu tranquillité ! C’est reparti pour une journée énervante sous les cris et les pleurs des autres hybrides.

Une gamelle d’eau est lancée dans sa cage. Cette fois, elle est lancée brusquement. Il regrette. Il regrette tant l’ancienne gardienne. Celle au regard doux et affectueux. Celle qui posait délicatement leurs gamelles en prenant soin de ne rien renverser. Celle qui avait pitié pour nous. Celle qui, parmi tant d’autres, ne nous regardait plus de haut. Mais celle-ci fut virée. Renvoyée. Oui, la gentillesse n’est pas tolérée dans les locaux prévus à la vente des êtres génétiquement modifiés. Pourquoi ? Et bien car cela ne les endurcis pas. Il boit alors le peu d’eau qu’il reste dans sa gamelle, sans se plaindre. Vraiment, à quoi bon ? C’est tellement chiant d’entendre les autres gueuler à longueur de temps. C’est tellement lourd de les entendre chialer pour un oui pour un non, de crier l’abandon de leur maître. Allons bon, ça ne changera rien au cours de leur vie, à part se faire remarquer.

À la réception de la gamelle de nourriture, il ne réagit pas. Il vient de se prendre la gamelle dans la gueule. Il prend la nourriture déposée sur son visage et la repose, s’essuyant ensuite sur sa chemise. Ensuite, il mange. C’est étonnant de le voir ainsi calme. Mais il est aussi extraverti, intelligent et excité. Des fois.

Après avoir assouvit ses besoins quotidiens, il retourne au fond de sa cage pour s’y allonger et faire une sieste. Bah oui, après le repas de midi on va pas non plus lui demander de faire un spectacle de majorettes ( C’est un sport fatiguant en plus d’être féminin. ). Faut pas trop lui demander à lui. Son quotidien c’est : manger-dormir. Y a pas vraiment grand chose à faire en fait. Puis voilà, si quelqu’un s’intéresse vraiment à lui, qu’il vienne de son plein grès chercher des informations. Faut pas attendre que Yolan vienne pointer le bout de son nez aux barreaux pour quémander un peu d’attention.

Il s’étale alors dans sa petite prison à lui et regarde les passants. C’est quand même bien d’être ici en été. On les voit se crever en allant au boulot sous un soleil de plomb. On les voit transpirer toute l’eau de leur corps en marchant pour aller faire les courses ou en allant faire des choses lui semblant insignifiantes. Des choses de la “vie quotidienne” comme diraient les gens d’ici. Mais dans ces petites cages, il fait frais. Le sol fait de béton garde la plupart du temps sa fraîcheur, malgré les chauds rayons du soleil. Les barreaux de métal ne sont pas à portée du soleil et ainsi restent fraîches toute la journée. Alors, quand on a vraiment chaud, on s’approche et on vient coller notre joue sur ces barres.

Allez, la boutique rouvre, c’est reparti pour le tralala quotidien. Le gardien souffle encore et toujours le même refrain.

<< Bienvenue dans la boutique ! Puis-je vous proposer des articles ou vous aider dans votre choix ? >>

Il laisse échapper un soupir à l’entente du mot << article >>. Mais bon, sont-ils vraiment plus que cela ? Si l’on est intelligent, on sait que peut importe l’opinion que les autres nous portent, nous ne devons nous fier qu’à notre opinion personnelle. Et puis, Yolan n’était pas vraiment en désaccord avec les propos du geôlier.

Toutes les lumières se sont allumées, mettant en valeur les nekos de la meilleure qualité qui soit, et dont je ne fait pas partie. Ma cage se situe dans la dernière allée du magasin, là où les gens ne viennent jamais. Tsss.... La cloche de la porte d'entrée sonne à trois reprise d'affilée et je peux commencer à jouer à mon jeux favoris. Je m'allonge sur le dos, à même le sol de ma cage, et j'installe mes pieds en l'air contre le mur. Je ferme les yeux et attend. Ce jeux consiste à deviner à qui peuvent appartenir les différentes démarches audibles. Je suis devenu un véritable expert la dedans. La première personne à être entrée doit être une femme, à la démarche légère et sautillante. Les deux autres ont l'air d'être des hommes. Dont l'un n'est là que pour accompagner la femme, il la suit partout, peut-être un neko?

Des pas retentirent après les cliquetis des cloches de l’entrée. Une bouffée de chaleur submergea toute la boutique à l’ouverture de la porte. Un nouveau soupir s’échappa de la bouche de l’hybride. Et c’est reparti pour un tour. Encore une femme qui va craquer sur le petit néko tout frêle du fond de la boutique.
Et c’est reparti pour les plaintes. Encore un hybride qui gueule. Tiens, une petite neko au fond de la boutique chiale. Ahlalalalala... Mon dieu.

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Nos vertus ne sont, le plus souvent, que des vices déguisés.
[François de La Rochefoucauld] .

Je veux je veux je veux... Tu m'avait promis...

Le visage baigner de larme la jeune femme faisait face a son père, un père qui lui avait promit un compagnon pour remplacer celle qui ne pourra jamais l'être, un chat, un neko pour l'aider dans la vie de tout les jours.. Le pauvre homme que pouvait t'il faire contre les caprices de sa fille... pas grand chose... Depuis tout petit une larme de cette enfant et le père craquait, il faut dire qu'il avait tellement eu peur de la perdre, eu peur de la voir mourir, la voir aussi bien, aussi décidée lui faisait du bien, même si ces larmes le mettait mal a l'aise.

Comme a chaque voix l'homme cède, de toute façon il se sentira mieux, plus a l'aise en sachant qu'un être presque intelligent sera prés de sa fille, en effet Aiko avait été une bonne affaire la neko avait toujours aider et protéger sa maitresse comme si elle était la chose la plus importante du monde.. En fait il y avait plus que de l'affection entre la neko et sa maitresse...

A l' acquiescement de son père la jeune femme eu un sourire lumineux avant de lui sauter au cou et de lui poser un baiser enthousiasme sur la joue... Oui elle était heureuse de l'avoir fait céder même si ces larmes n'avait pas vraiment été véritable, juste de l'amusement, juste l'envie d'avoir quelque chose... Parce que si ces parents se doutait que leur fille avait aimer la neko, il n'avait jamais sur la force de leur attachement, en effet sans Aiko la jeune femme se sentait vide, si seule, cette chatte avait été sa seule confidente, sa seule amie, son seul amour.

Et on ne peut remplacer un amour pareil, juste essayer de combler avec des mensonges... Tranquillement ajuster sa robe a corset noir, une robe qui rendait son teint pâle encore plus pâle, un teint de porcelaine, qui la faisait paraitre fragile, si fragile qu'un seul souffle de vent aurais put la briser... Oui aurais put, parce qu'au fond la jeune femme est quelqu'un de décider qui n'a pas peur de mettre sa vie en danger...

Chantonnant elle suivit son père dans la voiture, puis jusqu'au magasin, ou ces talons hauts claquait en douceur sur le sol.. tss elle n'aime pas se vendeur.. On dirais un gros porc, la jeune femme se redresse pourtant mettant son corps en valeur dans un mouvement mainte fois appris, qu'il salive le porc... La jeune peintre entends bien son pére parler avec le vendeur, et pendant un instant elle les suit... Mais elle ne veux pas de ces nekos trop parfait, trop beau, elle n'a pas envie de ces neko qui ne savent dire que oui, que non, pourquoi tout les articles qu'on leur propose son t'il blond...

Non non personne ne remplacera Aiko... Personne...

Poussant un soupire elle s'éloigne de son père, s'avança vers l' arrière de la boutique son regard décider se posant en délicatesse sur chacune des petit créature qui se trouve dans la pièce, non non elle ne veux pas d'une pleureuse, ni d'un suplicateur, elle n'a aucune idée de ce qu'elle veut vraiment, mais chaque neko qu'elle voit ne lui plaise pas... Trop ceci pas assez cela.. Tiens amusant celui la avec toute ces chaines, mais ce n'est pas le jour de choisir quelqu'un comme cela, pas sur que son père soient d'accords...

Tiens c'est quoi ces pieds qu'elle voit, un sourire naquis sur son visage alors qu'elle s'approche de la cage, son regard courant sur le corps que la courte tenues dévoilait, le neko était bien plus grand qu'elle bon il faut dire qu'elle fait a peine un mètre soixante... Donc c'est pas difficile d'êtres plus grand qu'elle... Mais la jeune femme a toujours adorer les êtres plus grand qu'elle et puis son visage est beau... et ces cheveux on l'air soyeux.. Bon il ne semble pas très propres , on dirais qu'on ne le lave pas longtemps...

La voix de son père qui s'élève dans la pièces alors qu'il s'approche de sa fille.

« Mon ange j'ai trouver un petit neko absolument adorable ... »
« Non je veux celui ci. »

Le ton de la jeune femme était décidé, alors qu'elle s'agenouillait doucement, sa poitrine compressée dans son corset semblait vouloir jaillir.. Elle sentait bien le regard du vendeur poser sur sa poitrine, quelque chose lui dit qu'il la sauterais bien dans un coin du magasin, mais avec le père de la gamine a coté de lui, il n'ose pas bouger...
Tranquillement la main de la fille passe a travers les barreaux, venant caresser les oreilles étrange du chat.. Elle résiste a l'envie de lui tirer dessus pour le réveiller mais cela ne le ferais pas...

« Et toi .. Qu'elle est ton nom.. Tu veux venir avec moi? »

Un sourire , une voix angélique si douce, presque fragile, sauf que si le corps et le ton de la femme exprimait une douceur et une fragilité son regard ne l'était pas du tout, elle adorait les neko, elle les aimait bien plus que les humains... Mais il fallait aussi le cacher...

Une nuit pas comme les autres quand on ne vois pas de lumière, oui... cette lumière qui nous éclaires pour pas quont se perdent dans la nuit noir. Nuit noir ? marrant ... Non car ou est-il ? En cage! Et pourquoi ? Ne lui demande pas abruti d'enfant, qui s'amuse a faire le pitre devant les autres cages pour finir devant la sienne et se prendre un cou de griffe en pleine figure ! Abruti, idiot ! Que je déteste les enfants ! Enfin Tous sauf un ! Mon petit frère qui dort dans ma cage... Juste au fond... Un sourire sur un visage, mais pas le mien ... non celui de Susaku, une petit terreur de 4,5 ans, qui men fais toujours baver. Stupide CHOSE qui sert de vendeur! Au lien de nous battre occupe toi du client qui vient d'arriver et vient de me ... ME PARLER ? A moi ??? Non ? Je doit rêver et puis qu'il me parle ou non il n'avait pas à lui répondre. Dos au barreaux de cage Yolan préfère rester muet et froid. Pourquoi ? Il avait pensé, peut-être même espérer que l'esclavage serait meilleur que ce qu'il avait vécu là-bas. Mais pourquoi pas après tout... Laisser un enfer pour un autre. Un sourire ironique s'afficha sur le visage du jeune homme...

Allait t-il sortir un jour ? Ou bien ces derniers jours se passerait dans cette cage ? La réponse à la question était loin d'être résolu . C'était en quelques sorte la question que se posait le jeune neko, en chocolat, toute la journée , ou plutôt Jour & Nuit . Yolan pouvait apercevoir des clients rentrée et sortir , mais la plupart de ses clients qui sortaient en sortait satisfait d'avoir fait une bonne affaire , eh oui , comme vous le doutiez ils sortent tous avec un neko mais malgré sa personne ne semble s'intéresser à lui .. Pourquoi ? La réponse est évidente , vu que sa cage est plutôt cachée à la vue des clients , il n'a donc aucune chance de sortir un jour de cette endroit sombre et obscur . Mais tout cela commençait sérieusement à le déprimer . Il n'arrivait plus à supporter l'odeur pénible de l'humidité et de la moisissure , d'ailleurs c'est à peine si il pouvait respirer que cela lui donnait déjà des nausées . Il commençait à regretter d'avoir pensait que c'était mieux que d'être à la rue sans rien manger, au moins dehors il n'était pas enfermé jour & nuit dans un endroit sombre et obscur . On ne pouvait l'apercevoir quand vitrine et certains le prenez plus comme une décoration qu'un neko ...
Le neko entendit alors la porte s'ouvrir ce qui ne le surprit même pas un peu , il savait très bien que ce ne serait pas pour lui... A sa grande surprise ce client s'approchait de lui et reprit très vite son sérieux . On pouvait dire que c'était une grande surprise pour lui que quelqu'un daigne le voir dans sa cage ou plutôt si intéressait ...

Il ouvrit avec lenteur ses yeux laissant entrevoir un regard blasé. Il souleva ses paupières pour observer le visage de celle qui venait de lui adresser la parole. La jeune femme avait une cascade de chocolat noir tout simplement magnifique, d'un noir parfait reflétant la nuit extérieure et quelques étoiles blanc parsemait cette cascade. Des yeux d'un regard intense semblaient vouloir noyer le neko dans leur intensité. Sublime ce dit le jeune homme qui aimait les yeux dotés d'un regard particulier. Ses formes étaient ni trop petites, ni trop grandes. Une fine harmonie qu'aurait dessiner un peintre talentueux. Il resta ainsi quelques minutes à l'observer ainsi sans pour autant être impoli, de toute façon, auriez vous put lui donner une autre position acquérir dans une cage lui brisant les articulations tellement cette dernière était trop petite pour lui ?
A la demande de la jeune femme, il dut se résigner à lui répondre comme tout gentleman débutant dans la profession :

- Yolan... Je crains que les deux hommes derrière vous soit tout à fait d'accord. Mais si madame souhaite emporter un frêle animal avec elle, je ne suis évidement pas contre, ajouta t-il avec une once d'ironie.

Yolan respira légèrement après avoir dit cette phrase même si on aurait juré qu’il soupirait . Il afficha un sourire un peu hésitant à la jeune dame et essaya de paraître le moins timide possible . Il pensa vite qu’il fallait reprendre son sérieux se disant que ce qu’il faisait la ne lui ressemblait pas . Il afficha un tendre sourire pour ne pas paraître brusque ou mal élever …

Remarquant tout de suite l'opportunité, le vendeur avait des yeux brillants, Jack quant à lui, trouvait la présence de cet homme assez gênante mais n'avais pas le courage de le renvoyer.

Yolan, il avait une voix douce, cela intéressait beaucoup la jeune femme en fait elle le trouvait vraiment adorable, tellement plus beau avec ces cheveux chocolat, plutôt que blond comme les blé... La jeune femme le voulait et tous ce qu'on pourrais lui dire ne la ferais pas changer d'avis, non que du contraire, qu'on lui dise que l'animal n'était pas pour elle, plus elle le voudrait, la seule qui pouvait l'aider a changer d'avis... La seul qui pouvait lui faire voir ce qu'elle ne voulait pas voir était morte et par la faute de ces parents, parce qu'il avait contrarier les gens qui ne fallait pas... Doucement passer une mèche de cheveux sombres derrière son oreilles, en l'observant bien on put voir changer son regard, un regard décidé, un regard glacial, dont elle connaissait la portée, son regard d'adoucis pourtant quand elle le posa sur son père, le faisant presque suppliant, elle était douée pour la comédie la jeune femme.

« Je ne veux pas d'un neko idiot papa, c'est lui que je veux... »

Jetant ces cheveux en arrière elle posa un regard glacial sur le vendeur lui indiquant d'un main d'ouvrir la cage du neko, avant qu'elle ne plonge ces mains dans sa poche, en fait elle avait prévus d'en prendre un depuis le début. Délicatement sortir un collier de cuir, tous simple, avec une petit médaille sen argent, avec son nom et son adresse dessus.. Le tout accompagné d'une petit laisse en chaine, dont le bout était une lanière de cuir sombre...

Tranquillement passer devant le vendeur, mon dieu qu'il pue cet homme.

« Si c'est ce que tu veux mon ange. »

Un sourire lumineux fut adresser a son père, alors qu'elle se penchait un peu venant passer le collier au coup du neko... Elle se demandait si il la suivrait sans la laisse , doucement se reculer pour le laisser sortir de la cage et se lever.. Il allait avoir mal.

« Va payer papa je te rejoints. »

Une façon comme une autre de congédier le vendeur, elle les observa s'en aller, avant de reporter son attention sur le neko, non vraiment il était adorable, ca lui donnait envie de le croquer, elle n'avait pas put comme d'autre enfant manger ce qu'elle voulait et le chocolat lui était interdit, elle allait se rattraper avec ce neko.

«  Ça vas tu n'est pas trop ankylosé? Tu me suivra si je ne te met pas la laisse? »

Finalement la porte s'ouvrit dans un bruit strident et les deux hommes allèrent discuter un peu plus loin... surement affaires, comme la plupart de ces humains. La personne qui venait d'éclairer le bout du tunnel ferroviaire, n'était autre qu'une dame. C'était une jeune femme. Pas une fillette, mais une jeune femme. Ça fait longtemps qu'une femme n'est pas venue toute seule ici, pour acheter un animal de compagnie. Je me concentre à sa démarche. Étrange, elle a une démarche légère, presque élégante. Était-elle d'un sang noble ? Je n'ai vraiment aucune idée, mais je sais qu'elle ne marche pas comme une de ces filles pouponne. On pourrait croire qu'une des pouponne va tombée d'un instant à l'autre. Mais pas elle. À noter... Elle continue de regardée les hybrides. Parfois, j'aurais pu entendrais des nekos qui la supplia à voix très base qu'elle l'adopte. Apparemment, elle ne les entend pas. Ou peut-être souhaite elle juste les ignorait. Soudain, elle vit à ma cage. Surement qu'elle me regarda, en s'étonnant que je sois aveugle. Ou peut-être c'est mes ails ? Peut-être... J'ai oublié cette fois de les cachaient. Oups...

- Ça va tu n'es pas trop ankylosé? Tu me suivra si je ne te met pas la laisse?

L'envie d'une vie plus confortable en lui était donc jamais venue à l'esprit. Même quand il s'était retrouvé dans un cadre luxueux et agréable, il avait plus pensé à s'enfuir qu'a rester. Ou bien à se faire le plus impossible qui soit. C'était une guerre plus psychologique que physique qu'il menait contre ces humains, qui ne méritaient même pas qu'il se mette à les combattre pour de vrai. De toute façon, il savait se satisfaire de peu, il n'avait pas besoin qu'on prenne grand soin de lui, il savait se débrouiller tout seul et vivre de rien, il était un neko après tout, pas un de ces fragiles humains. Il pourrait survivre en pleine nature, lui, pas besoin de quelqu'un pour lui fournir quoi que ce soit! Donc toutes ces propriétés et maîtres pour s'occuper de soi, il ne faisait que les ignorer et s'obstiner dans son attitude. Pourtant...devant le regard de cette jeune femme, la curiosité l'emportait sur son envie de peaufiner un plan de fuite.

Doucement le jeune homme laisse un sourire a peu prés doux naître sur ces lèvres, juste quelque instant sans plus, parce qu’il ne peut pas faire plus. Un pas en avant, et puis un deuxième et il se retrouve devant la cage face au papa de sa la jeune femme et aux côtés de cette dernière.

- Ne vous inquiétez pas, je vais bien. Merci de vous en soucier. Vous savez... vous me casser une longue chaîne, je ne peux que vous suivre mademoiselle.

Sa voix est rauque, basse, sensuelles , troublante... Ou comment semer le trouble dans l’esprit des gens, il était très douer pour cela, mais bon c’est amusant de les voir se troubler sous son regard.. De toute façon il était un être complexe, avec ces force et ces faiblesse, même si il les cachait bien, si il était violent, il pouvait aussi se montrer doux et gentil, quand il le fallait… Ils avait que certain être ne pouvait résister a la douceur, même quand on se faisait violent, avec eux, il suffisait de leur montrer ce qu’il avait a perdre, oui un peu machiavélique…